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(17/09/2010 10:55:01)

Les solutions de virtualisation de Liquidware Labs arrivent en France

La virtualisation du poste de travail est au coeur des débats, notamment technologique avec les annonces récentes de Citrix (via XenClient, son hyperviseur de type bare-metal) ou VMware avec sa solution View. Pour autant, le marché du VDI reste balbutiant, en France notamment. C'est pour changer cet état de fait, que Liquidware Labs s'est alliée avec le grossiste Français à valeur ajoutée Amosdec pour déployer des solutions de VDI. La plupart des fondateurs de la société américaine ont eu des activités antécédentes, acquises par VMware, Vizioncore, Dunes Technologies. C'est dans cette dernière que travaillait, Sonja Pelichet, responsable de l'activité EMEA et Asie-Pacifique, qui est venue présenter les solutions de Liquidware Labs. Elles se composent de Stratusphere Fit qui réalise un inventaire physique et logiciel des postes de travail présents sur le réseau. A l'issue de cette opération, la solution est capable de déterminer quels postes sont ou non éligibles à la virtualisation et quels sont ceux sur lesquels l'étude doit être renforcée pour répondre.

Après le processus de VDI proprement dit, la seconde brique, Stratusphere (UX) mesure les performances des postes de travail au niveau physique et virtuel (temps de réponse, utilisation de la mémoire, ressources réseaux consommées...). Et si l'entreprise choisit de franchir le pas, elle peut encore s'en remettre à ProfileUnity pour assurer la migration des profils utilisateurs des postes de travail physiques vers des machines virtuelles. Durant cette phase, la solution présente en outre l'avantage d'être capable de faire migrer, par exemple, une machine physique sous Windows 2000 vers un poste de travail virtuel en Windows 7. Sonja Pelichet explique « nous sommes agnostiques en matière de virtualisation en travaillant aussi bien sur VMware, Citrix et Microsoft ».

Un marché en devenir

« Malgré les prévisions qui ont été annoncées, il s'agit encore d'un secteur en devenir si l'on s'appuie sur le nombre de licences vendues » explique Serge Aziza, le directeur général d'Amosdec. Sonja Pelichet constate elle « que de plus en plus de DSI de grandes sociétés s'interrogent sur le déploiement de VDI au sein de leur structure ». Si Liquidware Labs investit fortement dans la recherche et développement, la responsable de l'activité en Europe, indique que les roadmaps concerne aussi bien les prochaines générations de  dekstop, comme les tablettes par exemple ou les smartphones, mais elle pense aussi « à la prochaine génération de datacenter » sans apporter plus de précision.

En matière de tarif, la solution sera commercialisée par Amosdec auprès des revendeurs sous forme de packs comprenant notamment de la formation, 100 licences Stratusphere FIT (pendant 180 jours /  client final), des outils marketing, et un droit d'utilisation pour les entreprises. Le tout pour un coût de 2 995 dollars. Ce qui laisse le temps aux clients d'Amosdec d'auditer le parc informatique des entreprises et de mener à bien les opérations de virtualisation proprement dites. En revanche, s'ils souhaitent utiliser sur le long terme la console d'administration qui leur permet de contrôler l'usage des ressources par les applications et de réagir en cas de problème, ils pourront acheter des licences perpétuelles de Stratusphere UX au tarif de 39 dollars par utilisateur (+20% par an pour le support et les mises à jour).

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(16/09/2010 15:16:54)

Les équipements connectés en DLNA en pleine croissance

Les fabricants de produits électroniques pour le grand public, comme les téléphones mobiles, les lecteurs Blu-Ray, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les consoles de jeux et les PC se sont mis à intégrer cette technologie à leurs appareils. La DLNA est une norme qui a été adoptée par environ 250 marques. Cela permet aux consommateurs de partager et d'utiliser des fichiers multimédias comme des vidéos, des documents, de la musique et des photos sur les appareils autonomes compatibles avec ce standard.

Un rapport du 13 septembre du cabinet de recherches marketing In-Stat montre que les téléphones, les PC et les télés numériques constitueront 74% du marché de la DLNA. Les cadres de photos numériques constituent la catégorie qui va connaître la plus grande croissance dans le marché de la DLNA. In-Stat prévoit que plus de 33 millions de cadres numériques compatibles seront vendus en 2014 (contre moins d'un million d'unités vendues en 2009).

Un effort de médiatisation à fournir


« Intégrer la DLNA à Windows 7 va booster le marché », commente Norm Bogen, analyste chez In-Stat. « Cependant, l'adoption de l'UPnP et de la DLNA s'étend au-delà des ordinateurs personnels. Les téléphones et les télévisions numériques rejoignent les PC au rang des catégories de produits qui verront des hausses significatives de nombres de produits compatibles au cours des 5 prochaines années ». Malgré la croissance rapide du nombre de produits connectés sur le marché actuel, la plupart des consommateurs ne sait pas que cette technologie existe, et ne connaît pas ses bienfaits. Seuls 6% des consommateurs ont admis être "très ou assez au courant de la DLNA", selon In-Stat.

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(15/09/2010 17:28:28)

Nvidia lance ses dernières versions de Parallel Nsight et Cuda

Nvidia dévoilera mardi les dernières améliorations effectuées sur son Parallel Nsight, le toolkit pour créer des applications accélérées par carte graphique sous l'IDE Visual Studio de Microsoft, mais aussi sur Cuda Toolkit utilisé pour tirer massivement profit des capacités de traitement parallèle des cartes.

« Pour 6 millions de développeurs utilisant Windows et Visual Studio, cette sortie de la dernière version de Parallel Nsight offre des fonctionnalités majeures pour la création des applications accélérées et en parallèle », indique Will Ramey, chef de produit. Ces types de programmes sont très présents dans les industries du pétrole et du gaz, et aussi dans les domaines du graphisme, ajoute-t-il. « Avec ce produit, nous intégrons le débogage multi-coeurs par carte graphique dans Visual Studio 2010 », ajoute Stephen Jones, lui aussi chef de produit.

Dans la version 1.5, cette fonctionnalité autorise le développeur à déboguer sur une carte graphique tout en affichant le système via une autre, sans avoir besoin d'utiliser plusieurs machines. Cette mouture comprend aussi une capacité d'analyse du système, grâce à laquelle les utilisateurs de Visual Studio peuvent consulter les événements se déroulant sur le processeur et la carte graphique. « Cela offre le moyen au développeur de voir exactement ce qui se passe dans leur application à travers ces différentes unités de calcul, et d'optimiser les performances », explique Stephen Jones. Le débogage TCC (Tesla Compute Cluster) est par ailleurs présent dans cette version, qui supporte aussi le Cuda Toolkit 3.2.

Cette mise à niveau de Cuda comprend des bibliothèques mathématiques supplémentaires, des améliorations de performance et une gestion avancée des clusters. Ce toolkit est gratuit, et sera disponible en version quasi définitive à la mi-septembre. L'édition professionnelle de Parallel Nsight est pour sa part déjà disponible en version RTC, mais la date de sortie finale n'a pas été communiquée. Elle coûtera cependant 350 dollars. La version gratuit Standard, qui dispose de moins de fonctionnalité (pas de TCC ni de support des points d'arrêt de données), sortira le 22 septembre.


Crédit Photo : Nvidia

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(10/09/2010 11:43:25)

Microsoft s'excuse platement pour les pannes de ses plateformes BPOS

Microsoft s'est excusé auprès de ses clients professionnels de services hébergés après au moins trois pannes de ces derniers durant les deux dernières semaines. « Nous faisons tout notre possible pour fournir des services de qualité, mais ces derniers temps nous avons échoué », écrit Morgan Cole, un des directeurs au sein de la section Online Services chez Microsoft. « J'ai voulu écrire sur le blog pour m'excuser auprès de vous pour tout gène que ces problèmes ont pu occasionner ». Il fait référence à trois soucis récents qu'auraient pu avoir les utilisateurs pour accéder aux plateformes BPOS, qui incluent l'hébergement des mails, le service Sharepoint et les conférences web. La mise à jour de l'infrastructure réseau du 23 août dernier a causé « des problèmes inattendus qui ont affecté l'accès à certains services ». Pendant deux heures, les clients desservis par les installations nord-américaines de Microsoft ont pu rencontrer des difficultés pour accéder aux plateformes BPOS.

Alors que les ingénieurs s'occupaient de cette situation, ils n'ont pas pris en compte un problème sous-jacent qui a, à son tour, créé d'autres complications les 3 et 7 septembre. Ces jours là, les clients ont rencontré quelques difficultés pour se connecter et utiliser les portails administratifs. Les problèmes du 7 septembre ont impacté un plus grand nombre d'utilisateurs, mais sur une durée plus courte, précise Morgan Cole. « Nous avons conscience de notre responsabilité envers vous en tant que fournisseur de services, et que tout souci avec ceux-ci est une perturbation de l'activité de votre entreprise. Ce n'est pas acceptable ».

Des crédits offerts dans le respect du SLA

Dans un commentaire au post de Morgan Cole, sur le blog des services en ligne de Microsoft, un utilisateur s'identifiant comme Guy Gregory, technicien chez Peak Support Services, affirme que la panne de deux heures a fait chuter le temps de service pour le mois d'août à 99,7%. Or, en dessous du temps garanti par le Service Level Agreement (SLA) de 99,9%, Microsoft doit reverser des pénalités financières à ses clients. Jim Glynn, responsable de projets pour les services cloud chez l'éditeur indique, dans un autre commentaire, que les utilisateurs affectés ont reçu des crédits, et que ceux pour qui cela n'a pas été le cas devraient contacter le support. Le 2 septembre, l'entreprise a aussi eu des problèmes qui ont empêché l'accès à certaines boîtes Hotmail, mais Morgan Cole explique que ceux qui ont affecté BPOS n'ont pas impacté d'autres services.

Microsoft se positionne sur le marché comme étant mieux préparé à servir les clients professionnels que ses concurrents, dont Google notamment. Mais tout comme les utilisateurs de ce dernier, ceux de BPOS se plaignent du manque d'information durant les dysfonctionnements des services. Dans une réponse à son propre post, Morgan Cole informe que « l'une de nos priorités actuelle est de créer de meilleurs outils pour fournir des communications précises et dans les temps concernant le fonctionnement de nos plateformes ». Le flux RSS actuel de Microsoft dédié à cet état de marche est jugé trop vague et parfois un peu en retard par la clientèle, et aurait donc commencé à être amélioré par l'entreprise afin d'y ajouter plus de détails, conclut-il.

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(09/09/2010 17:42:36)

Un cloud privé clef en main cobrandé Microsoft/HP

Pour son habituelle conférence de rentrée, Microsoft a présenté un petit bilan de l'année. Eric Boustouller, président de la filiale française, a fait parler les chiffres : 175 millions  de Windows 7 ont ainsi été écoulés dans le monde et 9 millions de bêta d'Office 2010 téléchargés dont 700 000 en France. « Nous avons connu une forte croissance en 2009 et cette année s'annonce très bonne. Les investissements portent leurs fruits en France avec la création d'un centre de recherche commun avec l'Inria  (50 chercheurs privés et publics), du programme BizSpark et les partenariats pour développer le marché du cloud».

Un an après leur annonce de coopération sur le cloud computing, Microsoft et HP ont profité de cet événement pour annoncer une offre de cloud privé reposant sur les solutions des deux entreprises. À savoir l'outil de management System Center, la plate-forme Windows Server 2008 R2/Hyper-V, la messagerie Exchange, la base de donnée SQL Server 2008 R2 et bien sûr Windows Azure pour Microsoft, et les ressources matérielles BladeSystem Matrix combinant serveurs, stockage et réseau pour HP. Cette solution intégrée installée en démonstration au Microsoft Technology Center à Issy-les-Moulineaux est une première mondiale. « Deux filiales françaises ont fait preuve d'innovations pour annoncer cet accord » souligne à cette occasion Yves de Talhouët, PDG de HP France. « Avec Microsoft, nous apportons une solution de bout en bout, le cloud se joue sur l'infrastructure, mais également sur l'applicatif. Et pour faciliter l'intégration de cette solution, les curseurs de réglages sont souples. » Pour accompagner le déploiement de cette solution chez les clients la division Enterprise de HP (ex EDS) et un premier partenaire Sogeti sont sur les rangs. Ce dernier va d'ailleurs bâtir sa propre offre de cloud privé, baptisée IC2 (Innovation Cloud Center), avec cette solution.

Un cloud privé en démo chez Microsoft

La plate-forme témoin de Microsoft et HP, installé au MTC, est déjà fonctionnelle et peut accueillir les clients. «Nous souhaitons que les entreprises et les administrations puissent venir expérimenter une solution cloud réellement et immédiatement opérationnelle » précise Eric Boustouller. 200 clients sont attendus dans les 12 prochains mois au MTC. Sur la question du prix de la solution, Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations et Jérôme Tredan, directeur de la division serveurs chez Microsoft France, nous ont simplement indiqué que les clients pouvaient attendre une réduction des coûts de 20 à 30% avec cette plate-forme cloud par rapport à une installation traditionnelle non consolidée. Cinq scénarios sont aujourd'hui proposés par les deux acteurs : mise en oeuvre d'un portail de service cloud, activation depuis une console des services virtualisés, modification et allocation dynamique des ressources, transition d'un environnement existant (physique) vers un mode cloud et engagement de résultats. Il est bien sûr possible de mettre en place une grille tarifaire pour refacturer les services. Philippe Roux, responsable marketing serveurs chez HP, précise encore que le transfert d'une application existante et son stockage associé vers le HP Matrix prend une dizaine de minutes. Il s'agit là d'une intégration dans un vrai cloud privé et pas seulement un encapsulage dans un cloud. Une fois l'application transférée, il est possible d'arrêter le serveur physique et de travailler avec l'application intégrée au cloud. Cette dernière bénéficie dès lors de tous les bénéfices du cloud, à savoir l'élasticité, la sécurité avec les patchs automatiques, l'accès à toutes les ressources et enfin la redondance.

Une plate-forme fermée ?

À l'heure où les offres cloud se structurent, Microsoft et HP arrivent avec une solution prête à l'emploi quand certains comme Oracle n'ont toujours pas dévoilé leur stratégie. À la question de savoir si les clients vont choisir de s'enfermer sur une plate-forme, Jérôme Tredan répond judicieusement que tous les composants de cette solution sont modifiables et peuvent sans problème accueillir des équipements hétérogènes même si ce n'est pas la vocation première de cette offre. Comme le souligne Yves de Talhouët, « cette solution intégrée a été conçue pour offrir une plate-forme sans couture comme un ballon qui se gonfle et se dégonfle en fonction des besoins des clients ». Ce cloud privé clef en main est également un premier pas vers un cloud public si les clients désirent mutualiser certains services avec une solution de type multi-tenant chez un partenaire précise de son côté Jérôme Tredan.

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(09/09/2010 17:23:56)

HP lance un microserveur pour les petites entreprises

HP a annoncé la sortie prochaine d'un serveur d'entrée de gamme pour les petites entreprises et dont le package contiendra des fonctionnalités avancées malgré le bas prix. Le ProLiant MicroServer s'avèrera donc, pour ces sociétés, être une alternative moins onéreuse, ou même un complément des blades ou des serveurs en rack, selon McLeod Glass, directeur marketing de la section Servers and Software chez HP. Ce bundle comprendra donc une micro-tour de 26,7 x 26 x 21 cm, soit la moitié de la taille des serveurs d'entrée de gamme habituels, afin de pouvoir potentiellement le glisser sous un bureau. Il centralisera les opérations et données d'un petit réseau, les utilisateurs accédant alors à des fichiers partagés sécurisés par la machine. Il sera par ailleurs doté de moins de composants, réduisant la consommation électrique d'autant, et son prix de départ sera de 330 dollars, soit environ le même prix qu'un PC classique, précise McLeod Glass.

HP a positionné ce produit dans une catégorie appelée « microserveurs », inédite à leur catalogue, qui devrait, selon le directeur marketing, être une énorme opportunité économique pour le constructeur. Il affirme qu'environ 1,7 million d'entreprises achèteront leur premier serveur dans les cinq prochaines années, et que ce microserveur devrait répondre aux besoins des petites sociétés.

Garder de la place pour les disques durs

Ce produit est configuré de sorte à avoir les attributs à la fois d'un serveur mais aussi d'un ordinateur de bureau traditionnel. Il est équipé d'un processeur AMD Athlon II double coeur cadencé à 1,3 GHz que l'on trouve en général sur les PC, mais inclut aussi plus d'unité de stockage et des capacités de gestion à distance qui en font un véritable serveur. La carte mère est conçue par HP, et le boitier peut accueillir quatre disques durs SATA, pour un total potentiel de 8 To de stockage. La mémoire vive peut quant à elle atteindre 8 Go, tandis que les capacités de gestion à distance sont activables via une carte insérée dans le port PCI Express. Il comprend aussi une fonctionnalité qui détecte et corrige les erreurs durant les transmissions de données. Ce microserveur tombe du coup plus dans la gamme des serveurs que dans celle des PC, explique Richard Fichera, analyste chez Forrester. « Il semblerait qu'ils intègrent toutes les extensions de la gamme de serveurs ProLiant de HP, et ils devraient donc s'insérer sans encombre dans un environnement serveur ProLiant préexistant ».

Une catégorie encore en pleine définition

Les fournisseurs de matériels avaient déjà mentionné le concept de microserveur par le passé. Intel avait présenté un prototype capable de concentrer un maximum de capacités dans un petit package peu gourmand en énergie durant son Developper Forum de l'an dernier. La catégorie des microserveurs a jusqu'alors été difficile à définir d'après Reuben Miller, analyste chez IDC. Les concepteurs se focalisaient en effet sur la puissance plus que sur les capacités de stockage. L'analyste indique que le SeaMicro SM10000 pourrait tomber dans la même catégorie que le micro serveur de HP, puisqu'il est composé de 512 processeurs Intel Atom à faible consommation sur des cartes mères de la taille d'une carte de crédit. Il est conçu pour inclure le moins de composants possibles afin de gagner de la place et de réduire, ici aussi, l'électricité utilisée, tout comme le serveur Mini d'Apple équipé de deux disques durs.

Le produit de HP n'est peut-être pas classable sous la définition classique des microserveurs, mais il pourrait amener une autre définition à la catégorie, selon Reuben Miller. « Il a tout de même quelques fonctionnalités serveur, suffisantes pour les petites entreprises ». Il explique que ce pourrait être une première étape pour ces sociétés, les aidant à construire un environnement serveur jusqu'à ce qu'elles soient prêtes à investir dans des blades ou des racks d'entrée de gamme.

McLeod Glass n'a pas souhaité préciser si de prochains modèles de ce microserveur seront fournis avec des processeurs Intel. Le ProLiant MicroServer disposera, dans tous les cas, soit de Windows Server 2008 soit de Linux 5 Red Hat Enterprise lors de sa mise sur le marché.

Crédit Photo : HP

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