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(03/04/2012 10:25:54)
OpenTouch Conversation, la solution de communication unifiée d'Alcatel-Lucent
Alcatel-Lucent a présenté une solution baptisée OpenTouch Conversation, qui facilite l'utilisation de terminaux personnels comme les smartphones et les tablettes dans un but de communication professionnelle en permettant de passer facilement d'un mode de communication à un autre - messagerie instantanée, partage de données, téléphonie et visiophonie - sans interrompre l'échange en cours.
En transférant la communication d'une plateforme à l'autre, OpenTouch Conversation permet à l'utilisateur de commencer une conversation sur un téléphone de bureau, de la poursuivre en visioconférence sur un PC ou une tablette, puis de la conclure sur son téléphone portable sans devoir raccrocher, ni recomposer un numéro. Le logiciel doit également permettre d'ajouter facilement des participants supplémentaires à la conversation. Objectif visé: une communication et une collaboration plus efficaces à travers toute l'entreprise.
Pour iPad tout d'abord
Parmi les fonctionnalités proposées à l'utilisateur, la possibilité d'afficher sur son écran une liste chronologique de ses communications récentes, en cours et futures, les photos de ses contacts les plus fréquents, ainsi qu'une «représentation» des ou de la communication(s) en cours. L'utilisateur peut également accéder à des informations de présence précises et en temps réel sur les personnes susceptibles de participer aux conversations et connaîtra ainsi immédiatement leur disponibilité.
OpenTouch Conversation est une application logicielle interactive bâtie sur OpenTouch, la plateforme de communication d'Alcatel-Lucent. Conçue pour différents environnements, la première version d'OTC fonctionne sur l'iPad et sur réseaux WiFi et 3G. Le logiciel sera prochainement compatible avec de multiples plateformes telles que Windows, MacOS, Android, iOS, Blackberry et Microsoft.
ICTjournal.ch
Cloud : le secteur public reste toujours timoré selon IDC
Une récente enquête réalisée par le cabinet IDC auprès de responsables IT du secteur public a révélé que plus de la moitié des sondés ne disposent à l'heure actuelle pas d'un budget spécifique pour le cloud computing. De plus, dans les cas où un budget cloud existe, il ne dépasse pas les 15% du budget informatique total.
Administrations publiques conservatricesCette enquête fait partie d'un récent rapport d'IDC qui revient sur le rôle que peuvent jouer les différents types de cloud - public, privé et hybride - dans le secteur public. Celui-ci met en exergue le fait que le secteur public, s'il est conscient des bénéfices que peut apporter le cloud computing, est encore réticent à affronter le changement. Jan Duffy, directeur de recherche pour la région EMEA chez IDC, a relevé la nature conservatrice des administrations publiques: «Bien que nous observions une certaine volonté de passer au cloud, il est révélateur que plus de 75% des sondés aient indiqué n'avoir pas déployé, et n'avoir pas l'intention de déployer, de services cloud au cours des 12 prochains mois. Compte tenu des attentes exprimées par de nombreux responsables quant au rôle majeur que le cloud est appelé à jouer dans le domaine des administrations publiques, nous avons été surpris que les prévisions d'augmentations des budgets alloués au cloud ces trois prochaines années soient aussi minimes».
Lois et réglementations peu adaptées
Parmi les chiffres clés de cette enquête, 46% des sondés estiment que des préoccupations sécuritaires entravent actuellement l'adoption du cloud dans les administrations publiques, et près de 37% des sondés estiment que les lois et réglementations en vigueur empêchent le déploiement de services cloud au sein de leur département ou de leur ministère. En outre, plus de 50% des sondés estiment que l'utilisation de services cloud réduirait le volume de données sauvegardées sur des ordinateurs portables et autres terminaux personnels, et donc le potentiel de pertes de données. Enfin, selon les sondés, le recours à un cloud public est avant tout pertinent pour la gestion globale de l'IT, pour le back-up des données et l'archivage ainsi que pour le développement et le test d'applications. La pertinence du cloud privé est pour sa part relevée pour le back-up de données, l'archivage ainsi que pour les services on-demand concernant la capacité des serveurs ou de stockage. (...)(03/04/2012 09:49:33)
2 ans pour déployer des bornes interactives et des tablettes chez But
But est un distributeur de meubles et d'électroménager présent en France au travers de 200 magasins. Depuis trois ans, le groupe se reconfigure pour accroître sa performance économique. Il lance notamment de nouveaux formats plus petits, les But City, de moins de 1000 m² en centre ville. Or plus la surface d'exposition est petite, moins il est possible de montrer physiquement de produits. A cela s'ajoute la difficulté croissante pour les vendeurs d'intégrer le savoir acquis par les clients lors de leurs recherches documentaires sur Internet avant d'entrer dans un magasin. « Les clients ont aujourd'hui une expertise produits grâce à leurs renseignements pris sur le web mais, s'ils viennent en magasin, c'est qu'ils veulent avoir des vendeurs plus experts qu'eux, être rassurés sur leur choix, être en sécurité du point de vue du paiement, bénéficier d'un contact humain, etc. » explique Olivier Godart, programme office manager de But France. Il a présenté, à l'occasion du salon Marketing Point de Vente le 28 mars 2012, la double solution déployée chez But pour répondre à ces problématiques : des bornes interactives et des tablettes.
Une borne interactive en assistance au vendeur
La première solution déployée a été une borne interactive. Il s'agissait de présenter un maximum de produit sur un écran tactile connecté à un PC/Windows doté d'une solution développée par Oyez et connectée à une gestion de point de vente OpenBravo. La gestion point de vente est entièrement locale pour éviter tout incident de réseau mais elle est reliée à la gestion centrale sous mainframe. La tenue des stocks est en temps réel en magasin et le référentiel produits complet est récupéré du mainframe, y compris les photos des produits. Il n'existe qu'une seul référentiel pour les produits.
Dans un premier temps, lors des tests, l'outil n'a pas été utilisé par les clients. Olivier Godart constate : « les clients ne viennent pas en magasin pour parler à une machine ».
Dans un second temps, l'outil a donc été remanié pour servir d'assistance au vendeur. C'est donc avec le vendeur que le client va utiliser la borne et parcourir l'arborescence de choix. L'objectif est de diminuer les surfaces d'exposition au regard du nombre de références proposées. Si un modèle d'un meuble est présenté, plusieurs dizaines de déclinaisons peuvent être disponibles. But possède 20 000 références. Toutes ne peuvent pas être montrées. Le client peut donc « voir » le meuble-type et choisir un produit proche mais exactement adapté à son besoin en le trouvant sur la borne. « Lors d'un test à Boulogne-sur-Mer, nous avons baissé la surface d'exposition en électroménager mais augmenté notre chiffre d'affaires de 8% sur ce rayon » se souvient Olivier Godart. But revendique un gain de chiffre d'affaires de 1,4% sur les produits non-exposés sur les 40 magasins où l'outil a été déployé en attendant un déploiement général.
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Olivier Godart avertit cependant : « il y a une très grosse gestion du changement à prévoir ». Le rôle du vendeur et sa mécanique de vente changent en effet considérablement.
Il restait plusieurs problèmes à traiter. L'un de ces problèmes est la perte le long du processus de vente qui comprend classiquement trois phases : séduction (grâce à la borne), l'enregistrement de la commande (purement administratif) et l'encaissement (les clients peuvent abandonner à ce stade après avoir quitté le vendeur).
But teste donc une variante de son outil, sur tablette Windows. Le vendeur peut donc, par exemple, s'installer avec son client dans un canapé que le client envisage d'acheter. L'endroit est idéal pour que le client choisisse la couleur.
Pour l'instant, la tablette est encore en tests dans une vingtaine de magasins. Son déploiement à la place des bornes ou en complément n'est pas tranché.
Le coût reste le frein
« Le principal frein au déploiement est clairement le coût du projet » constate Olivier Godart. Chaque borne a un coût total de possession qui approche les 8000 euros. Chaque tablette coûte jusqu'à 400 euros l'unité mais nécessite un équipement en WiFi du magasin qui peut coûter jusqu'à 8000 euros.
Depuis les premières ébauches, le projet a mis deux ans à voir le jour. Mais le développement en lui-même a été de l'ordre de deux mois.
Le projet est objectivement innovant. Pourtant, Olivier Godart soupire : « les clients trouvent ça bien mais, pour eux, c'est juste normal, évident ! » (...)
Jeux vidéos : Legend of Grimrock et Fall of the Samurai en tête des téléchargements
Les précommandes du jeu de rôle Legend of Grimrockont permis au titre de se saisir de la première place du classement GOG.com pour la semaine qui s'achève lundi 2 avril, et Fall of the Samurai, l'extension autonome pour Shogun 2 continue de se vendre comme des petits pains.
Anciennement connu sous le nom Good Old Games, le site GOG s'intéresse maintenant aux titres récents, en plus des classiques qui ont marqué l'histoire des jeux vidéo. Le site propose parmi ses nouveautésLegend of Grimrock, qui revisite des fleurons du jeu de rôle des années 1990 comme Dungeon Master et Eye of the Beholder.
Un autre titre récent, Total War: Shogun 2 - Fall of the Samurai, continue de séduire les gamers, aux côtés de hits vidéoludiques bien implantés comme Portal 2, Skyrim et Battlefield 3.
(...)(03/04/2012 09:32:08)Les consommateurs changent plus facilement de fournisseurs
Accenture a réalisée cette étude en 2011 auprès de 10 000 consommateurs dans 27 pays. Elle n'intégre donc pas le lancement de l'offre de téléphonie mobile de Free en France, qui a provoqué en janvier une fuite de nombreux clients vers le nouvel opérateur.
La part des consommateurs qui ont changé de fournisseur a augmenté de 5% pour huit des dix secteurs (+8% en France). Une statistique qui inclut aussi bien les clients qui passent à un nouveau prestataire en résiliant leur ancien contrat, que ceux qui conservent le premier prestaire tout en rejoignant un autre fournisseur, souligne Accenture.
Seuls 23% des consommateurs s'estiment "très fidèles" à leur fournisseur (19% en France) contre 24% qui n'affichent pas de fidélité. Un peu moins de la moitié (49%) des personnes interrogées se disaient fortement influencées par au moins un programme de fidélisation.
Des consommateurs plus exigeants
"Les entreprises travaillent à l'amélioration de bon nombre d'éléments sources d'insatisfaction du service client, mais elles doivent faire face à un consommateur de plus en plus désireux de faire appel à de multiples prestataires pour un même service, et capable de changer rapidement de fournisseur", analyse Fabrice Marque, responsable conseil en marketing, vente et service client pour Accenture France Benelux, cité par le communiqué.
En 2011, le taux de clients satisfaits s'est amélioré à 33% pour le temps d'attente, contre 27% un an plus tôt et à 38% pour la possibilité de résoudre les problèmes sans appeler un opérateur, contre 33% en 2010. Toutefois, les entreprises "négligent les signes avant-coureurs d'un désir de changement de fournisseur" et elles "ont des difficultés à tenir leurs promesses en matière de service client", relève Accenture.
Dossier : le décisionnel à l'heure du big data
Comment gérer et traiter des quantités impressionnantes de données structurées et non structurées dans les entreprises à moyen et long terme ? Tel est le défi des services informatiques. Ces grands volumes de données, plus connus sous le nom de big data n'ont peu ou pas encore été pris en compte par la majorité des entreprises mais les besoins se font ressentir. «Même si les technologies autour du big data sont prématurées, cela amène les fournisseurs, les intégrateurs et les clients à réfléchir sur ce qu'ils doivent faire demain pour analyser et traiter les forts volumes de données » indique François Guérin, responsable avant-ventes chez Sybase.
Et pour cause, les entreprises sont en phase de réflexion et se posent souvent cette question de savoir comment intégrer le concept du big data dans le système d'information existant. Car c'est bien là le problème, les solutions actuelles déployées dans les entreprises ne sont pas forcément adaptées à traiter toutes ces données et, qui plus est, en temps réel, surtout dans les années à venir. Pis encore, les compétences se font rares dans ce nouveau domaine...Quoi qu'il en soit, du côté des fournisseurs, on s'active autour des outils et de solutions dédiés au big data. Explications. (...)
1,5 million de cartes bancaires compromises
Selon le journaliste américain spécialisé dans la cybercriminalité et la sécurité informatique Brian Krebs, une entreprise américaine chargée de gérer les transactions électroniques entre la banque et son client, aurait été compromis. Sur son site Briankebsonsecurity.com, celui-ci indique que ce piratage massif de données pourrait impliquer plus de 10 millions de comptes liés à ces cartes. Après cette révélation, la société Global Payments a indiqué avoir été hackée et que 1,5 million de cartes bancaires étaient compromises.
Si Brian Krebs n'a pas souhaité révéler le nom de l'intermédiaire de paiement, celui-ci écrit que Visa et MasterCard ont commencé à alerter toutes les banques et les ont informées que certaines cartes de paiement particulières ont peut-être été victimes de la fraude. Dès vendredi, MasterCard a confirmé qu'elle menait une enquête pour identifier un piratage possible et Visa a fait savoir qu'il donnerait ses propres résultats sur la question. Dans son communiqué, MasterCard a déclaré qu'elle « enquêtait sur le piratage possible de données bancaires dans une entité basée aux États-Unis. »
Sans le travail du journaliste la fraude serait restée cachée
L'entreprise de système de paiement reconnaît avoir aussi alerté certains émetteurs de cartes de paiement afin de surveiller des comptes MasterCard potentiellement à risque. MasterCard s'est dite également très concernée par tout désagrément que pourraient subir les détenteurs de ses cartes. « Nous continuons à surveiller de près cet événement et à prendre des mesures pour protéger les informations de compte. Si les titulaires de carte rencontrent des problèmes avec leurs comptes individuels, ils doivent prendre contact avec l'institution financière émettrice de leur carte, » a précisé l'institution financière.
Par ailleurs, Mastercard a indiqué que « la justice avait été informée de cette affaire et qu'une société indépendante, spécialisée dans la sécurité des données, analysait dans le détail ce qui s'était passé». Enfin, l'entreprise de système de paiement a précisé « qu'il était important de comprendre que les propres systèmes de MasterCard n'avaient en aucun cas été eux-mêmes victimes d'un piratage. » Depuis la société mise en cause, Global Payments donc, a reconnu avoir été victime d'une intrusion informatique. "Cet incident est contenu. La société continue à travailler avec des tiers du secteur, les régulateurs et les forces de l'ordre pour contribuer aux efforts visant à minimiser les répercussions potentielles pour les détenteurs de cartes", a indiqué un porte-parole de la compagnie cité par le Wall Street Journal.
(...)(02/04/2012 13:57:25)RIM dément vouloir abandonner le marché grand public
Dans une déclaration envoyée par mail à nos confrères du site Techworld.com, RIM affirme que son intention est de rester compétitif dans le secteur du « bring your own device » et de proposer une offre attractive sur ce marché. « Les informations qui prétendent que RIM se retirera du marché grand public sont tout à fait infondées », a déclaré Patrick Spence, senior vice-président et directeur général des ventes mondiales et du marketing régional. « Certes, nous avons fait savoir que nous allions recentrer nos efforts sur nos secteurs les plus productifs, et sur notre base clientèle professionnelle. Mais nous avons été très explicites sur le fait que nous continuerions à miser sur des secteurs grand public ciblés en nous appuyant sur nos points forts, à savoir le BlackBerry Messenger (BBM), la sécurité et la facilité de gestion de notre plate-forme. »
RIM a en outre précisé ses projets pour stimuler ses ventes de smartphones BlackBerry 7, et a confirmé son intention de lancer de nouveaux terminaux dans les prochains mois pour regagner du terrain sur le marché des smartphones d'entrée de gamme. Le constructeur va également chercher des partenaires pour offrir des fonctionnalités grand public qui sont peut-être absentes de l'offre de RIM. Même si, avec le BlackBerry, RIM a plutôt prospéré sur son marché traditionnel de l'entreprise, ses terminaux ont été bien accueillis ces dernières années par les adolescents et les étudiants, attirés notamment par le service de messagerie instantanée gratuit, BlackBerry Messenger (BBM).
Lors de la communication de ses résultats financiers en fin de semaine dernière, RIM a révélé que son chiffre d'affaires avait reculé de 25% au cours du dernier trimestre fiscal par rapport à l'année précédente, l'équivalent de 5,6 milliards de dollars. Cette baisse des recettes s'est accentuée après le lancement des smartphones BlackBerry 7 à l'automne 2011. Le BlackBerry 7 visait principalement les propriétaires de « feature phones » qui souhaitaient acquérir leur premier smartphone. Face au peu de succès de son mobile, RIM avait dû brader un grand nombre de smartphones BlackBerry et de tablettes PlayBook, pour liquider ses stocks.
RIM continue à croire que son prochain système mobile BlackBerry OS 10 - attendu à l'automne prochain - permettra de relancer l'entreprise et de faire à nouveau rentrer de l'argent. Le constructeur a demandé aux actionnaires de n'attendre aucun redressement avant cette date, et RIM les a avertis qu'elle ne communiquerait plus aucune information sur les performances financières de l'entreprise, au moins jusqu'à cette date.
(...)(02/04/2012 13:31:45)Intel prépare un «super processeur» HPC dopé à l'InfiniBand
« Le super processeur devrait être capable de délivrer une bande passante de données élevée grâce à l'utilisation de la technologie d'interconnexion InfiniBand, » a déclaré Diane Bryant, vice-présidente et directrice générale de l'Intel Datacenter and Connected System Group. L'InfiniBand est une technologie d'interconnexion à faible latence qui sert de liaison entre les serveurs en cluster et les unités de stockage dans les datacenters. Cette technologie permet aussi d'établir une communication à faible latence entre les processeurs et les serveurs dans les data centers, et sollicite peu la CPU.
Diane Bryant n'a pas précisé comment la technologie InfiniBand serait utilisée avec le super processeur. Cependant, le chip pourrait être intégré directement dans la gamme des processeurs pour supercalculateurs d'Intel existant, comme les chips Xeon serveur et le co-processeur MIC à plusieurs noyaux intégrés (Many-Integrates Cores), mélangeant des noyaux x86 standards avec des noyaux spécialisés pour stimuler les tâches HPC.
Un gain à chercher du coté des entrées/sorties
Les derniers processeurs d'Intel, le Xeon E5 et la puce MIC 50-core, nom de code Knights Corners, ont été associés en parallèle dans un supercalculateur du nom de Stampede. Celui-ci devrait être mis en service l'an prochain au Texas Advanced Computing Center de l'Université du Texas. Le supercalculateur délivrera des performances de pointe de 10 pétaflops (soit 10 000 milliards d'opérations à virgule flottante par seconde). « Les composants capables de délivrer une bande passante élevée seront très importants pour les systèmes haute performance à venir, » a déclaré Diane Bryant.
Le projet de super processeur vient après l'annonce faite en janvier par Intel de la reprise de l'activité InfiniBand de Qlogic. Selon le fondeur, cette acquisition partielle va permettre à Intel d'intégrer la technologie de bande passante à l'intérieur des systèmes, alors que les processeurs sont toujours plus puissants et que la performance des serveurs ne cesse de s'accroître. Cette acquisition s'inscrit aussi dans une stratégie plus large de la course à l'informatique exaflopique, pour fournir du stockage haute performance et plus de bande passante serveur.
Développer l'usage d'InfiniBand
« Au départ, l'objectif de la technologie d'interconnexion InfiniBand était de remplacer des protocoles comme le Fibre Channel et l'Ethernet. Mais la technologie a mis trop de temps à se développer, » a déclaré Nathan Brookwood, analyste principal chez Insight 64. «L'intégration de l'InifiniBand dans une puce va faciliter la construction de systèmes haute-performance à faible latence. On voit tout de suite quels avantages il est possible d'en tirer, » a dit l'analyste.
L'intégration de l'InfiniBand dans de futurs chips MIC pourrait donner à Intel les moyens de créer des systèmes à densité élevée pour l'interconnexion dans les supercalculateurs. « Cependant, avec ce type de structure, la question est de savoir comment va travailler le logiciel, » a ajouté Nathan Brookwood.
Intel n'a pas donné davantage de détails sur ces puces, son porte-parole indiquant simplement que l'entreprise n'avait pas encore d'informations spécifiques à communiquer sur les futures implémentations de l'InifiniBand.
(...)(02/04/2012 11:35:55)
Les produits d'Apple accaparent 13% du trafic Internet en France
La popularité des produits Apple et de leurs systèmes d'exploitation dédiés ne se dément pas, avec désormais une part de marché supérieure à 13% du trafic Internet en France, selon les données publiées le lundi 2 avril par AT Internet. Microsoft demeure néanmoins largement en tête, avec plus de huit visites sur dix issues d'une machine équipée d'un de ses systèmes d'exploitation. Le constat est le même au niveau européen, avec des scores de 84,3% pour Microsoft et 12,6% pour Apple.
Microsoft demeure le leader incontesté des systèmes d'exploitations utilisés en France, avec 82,8% de parts de marché au mois de février (contre 87,5% à la même époque en 2011), dont 39,4% pour le seul Windows 7, 26,4% pour XPet 16,4% pour Vista. Derrière, Apple ne cesse de grignoter du terrain, avec un total de 13,1% (contre 9,8% en 2011) dont 5,1% pour le seul iOS (iPhone, iPod Touch, iPad). Google et Linux ne représentent respectivement que 1,9% (0,6%) et 1,6% (1,4%) du trafic Internet en France.
Etude réalisée du 1er au 29 février 2012 sur un périmètre de 14 644 sites web audités par AT Internet.
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