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(15/07/2010 15:02:54)

Pour accompagner son déménagement, HP France passe au télétravail

La filiale française de HP a signé cette semaine un accord avec les différentes organisations syndicales représentées dans l'entreprise (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT et FO) en vue de la mise en place des conditions du télétravail dans l'entreprise. Cet accord est effectif dès le mois de juillet et devrait concerner, selon la société, près de 5000 salariés.
Il précise donc le cadre et les conditions du télétravail chez HP, et ce, sous ses différentes formes. Qu'il s'agisse de la conséquence d'un projet de transformation de l'entreprise, comme son déménagement imminent d'Issy-les-Moulineaux vers les Ulis, ou bien d'une demande express de la part des employés. Tout cela en accord avec les directives de l'Accord National Interprofessionnel (ANI), afin de s'assurer qu'aucun abus ne sera commis, et que le télétravail se basera de manière effective sur le volontariat, et sera réversible sur demande.

Apaiser la grogne au préalable

Avec cet accord, HP amortit en partie la grogne des salariés de retour aux Ulis, alors que certains resteront à Issy, comme la division Software et Service par exemple. Pour autant, il est reconnu que le télétravail peut mener à une souffrance identitaire due à l'absence de lien social professionnel. L'entreprise prévoit donc de mettre à disposition ses outils techniques pour pallier à ce manque et ne pas subir le contrecoup du télétravail à la fois sur sa productivité et sur son image dans le monde du travail. Les vidéoconférences formeront donc, d'après un communiqué de la firme, le coeur de ces mesures palliatives, combinées à un programme d'accompagnement et de formation à ce mode d'organisation.


Crédit photo : HP France, Issy les Moulineaux
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(13/07/2010 11:46:58)

Adecco passe aux feuilles de paie dématérialisées

La dématérialisation des bulletins de paye est une source importante d'économie : au-delà du papier, il y a également la logistique de la distribution, en général par courrier postal. Par ailleurs, l'entreprise a l'obligation de conserver les bulletins de paye à disposition dans un coffre-fort électronique, ce qui évite la perte d'un document papier par le salarié (ainsi que les demandes de réédition) ou les erreurs de mauvais acheminement.

Adecco vient d'annoncer qu'il franchit le pas. Il est le premier à le faire pour des intérimaires. Cette évolution s'inscrit, au sein du groupe, dans une démarche plus générale de croissance des services en ligne. Les bulletins de paye seront ainsi accessibles par le salarié via le web en permanence. Si une version papier est désirée, son impression restera possible par le salarié.

Test avant déploiement


Une expérimentation auprès d'une population test de 3000 intérimaires ayant recueilli 55% d'avis favorables,  la société d'intérim a décidé de généraliser la dématérialisation des bulletins de paye. Le déploiement se fait progressivement, par enseigne : Adecco Experts dès à présent, Adecco et Adia d'ici la fin de l'année. De plus, les collaborateurs permanents du groupe seront également concernés. Adecco précise que le groupe économisera 15 tonnes de papier par an grâce à cette dématérialisation.

Le projet est basé sur une solution développée par PBA-Astérion, par ailleurs prestataire éditique du groupe Adecco. Cette solution intègre le coffre fort électronique Cecurity.com.

Le groupe n'a pas souhaité préciser le coût du projet.


Crédit Photo: DR

16 rue brey
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(09/07/2010 16:58:04)

Baromètre Hitechpros/CIO : Une amélioration semestrielle confirmée

Selon le baromètre HiTechPros/CIO du marché de la prestation informatique, cette fin de semestre se termine sur le rapprochement des courbes offre et demande. Le mois de juin voit la demande des clients augmenter de +18,5 %, par rapport à juin dernier, ce qui laisse présager une reprise sur l'année 2010 face à la baisse prononcée de la demande des clients à la même période de l'année dernière.

HiTechPros ne constate aucun changement dans les catégories techniques les plus demandées : « Nouvelles technologies » avec 36,60 % des demandes des clients, « Systèmes, réseaux, sécurité » (21,80 %) ainsi que « Consulting expertise » (13 %). La catégorie « CRM, Décisionnel, Datamining » n'arrive toujours pas à atteindre le fameux trio avec ses 8,5 % des demandes clients en ce mois de juin.

Par rapport à la même période de l'année dernière, les hausses le plus significatives de ce mois de juin concernent les compétences : « Nouvelles technologies » (41,67 %), « CRM, Décisionnel, Datamining » (25,00 %) et « Systèmes, réseaux, sécurité » (21,52 %).

A contrario, les ralentissements les plus forts de la demande ce mois-ci concernent les catégories suivantes : « Consulting Expertise » (- 7,26 %), « ERP» (- 9,09 %) et « Mainframe » (-19,35 %). (...)

(08/07/2010 11:03:10)

Direction changée et ambition renforcée pour le CICF Informatique

Elue le 23 juin dernier pour deux ans, Marie Prat en était jusqu'ici la vice-présidente. C'est son prédécesseur, Jacques Setton qui fut à l'origine de la création de ce syndicat dédié aux petites entreprises du secteur informatique (Revendeurs, sociétés de conseil, agences web, éditeurs de logiciels...). L'organisation est affiliée à la Chambre de l'Ingénierie et du Conseil de France. Cette fédération regroupe 11 syndicats patronaux et 1200 adhérents actifs dans les domaines de l'ingénierie et du conseil, dans divers types de secteurs d'activités (BTP, hôtellerie-retauration, Management, Industrie...).

Un ambitieux plan de recrutement

« De nouvelles adhésions sont enregistrées tous les jours. D'ici la fin de sa mandature, la nouvelle équipe dirigeante s'est fixée l'objectif réaliste de recruter deux cents nouveaux adhérents », indique Marie Prat. Sans un nombre suffisant d'entreprises derrière lui, il est en effet difficile pour le syndicat de faire entendre sa voix, notamment sur les initiatives gouvernementales qui concernent ses membres.

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La présidente du CICF Informatique est d'autant plus confiante dans la capacité du syndicat à rassembler que le vivier dans lequel il peut recruter est important : « D'après l'Insee, la France compte environ 80 000 sociétés [Ndlr : Au sens des codes APE] susceptibles de nous rejoindre.»

Des outils et de la pédagogie

L'élargissement du nombre de services fournis aux adhérents du syndicat constitue le deuxième axe de travail de la nouvelle direction. Outre des contrats d'assurance RCP et de garantie social d'entreprise négociés, ainsi que des formations à des prix préférentiels, le CICF Informatique propose déjà une newsletter et met à la disposition de ses membres une plate-forme collaborative. Pour aller plus loin, sa commission Economie et Marché planche par exemple sur la mise en place d'un observatoire des petites entreprises du secteur IT. L'objectif est de fournir aux adhérents du syndicat des indicateurs sur les activités à fort potentiel de revenus dans leur secteur ou encore sur les métiers qui recrutent. Ces types d'information devraient être disponibles d'ici la fin 2010.

Le CICF Informatique souhaite également organiser en région des événements comme le petit déjeuner d'information sur le Cloud Computing qu'il a mis sur pied en juin à Paris. « Nous allons d'avantage solliciter nos 15 chambres régionales pour organiser localement des événements de ce type », conclut Marie Prat. (...)

(06/07/2010 11:12:44)

Un geek peut-il devenir un manager ?

L'Université du SI organisée par le cabinet Octo Technology a ouvert ses portes aux informaticiens les 1 et 2 juillet au Pavillon d'Armenonville à Paris pour proposer à ses participants des conférences sur de thèmes allant de l'informatique à la nouvelle économie. Nombre d'entre elles ont traité du dualisme entre « être un geek [Ndlr : un développeur informatique] ou être un manager  [Ndlr : un responsable d'une partie du système d'information] ». Patrick Kua, « Generalizing specialist » chez ThoughtWorks, a insisté sur la difficulté qu'éprouvent les développeurs à devenir des managers IT. Loin de quitter totalement la technique, les leaders techniques passent encore au moins 30% de leur temps à coder. Ils doivent mêler à la fois leur activité de développement et celle de direction.

Les résultats d'une équipe informatique dépendent étroitement de l'environnement dans lequel évoluent ses membres. Ils doivent donc favoriser la dimension communautaire qui anime ces services. Mais souvent, un conflit peut émerger entre l'équipe et le manager car les anciens développeurs éprouvent le besoin de continuer à programmer, en dépit de leur statut. En effet, comme le rappelle Patrick Kua, dans l'entreprise, ces salariés sont le plus souvent des passionnés, qui vivent dans une communauté normée par un langage, des us et des coutumes. Pour eux, devenir un leader ne peut donc en aucun cas signifier renoncer à ce monde qui les relient entre eux. Ils ont besoin d'y être immergés une partie du temps.

Patrick Kua se montre toutefois surpris d'un tel comportement. Les geeks ont toujours cherché la reconnaissance de la société. Une fois parvenus au poste de leader et ayant acquis un certain pouvoir, ils ne parviennent pas à se défaire de ce qu'ils sont vraiment et en quelque sorte de ce qui les définit au regard de la société. Afin de diriger au mieux leur équipe et éviter autant que possible ce que Patrick Kua appelle la « net negative producing programmer», une moins-value constatée suite au lancement d'un projet, il conseille à ces nouveaux managers de reconnaître quelles sont les compétences de chacun de leurs collaborateurs, et de les inciter à les développer. En bref, d'inter-agir et de communiquer.

Photo :  Patrick Kua, « Generalizing specialist » chez ThoughtWorks (Crédits : JG)
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(05/07/2010 11:34:58)

Pourquoi recruter un geek ?

« On ne trouve pas de geek en recrutant classiquement. Cela ressemble plus à un safari ! ». C'est l'avis tranché de Nicolas Martignole, développeur indépendant et blogueur (le Touilleur), exprimé durant l'université du SI, organisée par Octo Technology, les 1 et 2 juillet dernier à Paris. Selon lui le geek (à ne pas confondre avec le Nerd plutôt asocial) apporte une bouffée d'air frais et de la passion dans une entreprise car il est désintéressé. En effet, ce qu'il fait n'est pas un travail pour lui,  il le vit comme une passion.

Comment recruter le geek ? Par le lien humain et par la valeur ajoutée humaine du poste proposé et de l'entreprise. En effet, ce qui fait qu'un poste intéresse ce type de développeur sont : la mission proposée (42% des interrogés) et 18% tiennent compte des valeurs et de l'ADN profond de l'entreprise. Comment, par la suite conserver le geek dans son entreprise, ce dernier n'ayant pas vocation à travailler jusqu'à 62 ans pour le même employeur ? C'est encore une fois le lien humain qui prime. Ce développeur est quelqu'un de très connecté à sa communauté et la solution pour un manager est surement de créer une journée de rassemblement par mois dans son entreprise. Ce genre de manifestation fédère et soude les employés entre eux et qui plus est apporte un capital sympathie fort à l'entreprise. Malgré tout ne jamais faire d'ingérence dans ce type de rassemblement ! Les événements de consolidation qui marchent sont gérés par les geeks eux-mêmes.

Pour faire simple, le geek est une personne curieuse, connectée avec sa communauté et dynamique car passionnée. Quant au recrutement il doit s'orienter sur l'affect et les canaux communautaires n'espérez donc pas séduire un développeur de ce genre avec une annonce lapidaire sur un site d'emploi spécialisé.

Photo : Nicolas Martignole (à gauche sur la photo), crédit D.R.
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(30/06/2010 10:52:55)

La SSII Proservia met l'accent sur la diversité

La société de services Proservia, spécialisée dans le domaine des infrastructures informatiques (850 collaborateurs), prône une politique de recrutement basée sur la mixité. Sont concernés, les jeunes, les personnes en situation de handicap et également les seniors. Dans cet esprit, le groupe a prévu d'accélérer sa croissance en recrutant une centaine de nouveaux collaborateurs d'ici la fin de l'année. Les profils recherchés sont des administrateurs et des ingénieurs systèmes Microsoft, des techniciens systèmes et réseaux, des spécialistes du helpdesk, et des analystes d'exploitation Unix.

« L'accent est avant tout porté sur le profil humain pour permettre à chacun de concevoir une nouvelle carrière professionnelle », expose Loïc Boisumeau, responsable des ressources humaines de l'antenne parisienne « Nous souhaitons nous engager à long terme avec des personnes qui ont une réelle capacité d'adaptation et de motivation. »

Des plans de formation individuels 

Pour le responsable, l'expérience ou l'expertise technique n'est pas le seul facteur dans le processus de recrutement. De ce fait, et afin de donner leur chance aux jeunes, le groupe s'appuie, depuis 2003, sur un dispositif baptisé Contrat première chance. Objectif visé par la démarche : recruter des demandeurs d'emploi en qualité d'ingénieurs et de techniciens, puis les former en amont aux environnement techniques des clients. Avantages pour les postulants : une embauche en CDI, assortie d'un plan de formation individuel. Sachant que chez Proservia, l'enveloppe de formation équivaut à 3,52% de la masse salariale annuelle. En 2009, la SSII a investi 739 545 euros dans ses dépenses de formation pour 308 collaborateurs. A ce jour, 65 contrats première chance sont en cours, dont 12 signés l'an dernier.

Autre outil construit sur le même principe que le Contrat première chance, le CNO ou Contrat nouvelle orientation. S'adressant à un public de seniors, celui-ci donne également lieu à un contrat à durée indéterminé associé à une formation spécifique en interne. Ainsi, les personnes en difficulté, et pas uniquement des informaticiens, ont la possibilité de changer de métier pour assumer des postes de pilote d'exploitation ou de technicien au support interne. Notons que les formations proposées par la SSII conduisent à l'obtention de certifications professionnelles autour de Microsoft, Citrix, Cisco, Unix, ou d'Oracle.

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(28/06/2010 17:53:54)

Firstpage.fr propose des offres de stage en France et à l'étranger

Le cabinet Michael Page International, avec le concours de Page Personnel,  lance une plate-forme de mise en relation gratuite et multi-secteurs, dédiée aux stages et aux formations. Le site Firstpage.fr donne la possibilité aux étudiants, aux écoles, et aux entreprises d'accéder à plus de 500 offres de stages et près de 10 000 CV. Il intègre un outil de sourcing et de recherche comprenant plus de 50 000 candidats inscrits et 2 000 entreprises partenaires. La variété des secteurs d'activité est également un plus, avec des offres dans l'hexagone et également à l'international, pour les entreprises qui possèdent des filiales à l'étranger. Le service propose aussi aux futurs stagiaires des conseils avisés pour écrire un CV et réussir un entretien d'embauche. 
Les profils des étudiants consultables sur le site sont de niveau Bac+2 à Bac+5, de formations variées, à la recherche d'un stage de fin d'études, d'un contrat en alternance ou de professionnalisation. (...)

(28/06/2010 15:20:52)

Infotel peine à trouver ses informaticiens

Au même titre que de nombreuses PME, Infotel (1 100 collaborateurs, salariés et sous-traitants), SSII spécialisée dans la gestion des bases de données, éprouve des difficultés à recruter des compétences. Le groupe, qui cherche à embaucher 180 informaticiens d'ici la fin de l'année, doit en effet faire face à différents freins. « Sur le diagnostic, les éléments sont multiples », souligne Michel Koutchouk, directeur général. « D'abord, l'on constate une forte hésitation des profils expérimentés qui hésitent à changer d'entreprise dans le cadre d'une conjoncture économique difficile, et qui ne le font qu'en échange d'un salaire revu à la hausse ».

Autre difficulté évoqué par le dirigeant: une méconnaissance des carrières et itinéraires en entreprise par les jeunes diplômés. «Les débutants, qui constituent 80% de nos volumes de recrutements, ambitionnent d'être chefs de projet dès la sortie de l'école avant d'en avoir acquis l'expérience indispensable », déplore t-il. «A cela s'ajoute une forte inadéquation entre les ambitions des postulants à travailler sur des technologies avant-gardistes (3D, réalité virtuelle,...), et la réalité des systèmes opérationnels actuels. »

Des différences entre Paris et la province

Pour aider les candidats à identifier ses métiers et spécificités, Infotel a donc mis sur pied une série de formations constituée de huit filières : concepts et stratégies, méthodes et qualité, systèmes et réseaux, développement d'applications dans les environnements J2EE et z/OS, moniteurs transactionnels, bases de données, et outils du décisionnel.
Enfin, le patron d'Infotel note une différence entre les postulants parisiens et provinciaux. «Les franciliens, peu mobiles, ont tendance à rester concentrés chez les clients ou sur certaines technologies », évoque t-il. « Quant aux candidats régionaux, ils sont plus enclins à la mobilité, mais sur un périmètre uniquement local et ils restent très attachés à leur ville natale. »

A ce jour, sur son plan de recrutement 2010 (250 collaborateurs supplémentaires), la SSII a réalisé 90 embauches, 45 en région parisienne et la même proportion en province.

Illustration: Michel Koutchouk, directeur général d'Infotel
Crédit photo: D.R





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(22/06/2010 17:24:15)

La recherche d'un emploi ne passe pas encore par les réseaux sociaux

Regionsjob.com vient de livrer les résultats d'une enquête sur l'utilisation réelle des réseaux sociaux dans le cadre du recrutement. 2 208 candidats et 157 recruteurs ont donné leur avis et partagé leurs pratiques. Côté candidats, l'étude montre que 36% d'entre eux s appuient sur les sites communautaires pour chercher un emploi, ce qui n'est pas négligeable en soi. Toutefois, cette pratique reste loin derrière les sites d'emploi ou jobboards (97%), les candidatures spontanées (77%), le Pôle emploi (66%), et le réseau personnel (44%). En outre, les utilisateurs de sites communautaires sont beaucoup plus actifs que les autres pour décrocher un job (utilisation de 4,8 outils contre 3,3). Plus de la moitié des personnes interrogées estiment également que les réseaux sociaux vont gagner en importance dans le futur (57%), celles qui les utilisent déjà restant les plus convaincues (78%). Les hommes (40%) sont, en outre, plus nombreux que les femmes (33%) à s'appuyer sur ce type d'outils. Ceux-ci semblent également être un bon moyen de se placer en veille active de recherche d'emploi, puisqu'ils sont surtout utilisés par des personnes en poste. S'agissant de l'âge, il semblerait que les profils de 25-34 ans soient plus enclins à s'y inscrire (40%), même si la barrière de l'âge tend à diminuer. La durée des études joue également un rôle déterminant, les Bac+5 étant plus de 56% à y recourir.

Les candidats privilégient les réseaux professionnels

L'enquête montre également que la connaissance des différents réseaux sociaux par les candidats est immense : plus de 50% pour tous (Facebook, Viadéo, LinkedIn, Twitter, les blogs), jusqu'à 92% pour Facebook. Pour l'utilisation, on reste pour le moment cantonné aux plus simples et à ceux dont la portée professionnelle est la plus évidente. Les réseaux pros sont donc en tête, avec  89% de ceux qui utilisent ces outils dans leur recherche d'emploi inscrits sur Viadéo, 51% sur LinkedIn. A l'opposé Twitter et les blogs séduisent moins, avec seulement 15% et 14% d'utilisateurs respectifs. Quant à Facebook, si 92% des personnes interrogées connaissent le service, peu de personnes l'utilisent professionnellement (6% seulement du panel). Ils sont également peu à le considérer comme pertinent (7% du panel, 8% des utilisateurs). Par ailleurs,  seuls, 5% des répondants ont été contactés par ce biais.

Les sites d'emploi majoritairement utilisés par les recruteurs

Et du côté des recruteurs ? Là encore, les jobboards dominent largement (88%) devant les candidatures spontanées (80%). Les réseaux sociaux se placent bien, mieux même que chez les candidats, puisqu'ils rassemblent 47% d'utilisateurs. Niveau importance, les résultats sont plus nuancés. Alors que les sites d'emploi sont jugés importants pour 77% des sondés, les réseaux sociaux ne seraient considérés utiles qu'à hauteur de 19%. Ils restent donc loin des sites RH d'entreprise (50%) et des candidatures spontanées (42%). L'utilisation de ce type de support devrait cependant s'améliorer dans le futur, avec un bond à 44% à  cette question. Reste que les réseaux sociaux ne sont pas prêts de détrôner les autres outils de recrutement, puisque les jobboards voient leur importance bondir à 87% et les sites RH à 66%. Globalement, seules la presse et le Pôle emploi voient leur importance diminuer à l'avenir.

L'âge est une variable plus importante chez les recruteurs que chez les candidats. 63% des 25-34 ans ont recours aux réseaux sociaux pour recruter, alors que la part baisse à 27% chez les 45-54 ans. Les hommes (49%) sont toujours plus utilisateurs que les femmes (44%). Les petites entreprises de 1 à 49 employés (67%) sont fortement représentées. Les dirigeants d'entreprise (67%) également. Enfin, les recruteurs connaissent bien les réseaux sociaux, même mieux que les candidats. Facebook et Viadéo sont les plus connus (97% d'utilisateurs), suivis par Twitter et LinkedIn (80% des personnes interrogées). Encore une fois, ce sont les réseaux professionnels qui tirent le mieux leur épingle du jeu (53% d'utilisateurs sur Viadéo, 28% sur LinkedIn).

Crédit photo:D.R

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