Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 71 à 80.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(14/06/2012 11:44:07)

Lefebvre Software croît en étoffant les logiciels de ses clients

L'année a bien démarré pour l'éditeur Lefebvre Software qui a réuni ses clients le 8 juin pour ses Interactives, sa conférence utilisateurs, et présenté l'évolution de sa gamme Talentia. Une croissance de 20% a été enregistrée au 1er trimestre par ce spécialiste des logiciels de comptabilité/finance, de paie/RH et d'outils de reporting associés (par rapport à janvier-mars 2011). C'est un bon départ pour atteindre les 44 millions d'euros, chiffre d'affaires (CA) prévisionnel pour 2012, à périmètre constant. Un objectif somme toute raisonnable comparé aux 42,2 M€ réalisés en 2011. Si l'on y ajoute le rachat en cours de l'éditeur Prisme (logiciels pour AS/400), Lefebvre Software prévoit un CA de 49 millions d'euros à la fin de cet exercice.  
Au fil d'acquisitions strictement ciblées sur son marché, la société dirigée par Viviane Chaine-Ribeiro s'est constituée une base installée de 3 000 clients, utilisateurs des logiciels Iris, l'offre maison, de Comptarel (de Scod) ou d'Arcole (et désormais Réel de Prisme). Autant de produits que l'éditeur continue à maintenir et à mettre en conformité avec les évolutions réglementaires (moins de dix clients ont migré vers une autre solution de Lefebvre Software).

Ajouter des modules à l'existant jusque dans Azure

« Lorsque nous faisons une acquisition, nous gardons le personnel et disons aux clients de ne pas remettre en cause leur investissement. Autour de celui-ci, nous apportons du décisionnel financier, de la consolidation, du reporting... », explique Viviane Chaine-Ribeiro. Ces utilisateurs de logiciels de comptabilité et de paie/RH sont en effet une cible privilégiée pour les outils complémentaires développés dans la gamme Talentia. « Notre stratégie, c'est d'ajouter des modules qui fonctionnent avec nos différentes offres », rappelle la dirigeante. « Dans notre R&D, nous avons une équipe uniquement chargée des connecteurs entre les produits ».

A cet égard, un rachat fut stratégique, celui d'AS Groupe, spécialiste des outils de consolidation et de CPM (corporate performance management), en 2008. La plupart des clients de Lefebvre Software se portent acquéreur de ces solutions. « Pour Prisme, nous apporterons le même degré d'intégration », assure Viviane Chaine-Ribeiro. C'est d'ailleurs dans ce domaine fonctionnel que l'éditeur a choisi d'aborder le marché des logiciels facturés à l'usage. Il s'y lance avec un logiciel d'élimination des écritures « interco » (intercompany) à « consommer » en ligne dans Windows Azure, le cloud public de Microsoft. Cet outil s'adresse à des organisations réparties qui s'en serviront une fois par trimestre ou par an. « C'est un produit qui existait déjà et qui était utilisé en licence classique », précise Viviane Chaine-Ribeiro. Côté sécurité, il a été écrit purement pour le cloud. L'éditeur de Talentia a donc choisi un petit produit pour aller vers ce modèle de facturation à l'usage qu'il ne connaît pas encore, mais auquel sa dirigeante croit beaucoup pour l'avenir. « L'accès à l'information sera consommé différemment. Il faudra faire évoluer le support par formation sous forme de serious game », projette-t-elle.

Une acquisition internationale en vue, sur les RH

Ces derniers mois, Lefebvre Software a sorti des offres de décisionnel financier et de décisionnel RH qui s'adressent à l'ensemble de la base installée. « C'est du prêt à utiliser », souligne la dirigeante. Ces produits rassemblent 20 à 25 états de reporting qui puisent dans une base de données intermédiaire alimentée à partir des logiciels de gestion utilisés par les clients.

Talentia Décisionnel Finance
Talentia Décisionnel Finance (cliquer ici pour agrandir l'image)

Si au-delà de ces solutions décisionnelles, un client veut faire lui-même ses outils d'analyse, « il peut ensuite choisir l'offre de CPM et lancer un projet de 3 à 6 mois pour le déployer », ajoute Viviane Chaine-Ribeiro.

L'offre de Lefebvre Software fonctionne sur différents OS et bases de données du marché (Windows, Linux, iOS, SQL Server, Oracle, DB2, Postgres SQL), a rappelé Philippe Perier, DG adjoint de la société, responsable de la R&D, lors de la présentation des nouveautés aux clients, sur Interactives. « Lefebvre Software doit de plus en plus gérer l'intégration applicative et la gestion des identités », a-t-il ajouté (SSO, annuaire, droits des utilisateurs). Parmi les évolutions à venir, il a évoqué l'échange de données et la dématérialisation et une solution en mode SaaS qui regroupera l'intégralité du déclaratif social. Il a par ailleurs rappelé la disponibilité d'une application de gestion des congés sous Android.

App sous Android développée par Lefebvre Software

Gestion de congés sous Android (cliquer ici pour agrandir l'image)

Après le rachat de Prisme, qui apporte à la société 350 clients et un chiffre d'affaires de 4,5 millions d'euros dont 2,5 M€ de revenus de maintenance, l'éditeur français prévoit une autre acquisition, plus importante, dans le domaine des RH et de la gestion des talents. Une opération qui s'effectuera sans doute dans un autre pays européen et qui donnera à l'éditeur de Talentia « davantage d'assise à l'international », indique Viviane Chaine-Ribeiro. Mais ce ne sera pas Meta 4, qui souhaite rester indépendant.

En croissance depuis plusieurs années, Lefebvre Software génère du cash et engrange 40 à 45% de maintenance. Ses revenus récurrents atteignent 20 millions d'euros et si la situation économique européenne devait se dégrader, si les ventes de licences baissaient ou s'arrêtaient, le groupe serait encore à l'équilibre et ne perdrait pas d'argent. De quoi envisager l'avenir avec sérénité.

(...)

(07/06/2012 10:48:55)

Activer à distance une multiprise avec un SMS

MyPlug se présente comme une prise électrique dotée d'une carte SIM et de son propre numéro de téléphone, pour pouvoir communiquer par ce biais. Pour allumer ou éteindre à distance ses équipement, il suffit d'envoyer par SMS les commandes "On" ou "Off", tandis que "Conso" permet de connaître la consommation électrique des équipements branchés. L'idée est de piloter à distance ses équipements électriques, et d'être informé par alerte SMS d'éventuelles coupures de courant, afin de pouvoir rallumer ses appareils, où que l'utilisateur se trouve.

My Plug est également fourni avec un porte-clés, qu'il est capable de détecter dans son environnement immédiat, de façon à savoir si son propriétaire se trouve à proximité. Cela permet par exemple de savoir si son enfant est rentré à la maison en envoyant un simple SMS : "Qui", auquel le service répondra par l'identité du possesseur du porte-clé. Il est possible d'associer jusqu'à huit de ces porte-clés à MyPlug, pour 20 € l'unité supplémentaire.

MyPlug est disponible dans les boutiques Orange au prix de 80 € et comprend trois ans de SMS illimités.

(...)

(31/05/2012 16:59:39)

Juniper ajoute 30 fonctionnalités au logiciel de sécurité Internet de Mykonos

Cette semaine Juniper Networks a montré les améliorations qu'elle avait apportées au logiciel de sécurité de Mykonos Software, une entreprise qu'elle a rachetée au mois de février dernier. Les 30 fonctionnalités et extensions ajoutées à Web Security sont destinées à protéger contre un nombre plus important de modes d'attaques et de techniques de piratage. Pour les administrateurs, la configuration du logiciel est également plus simple, et il sait aussi s'adapter aux variations du trafic sur le réseau.

Selon l'équipementier, « les applications web et les sites Internet sont des cibles très prisées des pirates, car ils restent les points d'entrée les moins protégés pour accéder aux réseaux des entreprises ». Selon l'éditeur, près de 75% des entreprises ayant été piratées au moins une fois au cours des deux dernières années l'ont été via des applications web mal sécurisées.

Des leurres pour identifier les attaques

Le programme de Mykonos utilise des leurres pour détecter et identifier les attaquants malveillants qui tentent de pirater leur cible. Le logiciel de sécurité présente ensuite aux pirates de fausses vulnérabilités qui vont permettre au logiciel d'enregistrer la technique d'attaque mise en oeuvre et connaitre le mieux possible l'attaquant afin de prévenir de futures actions malveillantes. La technique consiste à retourner l'attaque contre les pirates. Ceux-ci perdent leur temps à essayer de mettre à profit de fausses vulnérabilités, à courir après de fausses données. Si bien que le piratage devient coûteux, fastidieux et demande beaucoup de temps.

Parmi les nouvelles fonctionnalités de cette version, le produit de Mykonos est désormais capable de détecter un nombre plus important de modes d'attaques et de techniques de piratage grâce à des contre-mesures. Par exemple, le logiciel de sécurité prévient contre les attaques d'authentification par force brute qui permettent normalement d'associer rapidement les noms d'utilisateurs et les mots de passe correspondant pour accéder aux systèmes. « Le logiciel de Mykonos empêche l'attaquant d'utiliser les informations d'identification qu'il aurait pu voler, même s'il arrive à « deviner » le bon mot de passe pour se connecter», affirme Juniper.

Plusieurs noeuds pour monter un cluster

Désormais, le logiciel protège aussi contre les tentatives de traversée de répertoire, une technique utilisée pour cartographier les sites web et obtenir des informations supplémentaires sur la façon de les attaquer. Une autre contre-mesure consiste à intégrer la protection contre les vulnérabilités de programmes de tierce partie, qui permettent de se protéger contre les vulnérabilités logicielles connues et généralement ciblées par des scripts d'attaque automatisés. Pour simplifier son utilisation, le logiciel dispose enfin d'une nouvelle interface graphique pour les systèmes d'administration et un assistant de configuration qui ne nécessite aucun support de la part de Juniper.

Mykonos Web Security supporte désormais les débits supérieurs à 1Gbit/s, ce qui permet aux administrateurs d'ajouter plusieurs « noeuds » à un modèle en cluster. « Le logiciel est ainsi capable de protéger de plus gros volumes de transactions », a expliqué Juniper. Mykonos Web Security est disponible dès maintenant. Les licences annuelles coûtent 175 000 dollars, support et mises à jour inclus.

(...)

(29/05/2012 11:57:15)

180 000 $ attendus pour un Apple-1 mis aux enchères par Sotheby's

Le mois prochain, Sotheby,'s va mettre aux enchères un peu de l'histoire d'Apple, en proposant l'un des six uniques ordinateurs personnels Apple-1 toujours fonctionnel. La maison d'enchères a estimé que la carte mère pourrait être adjugée à un prix pouvant atteindre 180 000 dollars. Ce qui fait cher vu le peu de composants sur la carte mère. Au cours de la même vente, Sotheby's proposera un mémo rédigé par l'ancien PDG d'Apple Steve Jobs alors qu'il travaillait pour le pionner des jeux vidéos, Atari.

L'Apple-1, dont le fonctionnement repose sur une carte mère construite à la main par le co-fondateur d'Apple Steve Wozniak, a été vendu pour la première fois en juillet 1976 au prix de 666,66 dollars. Environ 200 unités ont été produites. Selon le catalogue de la vente réalisé par Sotheby's, sur les 50 ordinateurs Apple-1 rescapés, seuls six seraient encore en état de marche. « Cette estimation du nombre d'Apple-1 d'origine qui tournaient encore au cours des 4 ou 5 dernières années est probablement assez juste », a déclaré Mike Willegal, ingénieur pour une grande entreprise technologique, qui a identifié et répertorié 41 ordinateurs Apple-1. « Une unité qui n'a pas été mise en route pendant plus de 5 ou 10 ans, ne devrait probablement pas être déclarée comme toujours fonctionnelle. Ces vieux ordinateurs ont tendance à tomber en panne au fil du temps, même s'ils restent simplement posés sur une étagère ».

Juste une carte mère

Contrairement aux futurs ordinateurs personnels, comme l'Apple II datant de 1977, l'Apple-1 a été vendu sous forme de carte mère complète, mais sans boitier, ni alimentation, ni clavier, ni moniteur. Les acheteurs devaient ajouter eux-mêmes ces éléments, si bien que certains ordinateurs, entièrement faits main, ont des aspects intéressants. Certains ont même des boitiers fabiriqués dans du bois. Sotheby's a estimé que la carte mère se vendrait entre 120 000 et 180 000 dollars. Le lot comprend aussi une interface pour disquettes - celles-ci étaient utilisées pour stocker les programmes et les données - plus différents manuels, dont un mode d'emploi utilisateur rare sur le langage BASIC.

Fin 2010, Christie's, la maison d'enchère concurrente, avait vendu un ordinateur Apple-1 pour un peu plus de 213 000 dollars, un record pour une technologie vieille de plusieurs décennies. Mais cette machine, dont certains éléments n'étaient pas d'origine, était accompagnée d'une lettre signée par Steve Jobs. « Cela pourrait faire toute la différence avec la vente de Sotheby 's », a déclaré Mike Willegal. « Cet appareil fonctionne, il est assez complet, avec sa documentation et son interface de disquette originale, donc l'enchère devrait monter assez haut», a encore déclaré l'ingénieur. « Mais il n'y a pas le bordereau signé de la main de Steve Jobs. C'est pourquoi, je ne pense pas que l'enchère atteindra une somme aussi élevée que lors de la vente de Christie's. »

Un mémo de Steve Jobs également aux enchères

Dans la vente aux enchères programmée pour le mois de juin, figure aussi un mémo de 4 pages rédigée par Steve Jobs lors de son passage chez Atari en 1974 sur la manière de concevoir les jeux. La note comprend un addendum d'une page écrit à la main par l'ancien PDG d'Apple. « Celui-ci indique comment améliorer les fonctionnalités et la jouabilité du jeu de football World Cup, une évolution du jeu Pong d'Atari », selon Sotheby's. L'addendum comprend trois diagrammes originaux réalisés par Steve Jobs au crayon. Selon l'estimation de Sotheby's, l'enchère pour ce mémo pourrait atteindre entre 10 000 et 15 000 dollars.

L'an dernier, Sotheby's avait vendu pour près de 1,6 millions de dollars l'original du document fondateur de trois pages marquant la création d'Apple, et portant les signatures de Steve Wozniak, de Steve Jobs et du moins connu Ron Wayne. Pourtant, l'estimation de la maison d'enchères ne dépassait pas les 150 000 dollars. Cette pièce historique d'Apple avait été achetée par Eduardo Cisneros, CEO de l'entreprise Cisneros Corp basée à Miami, et par ailleurs directeur du conseil d'administration de la Gibraltar Private Bank & Trust, dont le siège social est basé en Floride.

Les enchères pour l'Apple-1 et le mémo de Steve Jobs débuteront le 15 juin à partir de 10 h chez Sotheby's New York.

(...)

(25/05/2012 16:20:09)

Après le rachat d'Instagram, Facebook lance son avatar Camera

L'application Facebook Camera, est disponible au téléchargement sur l'App Store depuis le jeudi 24 mai. Elle permet d'appliquer des filtres sur les photos prises avec son portable et de taguer ses amis avant de les poster sur le réseau. Elle reprend ainsi le principe d'Instagram, racheté par Facebook au mois d'avril pour un milliard de dollars.

Facebook Camera permet de recadrer, de faire pivoter ses photos et d'y ajouter des filtres. Il est également possible d'identifier ses amis en touchant leur visage. Il est ensuite possible de partager des images à l'unité ou par lot, et de les poster sur sa page Facebook d'un clic. Facebook Camera est à télécharger, gratuitement, sur l'App Store (iOS).

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >