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(04/04/2012 10:18:14)
Twitter pour Blackberry fait peau neuve
Cette application Twitter revue pour Blackberry OS permet de relier son compte de micro-blogging au service de messagerie instantanée BlackBerry Messenger (BBM) de RIM pour permettre la double-publication d'un message rédigé à partir de l'appareil. Le compte Twitter des contacts est également intégré aux profils BBM, ce qui rend plus simple l'interaction avec ces personnes sur le réseau social.
Le partage devient également plus aisé : "Twitter pour BlackBerry simplifie le partage de liens web via le navigateur. Si vous publiez un lien via l'application, il sera automatiquement raccourci pour comporter un nombre inférieur de caractères. Il est également possible de publier des photos sur Twitter (pic.twitter.com) depuis l'appareil ou lors de la rédaction des Tweets", a annoncé Twitter sur son blog officiel.
En 2011, Apple avait annoncé une intégration plus poussée de Twitter sur les appareils iOS, permettant l'envoi instantané de photos, de liens, de vidéos et de plans depuis ces appareils sans nécessiter l'ouverture de l'application et la connexion à la plateforme.
La toute dernière version de Twitter pour BlackBerry est téléchargeable gratuitement sur BlackBerry App World.
Une offre quadruple-play à 30 euros chez Virgin Mobile
Baptisée H@PPY4, l'offre quadruple-play de Virgin Mobile comprend notamment deux types de forfaits mobiles, avec ou sans l'Internet en 3G, et est déclinée en offres avec ou sans engagement, avec ou sans mobile. L'offre est disponible dès maintenant pour les clients Virgin Mobile, avant d'être progressivement proposée à tout le monde.
L'offre promet jusqu'à 25 Mbps de débits, l'accès à environ 300 chaînes de télévision et les appels illimités vers les fixes pour une centaine de pays dans le monde. Elle comprend aussi un forfait mobile Extaz qui propose, au choix, 2h de conversation et SMS illimités (pour 30 € le tout, sans engagement et sans téléphone mobile) ou 4h d'appels, SMS illimités et internet 3Go (pour 40 €).
Les offres H@PPY4 sont également accessibles avec un engagement de 24 mois et un mobile (pour respectivement 36 € et 46 €) ou un smartphone (lié au forfait Extaz 4h pour 59 €). D'un point de vue technique, le MVNO utilise le réseau ADSL de SFR ainsi que des Neuf Box, redécorées à ses couleurs. Virgin Mobile souhaite ainsi bousculer le marché et s'attaquer à Free, qui ne propose toujours pas d'offre de ce type. Orange, Bouygues Télécom et SFR proposent par contre ce type de forfait qui verrouille encore plus les consommateurs puisque l'abonnement mobile est ici lié à celui de l'ADSL.
(...)(04/04/2012 10:05:17)Apps mobiles : Windows Phone toujours à la traîne
Les utilisateurs de téléphones portables devraient télécharger en 2012 quelque 36 milliards d'applications, dont 2% seulement sous Windows Phone, selon une étude d'ABI Research, publiée le mardi 3 avril. Pour le cabinet d'analyse, le futur promet d'être plus radieux pour Microsoft, notamment avec le lancement attendu en octobre de Windows 8 (pour les plate-formes x86 et ARM), et le matériel compatible mis à la disposition du grand public.
Pour ABI Research, plusieurs facteurs laissent augurer d'un avenir plus radieux pour la version mobile de Windows, à commencer par l'augmentation progressive du parc de téléphones compatibles et surtout l'arrivée des premières tablettes Windows 8 pour la fin de l'année.
Toutes ces statistiques situent néanmoins Windows Phone actuellement derrière BlackBerry OS(RIM) ou encore Symbian (Nokia). A eux deux, Android (Google) et iOS (Apple) représentent 83% du marché des téléchargements mobiles.
Le MIT lance un projet pour fabriquer des robots avec un simple PC
Financé par un don de 10 millions de dollars de la National Science Foundation (NSF), le projet robot du MIT a pour objectif de mettre au point des technologies utilisables par des PC permettant à "une personne sans formation informatique ou technique particulière de concevoir, de personnaliser et d'imprimer - en trois dimensions - un robot en l'espace de quelques heures", précise le célèbre institut américain dans un communiqué.
"Cette recherche imagine une nouvelle façon de penser la conception et la fabrication de robots. Elle pourrait avoir un impact majeur sur la société", explique Daniela Rus, la responsable de ce projet. "Nous pensons que cette approche a le potentiel de transformer la production manufacturière et de démocratiser l'accès aux robots", estime cette chercheuse au laboratoire d'intelligence artificielle et de sciences informatiques (CSAIL) du MIT. "Notre but est de mettre au point des technologies permettant à chacun de fabriquer son propre robot, ce qui est vraiment révolutionnaire", ajoute Vijay Kumar, patron de l'équipe de l'Université de Pennsylvanie. "Cela pourrait ouvrir la voie à la conception rapide et à la production de produits ou biens sur mesure et de bouleverser l'enseignement de la science et de la technologie dans les lycées", selon lui.
Il faut actuellement des années pour concevoir un robot, le produire et le programmer et ce processus est très coûteux, nécessitant des matériaux et équipements ainsi que des logiciels très avancés et des systèmes d'apprentissage et de vision, expliquent ces scientifiques. Ce projet permet d'utiliser des matériaux aussi simples que des feuilles de papier, précisent-ils. Baptisé "Expédition dans la science informatique pour concevoir des machines programmables et pouvant être imprimées" en trois dimensions, le projet rassemble également des chercheurs de l'Université Harvard.
(...)(04/04/2012 09:49:15)Attendue en 2013, la Xbox 720 multipliera les coeurs CPU et GPU
La prochaine Xbox, nom de code 720, est annoncée pour la fin 2013 et elle sera équipée d'une version améliorée du capteur Kinect. Aux dernières nouvelles, elle embarquera deux cartes graphiques et un lecteur Blu-ray. Le scoop provient de VG247, le site qui avait obtenu les premières photos de la PlayStation Vita alors qu'elle était encore en cours de développement, et qui avait également révélé les décors hollywoodiens deGrand Theft Auto V avant tout le monde.
La prochaine Xbox embarquera un microprocesseur plus puissant, de quatre et six coeurs selon la rumeur, ce qui devrait permettre aux studios de développement d'exploiter les possibilités du capteur Kinect en matière de commandes gestuelles et vocales sans avoir à sacrifier d'autres aspects des jeux.
La console devrait faire un usage plus poussé de sa connectivité Internet, notamment pour décourager le piratage, sans toutefois passer complètement à un mode de distribution en ligne sur le modèle de l'App Store, puisque Microsoft a choisi d'y intégrer un lecteur Blu-ray, comme sur la PlayStation 3.
Deux processeurs graphiques pour améliorer le rendu 3D
Le site VG247 rapporte également que selon plusieurs sources concordantes, la prochaine console de Microsoft comporterait deux processeurs graphiques, qui travailleraient en parallèle et non conjointement, pour pouvoir s'atteler aux calculs de différents éléments. Une installation de ce type entraînerait immanquablement un coût très élevé pour le grand public aujourd'hui -- son équivalent actuel, la carte haute de gamme AMD Raedon HD 7990 d'AMD, coûtera les yeux de la tête (849 $) à sa sortie, le 17 avril 2012 -- mais Microsoft peut miser sur une baisse significative du coût des processeurs graphiques d'ici au lancement de sa future console.
Quoiqu'il en soit, on peut y voir une tentative de Microsoft de faire la cour à des studios comme Epic Games (Unreal Engine), EA DICE (Frostbite 2.0), et Crytek (CryEngine 3), dont les moteurs de jeux sont plus conçus pour des PC dernier-cri que pour de consoles sorties il y a six ans déjà.
L'iPad, moteur du m-commerce en Europe
Sur le réseau couvert par l'étude Mobile Performance Barometer 2011 réalisée par Zanox, deux millions de transactions ont été réalisées via des terminaux mobiles sur l'année 2011, pour un montant total de 120 M€, soit une toutes les 15 secondes. L'iPad y apparaît comme le terminal le plus adapté à ces paiements, avec 50% de ce chiffre d'affaires global généré depuis cette seule tablette.
L'iPad est non seulement le terminal ayant généré le plus de transaction, mais son panier moyen est deux fois plus élevé que sur les terminaux Android. D'une manière générale, le système d'exploitation iOS représentait encore les trois quarts du chiffre d'affaires sur les mobiles, contre 21% à Android au mois de décembre 2011.
La grande distribution moteur du m-commerce
C'est le secteur de la grande distribution qui a connu la plus belle envolée, avec une progression de 362% de son chiffre d'affaire en un an. Viennent ensuite les services financiers (337%), le tourisme (272%) et les télécommunications (202%). La France enregistre quant à elle une croissance de 248% de son chiffre d'affaires généré via les terminaux mobiles entre 2010 et 2011, pour représenter finalement 1,9% du total des transactions passées en ligne.
Le "Zanox Mobile Performance Barometer" compile les résultats obtenus à partir de l'analyse de plus d'un millier de programmes d'annonceurs recensés sur les principaux marchés européens (Allemagne, Italie, France, Espagne, Benelux, Scandinavie et Europe de l'Est).
(...)(03/04/2012 14:31:53)Silicon Valley 2012 : Delphix virtualise les bases de données
Parmi les tâches informatiques qui peuvent consommer beaucoup de temps, le clonage de base de données est un des problèmes récurrents dans les datacenters. Les tests et développements, l'entreposage de données, et le support, entre autres, demandent régulièrement une copie des bases de données en production. Et chaque fois, il est nécessaire de provisionner les ressources en serveur et en stockage pour héberger toutes ces copies de bases de données. En outre, les données deviennent obsolètes presque aussitôt avoir été dupliquées, et il peut être difficile ensuite de suivre les différentes évolutions des SGBD pour les supprimer ou les faire mettre à jour.
Fort de ce constat, la start-up Delphix, fondée par Jedidiah Yuehen en 2008, avance sa solution de virtualisation de bases de données. Avec le concours des fonds d'investissement Greylock Partners et Lightspeed Venture Partners (à hauteur de 20 millions de dollars), Jed Yueh a développé une idée qui a jailli suite au rachat de sa précédente start-up Avamar (spécialisée dans la déduplication de données) par EMC en 2006. « Les bases de données ont une structure unique avec des blocs souvent uniques. La déduplication de ces données nécessite une approche particulière, car il est nécessaire de garder l'application en production ».
Filtrage et compression des données
Delphix a développé un outil capable de virtualiser les bases de données. En quelques mots, le logiciel crée un clone complet en lecture / écriture des bases de données Oracle 9, 10 et 11 en production. Ces clones sont générés automatiquement à partir des clichés et les fichiers journalisés, et ils ont besoin de moitié moins de l'espace de stockage que la base de données primaire (de 5 à 2,5 To), selon Jed Yueh. Grâce à une forme de déduplication, au filtrage et surtout à la compression, une seule base virtualisée peut alimenter plusieurs usages. « On ne détruit pas de données, elles sont partagées entre les bases virtuelles ». Seule limite, il est encore impossible de prendre certaines parties la base, il est nécessaire de virtualiser l'ensemble. « La création de bases de données virtuelles ne nécessite pas de capacité de stockage supplémentaire et tout est entièrement automatisé par le biais du serveur Delphix, les développeurs peuvent faire tourner des bases de données virtuelles à la volée et créer des environnements de bases de données avec peu ou pas d'investissements supplémentaires dans les infrastructures » précise M. Yueh. La base de données virtuelle se synchronise régulièrement avec la base de données primaire, avec un décalage de 1 à 3 secondes; les données modifiées sont envoyées progressivement à la base de données virtuelle, afin de réduire la charge de travail de l'infrastructure.
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Dans l'ensemble, Delphix vise à consolider les ressources des centres de calcul et accélérer les tests, les cycles de développement, de déploiement, de gestion et de mise à niveau d'applications. « Notre outil cible les données dans les databases comme VMware le fait pour les processeurs », nous a indiqué le dirigeant.
En outre, Delphix sécurise les portails en self-service en permettant de définir des politiques IT et de stockage afin que les utilisateurs puissent s'auto-allouer des ressources. Par exemple, si un développeur a besoin d'une copie de la base de données ERP de l'entreprise, il peut lui-même la virtualiser. Delphix garantit un accès rapide et la fraîcheur des données, et lorsque le projet est terminé, la base de données virtuelle peut être supprimée et les ressources réabsorbées.
Support à venir de SQL Server
Jed Yueh a souligné que, le point le plus important, est que le serveur Delphix (l'application doit être installé sur un serveur avant la réplication de la SGBD) garantit l'exactitude des données et réduit les risques dans le l'environnement de production, puisque les utilisateurs peuvent créer et récupérer les bases de données virtuelles à partir de n'importe quel point de sauvegarde dans le temps. Il est même possible de comparer plusieurs points de sauvegarde dans le temps. De plus, l'utilisation de « vraies » répliques des bases de données augmente la qualité et la stabilité de l'application en production. « On fournit les données à la database et elle fait ce qu'elle a à faire. On ne se coupe pas des applications ».
Aujourd'hui limité aux produits d'Oracle, Delphix s'ouvrira prochainement à DB2 et SQL Server (au troisième trimestre pour être plus précis) et des applications comme Sharepoint ou Exchange pourraient également être concernées.
Basée à Menlo Park, dans le même immeuble qu'Arista Networks, Delphix posséde à ce jour 75 personnes et réunit parmi ses petits investisseurs des noms aussi prestigieux qu'Andy Bechtolsheim, co-fondateur de Sun, et David Cheriton de Stanford.
(...)(03/04/2012 13:40:07)
Amazon ajoute le streaming live à son offre CloudFront
Jusqu'à présent, le service web CloudFront d'Amazon permettait aux entreprises de distribuer du contenu, comme des images, des vidéos, des fichiers multimédias ou encore le téléchargement de logiciels. Pour améliorer ses performances, CloudFront s'appuie sur un réseau de sites répartis dans plusieurs zones géographiques en Asie, en Europe, en Amérique du Sud et aux États-Unis
L'ajout de la fonction Live Smooth Streaming dans Amazon CloudFront va permettre aux entreprises de diffuser du contenu en direct sur le web pour les clients Microsoft Silverlight et les terminaux sous iOS. Pour fonctionner, le système travaille avec les formats Live Smooth Streaming de Microsoft et HTTP Live Streaming (HLS) d'Apple. Les contenus Live Smooth Streaming sont envoyés aux clients en plusieurs fragments qui peuvent être mis en cache sur les différents serveurs CloudFront.
Adaptation du débit
Les clients ont la possibilité de contrôler dynamiquement le réseau et de voir son état au niveau local. Ainsi, lorsque le débit du réseau devient insuffisant, les clients peuvent immédiatement demander à ce que le fragment suivant soit envoyé à un débit plus faible pour tenir compte des conditions techniques. Selon Amazon, cela permet aux clients de lire les médias sans à-coups, sans temporisation et sans geler le flux.
Les entreprises peuvent installer une version encodée de leur flux direct dans une instance Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud) tournant sous Windows IIS Media Services. Quand les téléspectateurs appellent le flux direct, CloudFront prend le contenu dans l'instance Amazon EC2, le met en cache dans les serveurs localisés à proximité de la demande et l'envoie aux clients. Selon Apple, le format HLS permet aussi d'ajuster dynamiquement la qualité de lecture d'un film en s'adaptant à la vitesse maximale disponible sur des réseaux filaires ou sans fil. Pour diffuser du contenu HLS en streaming, il est possible d'utiliser la version 4.5 de Flash Media Server d'Adobe et de la faire tourner sur EC2.
Diffuser un événement en direct
Selon Amazon, la même configuration de base sert pour les deux formats. Pour simplifier l'utilisation de Live Smooth Streaming pour Amazon CloudFront, le fournisseur de services a créé un modèle CloudFormation qui fournit les ressources nécessaires pour diffuser un événement en direct, comme l'a précisé Amazon.
Les tarifs de CloudFront sont fonction du transfert de données au niveau régional vers les serveurs localisés d'Amazon, du nombre de requêtes HTTP et du taux d'invalidation de requêtes. Ce dernier est utilisé pour retirer un objet des serveurs CloudFront localisés avant l'expiration du délai spécifié. Par exemple, les premiers 10 To sont facturés 0,12 dollar/Go et les 40 To suivant 0,08 dollar/Go en Europe et aux États-Unis. Le compteur qui mesure le trafic consommé est remis à zéro tous les mois.
(...)(03/04/2012 12:17:16)Apache fait passer Sqoop pour Hadoop au rang de projet prioritaire
Alors que de plus en plus d'entreprises utilisent Hadoop pour analyser de grosses quantités d'information, elles réalisent qu'elles ont peut-être aussi besoin de transférer des données entre Hadoop et leurs bases de données existantes, leurs systèmes d'entreposage et d'autres banques de données. Des développeurs bénévoles à l'origine d'un nouveau connecteur pour accélérer ces échanges de données viennent de gagner l'adhésion complète de l'Apache Software Foundation (ASF). En effet, la fondation, qui soutient le développement de logiciels Open Source, a promu cet outil, dénommé Sqoop, qui permet d'accélérer le transfert de données, au rang de projet prioritaire.
En tant que « Top Level Project » (TLP), Sqoop bénéficiera de tout ce que peut offrir l'infrastructure Apache, à savoir les listes de diffusion, un espace de travail collaboratif, l'aide juridique et un référentiel de code. Le statut TLP signifie également que le groupe de travail de Sqoop respecte les procédures et les principes de la Fondation en matière de développement et de soutien logiciel.
Transférer rapidement des données traitées par Hadoop
Sqoop fournit un moyen rapide de transférer de grandes quantités de données entre la plate-forme de traitement de données Hadoop et les SGBD relationnelles, les systèmes d'entreposage et d'autres banques de données non-relationnelles. Il fonctionne avec la plupart des bases de données relationnelles actuelles, comme MySQL, PostgreSQL, Oracle, Microsoft SQL Server et IBM DB2, ainsi que les applications d'entreposage de données.
« Sqoop a été conçu pour transférer rapidement des milliards de lignes dans Hadoop grâce à une technologie basée sur des fonctions parallèles, » a expliqué dans un communiqué Arvind Prabhakar, chef du projet Sqoop auprès de l'Apache Software Foundation. Sqoop place les données, soit directement dans un espace de stockage régi par le système Hadoop Distributed File (HDFS), ou peut les orienter vers d'autres applications Hadoop comme le système de gestion de base de données non relationnelle distribuée HBase et son stockage structuré pour les grandes tables, ou le logiciel d'analyse de données Hive de Hadoop.
Déjà adopté par des entreprises
Actuellement en version 1.4, Sqoop a déjà été adopté en production par un certain nombre de boutiques en ligne utilisant Hadoop. Par exemple, le vendeur en ligne Coupons.com utilise le logiciel pour échanger des données entre Hadoop et l'appliance d'entrepôt de données IBM Netezza. L'entreprise peut envoyer des requêtes vers ses bases de données structurées et transmettre les résultats vers Hadoop par l'intermédiaire de Sqoop. L'entreprise privée d'éducation Apollo Group utilise également le logiciel non seulement pour extraire des données de ses bases de données, mais aussi pour injecter des résultats depuis Hadoop vers ses SGBD relationnelles.
En 2011, Sqoop était entré dans le groupe des incubateurs de projets de la Fondation Apache. Fondée en 1999, l'organisation sans but lucratif prend en charge plus de 150 projets Open Source, dont certains logiciels largement répandus comme le serveur Web Apache, le serveur d'application Tomcat, la base de données Cassandra, le moteur de recherche Lucene, le langage de programmation Perl et la plate-forme d'analyse de données Hadoop. Facebook, Google, IBM, Hewlett-Packard, Microsoft, VMware, et Yahoo comptent au nombre des entreprises qui soutiennent financièrement l'ASF.
(...)(03/04/2012 11:25:59)Le 26MinutesIT du Monde Informatique au Nord IT Days le 12 avril 2012
À partir du mois d'avril 2012, retrouvez-nous autour d'un plateau télé de 26 minutes en live sur LeMondeInformatique.fr et en direct des IT Days pour aborder les sujets qui vous intéressent au premier plan. La consumérisation IT, le cloud computing, les nouvelles menaces en sécurité, la chasse au gaspi applicative, la sauvegarde intelligente, la virtualisation... Chaque rendez-vous sera l'occasion de débattre avec un de nos journalistes experts, des DSI et des fournisseurs de solutions informatiques. Durant 26 minutes, nous vous proposerons des échanges, des retours d'expérience et des points de vue de professionnels de l'informatique. 26 minutes de débat sans concession autour d'un thème d'actualité.
Pour notre premier rendez-vous à Lille, le 12 avril 2012 en direct du salon Nord IT Days à EuraTechnologies, le thème abordé sera « quel futur proche pour le cloud ? Depuis deux ans, on assiste à une déferlante du cloud computing qui veut, rappelons-le, qu'un client ne soit plus propriétaire de son infrastructure, mais locataire d'un service rendu par un fournisseur. Et le client paye ce qu'il consomme.
De nombreuses études montrent aujourd'hui que la majorité des entreprises font du cloud en allant simplement sur les réseaux sociaux par exemple. Il est fort à parier que, dans un proche avenir, les entreprises iront bien plus loin dans leur stratégie Cloud en déportant des applications « business » et critiques. Pour cela, il y a bien sûr des conditions à remplir pour les fournisseurs de solutions cloud comme, par exemple, assurer l'interopérabilité entre les clouds, garantir la sécurité et la réversibilité des données ou encore identifier leur localisation.
Et la consumérisation IT
Dans un autre registre, le cloud pourrait aussi éliminer tous les risques liés à la consumérisation IT. Un phénomène qui touche de nombreuses entreprises. En effet, les salariés utilisent régulièrement leurs propres équipements informatiques (smartphones, PC portables, etc..) qui représentent d'ailleurs le futur poste de travail nomade. Les services informatiques ne doivent plus ignorer ce phénomène, mais bien au contraire, ils doivent trouver un juste équilibre entre ce que le salarié peut faire et ce qu'il ne doit pas faire. Un choix stratégique pas si simple à appréhender !
Le 12 avril prochain, Jean-Michel Soyez, président du Club DSI Gun, Christophe Laloyer, directeurs des systèmes d'information de Kiloutou, Florent Plonquet, responsable des systèmes d'information de Rouge-Gorge Lingerie, Anthony Seifert, directeur des systèmes d'information de Pay-Back Group, et bien sûr notre journaliste Benoit Huet, en charge des dossiers au Monde Informatique, débattront sur ces thèmes. Diffusée en live sur le site du Monde Informatique, l'émission sera animée de mains de maître par Marc Lionel Gatto de MLG Consulting.
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