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(17/11/2011 17:32:26)

L'emploi IT reste tendu, selon Syntec Numérique

Syntec Numérique est en ligne avec ses prévisions annoncées en avril dernier, avec une croissance de 3,6% pour l'ensemble du secteur des logiciels et des services informatiques. Selon le syndicat patronal, tous les indicateurs de diffusion d'offres d'emploi, d'intentions d'embauches et d'insertion des jeunes diplômés sont restés positifs tout au long de l'année. Dans l'informatique, 88% des jeunes diplômés de la promotion 2010 travaillent moins d'un an après l'obtention de leurs diplômes  (contre 71% pour l'ensemble des autres filières). 90% des juniors en postes sont cadres, et 89% sont en CDI. 

Le secteur IT reste toujours le plus important recruteurs de cadres. «Dans l'informatique, 40 000 recrutements sont attendus d'ici la fin de l'année, dont 31 000 cadres et 3 300 jeunes en alternance », a indiqué Guy Mamou-Mani, président de Syntec Numérique à l'occasion de la conférence semestriel de la fédération professionnelle. « Pour l'année 2012, quelques signaux d'alerte apparaissent, mais le niveau d'activité reste bon et les projets continuent », a t-il ajouté. « Les budgets et recrutements ne sont pas remis en cause. En conséquence, nous tablons en 2012 sur une croissance en France de +1% ».

Les embauches continuent

Les 3/4 des entreprises interrogées en septembre par le syndicat ont décidé de maintenir les embauches prévues. L'Apec confirme, dans la troisième édition de son baromètre réalisé avec Syntec Numérique, que l'emploi des cadres de la high-tech a été  particulièrement dynamique cette année. Deux tiers des entreprises ont indiqué que leurs recrutements étaient plus nombreux qu'il y a un an, et trois entreprises sur quatre ont mentionné maintenir leurs embauches dans les six prochains mois.

Effet de la reprise de l'activité et de la forte progression des offres (+ 56% sur la période de novembre 2010 à octobre 2011, par rapport à novembre 2009/octobre 2010), les recruteurs éprouvent des difficultés à trouver des candidats adaptés aux postes à pourvoir. « Il faut promouvoir nos métiers auprès des jeunes et des femmes », a insiste Guy Mamou-Mani. « Nous y travaillons grâce aux actions de l'association Pasc@line en faveur de l'apprentissage et de la féminisation des métiers du numérique, via l'initiative Tu seras ingénieure, ma fille».  

Départs de 6 000 ingénieurs suite à la circulaire Guéant

Pour inciter les jeunes femmes à se diriger vers les métiers de l'IT,  Viviane Chaine Ribeiro, administratrice de Syntec Numérique et PDG de l'éditeur Lefebvre Software prendra la direction du site  « Femmesdunumérique.com  ». Des conventions ont également été mises en place pour aider au recrutement de salariés en situation de handicap dans des centres de réadaptation ou des universités. De nouveaux contrats de qualification professionnelle seront bientôt créés.

Enfin, Syntec Numérique travaille également à la problématique de l'informatique retirée de la liste des métiers ouverts aux talents étrangers. « Suite à la circulaire signée par le ministre de l'Intérieur Claude Guéant et parue le 31 mai, la branche a perdu 6 000 informaticiens en situation régulière », déplore Guy Mamou-Mani. « Le numérique est un secteur en forte tension, et nous nous réjouissons de pouvoir recruter des talents étrangers au même niveau que les autres. Ces informaticiens ne s'approprient en aucune façon le travail de leurs homologues français. Il faut alerter les politiques et également les citoyens sur la question. Car il semble que nous vivons dans un pays qui ne comprend pas nos enjeux. »

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(17/11/2011 12:10:47)

Indicateur Apec, +56% pour les offres d'emploi cadres IT en octobre

Le climat économique actuel ne semble pas peser sur le marché de l'emploi des cadres informaticiens.  C'est ce qui ressort de l'indicateur mensuel de l'Apec, qui suit les évolutions du marché de l'emploi par fonction. Selon ce baromètre, dans l'IT, le volume des annonces, qui représentent 27% de l'ensemble des offres, a augmenté de 56% sur douze mois glissants (c'est à a dire sur la période de novembre 2010 à octobre 2011, par rapport à la période de novembre 2009 à octobre 2010).  

Près de 19 000 demandes pour la fonction web

L'ensemble des filières participent à cette évolution, à des degrés divers. Une fois encore la demande en compétences web, sites et portails Internet continue d'augmenter fortement : +94% sur les douze derniers mois par rapport à novembre 2009/octobre 2010. Dans ce domaine, l'Apec a comptabilisé un peu plus de 1 800 postes en octobre denier  pour un total de 18 829 propositions cumulées sur un an. Le nombre des annonces à destination des directions informatique poursuit aussi sa progression : +110%, soit 348 offres déposées au cours du mois dernier et 4 229 sur douze mois.

Mais c'est la catégorie  Informatique de gestion qui regroupe le plus grand nombre de demandes, avec 4 685 offres confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 52 217 annonces comptabilisées sur une année (+ 37%). Suivent les Systèmes réseaux et données, avec 2 529 propositions déposées en octobre 2011 et 27 738 annonces sur un an. La filière Maîtrise d'ouvrage et fonctionnel affiche elle aussi une belle progression (+85%, soit un total de 15 915 postes). Le nombre d'offres a également augmenté en Informatique industrielle (+51% et 17 775 annonces ) et en Exploitation et maintenance informatique (+ 57%, soit 8 124 offres déposées sur douze mois).

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(17/11/2011 09:31:09)

Les évolutions technologiques vont bouleverser les méthodes de travail

Le cabinet TNS Research et des experts indépendants ont été mandatés par Dell et Intel afin d'identifier les facteurs clés qui seront à l'origine des changements dans les entreprises à l'échelle mondiale Cette étude mondiale se présente en 3 phases, qui seront publiées séparément sur une période de 8 mois. Une vingtaine d' experts, dont des responsables RH, des analystes et des psychologues organisationnels, ont identifié 7 tendances et hypothèses servant de fil conducteur à cette enquête.

Des services de crowdsourcing

À l'avenir, le personnel de nombreuses entreprises pourrait être constitué de milliers de personnes non plus regroupées sur un même site, mais travaillant depuis de multiples endroits différents. L'essor de ce mode de travail, baptisé le « crowdsourcing » va continuer à mettre en exergue les problématiques de compatibilité. Employés et employeurs du monde entier devront travailler ensemble et de manière fluide. Toute barricade ou tout blocage technologique sera mal supporté. Mais l'éclatement  des équipes n'est pas sans comporter quelques risques. « Actuellement, les entreprises qui possèdent des ressources partout dans le monde entretiennent de moins en moins de relations physiques avec ces dernières », souligne Alexis Oger, directeur marketing grands comptes EMEA chez Dell. «Or, il est primordial pour une grande organisation que ses équipes puissent se retrouver. »

La productivité

Elle sera mesurée en rendement et résultats et non plus en heures. Dans une économie basée sur la connaissance, les mesures standardisées de productivité fondées sur le nombre d'heures effectuées deviendraient par conséquent moins pertinentes. Les outils de mesure de la productivité tiendront compte de la qualité de la production fournie plutôt que de la quantité délivrée. L'importance de la confiance mutuelle entre employeurs et salariés constituera l'une des clés de la réussite, mais il s'agira de trouver une solution viable pour mesurer la production et l'intégrer dans la structure d'une organisation. Reste à savoir où se situera la valeur, dans  un contexte ou l'on passera d'une économie manufacturière à une culture basée sur la connaissance où la valeur de créativité et l'innovation sera plus difficile à mesurer.

Les changements dans l'adoption des appareils

Le nombre et le type de machines et de systèmes d'exploitation est en constante augmentation et en perpétuelle mutation. Le choix des appareils et des systèmes d'exploitation deviendra de plus en plus une question de préférence personnelle et géographique, plutôt qu'un impératif technologique, étant donné que le passage au cloud computing présente un plus large panel de choix en matière d'accès au monde numérique. Le format des appareils va devenir secondaire, bien que néanmoins toujours important. Il en va de même pour le portail permettant l'accès à l'information. « On assiste de plus en plus à une consumérisation de l'IT », relève Alexis Oger. D'après lui,  les employés disposent chez eux d'outils et de systèmes d'information performants. Ils souhaitent accéder aux données critiques de l'entreprises et posséder des terminaux tout aussi efficaces dans leur entreprise. Car ils ont désormais pour habitude de mener de front vie professionnelle et vie personnelle,

Les risques de conflits intergénérationnels

Il y a davantage de transferts de connaissances intergénérationnels entre la génération numérique dite  Y (digital natives) et la génération précédente. La question est de savoir s'il y aura un  risque accru de conflit et de tensions entre collaborateurs selon les âges, le vécu, l'expérience, les connaissances et les différentes compétences.  « Les enfants du numérique appréhendent le monde d'une autre façon », considère le directeur marketing de Dell « Ils respectent la compétence mais pas l'autorité liée à la hiérarchie. L'entreprise devra donc veiller à faire la symbiose en entre les deux types profils, les jeunes et les moins jeunes, »

Valeurs contre règles

Il va devenir plus simple de savoir ce que font les employés, mais plus ardu de leur dire ce qu'il faut faire. Dans un tel contexte, les employeurs vont-ils recourir aux technologies de supervision intrusives pour surveiller en permanence leurs employés ? Et dans ce cas, cela risque-t-il d'accroître la méfiance de part et d'autre ? Sur ce point, il existe des divergences, avec d'un côté des entreprises libertaires, et de l'autre, des organisations qui prônent un encadrement plus rigide, estime Alexis Oger.

Les nombreuses casquettes du directeur informatique

La rapidité des avancées technologiques exige un nouveau profil de responsables informatiques, souples et intégrant de façon proactive les développements au sein de leur entreprise plutôt que de retarder voire de faire barrage à cette tendance de fond. Les employés aspirent de nos jours à davantage de satisfaction personnelle, d'autonomie et de souplesse. C'est pourquoi, les choix informatiques concernant le poste et les outils de travail pourraient être un des critères de séduction, d'embauche et de fidélisation des recrues. « La fonction du responsable informatique devra se rapprocher de celle des ressources humaines », insiste Alexis Oger. Le DSI devra s'assurer qu'il a les bons outils et les meilleurs technologies pour inciter les équipes à rester dans leur entreprise. »

Innovations à l'initiative des employés

Les logiciels métiers du futur seront adoptés et de plus en plus conçus par les employés plutôt que par l'exécutif ou encore le service informatique. On assistera à une amélioration des connexions réseaux des entreprises et à une décentralisation de ces dernières pour faciliter cette mutation au niveau de la hiérarchie. « Les équipes communiquent de plus en plus sur leurs projets au moyen de plates-formes communautaires, », conclut Alexis Ogier. Les clients s'en servent pour faire remonter leurs besoins, et les salariés pour faire connaître leurs idées, sans nécessiter l'intervention de leur hiérarchie. Ces outils ont simplifié les codes de fonctionnement dans les entreprises. »

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(14/11/2011 14:43:19)

1 000 offres d'emploi IT sur Lesjeudis.com à Lille

Après Toulouse,  puis Rennes, c'est à Lille que se tiendra la prochaine édition du salon de l'emploi informatique Lesjeudis.com. Le 17 novembre prochain, recruteurs et candidats du secteur IT se donneront rendez-vous de 10h à 18h au sein du parc d'activités Euratechnologies (165 avenue de la Bretagne - bâtiment Leblan-Lafont - Lille) pour une journée de recrutement. Les visiteurs (des profils de niveau Bac+4/5) pourront postuler à plus de 1 000 offres concernant des administrateurs réseaux, des chefs de projet, des consultants, des développeurs, des ingénieurs d'étude, des intégrateurs, etc. Les postes à pourvoir émanent d'une majorité de SSII : Additeam, Ajilon, Altran, Apside  Capgemini, Consort NT, Econocom, GFI, Open, Osiatis, SII, Sopra ou encore Steria. Des offres sont également proposées par Crezeo,  une start-up spécialisée dans la conception de réseaux sociaux professionnels, et également par des spécialistes de l'assurance (Axa), de la sécurité (Netasq), de l'hébergement web (OVH) et de l'emploi en région Nord-Pas-de-Calais (L4M).

Pour la première fois,  le Pôle régional numérique, cluster réunissant près de 200 entreprises locales, sera présent sur le salon.

L'entrée est gratuite et soumise à la validation du CV, soit à l'accueil, soit par pré-inscription en ligne.

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(10/11/2011 10:52:08)

Baromètre HiTechPros / CIO : Demande en hausse ces 4 derniers mois

La demande en compétences informatiques continue sa hausse depuis maintenant quatre mois consécutifs selon le constat dressé par la place de marché spécialisée HiTechPros. Ainsi, sur octobre 2011, les demandes clients augmentent de près de 2 % par rapport à l'année dernière.

Durant ce mois d'octobre 2011, les catégories techniques les plus demandées restent inchangées : nouvelles technologies (30 % des demandes), systèmes/réseaux/sécurité (29 %), et consulting/expertise (14 %). Les augmentations les plus importantes concernent deux de ces catégories auxquelles s'ajoutent un classique : nouvelles technologies (+14 %), client/serveur (+10 %) et systèmes/réseaux/sécurité (+9 %).

En revanche, certaines catégories techniques ont été affectées par une forte baisse de la demande : PGI (-43 %), Informatique industrielle/Electronique/R&D (-10 %) et Recette/support utilisateurs (-8 %).
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(09/11/2011 10:45:02)

LMI recherche son trafic manager

Au sein de notre régie publicitaire interne, vous devenez trafic manager, et assurez la gestion et la diffusion des campagnes pour des clients prestigieux de notre secteur (IBM, Intel, Orange, Microsoft, etc.). Intégré(e) à la dynamique d'une équipe dédiée à la publicité en ligne, vos principales missions consistent à : collecter les éléments graphiques de la campagne, monter les campagnes de publicité (Adsever ADTECH), assurer le lancement et le suivi des campagnes, optimiser la diffusion, et réaliser les rapports de campagnes pour l'équipe commerciale.

Au coeur de l'activité, vous assurez également le routage des e-mailings via une solution d'envoi propriétaire.

Profil

Pour mener à bien vos différentes missions, vous disposez d'une première expérience du web et de la publicité en ligne. Lors d'un stage ou d'un emploi dans une régie Internet, vous vous êtes familiarisé(e) avec un AdServer (idéalement AdTech, Smart Adserver, par exemple). Vous disposez de notions techniques (HTML, notamment). Votre rigueur dans le traitement de l'information (excellente maîtrise des tableurs indispensable) et votre réactivité font de vous un soutien de choix pour l'équipe commerciale.

Vous êtes passionné(e) par Internet et faites preuve d'aisance dans l'utilisation des outils informatiques de manière générale. Votre anglais confirmé est opérationnel dans un contexte professionnel.

Postulez dès maintenant en adressant votre candidature (CV + lettre) par mail et en précisant le poste à : itnirecrute@it-news-info.com

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(09/11/2011 09:34:06)

Qui cherche du travail sur les réseaux sociaux n'en trouve pas

Dans l'actuel marché du travail, candidats comme recruteurs sont mécontents de la situation actuelle. Les voilà au moins réconciliés sur un constat commun. Les sites d'emploi (jobboards) comme Cadremploi, Monster, ou RegionsJob et les réseaux sociaux professionnels (Viadeo, Linkedin...) ne répondent pas correctement à leurs attentes, les réseaux sociaux ayant au moins l'avantage d'un coût nettement moindre. Ces derniers rattrapent donc à grande vitesse les premiers dans les pratiques tant des candidats que des recruteurs, en attendant un meilleur service.

C'est là le principal enseignement d'une étude menée par le groupe Piana HR Group durant l'été 2011.

Côté candidats, l'usage des réseaux sociaux professionnels s'est imposé. Les deux tiers des répondants possèdent un compte sur Viadeo et un peu moins de la moitié sur Linkedin. Plus des deux tiers ont de tels comptes pour les aider à trouver un emploi, à peine moins (six sur dix) pour étendre leur réseau professionnel. Or moins d'un répondant sur cinq a été aidé dans sa recherche d'emploi par sa présence sur les réseaux sociaux.

Et c'est encore moins que la proportion de membres ayant réussi à développer leurs relations commerciales grâce à ces outils (presque un quart). La seule réussite (et encore) des réseaux sociaux concerne donc l'extension du réseau professionnel puisque plus de la moitié des répondants admettent avoir été aidé en cela par les réseaux sociaux.

Assez logiquement, la fonctionnalité préférée des répondants sur les réseaux sociaux est la diffusion d'offres d'emploi (presque les deux tiers des répondants) suivie de la suggestion de contacts. Ces fonctionnalités sont en ligne avec les buts d'inscription. La messagerie interne (moins de la moitié des répondants l'apprécient), la publication d'humeurs et la création de groupes de discussion (un tiers des répondants chacun) sont largement derrière.

Si les répondants admettent la simplicité d'utilisation, la convivialité et la facilitation des échanges des réseaux sociaux, il n'en demeure pas moins que plusieurs points les inquiètent. Au delà du fait que les fonctionnalités avancées sont généralement payantes, les risques sur la vie privée et la confidentialité des échanges comme les sollicitations inappropriées sont de vrais freins à l'usage.

Les réseaux sociaux moins chers pour les recruteurs

Le fait que les services vraiment intéressants soient payants est également le principal frein à l'usage des réseaux sociaux par les recruteurs. Mais les échelles de coûts n'ont rien à voir avec les Jobboards. Les tarifs de ces sites spécialisés sont en effet souvent prohibitifs : plusieurs centaines d'euros pour une annonce, plusieurs dizaines de milliers pour un accès d'une personne à une CVthèque... A l'inverse, un abonnement à un réseau social pour bénéficier de toutes les fonctionnalités du mode premium se compte en dizaines d'euros par personne. Les recruteurs utilisent donc de plus en plus massivement les réseaux sociaux plutôt que les jobboards, avant tout pour des raisons d'économie. Cependant, les réseaux sociaux commencent à développer une tarification particulière pour la diffusion d'annonces de recrutement.

Dans l'étude de Piana HR Group, plus de la moitié des recruteurs [[page]]
ont déclaré utiliser des jobboards et 40% des réseaux sociaux. Dans les deux cas, la diffusion d'annonces et l'accès à la CVthèque sont les fonctionnalités favorites : respectivement plus de la moitié et plus de quatre sur dix dans les jobboards, un tiers dans les deux cas sur les réseaux sociaux. Notoriété et prix sont, dans les deux cas, les deux critères majeurs de choix du site web.

De la même façon, les premiers reproches faits aux deux types de sites sont assez proches : le prix des annonces (60% des répondants pour les jobboards, 56% pour les réseaux sociaux) et des retours insuffisants (45% et 50%).

Mais les réseaux sociaux sont ensuite accusés de faire perdre du temps (la moitié des réponses) et de ne pas proposer de données complètes, notamment en termes de coordonnées (44%). Le manque de profils pertinents est derrière (38,9%). A l'inverse, ce manque de profils est le troisième reproche sur les jobboards (45% des réponses).

Force est donc de constater que recruteurs comme recrutés ne sont pas satisfaits des outils actuels.



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(09/11/2011 09:02:45)

Piana HR Group créé un réseau social dédié au recrutement

Aujourd'hui, les réseaux professionnels sont devenus incontournables dans les processus de recrutement. Pourtant, ils ne répondent pas toujours aux attentes des candidats en termes de recherche d'emploi : une étude conduite auprès de 600 000 postulants par le cabinet français de recrutement Piana HR Group montre que 69,2 % s'y sont inscrits dans ce but mais que 80 % d'entre eux n'y trouvent pas de travail. Les raisons ? L'aspect onéreux de fonctionnalités même basiques, le manque de confidentialité et également le fait d'être contacté par des personnes non sollicitées. Ainsi, pour répondre aux attentes des candidats et des recruteurs, Piana HR Group lance PianeoJobs, un réseau social gratuit exclusivement dédié à la carrière. Alors qu'une annonce sur un site d'emploi classique coûte au minimum 500€, PianeoJobs permet de recruter à partir de 0,50 centimes d'euro par CV.

10 millions de candidats d'ici 2012

Grâce au système de cotation des CV, le coût de chaque profil est évalué en fonction de son niveau d'étude, sa formation, son expérience, et sa disponibilité. Plus un CV est consulté par des recruteurs, plus sa cote augmente (sachant que le plafond s'élève à 49 euros). « Ce système peut aider les recruteurs à cibler les profils qui leurs correspondent à moindre coût », a souligné Christophe Le Feuvre, président de Piana HR Group, lors d'un point presse. « Les entreprises  bénéficient d'un accès illimité et gratuit (sans abonnement) à une base de données de 600 000 candidats et, chaque jour, 3 000 membres sont intégrés au réseau.  Nous avons ainsi estimé à 3 millions le nombre de candidats présents sur le site  d'ici fin 2011, chiffre qui devrait atteindre les 10 millions d'ici fin 2012 ».  

PianeoJobs possède également une messagerie interne et une autre instantanée. Des forums et de groupes thématiques liés aux problématiques de chacun peuvent y être créés, de même qu'une spamlist personnalisée. Des paramètres de confidentialité permettent aux candidats de rendre leur profil invisible à une liste d'entreprises qu'ils auront sélectionnées, Il leur suffit d'un clic pour déposer leur  CV  grâce à une technologie qui implémente automatiquement les différentes rubriques du document.  Enfin, PianeoJobs permet à ses membres, qu'ils soient candidats ou recruteurs, de développer leur réseau en Europe, mais également aux Etats-Unis, au Maroc, et bientôt en Chine.

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(07/11/2011 12:58:29)

Le site d'emploi IT jobtic.fr entend supplanter Lesjeudis.com

Jobtic.fr, site d'emploi dédié aux ingénieurs, consultants et informaticiens, continue de se développer sur le marché du recrutement informatique en France. Le site, qui revendique une croissance de plus de 10 000 visiteurs par mois,  compte atteindre 250 000 visiteurs uniques mensuels d'ici fin 2012.  Un an après son lancement, il totalise 2 000 offres d'emplois en ligne et sa base de données s'alimente de quelque 2 000 candidats par mois, principalement des Bac +5 et ingénieurs. « A ce rythme, nous entendons devenir numéro un et détrôner Lesjeudis.com d'ici à 2012 », ambitionne Hervé Lagache, directeur associé de jobtic.fr. La notoriété de notre site en Belgique et au Luxembourg nous a permis de développer des partenariats annuels avec près de 200 clients, des SSII (comme Capgemini, Sogeti, Logica, Bearingpoint, Atos), des éditeurs de logiciels (Sage, Axway, Amadeus), et également des entreprises de différents secteurs comme BNP Paribas, Crédit Agricole, Orange, Total, LCL, HP, sans oublier les collectivités locales. »

Un moteur de recherche qui qualifie les compétences

Le site d'emploi Jobtic.fr
Le site d'emploi Jobtic.fr

Le site se démarque de ses concurrents par un  moteur de recherche qui permet de d'effectuer des requêtes réparties autour de quatre  grilles de compétences :  fonctions, développement, systèmes et progiciels. « Nous nous distinguons des moteurs par mos clés qui comportent des limites dans la mesure où ils ne permettent pas de distinguer les connaissances passées des connaissances actuelles », souligne Hervé Lagache.  La spécificité de notre site permet aux recruteurs d'accéder à des profils qui maîtrisent réellement les compétences recherchées. »

Autres forces du portail: des vidéos, qui proposent des témoignages sur les opportunités d'emploi, le partage des offres sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn, Viadeo, Twitter et également Facebook et une stratégie de référencement web reposant sur Google, Bing et Yahoo. « Nous envisageons de refondre notre page d'accueil et de revoir la structure du site pour améliorer le référencement naturel », précise le directeur associé. « Nous avons également investi dans les moteurs de recherche en achetant plus de 2 000 mots clés sur Google et sur Bing. »

Jobtic.fr multidiffuse les offres de ses clients sur plus d'une trentaine de médias : métamoteurs, réseaux sociaux, et portails des grandes écoles d'ingénieurs. Le site mise, en outre, sur des partenariats en marque blanche avec des sites à forte audience et également sur des accords pour faciliter la mise en relation des jeunes diplômés avec les entreprises.  

Pour fidéliser les candidats, jobtic.fr a décidé de s'appuyer très fortement sur les outils de «  push ». Enfin, le site a choisi de se tourner vers des ateliers axés sur la technologie et sur des évènements comme Plein Emploi IT pour favoriser les rencontres entre les informaticiens en recherche d'emploi et leurs futurs employeurs.


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(04/11/2011 11:59:13)

Le Canada recherche une centaine d'informaticiens


Les employeurs de l'IT présents au Canada recruteront à Paris les 15, 16 et 17 novembre 2011 lors du salon Destination Canada - Forum Emploi. Sur les 1 500 postes à pourvoir, plus d'une centaine seront réservés aux informaticiens. Les offres concernent des profils variés qui vont du support technique à la gestion de projet, en passant par le développement de logiciels, la sécurité des réseaux, ou les télécommunications. Seront présentes des sociétés de conseil IT comme Accenture qui recherche plus d'une vingtaine de consultants SAP à Alberta, dans l'Ontario, et au Québec, et des entreprises de la sécurité comme la filiale de Bull, Amesys (Ontario, Québec), ou I Think Security  (Ontario). Des postes de chefs de projets et de développeurs web sont également proposés par le groupe québécois de services informatiques Facilité Informatique (Ontario, Québec). par le cabinet d'ingénierie BBA (Colombie-Britannique, Ontario, Québec, Terre-Neuve-et-Labrador)  et par le Centre franco-ontarien de ressources pédagogiques (Ontario).

Les candidats qui souhaitent s'expatrier pourront également s'entretenir avec les chargés de recrutement de l'équipementier télécoms Northern Voice & Data (Ontario), de l'opérateur Northwestel (Yukon et Territoires-du-Nord-Ouest), de la plate-forme RH Qwalify (Ontario) ou de l'éditeur de jeux en ligne Spielo International Canada (Nouveau-Brunswick).

Inscription uniquement en ligne

Pendant toute la durée du forum, l'ambassade du Canada proposera des conférences pour informer les participants sur les démarches d'immigration temporaire et permanente. La demande de participation au salon s'effectue uniquement en ligne sur le site  www.destination-canada-forum-emploi.ca. Les informaticiens en recherche d'emploi recevront des instructions pour soumettre leur CV au format canadien, en français et en anglais, et leur brève lettre de motivation. Si leur profil correspond à une des offres d'emploi, ils recevront une invitation au salon.

Les offres d'emploi pour le Canada sont également consultables sur le site de Pôle emploi international.

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