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(12/10/2010 14:55:39)

VMworld 2010 : La virtualisation en route pour les clouds

Pour Paul Maritz, CEO de VMware « nous avons atteint en 2009, un point de retournement où les machines virtuelles sont devenues plus nombreuses que les serveurs physiques (plus de 10 millions en 2009) » et d'ajouter « cela change la façon de concevoir l'IT sur l'ensemble de ces briques, datacenters, plate-forme applicative et portabilité sur les différents terminaux ». Lors de cette édition européenne, l'accent a été mis sur la virtualisation du datacenter et l'accompagnement des entreprises vers les différents types de cloud. Le CTO de VMware, Steve Herrod a résumé la situation en voulant « dompter le géant virtuel ».

Au niveau de l'infrastructure, le spécialiste de la virtualisation monte en puissance, que ce soit Vsphere, dont la plus récente version 4.1 autorise un plus grande nombre de déploiement de VM par cluster, ou Vcenter qui gère lui l'automatisation de cet environnement. On notera aussi que cette virtualisation doit profiter à tous, y compris aux PME, VSphere Essential est disponible au prix de 402 euros soit 13,50 euros par VM. Toujours sur le datacenter, Steve Herrod est revenu sur vCloud Director plus connu sous le nom de projet Redwood, un outil de gestion des clouds privés. Lors de la conférence inaugurale, il a annoncé la disponibilité d'un outil complémentaire vCloud Request Manager. Ce dernier affine les contrôles inclus dans vCloud Director et assure le lien entre le cloud privé et public. Ainsi, il pourra par exemple gérer l'attribution de licences des applications dans les clouds. Le monitoring des applications se fera par Alive VM, un logiciel issu de l'acquisition de la société Integrieren, le 31 août dernier.

Classes de services et sécurité

A l'intérieur du datacenter, VMware veut organiser la virtualisation en intégrant des classes de services. Il distingue ainsi certains blocs de machines virtuelles ou de pool de ressources virtualisées, auxquels on attribue un niveau : or, argent, bronze. L'administrateur peut ainsi cloisonner ou prioriser les ressources. C'est aussi une réponse à la question de la sécurité. Pour Paul Maritz, « c'est un élément essentiel pour que le voyage vers le cloud se déroule bien, la sécurité doit être intégrée de plus en plus au niveau de l'infrastructure ». Les outils comme Vshield et les différents partenariats passés répondent à cette problématique.

Sur la partie services et développement, VMware se repose sur VFabric, sa plateforme applicative cloud. Elle comprend la gestion d'applications, des données, la messagerie, l'attribution dynamique des montées en charge, les serveurs applicatifs. Part ailleurs, il intègre de multiples langages, Java, Ruby on Rails, PHP.

La dernière strate a bénéficié des attentions de VMware est celle du poste de travail et plus particulièrement des terminaux. VMware view 4.5 a déjà été présenté lors de la conférence américaine, mais Paul Maritz a parlé du projet Horizon, qui unifie l'ensemble des applications avec une même signature, un seul mot de passe, une seule authentification que l'on lance salesforce.com ou des Google Apps.

Le voyage vers le cloud entamé par EMC poursuit donc sa route avec VMware qui balise pas à pas la stratégie de médiation entre les différents clouds, publics, privés et hybrides.

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(12/10/2010 11:11:57)

Tata Communications dévoile son offre cloud

Le service InstaCompute, lancé jeudi, par Tata Communications bénéficie des investissements de l'opérateur dans les infrastructures mondiales de télécommunications, de services managés et les datacenters, a déclaré Vinod Kumar, président et COO de Tata Communications lors d'une conférence de presse à Mumbai. La société dispose d'un réseau IP mondial qui s'étend sur six continents avec 150 noeuds et couvre les marchés développés et émergents, souligne-t-il. Il a également investi 20 milliards de roupies indiennes (451 millions de dollars) dans les datacenters en Inde et à l'étranger.

Les services d'infrastructure qui seront offerts comprennent de la puissance de calcul, du transfert de données et des services de stockage. L'entreprise a déjà exécuté des tests bêta avec sept clients en Inde, en Afrique du Sud et Singapour. Le modèle de tarification pay-as -you-use va libérer des capitaux que les entreprises pourront investir dans des domaines clés de leur entreprise, explique Vinod Kumar.

Une offre multi-cloud


L'entreprise démarre avec un modèle de cloud public et prévoit d'élargir son offre au 1er trimestre 2011 pour y inclure des clouds privés, a déclaré David Wirt, responsable mondial des services managés chez Tata Communications. La société étudie également l'opportunité d'offrir un cloud hybride et communautaire, a ajouté le responsable. Le cloud public actuel peut s'apparenter à un cloud privé pour les clients qui utilisent le réseau Multiprotocol Label Switching (MPLS) souligne-t-il. Les applications des clients qui fonctionnent sur leur propre infrastructure peuvent être déplacées vers le cloud si elles reposent sur des standards et des systèmes d'exploitation tels que Windows et Linux.

Le service sera proposé d'abord en Inde et à Singapour cette année. Des services similaires seront lancés aux États-Unis et en Europe, puis probablement en Afrique du Sud en 2011.

En complément, l'opérateur indien s'appuie aussi sur le partenariat avec Google pour intégrer les Google Apps dans son offre, InstaOffice, comprenant le partage de document, le chat, la messagerie en ligne. Sur le plan de la distribution, outre les ventes en ligne grâce à un site web dédié, Tata Communications travaillera avec des différents partenaires, mais envisage également de vendre en direct, précise Vinod Kumar.

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(07/10/2010 12:50:34)

Synergy 2010 : Le client Citrix pour iPad prochainement mis à jour

Receiver permet d'exécuter virtuellement les systèmes Windows et ses applications sur toute une série de dispositifs, y compris sur l'iPad pour lequel une première version du client est déjà disponible depuis avril dernier. Selon Citrix, la souris tactile a été ajoutée pour rendre l'expérience utilisateur plus fidèle à Windows. Citrix a également montré comment son futur logiciel client tirait parti du multitâche, démarrant avec une application, réalisant une autre tâche, revenant sur le bureau et finalement recommençant à travailler avec l'application.

En reliant l'iPad à un projecteur et à un clavier externe, Citrix a réussi à transformer la tablette en outil desktop professionnel à part entière. Dans cette configuration, l'iPad devient lui-même une sorte de grosse souris tactile. Citrix a également rendu plus facile l'ajout d'applications dans Windows via son client.

D'autres tablettes bientôt supportées

L'éditeur est assurément un grand fan de l'iPad et de sa capacité à élargir l'utilisation qui est faite de ses produits, mais sa stratégie vise d'abord à rendre son Receiver disponible sur le plus grand nombre de dispositifs possibles.  L'entreprise a d'ailleurs annoncé qu'elle collaborait déjà avec Samsung pour mettre au point une version de Receiver destinée à la tablette Galaxy Tab.

Citrix, qui propose par ailleurs une application iPad pour son service de conférence en ligne GoToMeeting, a annoncé que la version desktop de son application supporterait la vidéo mais n'a pas décidé si une future version de l'application pour iPad sera en mesure de la gérer. Mark Templeton a également signalé que Citrix travaillait à une application GoToMeeting pour iPhone, sans préciser de date de livraison pour celle-ci.

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(29/09/2010 11:40:04)

La Fondation Codeplex se rebaptise Outercurve

Créée à l'automne 2009 à partir du portail communautaire de Microsoft, la Fondation Codeplex cherche à prendre quelques distances avec son géniteur. Elle vient de changer officiellement de nom pour devenir la Fondation Outercurve. Paula Hunter, sa directrice exécutive, espère que cette modification dissipe un peu la confusion qui s'opère entre son organisation et Codeplex.com, le site de Microsoft hébergeant les projets Open Source de l'éditeur de Windows. « Nombreux sont ceux qui ont associé les activités de ce site aux nôtres et vice-versa », a-t-elle admis.

La Fondation CodePlex avait été constituée comme un relais entre les communautés Open Source et commerciales. Depuis, l'organisation à but non lucratif a cherché à s'écarter de l'influence de Microsoft en se mettant en quête de financement externe et en insistant sur sa neutralité vis-à-vis de la plateforme.

Paula Hunter rappelle que l'objectif de la Fondation consiste à favoriser la collaboration entre développeurs sur les projets Open Source, que ces développeurs soient des familiers du libre, qu'ils évoluent dans le monde des logiciels commerciaux ou, encore, au sein des entreprises. « Nous nous occupons de l'administration IT et de la supervision et les développeurs se concentrent sur le code associé au projet », explique-t-elle.

Une fondation toujours présidée par Sam Ramji

Toutefois, les racines même de l'organisation, tout autant que l'intérêt de Microsoft pour l'Open Source, ont toujours constitué un sujet de controverse. On a notamment reproché à la Fondation son conseil d'administration, jugé trop proche de Microsoft. Il est notamment présidé par Sam Ramji, désormais vice-président de la start-up Sonoa, mais qui fut jusqu'en novembre 2009 le patron Open Source de Microsoft. En mai, la Fondation a recruté Stephen Walli au poste de directeur technique, encore une fois un ancien collaborateur de l'éditeur.

Pour l'instant, CodePlex gère sept projets Open Source, parmi lesquels Ajax Control Toolkit, CoApp, ou encore Orchad, destiné à fournir des composants réutilisables pour la plateforme ASP.net. D'autres doivent être prochainement annoncés, a indiqué Paula Hunter.

Pour créer son nouveau nom, l'organisation a consulté la société bostonienne Protobrand, spécialiste des marques. La directrice exécutive de la Fondation Outercurve reconnaît que ce fut une tâche difficile. « Trouver une dénomination est devenu délicat ces temps-ci, souligne-t-elle. Il faut non seulement que le nom choisi n'ait pas été déjà déposé comme marque ou protégé par copyright, mais aussi que l'adresse web soit encore disponible. Outercurve convenait dans les trois cas et il sonnait bien.

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(24/09/2010 11:24:17)

Citrix renforce son équipe en France

Directeur Général de Citrix France depuis mars dernier, Eric Lecoq hérite d'une dynamique enviable : l'éditeur a enregistré une croissance de son chiffre d'affaires de 35% au second trimestre 2010 et son objectif pour les trimestres à venir est de progresser systématiquement plus vite que le marché global de la virtualisation. De fait, Citrix doit embaucher, notamment dans l'Hexagone. L'équipe commerciale devra compter plus de 60 personnes d'ici la fin de l'année, contre 50 aujourd'hui. « Cela ne change rien à notre modèle de distribution, qui reste 100% indirect, affirme Eric Lecoq. L'objectif est plutôt d'apporter de nouvelles ressources à nos 180 partenaires certifiés. »

De fait, Citrix ne souhaite pas recruter davantage de partenaires, mais renforcer ses liens avec ses relais existants. « En France, nous travaillons avec toutes les entreprises du CAC 40 et, au niveau mondial, 1 613 sociétés du Global 2000 sont clientes de Citrix, précise Eric Lecoq. Le premier enjeu est donc de renforcer notre présence dans les moyennes entreprises. »

Une direction renouvelée

Arrivé chez Citrix au printemps, Eric Lecoq a travaillé dans l'édition logicielle depuis 20 ans, notamment chez Oracle ou BMC Software. Pour autant, les trois directeurs commerciaux qu'il vient de nommer sont issus des rangs de Citrix. Franck Risbec, ancien de RISC Technologies et de HP, était auparavant responsable des grossistes chez Citrix France : il devient Directeur Channel. Patrick Rohrbasser, jusqu'à présent en charge des régions, est promu Directeur Grands Comptes (le CAC 40 et les grandes administrations). Enfin, Karim Djamaï est nommé Directeur Mid-Market : il a notamment été responsable des alliances et du secteur Ile-de-France.

« La dynamique de ce marché est forte et nous devons être en mesure de renforcer nos parts de marché. Cela passe par des recrutements en interne, par un plus grand support de nos partenaires et par de nouveaux accords technologiques, tel que celui que nous passons avec Cisco, dont l'offre sera « Citrix ready », conclut Eric Lecoq.

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(23/09/2010 16:13:52)

Microsoft instille du calcul partagé dans Windows HPC Server 2008 R2

La dernière version de HPC (High Performance Computing) Server peut être gérée avec des outils Windows, et « s'inscrit dans la tendance qui vise à faire sortir le HPC de son statut d'infrastructures spécialisées pour les intégrer à l'ensemble du processus informatique de l'entreprise » a déclaré Kyril Faenov, directeur général du HPC Group chez Microsoft.  La mise à jour proposée peut prendre en charge des cycles de calcul sur des systèmes existants dans l'entreprise. « Le prochain Service Pack 1 mettant à jour HPC Server permettra également de l'associer à des cloud publics » a indiqué Microsoft. C'est l'administrateur système qui définit les paramètres indiquant quels cycles de calcul utiliser et décide si le processus s'effectue en arrière-plan ou s'arrête quand l'utilisateur tape sur son clavier. Les fonctionnalités sont similaires à celles du système Search for Extraterrestrial Intelligence, ou SETI@Home, qui sait utiliser la puissance de plusieurs millions d'ordinateurs là où elle est disponible pour effectuer ses calculs. Selon Kyril Faenov, le fait d'ouvrir cette possibilité à un produit basé sur Windows étendra le nombre d'utilisateur à cette technologie de puissance de calcul partagé. L'éditeur qui vise actuellement à étendre en priorité sa solution sur des clusters HPC de petites et moyennes entreprises pense que les entreprises et les gouvernements pourraient « devenir dépendants de ces systèmes de simulation et d'analyse à grande échelle ». Mais, même si HPC Server 2008 R2 est compatible avec des milliers de processeurs, Linux reste de loin le système d'exploitation dominant sur les ordinateurs très haut de gamme puisqu'il fait tourner 91% du Top 500 des super ordinateurs, laissant à peine 1% de part à Windows.

Intégrer le double boot


Selon Addison Snell, analyste chez Intersect360 Research, « la version mise à jour de HPC Server place Microsoft dans la bonne direction sur le marché du calcul haute performance. » Aujourd'hui, le constructeur Cray a déclaré que Windows HPC Server 2008 R2 serait disponible sur son supercalculateur Cray CX1 qui supporte à la fois les systèmes d'exploitation Linux et Windows. Le Cray CX1, qui coûte entre 25 000 et 100 000 dollars et accepte des processeurs pouvant accueillir jusqu'à 96 coeurs. La vitesse de calcul dépend de la configuration des processeurs et selon qu'ils utilisent ou non tous les accélérateurs GPU. « S'il utilisait des puces Intel, alors sa capacité de traitement serait probablement de l'ordre de 5 Tflops, » a déclaré Barry Bolding, vice-président de la division produit de Cray. Cette société a ajouté une capacité de double boot sur ces systèmes, car Barry Bolding indique que Microsoft a apporté à son logiciel des fonctionnalités qui rendent plus facile l'exécution de deux systèmes d'exploitation sur le même cluster. SGI, le concurrent de Cray, a également annoncé que son supercalculateur personnel Octane III ferait tourner Windows HPC Server 2008 R2.

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(20/09/2010 15:29:53)

Avec le rachat de Suse, VMware pourrait mettre un terme à sa croisade anti-OS

VMware qui a bâti sa renommée en industrialisant la virtualisation des serveurs basés sur Unix et Windows expliquait jusqu'à présent que la virtualisation était là pour prendre en charge la gestion du matériel et des systèmes d'exploitation. Et pour accompagner les besoins de ses clients, l'éditeur de Palo Alto prépare également une offre de cloud computing visant à réduire l'apport de Windows sur les PC de bureau.

Mais avec le rachat de l'activité Suse Linux de Novell
, VMware deviendrait à son tour un fournisseur de système d'exploitation - comme Oracle avec Solaris depuis le rachat de Sun -  et serait donc bien obligé de reconnaître l'importance des dits OS. Les analystes estiment que la tentative de reprise de Suse Linux a du sens et aidera VMware rivaliser avec Microsoft, son principal rival, et Red Hat. Ces derniers expliquent que VMware ne peut pas offrir de plate-forme cloud computing complète parce qu'il lui manque certaines briques dont le système d'exploitation. Et si l'OS de Microsoft conserve son actuelle position dominante, VMware ne sera pas en mesure de rivaliser avec l'éditeur de Redmond sur le long terme, avance Chris Wolf analyste au Burton Group. « Microsoft a toujours été en mesure de suivre de près le lien entre les infrastructures, son système d'exploitation et les applications », explique Chris Wolf. «Avec le temps, il est clair que les logiciels de Microsoft fonctionneront de mieux en mieux sur Hyper-V » [ que sur VMware, NDLR].

De la nécessité d'un OS


Alors que Microsoft offre gratuitement Hyper-V 2, son hyperviseur de type 1 pour serveur, en tant que complément de Windows Server 2008 r2, VMware pourrait également fournir un système d'exploitation Linux comme un add-on de sa plate-forme de virtualisation. Une sorte de miroir à la stratégie de Microsoft. En fait, VMware le fait déjà à travers un accord OEM avec Novell pour la distribution et le support de Suse Linux. Prendre Suse Linux sous son aile - par le biais d'une acquisition - est «la meilleure chance [de VMware a] au cours des 15 prochaines années pour rester dans le coup», souligne Chris Wolf, qui a également écrit sur son blog que l'éditeur a besoin de son propre système d'exploitation. VMware continue de soutenir que le système d'exploitation perdra de sa pertinence dans le futur, mais l'achat de Suse Linux serait bien l'aveu que « cette pertinence est encore d'actualité, conclut-il. Charles King, analyste chez Pund-IT, livre des remarques similaires dans une interview accordée vendredi dernier à nos confrères de ComputerWorld. L'analyste explique que le PDG de VMware, Paul Maritz, semble croire que « la fin du système d'exploitation est proche », mais un changement si majeur prendra des années voire des décennies, si cela arrive vraiment poursuit Charles King. "Il y a tout simplement beaucoup trop d'infrastructures et d'investissements réalisés pour que les entreprises abandonnent purement et simplement le coeur de leur architecture informatique utilisé depuis des décennies", explique Charles King.

Même si Paul Maritz est dans le vrai quand il prédit que les systèmes d'exploitation continueront à perdre de leur importance au cours des années à venir, il doit encore répondre aux besoins actuels des clients. Avec un système d'exploitation solide, VMware "serait en passe de posséder toutes les piles", poursuit l'analyste, qui croit que VMware devrait également acheter Novell Cloud Manager, qui prend en charge les hyperviseurs de plusieurs fournisseurs.

Quid des partenariats ?


Le dilemme qui pourrait être soulevé par un accord Novell/VMware pourrait être le sort réservé au partenariat de Microsoft avec Novell, qui garantit l'interopérabilité entre Windows et Suse Linux. "Si quelqu'un sera très contrarié si Suse va chez VMware, Microsoft figure tout en haut de la liste, " pointe l'analyste de Pund-IT. Le deuxième sur cette liste pourrait être Red Hat, qui ne serait plus en mesure de faire valoir que VMware a une offre bancale faute de système d'exploitation. Ainsi doté, VMware serait également capable de prendre plus de parts du marché Linux à Red Hat que Novell. Au dernier trimestre, le chiffre d'affaires de VMware était ainsi trois fois supérieur à celui de Novell.

Bien que l'acquisition d'un système d'exploitation robuste permettra à VMware de consolider sa pile solutions, certains problèmes demeurent. Windows est toujours beaucoup plus utilisé que la distribution Linux de Novell et le framework .NET plus répandu que la plate-forme de développement Java SpringSource de VMware. Avec cette dernière acquisition (voir lien), l'éditeur de Palo Alto entendait bien rivaliser avec la solution de Microsoft, mais la solution .NET est devenue énorme » souligne Chris Wolf. « Un gigantesque écosystème dédié au développement s'est développé autour de lui. »

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