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Windows
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(29/10/2010 15:44:58)
Trimestriels Microsoft : Des ventes solides sur les fondamentaux
Les ventes robustes de Windows 7, Office 2010 et des consoles Xbox 360 ont propulsé le bénéfice net de Microsoft à 5,41 milliards de dollars pour son premier trimestre fiscal de 2011, soit une augmentation de 51% par rapport à la même période un an auparavant. La société a également signalé une progression de 25% du chiffre d'affaires pour ce trimestre, à 16,20 milliards de dollars. Ce chiffre dépasse ce que de nombreux analystes avaient prévu: en s'attendant à des revenus de 15,80 milliards de dollars.
Globalement, les ventes de la suite Office ont augmenté de 15% , grâce à la version 2010 dévoilée en juin dernier. La console Xbox 360 voit ses ventes progresser de 38% et la société note également que le cycle de mise à jour des PC vers Windows 7 continue à soutenir la commercialisation de ce dernier. « Nous constatons une amélioration de la demande des entreprises reflétant leur intérêt sur Windows 7, Office 2010, et nos produits serveur et base de données", a déclaré Kevin Turner, du DG de Microsoft, dans un communiqué.
Cloud et tablette
La bonne performance de ce trimestre est en contraste avec la méfiance accrue des investisseurs qui critique la stratégie de Microsoft de ne pas s'impliquer dans les technologies en dehors des ordinateurs personnels, comme les smartphones et les tablettes. Lors de la conférence Professional Developers cette semaine à Seattle, Steve Ballmer a exprimé son enthousiasme pour le les efforts menés autour des smartphones. Peter Klein, le directeur financier de la firme de Redmond, croit beaucoup dans les services de cloud computing comme une source importante de croissance, citant un récent contrat gagné avec l'Etat de New York. « Ces victoires dans le cloud nous ouvrent de grands potentiels économiques. Dans de nombreux cas, il s'agit de nouveaux clients », a déclaré Peter Klein. Il a également noté que les réservations pour Azure ont augmenté de 40 % rapport au trimestre précédent.
L'intégration de windows pour les tablettes peut se révéler un autre domaine de croissance pour l'entreprise. «Nous sommes convaincus que ces terminaux élargiront le marché des PC et nous sommes enthousiastes quant à notre possibilité de mettre notre OS sur des facteurs de formes supplémentaire » précise le responsable financier. Par contre, il ne pense pas que les ventes de tablettes cannibaliseront celles de PC. Il prévoit aussi que le marché entreprise continuera à être un moteur pour le reste de l'exercice fiscal. « Nous nous attendons à ce que les achats de PC et de serveurs de rester une grande priorité pour la plupart des entreprises » conclut-il.
PDC 2010 : Windows Azure ressemble un peu plus à Amazon EC2
C'est une avancée notable que Microsoft propose sur sa plateforme de cloud Windows Azure en permettant d'y installer des machines virtuelles Windows Server. Cela rend théoriquement possible le portage vers cet environnement d'applications exploitées en interne et sur d'autres datacenters. Microsoft élargit donc sa palette de services dans le cloud face à un concurrent tel qu'Amazon qui propose depuis l'origine des services d'infrastructure avec sa plateforme EC2 (Elastic Compute Cloud).
Steve Ballmer (photo ci-dessus), PDG de l'éditeur, vient d'en faire l'annonce sur sa conférence développeurs PDC qui a démarré hier sur le campus de Redmond, où se trouve le siège social du groupe américain. Parmi les fonctions ainsi apportées figurent Azure Virtual Machine Role et Server Application Virtualization. Le premier outil permet de faire tourner une machine virtuelle de Windows Server 2008 R2 sur Azure et de faciliter ainsi aux développeurs les processus de migration vers le cloud. Une version bêta publique du produit sera disponible d'ici la fin de l'année. L'autre solution servira à transférer des images d'application vers Azure et à faciliter la migration sans exiger de réécriture ni les associer à une machine virtuelle. On peut créer une image virtuelle d'un serveur physique et la transférer sur Windows Azure, explique Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France. Cette possibilité est pour l'instant limitée à Windows Server 2008 R2, mais il n'est pas exclu que d'autres versions de Windows soient ensuite supportées, en remontant jusqu'à Windows Server 2003. En revanche, il n'est pas envisagé de supporter d'autres systèmes d'exploitation tel qu'Amazon le fait sur EC2 avec Linux et Solaris.
A partir de 0,05 dollar de l'heure
Une fois que l'application est déployée sur Azure, les clients disposent automatiquement des capacités d'administration de la plateforme de cloud, ce qui inclut la configuration automatique et la gestion de l'OS utilisé. Server Application Virtualization pour Azure sera livré sous la forme d'une version CTP (community technology preview) avant fin 2010 et la version finale arrivera au deuxième semestre 2011.
Avec la prochaine version de System Center, qui devrait sortir avant fin 2011, on pourra administrer de façon centralisée les machines virtuelles sur des serveurs locaux et celles fonctionnant sur Azure.
Les développeurs peuvent désormais choisir entre cinq tailles d'instances de machine virtuelle pour faire tourner leur application en fonction des ressources requises. Microsoft vient en effet d'ajouter à sa tarification l'instance Extra Small, facturée à 5 cents de dollar l'heure. A ce prix, on dispose d'un processeur à 1 GHz, de768 Mo de mémoire et de 20 Go de capacités de stockage. Un tarif attractif pour ceux qui veulent pouvoir tester de petites applications dans le cloud. L'instance la plus robuste (Extra Large) permet de disposer de huit processeurs à 1,6 GHz, de 14 Go de mémoire, de 2 Go de stockage pour 0,96 dollar de l'heure. Les performances d'entrée/sortie diffèrent sensiblement : faible pour l'offre Extra Small, élevée pour l'Extra Large.
De son côté, Amazon va proposer un accès gratuit à EC2 à partir de la semaine prochaine.
Microsoft voit une convergence des offres cloud, Amazon non
En juin dernier, Microsoft avait promis qu'il offrirait la capacité d'exploiter des machines virtuelles, proposant ainsi des services se rapprochant de ceux d'Amazon, ce dernier permettant d'exploiter sur EC2 différentes machines virtuelles sous Windows et Linux.
Sur le marché du cloud computing, on distingue actuellement, d'une part, les fournisseurs de services d'infrastructure (IaaS) comme Amazon qui propose avec EC2 un accès « brut » aux instances de machines virtuelles. On trouve d'autre part des plateformes comme Azure qui offrent des outils aux développeurs mais donnent un accès moindre à l'infrastructure sous-jacente. Selon Microsoft, ces deux types d'environnement vont commencer à se ressembler et l'annonce de machines virtuelles Windows Server sur Azure est l'une des étapes qui y conduit. Pourtant, Amazon a prévenu qu'il ne prévoyait pas d'évoluer vers les environnements PaaS, en avançant comme raison le fait que ses clients lui ont clairement indiqué qu'ils voulaient continuer à bâtir leurs applications sans se voir imposer de modèle de programmation, de langage ou de systèmes d'exploitation, quels qu'ils soient.
Microsoft a également lancé AppFabric Composition Model pour Azure, un jeu d'extensions au framework .Net pour écrire des applications qui puissent être exploitées de façon cohérente entre l'environnement Azure et les plateformes Windows Server.
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Sur sa conférence PDC, l'éditeur a par ailleurs annoncé l'ouverture de la place de marché Windows Azure DataMarket (ancien projet Dallas) qui propose, sous forme de services, l'accès à des contenus et à des données. Les développeurs pourront se servir des interfaces de programmation (API) OData exposées par DataMarket pour exploiter dans des applications les données mises à disposition sur la place de marché.
La place de marché DataMarket
Dans les entreprises, les utilisateurs intervenant sur des applications décisionnelles pourront combiner l'exploitation d'Excel et d'un outil comme PowerPivot avec l'accès à DataMarket et associer les données de l'entreprise avec des bases de données statistiques (professionnelles, industrielles, démographiques, etc.).
Illustration d'ouverture : Steve Ballmer, PDG de Microsoft, le 28 octobre à l'ouverture de la conférence développeurs PDC, sur le campus de Redmond (crédit photo : vidéo Microsoft)
La migration vers Windows 7 gourmande en ressources, mais nécessaire
Quelques 1 360 responsables informatiques ont été interrogés pour une étude, commandée par la firme de sécurité Symantec. Le rapport publié par l'éditeur montre que près d'un quart des entreprises (23%) dans le monde sont passés à Windows 7 depuis Windows Vista, trois ans seulement après le lancement de ce dernier. Symantec a constaté que la planification et le processus de migration implique activement la moitié de tous le personnel. Dans une autre étude, le Gartner a constaté que les entreprises consacrent de 12 à 18 mois sur le seul processus de planification. L'enquête de Symantec a également montré que la migration a pris plus longtemps que prévu, en raison d'une incompatibilité de certaines applications (citée par 52 %).
La même étude constate que les responsables informatiques sont contents de l'ensemble des avantages tirés de cette évolution. Interrogés sur les facteurs qui avaient été " quelque peu ou beaucoup améliorés " depuis la migration, la performance arrive en tête à 79%, suivi d'une expérience utilisateur final et de la sécurité (76% pour chaque). Les autres facteurs positifs sont la fiabilité (74%), la facilité d'utilisation (69%) et de la gestion (66%).
D'autres conclusions du rapport de migration vers Windows 7:
- La préparation : les sondés ont expliqué que leurs équipes informatiques ont dépensé en moyenne dix heures pour préparer la mise à jour - y compris la planification, la formation et des pilotes.
- Le processus de migration : la durée moyenne du temps consacrée à la migration de chaque machine existante disposant d'un ancien OS est de 5 h, mais elle est réduite à 4 h dans le cadre du déploiement d'un nouveau PC.
- L'automatisation : des commentaires des répondants ont indiqué que si une organisation avait au moins dix ordinateurs, cela valait la peine d'automatiser le processus de migration.
- Rajeunir à l'ensemble du parc : de nombreuses sociétés ont déclaré avoir utilisé leur mise à niveau vers Windows 7 comme une occasion pour mettre en oeuvre certains standards. Déployer une interface de bureau virtuelle et des mesures de sécurité supplémentaires. Afin de gérer les applications qui incompatibles avec Seven, 71% des répondants les ont tout simplement remplacé.
- Résultat : dans l'ensemble, 78% des équipes informatiques ont déclaré que le processus de migration s'était passé «en douceur», et 63% qu'il était plus facile que leur dernière mise à jour d'OS. Sur les 62% des sociétés qui s'étaient fixés des objectifs de ROI (retour sur investissement), 90% les ont atteint.
" Pour de nombreux responsables IT, la migration vers Windows 7 est le projet le plus important de l'année 2010 ", a déclaré Christine Ewing, directrice marketing produit chez Symantec. " Notre enquête démontre que, tandis que si certaines sociétés ont pris du retard en raison d'incompatibilité applicative et/ou des contraintes budgétaires, la plupart des compagnies interrogées ont atteint leurs objectifs lors de cette transition, à savoir une plus grande fiabilité, des performances améliorées et une meilleure expérience pour l'utilisateur final" conclut la responsable. (...)
Hyper-V de Microsoft accompagne le développement d'OpenStack
« Cette association répond à la fois à la transformation de la plate-forme Hyper-V vers la prise en charge des environnements Open Source, mais aussi aux évolutions des clouds » souligne Alfonso Castro, directeur de la nouvelle stratégie Interopérabilité de Microsoft France. Concrètement, l'éditeur fournira des conseils techniques et d'architecture à Cloud.com. De son côté, Cloud.com développera le code supportant OpenStack sur Windows Server 2008 R2 Hyper-V. Le code du projet sera finalement enregistré dans l'annuaire de code public http://openstack.org. Pour autant précise Alfonso Castro, « il s'agit d'un transfert de technologie, nous mettons à disposition des ressources humaines et techniques, mais en aucun cas nous ne délivrons le code source de notre produit ».
Sur le plan des hyperviseurs, OpenStack est déjà compatible avec Xen, KVM et QEMU.
OpenStack a annoncé la semaine dernière les premiers éléments de ses travaux qui prendront leur essor en 2011. Ce projet est soutenu par de nombreux industriels, dont la NASA qui apporte son savoir-faire sur plusieurs briques technologiques. Cette dernière a rappelé d'ailleurs récemment que son objectif était d'améliorer la conquête spatiale et non devenir un fournisseur de cloud.
Avec le SP1, Microsoft dope la virtualisation sur Windows Server 2008 R2
Si pour l'instant, la version livrée n'est qu'une « release candidate », c'est à dire une version post-bêta du Service Pack 1 pour Windows Server 2008 R2, Microsoft annonce plusieurs améliorations significatives notamment dans le domaine de la virtualisation. Pas encore prêt pour la production, ce SP1 qui contient également une compilation des mises à jour de sécurité proposée par Microsoft, peut également être appliqué à Windows 7.
En ce qui concerne Windows Server, le Service Pack 1 apporte un certain nombre de fonctionnalités, grâce notamment à de nouvelles technologies visant à aider les entreprises à améliorer la virtualisation de leurs serveurs et de leurs postes de travail. La virtualisation permet aux administrateurs d'exécuter plusieurs serveurs virtuels sur un seul serveur physique, et de faire tourner le système d'exploitation d'un ordinateur de bureau sans avoir besoin de laisser l'OS sur la machine locale.
Côté client, le Service Pack s'enrichit de RemoteFX, un protocole de bureau à distance élaboré par Microsoft. Construit autour de l'hyperviseur bare-metal Hyper-V de Microsoft, RemoteFX peut être utilisé comme serveur d'applications graphiques intensives et pour fournir un support USB aux clients mobiles ou aux ordinateurs de bureau.
Une meilleure gestion de la mémoire
Côté serveur, ce SP1 inclut un gestionnaire de mémoire baptisé Dynamic Memory qui devrait permettre aux serveurs de gérer plus efficacement la manière dont la mémoire est allouée aux machines virtuelles qu'ils font tourner. « Avec la mémoire dynamique, les administrateurs sont en mesure de concentrer la mémoire disponible sur un hôte physique et ensuite de la répartir de manière dynamique vers les machines virtuelles en fonction des besoins en charge de travail, » peut-on lire sur la page web de Microsoft sur laquelle il est possible de télécharger le Service Pack.
En plus de ces apports orientés virtualisation, la version « candidate » inclut également un certain nombre de goodies pour Windows Server, selon les éléments décrits dans le livre blanc mis en ligne sur le site de Microsoft. Par exemple, une version 2.0 de PowerShell est fournie pour améliorer la gestion à distance. Ce logiciel permet, entre autres, aux administrateurs d'exécuter des scripts simultanément sur une ou plusieurs machines. Par ailleurs, chaque domaine Active Directory dispose désormais de sa propre Corbeille, ce qui laisse à l'administrateur la possibilité de restaurer un objet supprimé accidentellement. Le logiciel inclut également des outils pour gérer la puissance de manière à réduire la consommation électrique des disques durs et des SSD.
Microsoft a promis que la version finale du SP 1 (32 et 64 bits), bonne pour la production, serait livrée au cours du premier trimestre 2011. D'une taille de 1,9 Go en image ISO, elle pourra être gravée ou déployée via le réseau. L'exécutable affiche une taille de 515 Mo pour la version 32 bits et de 865 Mo pour la 64 bits. Dans ses notes explicatives sur l'usage de ce Service Pack, Microsoft explique que tous ceux qui ont installé la version beta du SP1 sur Windows 7 devront le désinstaller avant d'essayer le SP1 RC. Il est sera de même à la sortie de la version finale (RTM) du SP1. Le SP 1 RC devra également être désinstallé avant de passer à la version finale.
(...)(13/10/2010 11:09:20)
MED-V 2.0 en version bêta de Microsoft s'intéresse aux anciennes applications
La bêta est pour la version 2.0 de Microsoft Enterprise Desktop Virtualization (MED-V), qui améliore la version existante 1.0 en simplifiant la gestion de mot de passe, le partage de périphériques USB, et l'intégration des applications historiques compenant les dossiers et imprimantes. La version 2.0 crée aussi plus d'options pour l'exécution de vieilles applications web qui nécessitent Internet Explorer 6. « MED-V est une passerelle pour aider les entreprises à adopter une stratégie de migration, trop coûteuse aujourd'hui, pour les applications complexes qui peuvent ne pas être compatibles avec Windows 7 » souligne Karri Alexion-Tiernan, responsable de la gestion de produit chez Microsoft.
Cette solution a été testée avec la technologie de virtualisation du poste de travail, App-V, autorisant les applications virtualisées à « déployer et à gérer des espaces de travail de la version bêta 2.0 de MED-V » indique Microsoft. Ce dernier a également fait un effort particulier sur l'intégration de ce service avec System Center Configuration Manager. « Les espaces de travail de MED-V 2.0 sont déployées et gérées à l'aide du système distribution électronique de logiciels (ESD), compris au sein du System Center Configuration Manager (SCCM) 2007 R2 ou supérieur » précise Microsoft.
Une évolution encore onéreuse ?
La solution en version bêta est vendue dans le cadre de MDOP, le Microsoft Desktop Optimization Pack. Pour acquérir MDOP, les clients doivent d'abord souscrire à Software Assurance, qui coûte généralement peu près autant que d'une licence complète de Windows, doublant le coût de Windows 7. En plus de cela, les clients de Software Assurance doit payer un autre 10 $ par poste par année pour obtenir MDOP. Toutefois, la Software Assurance est livrée avec des prestations telles que la mise à jour des différents programmes et MDOP comprend également App-V ainsi que plusieurs autres outils logiciels .
Pour démontrer les capacités de MED-V, Microsoft a publié une étude de cas de clients Harbor Wholesale Grocery, un distributeur dans l'État de Washington, qui a utilisé le logiciel « pour lancer une application critique de paie sur Windows 7qui nécessite Windows XP. »
MED-V n'est pas la seule option pour les clients qui cherchent à résoudre des problèmes de compatibilité créé par la mise à niveau Windows 7. Cet OS comprend lui-même « XP Mode », permettant de lancer une instance virtuelle de XP. Des outils de virtualisation de Citrix et VMware ont été conçus pour accompagner cette migration.
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