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(02/04/2012 11:21:40)
Apple chahuté par des concurrents en Chine
Apple serait en train de construire sa plus grande boutique à Dalian, en Chine, mais des agents de sécurité payés par des enseignes concurrentes sont venus s'interposer en enlevant affiches et barrières de protection. L'incident a été filmé, et les membres de Google+ ont publié des liens vers les vidéos.
(...)
OBS et JTI renouvellent leur partenariat télécoms
L'opérateur Orange Business Services a annoncé hier le renouvellement d'un contrat d'externalisation d'envergure avec Japan Tobacco International (JTI), pour une durée de cinq ans et un montant supérieur à 100 millions de dollars. Cet accord prévoit qu'Orange fournira à JTI l'essentiel de ses services et de son infrastructure de télécommunication dans plus de 50 pays. A l'heure actuelle, relève Orange, JTI s'appuie déjà, depuis son siège de Genève, sur les solutions d'Orange dans différents domaines, comme les services managés LAN et WAN, le trafic voix et données, la sécurité, ou encore les centres d'appel et téléphonie IP.
Le premier partenariat entre Orange et JTI remonte à 1995, et un premier contrat d'externalisation pour différents services de télécommunication avait été signé en 2004. Orange avait par la suite remporté un nouvel appel d'offre WAN en 2009. Ces dernières négociations de renouvellement placent Orange dans une position très favorable pour ce nouveau contrat d'évolution vers un environnement mono-fournisseur. Diego De Coen, CIO de JTI, est d'ailleurs revenu sur la longévité de ce partenariat : «De telles relations à long terme sont aujourd'hui assez rares et la reconduction du contrat n'était pas acquise d'avance. Orange Business Services a parfaitement joué le jeu ».
ICTJournal.ch
Des malwares infectent les Mac via une faille Office
Des e-mails malveillants, qui semblent viser des organisations tibétaines militantes, exploitent une faille de la suite bureautique Office, de Microsoft, pour installer un cheval de Troie accessible à distance. Ils diffusent des documents Word piégés qui tire parti d'une vulnérabilité connue d'Office pour Mac, permettant d'exécuter du code à distance. Selon les informations communiquées la semaine dernière par Jaime Blasco, expert en sécurité chez AlienVault, c'est l'une des rares fois où l'on a vu un fichier Office malveillant utilisé pour transmettre un malware sur un Mac sous OS X.
De leur côté, les experts d'Intego, éditeur d'antivirus pour Mac, pensent que les attaques pourraient se répandre plus largement. « Ce malware est assez sophistiqué et il est important de signaler que ces documents Word ne sont pas chiffrés, ce qui signifie que tout producteur de malware qui en récupérait des copies pourrait être en mesure de modifier le code et de diffuser ses propres versions de documents », ont-ils précisé deux jours plus tard. Ils ajoutent que l'attaque sera très efficace sur les postes qui n'ont pas mis à jour leur version d'Office ou qui n'utilisent pas de logiciel antivirus.
Mettre ses logiciels à jour, utiliser un antivirus
Si la faille est exploitée avec succès, les fichiers Word corrompus installeront un cheval de Troie pour Mac OS X inconnu jusque-là. Les personnes menant les attaques à distance peuvent commander à ce malware de télécharger, charger et détruire des fichiers, ou déclencher un programme distant sur le système. AlienVault pense que cette attaque est menée par le même gang qui, la semaine précédente, avait diffusé un Trojan Mac similaire en tirant parti d'une vulnérabilité dans les programmes Java non mis à jour. Des attaques également repérées par TrendMicro.
Ce genre d'attaque ciblée, également connue sous le nom de « spear phishing », est devenue courante ces dernières années. Elle est généralement liées à opérations de cyber-espionnage de gouvernement ou d'entreprises. Toutefois, jusqu'à présent, la grande majorité des e-mails « spear phishing » avaient visé des utilisateurs de Windows.
« Alors que nous ne voyions pas ce type d'attaques sur des Macs auparavant, il apparaît clairement que les choses ont évolué et que nous sommes entrés dans une nouvelle phase de malwares sur Mac », estiment les chercheurs d'Intego.
Il est recommandé aux utilisateurs de Mac de mettre et garder à jour les logiciels installés sur leur poste, en particulier les applications les plus populaires. Ils doivent également exploiter en permanence un logiciel antivirus. Il en existe plusieurs qui sont gratuits pour Mac OS. (...)
Yahoo s'engage à supporter la politique «do-not-track» sur ses sites
Les sites de Yahoo se conformeront aux préférences de confidentialité (« do-not-track ») de leurs visiteurs dans le courant de l'année. Les principaux navigateurs web sont maintenant capables d'adresser aux sites visités un message indiquant si leurs utilisateurs acceptent que l'on enregistre leur navigation web à l'aide de cookies en vue de leur présenter des publicités personnalisées. En février, le dernier réfractaire de poids à cette démarche, Google, a annoncé que son navigateur Chrome allait lui aussi supporter cette fonctionnalité d'ici à la fin de l'année.
Le message en question, un entête http (hypertext transfer protocol) accompagnant la requête d'affichage des pages web, s'accompagne d'une façon cohérente de stocker les préférences des internautes et de les indiquer aux différents sites web qui respecte la disposition « do-not-track ». Ceci pour éviter un paradoxe plutôt gênant, celui qui consisterait à devoir utiliser un cookie pour conserver la préférence d'un utilisateur ne souhaitant pas être pris en filature par les cookies...
Y compris sur les sites Right Media et Interclick
Chez Yahoo, la prise en charge de l'entête « Do not track » se prépare depuis l'an dernier, précise la société. Tous ses sites le respecteront, y compris ceux de Right Media et Interclick, ses deux filiales spécialisées dans la publicité ciblée, assure-t-elle. Son annonce a été faite le jour même où le sous-comité « Commerce, Manufacturing and Trade » de la chambre des représentants des Etats-Unis devait tenir une séance portant sur l'équilibre entre vie privée et innovation. Quelques jours plus tôt, la FTC (commission fédérale américain du commerce) avait appelé à la création d'un outil « do-not-track » pour les utilisateurs d'Internet.
Dans un communiqué annonçant qu'il prévoyait d'autoriser les visiteurs à refuser d'être suivi pendant leur navigation, Yahoo a soutenu que permettre aux annonceurs de se réguler était la meilleure façon, et la plus rapide, de mettre en place des protections sans sacrifier l'innovation et la création en valeur. La firme précise que son système do-not-track respectera les recommandations de la DAA (Digital Advertising Alliance), une organisation qui regroupe de nombreux annonceurs en ligne et régies publicitaires. De tels programmes d'auto-régulation ont toutefois été critiqués parce qu'ils risquaient de déboucher sur des systèmes « d'opt-out » qui favorisent les annonceurs et que les internautes ont souvent du mal à appréhender. L'outil de gestion de l'opt-out en ligne de la DAA est, selon une étude de l'Université de Carnegie Mellon (datée d'octobre 2011 - http://www.cylab.cmu.edu/files/pdfs/tech_reports/CMUCyLab11017.pdf), l'un de ceux qui comportent des paramétrages par défaut inopportuns, ainsi que des problèmes d'utilisation importants.
Yahoo est l'un des premiers noms connus à s'être engagé à respecter l'entête do-not-track d'après la liste établie par l'Université de Standford http://donottrack.us/implementations
Preuve électronique : Google ajoute l'option e-discovery à ses apps
Les entreprises utilisant la suite de logiciels Google Apps disposent maintenant d'un service de e-discovery, baptisé Apps Vault. Celui-ci leur permettra de rechercher, dans le cadre de procédures judiciaires, des éléments de preuve ayant transité par la messagerie Gmail. La recherche de ces informations peut aussi s'opérer dans les sessions de messagerie instantanée associées à Gmail dont la trace aura été conservée.
Ce service optionnel est facturé 5 dollars par mois et par utilisateur. Il s'adresse donc aux entreprises qui veulent pouvoir retrouver facilement des informations à produire au tribunal en cas de procédures de « Discovery », une phase d'investigation et d'instruction préalable au procès civil ou commercial aux Etats-Unis (*). Le service capture, indexe et archive automatiquement e-mails et discussions instantanées ('chat') réalisé à partir des Apps. Chez Google, le responsable du service, Jack Halprin, explique qu'on peut ainsi, lorsque cela s'avère nécessaire, effectuer des recherches sur les termes, les dates, les expéditeurs, les destinataires et les libellés. Lancé aux Etats-Unis et en Amérique latine, Apps Vault sera disponible en Europe dans quelques semaines.
La firme de Mountain View insiste sur le fait que son service s'installe en quelques minutes en le comparant aux solutions traditionnelles de e-discovery proposées par les spécialistes de la gestion de contenus d'entreprise (ECM, Enterprise content management). Outre Gmail, les Googles Apps pour les entreprises incluent Talk, Calendar, Docs et Sites.
(*) En France, la CNIL rappelle en quoi consiste la procédure de e-discovery dans sa délibération n°2009-474 du 23 juillet 2009 portant recommandation en matière de transfert de données à caractère personnel dans cette situation.
(...)(30/03/2012 14:23:57)AWS met à jour son image de machine virtuelle Linux
Amazon Web Services (AWS) a mis à jour l'image Linux proposée dans son cloud pour y inclure les dernières versions de Tomcat, MySQL et Python, tout en laissant les entreprises qui le souhaitent continuer à utiliser les anciennes versions, ainsi que le prestataire l'explique sur son site. L'un des principaux objectifs de la version 2012.03 d'Amazon Linux AMI (Amazon Machine Image, image de machine virtuelle) était de permettre aux entreprises d'exécuter différentes versions d'applications et de langages de programmation. Amazon explique que cela permet de faire migrer, depuis d'anciennes images, un code qui repose sur différentes versions, tout en limitant les changements.
Par exemple, les nouvelles configurations comprendront la version 5.5 de MySQL (base de données désormais gérée par Oracle), sauf si les administrateurs choisissent explicitement d'installer l'ancienne version 5.1. Cependant, les entreprises qui font déjà tourner MySQL sur Linux dans le cloud d'Amazon conserveront la version 5.1 de MySQL par défaut, signale encore Amazon. Disponible partout depuis le mois de décembre 2010, MySQL 5.5 offre de meilleures performances et une meilleure évolutivité que la version précédente. A l'époque, Oracle affirmait que Linux était jusqu'à 370% fois plus performant en lecture-écriture et jusqu'à 200% fois plus performant en lecture seule comparativement la version 5.1.
Noyau Linux en version 3.2
De la même manière, les utilisateurs d'AWS ont également la possibilité de choisir entre les versions 6 et 7 de Tomcat, entre les versions 8 et 9 de PostgreSQL, et entre les versions 2.6 et 2.7 de Python. Pour Python, l'ancienne version est toujours proposée par défaut. Mais Amazon veut ajouter dès que possible plus de modules pour la nouvelle version.
Amazon a également mis à jour le noyau Linux en version 3.2, comme tous les outils en ligne de commande d'AWS, et a actualisé la plupart des packages. La version 2012.03 d'Amazon Linux AMI est disponible partout. Les référentiels ont également été mis à jour dans toutes les régions, comme l'a précisé Amazon. L'image Linux d'Amazon est disponible dans une multitude de formats : les utilisateurs peuvent ainsi choisir entre les versions 32 et 64-bits, et différents niveaux de performance, depuis la micro instance jusqu'aux instances quadruples extra-larges. Le coût des instances à la demande s'échelonne entre 0,02 et 2 400 dollars de l'heure.
(...)(30/03/2012 12:00:39)Le gouvernement chinois demande au PDG d'Apple de mieux traiter les salariés
Selon les médias officiels, lors de sa rencontre avec Tim Cook, le PDG d'Apple, en début de semaine, un haut responsable chinois a appelé les entreprises étrangères à mieux traiter les salariés de son pays. Le fabricant de l'iPad et de l'iPhone avait déjà essuyé certaines critiques concernant les mauvaises conditions de travail dans les usines chinoises de son fournisseur Foxconn. Le lendemain de sa visite au maire de Pékin, Tim Cook a rencontré le vice-premier ministre Li Keqiang. Selon les experts, ces contacts étaient destinés à renforcer les liens entre Apple et le gouvernement chinois, à un moment où le pays a pris une importance primordiale dans la fabrication et les ventes de produits d'Apple.
Selon les informations diffusées mercredi par Xinhua News Agency, au cours de la rencontre, Li Keqiang a déclaré à Tim Cook qu'il espérait qu'Apple et les entreprises étrangères renforceraient leur coopération avec la Chine, et favoriseraient le développement industriel dans les régions centrales et occidentales du pays. Cependant, le vice-premier ministre a également manifesté son souhait que les multinationales fassent plus de cas de leurs ouvriers chinois.
Un audit mené par une ONG
En réponse aux critiques concernant les conditions de travail dans les usines de Foxconn en Chine, Apple a défendu sa politique. Pour preuve de sa bonne foi, le constructeur a également autorisé une ONG qui milite pour le droit du travail à effectuer un audit interne auprès de ses fournisseurs chinois. Mercredi, Tim Cook s'est lui-même rendu dans l'une des usines de Foxconn. Apple a ensuite publié des photos de son PDG où on le voit près d'une ligne de production de l'iPhone, sur un tout nouveau site de Foxconn qui emploie 120 000 personnes.
C'est la première visite de Tim Cook dans le pays en tant que PDG d'Apple. Celui-ci était déjà venu dans le pays en 2010, avant d'être nommé à la tête d'Apple. Il s'agissait alors d'enquêter sur les conditions de travail en vigueur dans les usines de Foxconn à la suite d'une série de suicides parmi les salariés.
Apple VS Proview, détenteur de la marque iPad en Chine
En Chine, Apple doit aussi faire face à une bataille juridique très médiatisée à propos de la propriété de la marque iPad, un procès sensible qui pourrait déboucher sur l'interdiction de la vente de sa tablette emblématique dans le pays. Une entreprise chinoise peu connue du nom de Proview, et actuellement au bord de la faillite, avait acquis la marque déposée iPad pour la Chine en 2001. Proview affirme qu'elle n'a jamais revendu ses droits à Apple en 2009. Un tribunal chinois doit délibérer prochainement sur ce dossier.
Lors de la rencontre, le vice-premier ministre chinois, Li Keqiang, a également appelé à une concurrence loyale et une meilleure protection de la propriété intellectuelle entre les entreprises nationales et étrangères installées dans le pays. Tim Cook a répondu que son entreprise souhaitait approfondir sa coopération avec la Chine, dans le respect de la loi chinoise.
Mardi, un représentant de Proview a diffusé sur un microblog un message indiquant que son entreprise maintiendrait ses poursuites contre Apple concernant la propriété intellectuelle de la marqueiPad « pendant cinq ou dix ans », quels que soient les efforts entrepris par le PDG du groupe américain pour obtenir le soutien du gouvernement chinois. « Nous croyons fermement que, quelles que soient les conséquences de la visite de Tim Cook sur la relation entre Apple le gouvernement chinois, le verdict pour violation de la propriété intellectuelle par Apple est sur le point d'être connu, et l'entreprise devra être sévèrement punie, comme le prévoit la loi du pays », a écrit Li Su, qui dirige le conseil de gestion de Proview.
(...)(30/03/2012 11:26:15)Oracle étoffe son offre dans la santé avec ClearTrial
Ce n'est pas la première fois qu'Oracle procède à des acquisitions dans le domaine de la santé et, plus précisément, dans celui des essais cliniques. En avril 2010, le groupe californien avait ainsi racheté pour 685 millions de dollars l'éditeur Phase Forward, situé sur la côte Est des Etats-Unis. Un an plus tôt, il avait déjà ajouté à son catalogue les solutions de Relsys, un éditeur californien spécialisé dans les solutions de pharmacovigilance. Cette fois, il rachète ClearTrial, une société qui propose des applications de gestion des tests cliniques disponibles en mode SaaS (software as a service). Le montant et les termes de la transaction n'ont pas été précisés. Celle-ci devrait être finalisée au cours de ce premier semestre.
Le coût des essais cliniques est à la hausse et les logiciels de ClearTrial vont apporter à l'offre d'Oracle des capacités supplémentaires d'analyse budgétaire et prévisionnelle pour essayer de diminuer ces dépenses, explique l'éditeur dans un communiqué. Les solutions ainsi acquises sont complémentaires aux produits qu'il possède déjà, ajoute-t-il en affirmant aussi que les investissements réalisés par les clients de ClearTrial seront préservés. Parmi les entreprises utilisatrices figurent quelques-uns des grands groupes pharmaceutiques mondiaux. On y trouve notamment l'Américain Genentech (du groupe suisse Roche) et Astra-Zeneca (fusion en 1999 du Suédois Astra et du Britannique Zeneca).
Un marché en croissance qui génère de solides marges
Pour l'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, les rachats de ces trois éditeurs spécialisés illustre l'intention d'Oracle de couvrir le secteur de la santé de bout en bout, depuis la recherche sur les médicaments jusqu'à la gestion du dossier de santé des patients. Selon lui, l'éditeur devrait continuer à faire des acquisitions dans ce secteur, compte tenu de la croissance de ce marché entraîné par le vieillissement de la population et les marges importantes qu'il génère. Cette stratégie fournit aussi à Oracle l'occasion de vendre sa base de données et ses suites de gestion intégrées (il possède plusieurs ERP à son catalogue, dont une offre en mode SaaS, Fusion Applications, qu'il a commencé à commercialisé au cours des derniers mois) aux professionnels de la santé. Une stratégie qu'il met en oeuvre sans faillir depuis une dizaine d'années maintenant dans différents secteurs d'activité.
L'UE veut se doter d'un centre européen de lutte contre la cybercriminalité
La lutte contre la cybercriminalité s'organise au sein de l'Union Européenne. La Commission a présenté un projet de mise en place d'un Centre européen de lutte contre la cybercriminalité dans le but d'améliorer la protection des entreprises et des citoyens contre les menaces informatiques. Ce centre, fait savoir l'UE, sera abrité dans les locaux d'Europol à La Haye.
Parmi les missions principales de cet organisme, la lutte contre les activités illicites en ligne menées par des groupes organisés, la prévention des cyber-crimes concernant les opérations bancaires et les réservations sur le web, la protection des profils d'utilisateurs sur les réseaux sociaux, la lutte contre l'usurpation d'identité sur internet, ainsi que contre les attaques informatiques contre les infrastructures et les systèmes d'information critiques de l'UE.
Parmi les prérogatives de ce centre figureront la mise en garde des États membres contre les menaces informatiques majeures, l'identification de réseaux de criminels informatiques organisés, ou encore l'apport d'un soutien opérationnel au cours d'enquêtes sur le terrain. Pour exécuter ses missions et pour mieux soutenir les enquêteurs, procureurs et juges qui s'occupent d'affaires ayant trait à la cybercriminalité dans les États membres, le centre rassemblera les informations provenant de sources libres, du secteur privé, des services de police et du monde universitaire.
Il devrait être opérationnel dès janvier 2013, pour autant que l'autorité budgétaire d'Europol approuve la proposition de la Commission.
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