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PC et portables
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(26/03/2012 14:03:05)
Personnaliser son clavier
Après les stickers muraux, pour clés ou téléphones portables, les créateurs et éditeurs parisiens "Les invasions éphémères" présentent les autocollants dédiés aux claviers d'ordinateurs portables (PC ou Mac).
Chaque planche de 20 x 30 cm est composée d'une cinquantaine de stickers, destinés à recouvrir les chiffres, les lettres et la barre espace du clavier, ainsi que de deux visuels plus grands à coller de part et d'autre du touchpad. Romantiques, animalière ou rétro, ces planches sont vendues 19€ à l'unité.
(...)(21/03/2012 16:11:32)HP confirme la fusion de ses activités PC et imprimantes
Dans un effort pour stimuler sa rentabilité, Hewlett-Packard a annoncé ce mercredi la fusion de ses divisions Imaging and Printing Group (IPG) et Personal Systems Group (PSG). Les deux entités seront regroupées dans une nouvelle unité appelée Impression et Personal Systems Group (IPSG), dirigée par Todd Bradley, le vice-président exécutif de PSG depuis 2005. Vyomesh (VJ) Joshi, le charismatique patron d'IGP, est donc le grand perdant de cette réorganisation.
Cette fusion, largement éventée un peu plus tôt dans la semaine par les agences de presse américaines, reflète une atténuation de l'activité impression par rapport aux PC. Les ventes d'imprimantes ne devraient augmenter que de 1 à 2 % dans les prochaines années, alors que le marché des PC devrait progresser d'environ 5% selon IDC. On se souvient que l'été dernier, HP avait envisagé la cession de l'activité PSG pour améliorer sa rentabilité. Entretemps, le CEO a été brutalement débarqué et remplacé par Meg Whitman.
Réinvestir les économies réalisées
HP a déclaré que la fusion des entités PC et l'imprimante permettra de rationaliser sa chaîne d'approvisionnement, et, donc, de réaliser des économies qui seront réinvesties dans l'entreprise. « Cette combinaison va rapprocher deux divisions où HP occupe la place de numéro 1 dans le monde », a déclaré le CEO de la compagnie, Meg Whitman. « En offrant le meilleur dans l'innovation axée sur le client et l'efficacité opérationnelle, nous croyons que nous allons créer un scénario gagnant pour les clients, les partenaires et les actionnaires. »
Parmi les autres restructurations annoncées ce mercredi, HP va fusionner l'activité Global Accounts Sales avec l'entité Enterprise, dirigée par David Donatelli. Cette division regroupera dorénavant les serveurs, le stockage, le réseau et les services IT.
Peu de tablettes ARM pour le lancement de Windows 8
Microsoft aurait mis au point une stratégie pour éviter que le consommateur ne se perde dans les différences entre les tablettes sous Windows 8 à base de puces ARM et celles à base de puces x86/x64 : la solution réduire au minimum l'offre de tablettes à base de processeurs ARM. Ainsi, lors du lancement de Windows 8, prévu un peu plus tard cette année, il pourrait y avoir moins de cinq terminaux sur base d'ARM disponibles sur le marché, et seulement trois d'entre eux seraient des tablettes tactiles. « À l'inverse, lors du lancement de Windows 8, on trouverait plus de 40 machines sous Windows 8 intégrant des puces Intel. » C'est ce qu'indique un rapport de l'agence Bloomberg, qui ne précise pas si les puces Intel dont il est fait mention auront une architecture x86 (également utilisé par AMD) ou si ce sont des processeurs portant la marque Intel.
S'appuyant sur des sources anonymes, Bloomberg affirme que la raison pour laquelle il y aura si peu de terminaux utilisant la technologie ARM au moment du lancement de W8, c'est que Microsoft a mis en place « un système très rigoureux de contrôle des normes de qualité » pour les terminaux à base d'ARM qui tourneront sous le nouveau système d'exploitation. En outre, l'entreprise de Redmond voudrait aussi avoir un certain contrôle sur le nombre de terminaux ARM disponibles au moment du lancement initial de Windows 8.
Un terrain inconnu pour Microsoft
Avec ce système Windows pour appareils ARM, Microsoft fait son entrée dans un nouveau territoire. Les processeurs ARM sont largement utilisés dans les smartphones et les tablettes, car ils ont la réputation d'être plus économes en énergie que les processeurs x86. Mais historiquement, Windows a été conçu pour tourner sur des puces Intel. Beaucoup d'observateurs se demandent comment Microsoft fera la différence entre les tablettes à base d'ARM et celles à base de puces x86, dans la mesure où ces terminaux offrent des expériences utilisateurs à la fois similaires (l'interface Metro) et différentes (les logiciels). Les dispositifs à base de processeurs ARM reposeront essentiellement sur la nouvelle interface Metro tactile, incluse dans Windows 8, même si ces terminaux seront aussi équipés de la version de bureau traditionnelle de Windows. Cependant, le problème, c'est que les logiciels pour Windows x86 ne tourneront pas sur les périphériques ARM. Si bien que, par exemple, l'installation d'AOL Instant Messenger pour Windows 7 fonctionnera parfaitement sur une tablette sous Windows 8 équipée d'un processeur Intel, mais pas sur un terminal intégrant une puce ARM.
La question est aussi de savoir qui va fabriquer des tablettes ARM pour Windows 8. Le fait que Microsoft est peut-être en train de limiter - du moins au début - la sortie du nombre de terminaux à base de processeurs ARM tournant sous Windows 8, laisse penser que l'éditeur veut éviter de perturber les utilisateurs. Mais savoir quels fabricants produiront ces premières tablettes ARM reste toujours une question sans réponse. Selon certains rapports, Asus et Nokia prévoiraient de sortir des tablettes ARM pour Windows 8. Hewlett-Packard pourrait également produire une tablette ARM, mais commencera d'abord par proposer des dispositifs intégrant des processeurs Intel. Quant à Dell, Lenovo et Samsung, il semble qu'ils proposeront plutôt des tablettes avec des puces Intel.
Le rapport de Bloomberg indique aussi que Windows 8 sera prêt pour un lancement « vers le mois d'octobre. » Cette information a été publiée en ligne avec d'autres rapports. Un calendrier de sortie des dernières versions de Windows rappelle aussi que les systèmes Windows 7 et XP sont sortis en octobre, alors que le lancement de Vista a eu lieu en janvier.
(...)(20/03/2012 15:14:23)Tablettes : les modèles supérieurs à 7" ont la faveur des utilisateurs
La taille de l'écran d'une tablette numérique semble être le critère déterminant du succès ou non d'un modèle. Selon une étude de NDP, d'ici 2016 les tablettes de plus de 7 pouces intéresseront plus les acheteurs que celles de dimensions inférieures. Grâce au succès de l'iPad, les tablettes de 9,7" à 11" représenteront 65% des ventes mondiales.
NPD prévoit une hausse des ventes des modèles compris entre 7 et 8,5 pouces, du fait de la forte demande pour la tablette d'Amazon, la Kindle Fire, mais aussi de la gamme Galaxy Tab de Samsung. A contrario, les tablettes numériques dont la taille est inférieure à 7" verront leurs ventes décliner d'ici 2016, prédit l'analyste.
Quant au prix, NPD table à cette échéance sur une facture moyenne de 246$ (soit 185€ environ) pour une tablette de 9,7", en référence à l'iPad, qui est le modèle le plus vendu au monde. Cette réduction très sensible de prix est due à la forte demande, conjuguée à la baisse du coût de fabrication des écrans.
(...)(19/03/2012 10:10:11)Après les enfants, une tablette pour les seniors
La tablette Tooti Family de Tikeasy fonctionne sous Android mais dispose d'une surcouche personnalisée, donnant accès à une interface et des programmes à l'ergonomie simplifiée. Commercialisée à partir de 299€, elle sera exposée au prochain Salon des seniors, du 29 au 31 mars à la Porte de Versailles (Paris, 15e).
Cette solution "tout en un" comprend la tablette, mais également un abonnement mensuel (compter 12,50 €/mois en WiFi et 30 €/mois en 3G) qui comprend une connexion sans fil et l'accès à une multitude de services : synchronisation et sauvegarde des données en ligne, applications dédiées (messagerie e-mail et SMS, navigateur web, agenda, carnet d'adresses, jeux), mise à jour des programmes et assistance téléphonique. En outre, l'abonné et les membres de sa famille peuvent créer et personnaliser leur propre portail familial.
La Tooti family, qui dispose d'un écran de 10 pouces au format 4/3, est en vente depuis le mois de décembre 2011 sur Internet et chez quelques distributeurs de l'ouest de la France pour 299 € en version WiFi et 379 € en 3G.
Les e-books peinent toujours à s'implanter en France
Alors que le 32e Salon du livre ouvre ses portes à Paris (du 16 au 19 mars 2012), le livre électronique peine à convaincre le public français. Pour 2011, GfK estime que 1,1 million de livres numériques ont été téléchargés de façon payante pour un chiffre d'affaires de 12M€. Le faible taux d'équipement des français en liseuses électroniques et les prix jugés trop élevés des e-books représentent encore les principaux freins au développement de ce nouveau mode de lecture dans l'Hexagone.
Une étude de A.T. Kearney, publiée au mois de février 2012, montre un taux de pénétration du marché des e-books en France de seulement 0,5% en 2011, contre 20% aux Etats-Unis, pays de tous les records en la matière. Toujours selon le cabinet d'expertise, il y aurait environ 60.000 titres en français disponibles sur le marché, pour un prix moyen 15€ TTC, le plus élevé observé par l'étude.
Le marché de l'e-book en France est encore naissant, tout juste en développement avec l'arrivée tardive, à l'automne 2011, de solutions grand public (le Kindle d'Amazon, le Kobo by Fnac, le Cybook Odyssey chez Virgin etc.). Fin 2011, le taux de pénétration des liseuses en France n'est d'ailleurs que de 0,2% en France, contre 20% aux Etats-Unis (source : A.T. Kearney).
Des prix encore trop élevés
L'offre se concentre essentiellement sur trois types de plateformes : les incontournables (Apple, Amazon et Google), les sites des professionnels de l'édition (Eden Livres qui rassemble Flammarion, Gallimard et La Martinière, Numilog pour Hachette ou encore 1001Libraires qui est une initiative du Syndicat de la Librairie Française) et les services d'autoédition (Lulu, BoD, The Ebook Alternative, etc.).
Si le catalogue de livres disponibles en version électronique ne cesse de s'étoffer, les prix sont relativement dissuasifs. Chez Amazon, les titres sont proposés environ 20% à 25% seulement moins chers que les versions imprimées, comme c'est le cas par exemple pour le prochain Marc Levy, Si c'était à refaire (annoncé à 14,99€ l'e-book contre 19,95€) ou le livre de Katherine Pancol Les Yeux jaunes des crocodiles (16,99€ contre 21,37€ ou 7,12€ en livre de poche). Ces tarifs sont d'autant plus surprenants que les e-books ne génèrent par définition aucun coût d'impression ou de distribution.
Malgré tout, si beaucoup d'e-books sont souvent encore chers, l'offre proposée recèle également de nombreux titres gratuits. C'est notamment vrai pour toutes les oeuvres tombées dans le domaine public, comme c'est le cas pour tous les documents et ouvrages mis en ligne sur Gallica (archives de la Bibliothèque nationale de France).
Outre le prix, le deuxième frein au développement du livre électronique en France concerne les différents formats proposés, libres (txt, pdf, epub) ou propriétaire (mobi, azw), avec lesquels le grand public n'est pas forcément familier.
Salon du livre 2012 : 5 liseuses électroniques à découvrir
Le Kindle d'Amazon est disponible en France depuis le mois d'octobre 2011. Cet eReader de six pouces permet de lire en noir et blanc romans, BD et magazines confortablement, sans reflet. Le Kindle Store propose plus de 35.000 titres en français. Il est disponible pour 99€.
Afin de rivaliser avec Amazon, la Fnac s'est associée au constructeur canadien Kobo. La Kobo, apparue au mois de novembre dernier, est compacte et légère. Elle donne actuellement accès à un catalogue riche de plus 200.000 titres en français. Son écran tactile e-ink pearl de six pouces propose 16 niveaux de gris, garantissant un confort de lecture optimal, sans fatigue des yeux. Kobo est mise en vente à 130 €.
Virgin n'est pas en reste et s'est, de son côté, allié à Bookeen pour commercialiser son propre livre électronique et accéder à plus de 150 000 titres. La Cybook Odyssey dispose de la technologie "High Speed Ink System", censée proposer une interface plus rapide que celle de ses rivales. Elle est livrée avec le dictionnaire Le nouveau Littré et est vendue 129 €.
C'est à l'IFA de Berlin, en septembre 2011, que Sony a présenté son reader WiFi, une liseuse de six pouces tactile et particulièrement légère. Son rendu monochrome (16 niveaux de gris) et sans rétroéclairage consomme très peu d'énergie. Il est vendu 150 €.
L'Oyo de l'allemand Thalia est la plus méconnue de cette sélection. Elle peut pourtant contenir jusqu'à 1 500 livres et dispose, elle aussi, d'un écran tactile et sans reflet. Elle est disponible chez Chapitre ou encore France Loisirs, pour 119 €.
Fin 2011, le taux de pénétration des liseuses en France n'est que de 0,2% en France, contre 20% aux Etats-Unis (source : A.T. Kearney).
HP ne relâche pas sa garde sur le marché des stations de travail
Déjà leader sur le marché des stations de travail depuis qu'il a surpassé Dell, HP veut une part encore plus importante du gâteau. Lors de sa conférence partenaires qui se déroulait à Las Vegas en février, le fabricant a présenté à ses partenaires sa nouvelle gamme de stations de travail HP Z1. Premier modèle de workstation tout-en-un au monde (tous les éléments sont logés dans un écran 27''), le produit devrait être disponible à compter du mois d'avril pour un prix de départ d'environ 1900 $.
« Le marché des stations de travail progresse plus rapidement que celui des PC », explique Jim Zafarana, le vice-président et directeur général de la division solutions professionnels de HP. D'après lui, ce rythme de croissance serait d'environ 18% par an contre 0,5% pour celui des PC en 2011 (Source : Gartner). A l'heure actuelle, la majeure partie des matériels commercialisés sont au format desktop, soit entre 74 et 75% du total des ventes de stations de travail dans le monde. Pour autant, le cadre dirigeant de HP reconnaît que la bonne santé du marché des stations de travail n'est pas une nouveauté : « Les entreprises ont commencé à investir dans les stations de travail il y a trois ou quatre ans suite à une baisse des prix et grâce à l'amélioration de la qualité des plates-formes. Elles permettent aujourd'hui d'utiliser des applications auxquelles elles ne donnaient pas accès auparavant. »
Pour accroître ses ventes sur le marché des stations de travail, HP mise principalement sur les économies émergentes. Les raisons : les possibilités de croissance importantes qu'offrent des pays tels que la Chine, l'Inde ou encore l'Amérique latine. Jim Zafarana assure toutefois que HP ne va pas délaisser les pays, comme la France, où le marché est déjà consolidé. « Nous enregistrons une hausse d'activité à la fois dans les pays émergents et les pays développés », explique-t-il. Pour la première fois depuis que nous sommes présents sur ce marché de lT, nous avons dépassé les 50% (51% précisément, au quatrième trimestre 2011), de parts de marché sur un segment de produit. » Au troisième trimestre 2011, HP était crédité par Jon Peddie Research de 33% de part du marché mondial de stations de travail, devant Dell (26%) et Apple (22%). (...)
Combien coûte un poste de travail en entreprise ?
A cette question classique, RES Software apporte une réponse basée sur une étude d'IDC (réalisée à la demande de RES). En moyenne dans les entreprises européennes, un poste de travail revient chaque année entre 205 et 240 euros. 50% des frais viennent du personnel interne, 15 à 20% du personnel externe, 35% des licences logicielles. Cette somme atteint les 300 euros par utilisateur quand l'entreprise se montre peu économe. Cette possibilité de réaliser des économies est donc un angle intéressant pour des acteurs comme RES.
«Il faut un argument financier solide pour que les entreprises se décident à changer de processus et à investir dans de nouvelles technologies explique ainsi Giorgio Nebuloni, analyste senior d'IDC EMEA. Or, concernant les postes clients, l'automatisation des tâches répétitives promet des potentiels d'économies considérables, tant en frais opérationnels que de gestion. Si les entreprises EMEA sont de plus en plus sensibles aux avantages de la virtualisation des postes client, la plupart peinent encore à faire la distinction entre les différentes technologies proposées. Et quand bien même la virtualisation peut aider à résoudre certaines des problématiques les plus pressantes liées à la gestion des postes de travail, la tâche suppose de prendre en compte une multitude de facteurs et n'en reste pas moins complexe »,
Les tablettes soumises à la taxe sur la copie privée au 1er mars
C'est le jeudi 1er mars qu'entrera en vigueur la taxe sur la copie privée à destination des tablettes, selon une décision publiée au Journal officiel le 21 février. La rémunération s'étendra de 0,09€ pour une capacité de stockage inférieure à 128Mo jusqu'à 12€ pour toute tablette embarquant un disque dur de plus de 40Go. Les constructeurs auront deux solutions soit répercuter cette redevance sur le prix final du produit, soit prendre en charge cette taxe sans modifier leur prix.
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