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(16/05/2012 09:37:59)
Après un MBO, Cyril de Metz prend la présidence de Nerim
Directeur général depuis 2008, Cyril de Metz devient président de Nerim, après avoir mené la reprise de l'entreprise dans le cadre d'un MBO, management buy out. Il remplace le co-fondateur Christophe Carel qui dirigeait l'entreprise depuis sa création en 1999 avec Raphaël Bouaziz.
Cyril de Metz a été directeur général de Deutsche Telekom en France, de 2004 à 2007, il a par ailleurs exercé des responsabilités financières à Club Internet, Ernst & Young, et l'AFP aux États-Unis. Agé de 41 ans, il est diplômé de l'Ecole supérieure du commerce de Montpellier (...)
Le commerce en ligne à la faveur de 64% des Français
64% de consommateurs considèrent les outils de communication, tels qu'internet, les smartphones ou encore les réseaux sociaux, comme un moyen de mieux faire leurs achats, explique un sondage Viavoice pour le salon professionnel Equipmag, dédié aux points de vente et à la distribution, qui aura lieu en septembre prochain. Ces technologies permettent en effet à 64% des Français d'être mieux informés sur les produits qu'ils achètent.
Utiliser ces outils de communication pour optimiser ses achats reste pour le moment une question de génération. 74% des consommateurs âgés de 18 à 24 ans, et 72% chez les 25-34 ans, jugent la technologie comme une bonne solution pour effectuer de meilleurs achats. Une proportion qui tombe à 45% chez les 65 ans et plus.
Les Français sont en tout cas presque unanimes (94%) pour estimer qu'Internet, smartphones et autres réseaux sociaux, joueront un rôle majeur dans les années à venir. Pour l'heure, la distribution physique dispose encore d'une marge de manoeuvre, par rapport aux achats en ligne, grâce à la possibilité pour les clients de pouvoir essayer les produits (53%) et de bénéficier des conseils d'un vendeur (37%).
Ce sondage a été réalisé les 12 et 13 avril, auprès d'un échantillon de 1 010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
(...)(15/05/2012 14:11:28)L'iPhone pourrait accueillir une application de cartographie 3D avec iOS 6
Apple devrait présenter iOS 6, pour ses terminaux iPhone, iPad et iPod touch, en juin prochain lors de sa conférence World Wide Developpers. A cette occasion, nos confrères américains de 9to5mac.com pensent que le système d'exploitation accueillera un logiciel de cartographie, qui viendrait remplacer celui de Google. Il proposerait une carte qui, selon les informations de 9to5mac, renforcerait l'expérience utilisateur.
Apple intègre Google Maps à ses iPhone et iPad depuis 2007. L'accord entre les deux sociétés concernant l'utilisation de Maps se termine en fin d'année et Apple prend donc les devants en mettant au point cette application. Le logiciel reposerait en partie sur les solutions de l'entreprise C3 technologies, spécialisée dans le rendu photo-réaliste, acquise en octobre 2011 par Apple.
Il pourrait s'agir d'une mauvaise affaire pour Google selon nos confrères de The Guardian. En effet, les applications de Google intégrés à iOS génèrent quatre fois plus de revenus que sur son système d'exploitation maison Android (...)
Intel veut placer ses puces dans les terminaux d'Apple
Intel vient juste de faire son entrée dans le marché des smartphones, mais le constructeur a bien l'intention de livrer rapidement des puces qui améliorent la performance et l'efficacité énergétique des terminaux mobiles. L'architecture des nouvelles puces sera basée sur de nouveaux processus de fabrication qui confèreront une plus grande autonomie et amélioreront la performance des smartphones. « Notre objectif est de faire en sorte qu'Apple sache que notre silicium est très performant, qu'il pourrait faire mieux fonctionner le Mac ou qu'il peut améliorer l'iPad. Ainsi, quand le constructeur prendra ses décisions, il ne pourra nous ignorer », a déclaré Paul Otellini lors de cette journée, comme l'a rapporté Forbes.
Apple utilise des processeurs Intel dans ses MacBook et ses ordinateurs de bureau, mais le constructeur utilise des puces ARM, rival d'Intel, dans l'iPhone et l'iPad. Dans le domaine des smartphones, ARM est le principal rival d'Intel, puisque ses puces se trouvent dans près de 95 % des smartphones actuellement sur le marché. Selon Paul Otellini, même si Intel est un nouveau venu dans le secteur du smartphone, il pourrait prendre des parts de marché à son rival ARM.
La loi de Moore appliquée aux puces mobiles
Plus tard cette année, Intel doit sortir une puce Atom Z2580 haute performance pour smartphones, laquelle intègre deux coeurs et des capacités 4G. Ce processeur est deux fois plus performant que la puce single-core Atom Z2460 actuelle, que l'on trouve dans le smartphone X900 de Xolo. Les deux processeurs sont fabriqués selon le processus de gravure à 32 nanomètres. L'an prochain, le fondeur doit livrer une puce Atom basse énergie, nom de code Merrifield, destinée aux smartphones haute-performance. Le design de la puce sera différent et intègrera un coeur graphique. « Cette puce devrait permettre d'offrir une « expérience plus immersive » avec les smartphones », a déclaré Mike Bell, directeur général du groupe Mobile et Communication d'Intel.
Paul Otellini a déclaré que, au cours des deux prochaines années, le développement des puces pour smartphones se ferait selon un rythme deux fois plus rapide que celui de la loi de Moore, qui stipule que le nombre de transistors dans une puce double tous les deux ans. « De plus en plus, nous pouvons offrir le meilleur de la technologie d'Intel pour les appareils mobiles - téléphones et tablettes », a déclaré le PDG d'Intel.
(...)(15/05/2012 13:01:51)Facebook pourrait proposer des publicités ciblées sur des sites tiers
Vendredi dernier, Facebook a proposé quelques changements dans sa politique de confidentialité. L'un d'eux faisait référence à une ancienne proposition, à peine évoquée alors, qui impliquait d'élargir la diffusion de la publicité à « d'autres sites ». Le projet de la société lance un débat quand à la possibilité pour le réseau social d'utiliser ce qu'il sait des goûts des utilisateurs pour diffuser des annonces, non seulement sur Facebook, mais sur d'autres sites partenaires
Au cours d'un chat, dont l'objet visait justement à répondre aux questions des utilisateurs sur les modifications proposées, Erin Egan, directrice en charge du respect de la vie privée, a peut être involontairement fait état d'une éventuelle diffusion de publicités sur des sites tiers. « Nous avons toujours dit que, en matière d'usage des données, nous pourrions diffuser des annonces hors de Facebook et que nous pourrions utiliser ces mêmes informations pour diffuser aux utilisateurs des publicités en dehors de Facebook », a-t-elle déclaré. « Nous n'avons rien à annoncer pour l'instant », a-t-elle ajouté avant d'expliquer comment la publicité hors site fonctionnerait.
Ciblé l'ami d'un ami sur un site tiers
Si l'ami d'un utilisateur « aime » un produit, Facebook pourrait envoyer à cet utilisateur une publicité concernant ce produit - « Coca-Cola, par exemple ». La publicité comportera probablement un « élément social ». Celle-ci pourrait ainsi dire : « Andrew aime le Coke », a expliqué Erin Egan. « Facebook pourrait à l'avenir délivrer à l'utilisateur la même publicité sur un autre site, avec ou sans contexte social pour justifier pourquoi il a été ciblé », a ajouté la responsable de Facebook.
Selon Sarah Downey, un stratège en matière de protection de la vie privée auprès du vendeur de logiciels Abine, une diffusion élargie des publicités pourrait affecter la vie privée de l'utilisateur. « Le changement de politique implique en effet que Facebook utilise « en dehors de l'écosystème Facebook » ce qu'il sait sur les utilisateurs », a-t-elle déclaré dans un mail. Cela suppose clairement aussi que Facebook va scruter tous types de contenu utilisateur pour glaner des informations sur ses préférences de consommation. « Même si vous ne dites pas explicitement que vous êtes un fan de science-fiction, Facebook peut analyser les posts sur les films que vous avez vus, les articles que vous avez lus, et en déduire que vous êtes un fan de science-fiction et vous cibler avec des publicités en rapport avec la science-fiction », a déclaré Sarah Downey.
(...)(15/05/2012 09:47:34)
L'iPad perd son appellation 4G
La tablette d'Apple vendue depuis le mois de mars ne portera plus la mention "WiFi + 4G" mais celle de "WiFi + Cellular" sur le site australien d'Apple. On y trouve par ailleurs le message suivant : "Ce produit est compatible avec les réseaux cellulaires hauts-débits. Il n'est pas compatible avec les réseaux 4G LTE australiens ni avec les réseaux WiMAX."
La mention "4G" a également été supprimée des messages publicitaires internationaux vantant les mérites de la tablette. Un représentant d'Apple Australie a déclaré que cette décision avait pris une dimension internationale au cours du week-end. "Le nouvel iPad est compatible avec de nombreux réseaux hauts-débits mondiaux, y compris le réseau LTE aux États-Unis et au Canada, les réseaux HSPA+ et DC-HSDPA dans d'autres pays. Les opérateurs n'utilisent pas la même terminologie pour désigner leurs réseaux, c'est pourquoi nous avons décidé d'utiliser la dénomination 'Wi-Fi + Cellular' pour décrire l'ensemble des réseaux cellulaires compatibles avec l'iPad. Les fonctionnalités sans fil avancées de l'iPad restent les mêmes", a précisé Apple.
(...)(15/05/2012 09:35:25)Free Mobile annonce 2,6 millions de cartes SIM
Free Mobile, l'oérateur de téléphonie mobile lancé en janvier, a distribué 2,6 millions de cartes SIM au premier trimestre ce qui représente 4% du marché français, a indiqué sa maison mère Iliad lors de la présentation mardi de ses résultats trimestriels. (...)
(14/05/2012 13:45:17)Open Source : la bataille se ravive entre CloudStack et OpenStack
En à peine deux mois, depuis que Citrix a mis son logiciel CloudStack sous licence Apache en fait, les fournisseurs de cloud ont commencé à soutenir le modèle Open Source. Cette semaine par exemple Zenoss, qui développe un logiciel permettant aux entreprises de surveiller et de contrôler leurs datacenters, a ajouté le support de CloudStack à son produit. Floyd Strimling, l'évangéliste de Zenoss pour la partie technique du cloud, affirme que le vendeur a été amené à soutenir CloudStack à la demande de ses clients. « Le nombre d'adoption par les utilisateurs finaux est surprenant », a-t-il déclaré. La plupart des déploiements de CloudStack ont lieu dans des entreprises de jeux en ligne. Certaines veulent construire une architecture similaire à celle de Zynga, qui a modelé son cloud et l'architecture de son centre de calcul sur le modèle du cloud public d'Amazon Web Service.
En cédant CloudStack à la fondation Apache, Citrix a provoqué une sorte de fracture dans le marché du cloud Open Source, puisque le passage de son produit sous licence libre en a fait un concurrent d'OpenStack. CloudStack a essayé de se distinguer d'OpenStack en vantant la compatibilité de son produit avec AWS. Mais les responsables d'OpenStack affirment aussi que leur produit est compatible avec AWS. Floyd Strimling, qui dit soutenir les deux projets, pense néanmoins que CloudStack est plus mature comparé à OpenStack. Selon lui, CloudStack est fonctionnel plus rapidement « out-of-the-box ». De son point de vue, OpenStack a besoin de plus de développement et de personnalisation pour être mis en oeuvre. « OpenStack est encore très lié à une communauté de développement. Je pense qu'il gagnerait à cultiver une communauté d'utilisateurs », a déclaré l'évangéliste.
On trouve tout de même de grands noms parmi les utilisateurs d'OpenStack. Rackspace, HP, Dell et Piston Cloud Computing notamment ont tous choisi OpenStack pour lancer des offres cloud. Lors du salon Interop qui s'est tenu du 6 au 10mai dernier à San Francisco, les supporters d'OpenStack ont pu aussi vanter le niveau d'adoption de leur pile Open Source. Selon John Engates, CTO de Rackspace, « avec la dernière version du logiciel - baptisée Essex - OpenStack est tout à fait prêt pour s'afficher en première place ». Celui-ci a précisé au passage que Rackspace avait migré ses datacenters internes presque entièrement vers le framework OpenStack, ce qui représente l'un des plus grands déploiements du logiciel Open Source. Il a également indiqué qu'IBM et Red Hat s'étaient récemment engagés à soutenir le projet.
Des concurrents encore jeunes
Mais, « en réalité, OpenStack et CloudStack sont tous deux tellement jeunes qu'aucun ne peut prétendre à avoir plus de légitimité ou d'avantages que son concurrent», a déclaré Luc Kanies, CEO de Puppet Labs. « C'est difficile de se prononcer plus pour l'un que pour l'autre, d'autant que la course entre les deux est loin d'être terminée », a-t-il ajouté. Puppet Labs, qui développe un logiciel Open Source de gestion de l'infrastructure, a travaillé avec des clients qui ont déployé aussi bien OpenStack que CloudStack, plus d'autres offres cloud Open Source et propriétaires, comme Eucalyptus, AWS, et même CloudFoundry qui offre du PaaS libre.
Luc Kanies a modéré par ailleurs l'avis de Floyd Strimling à propos des fonctionnalités plus matures de CloudStack. Le CEO de Puppet Labs considère que c'est un peu normal et rappelle que CloudStack est une émanation de Cloud.com, racheté et transformé en produit Open Source par Citrix, et qui était déjà en production sur le marché. Comparativement, OpenStack a été construit à partir de zéro il y a deux ans. « Quand on parle de Cloud, la plupart des gens pensent Amazon pour le côté public et VMware pour le côté privé », a-t-il encore expliqué. « La diffusion du cloud Open Source en est encore à ses prémices ».
(...)(14/05/2012 10:49:30)Stocker en ligne ses informations confidentielles avec Dashlane (maj)
Dashlane est un service, qui se présente comme un assistant internet sécurisé, destiné à maîtriser son identité numérique. Il garantit notamment aux internautes un accès crypté à leurs données les plus personnelles, où qu'ils se trouvent : identifiants, mots de passe, informations de paiement, etc. Les services proposés par ce site sont pour le moment entièrement gratuits et disponibles pour les internautes du monde entier.
L'ensemble des informations enregistrées par les internautes sur Dashlane est rendu inaccessible à des tiers, grâce à un système de cryptage du mot de passe, connu uniquement de chaque utilisateur. Une fois enregistré, celui-ci a alors accès à un tableau de bord, où il peut entrer toutes ses données personnelles (nom, adresses, coordonnées bancaires, contacts, etc.) de façon centralisée.
Ces informations sont ensuite disponibles en un clic sur n'importe quel site, afin par exemple de remplir un formulaire ou de réaliser de nouveaux achats en ligne.
Un système de point permet aux utilisateurs les plus fidèles d'accéder à des services premium, comme par exemple de tester la future application portable de Dashlane ou de bénéficier de coupons de réduction offerts par des sites partenaires.
Découvrir cette solution : https://www.dashlane.com/fr
Pour surveiller les réseaux sociaux, Air France a choisi Spotter
Comme toutes les entreprises confrontées à un large public, Air France surveille sa réputation en ligne, que ce soit sur les sites d'information comme sur les médias sociaux à accès public. Il s'agit notamment de récolter les avis, informations et critiques postés sur les fils Twitter et les pages Facebook à accès public.
Pour cela, la compagnie aérienne a lancé un appel d'offres en 2010. Elle a alors choisi la plate-forme en ligne Spotter essentiellement en raison de sa souplesse et de sa capacité à réaliser des veilles spécifiques en fonction de l'actualité. Depuis deux ans, l'outil est utilisé avec satisfaction.
Des notes de synthèse courtes
« La veille s'effectue autour de thématiques que nous avons choisis avec notre prestataire, les documents récoltés étant classés dans celles-ci » indique Myriam Baurens, chargée d'étude chez Air France. Quotidiennement et hebdomadairement, la compagnie reçoit des notes de synthèse courtes (environ une page) comprenant des relevés d'indicateurs (comme le taux d'opinions positives ou négatives). Un traitement humain réalisé chez Spotter permet d'analyser au mieux les documents trouvés sur le web.
Myriam Baurens relève cependant : « un pic de volume n'est pas nécessairement significatif ou grave pour la perception de la compagnie. Par exemple, lors d'incidents avec des vedettes du show-business, cela nous donne un très gros travail sans que la compagnie ne soit réellement impactée. » Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)
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