Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 661 à 670.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(14/02/2012 11:03:46)
Le groupe des utilisateurs de Chronos veut se relancer
La plupart des grands progiciels du marché sont dotés de clubs d'utilisateurs. Le rôle de ceux-ci est de permettre les échanges de bonnes pratiques comme de trucs et astuces mais aussi de renforcer le poids des clients dans le dialogue avec l'éditeur.
Dans le cas de Chronos, la solution de gestion des temps jadis développée par Arès et reprise par Asys, le club des utilisateurs ne regroupe plus que sept membres : La Banque de France, le Centre Medical G. Coulon, Le Centre Hospitalier de Dax, ETDE (Pôle Energies et Services de Bouygues Construction), Point P, Saint Gobain Pam et SITA.
Sous la houlette de son président, William Robaye, Chef de Projet à la Direction « Organisation & Projets Systèmes d'Informations » du groupe ETDE, ce club cherche à se relancer. L'éditeur lui apporte d'ailleurs son soutien. « Notre objectif : échanger, mutualiser et faire évoluer le standard de l'outil dans l'intérêt des utilisateurs » indique le président.
Asys revendique pour ses deux solutions de gestion des temps et des activités, à savoir Chronos (grands comptes) et Horsys (PME), 900 entreprises utilisatrices en France et en Europe.
Arkoon étoffe ses partenariats sécurité pour les secteurs sensibles
Arkoon renforce ses ventes indirectes. La société passe toujours par un seul grossiste D2B, elle vend quasi exclusivement en indirect avec son programme ARK (Adaptability, Resources and Knowledge Transfer). Elle veut se renforcer sur certains type de clients, les clients sensibles, situés sur des infrastructures critiques avec des besoins en matière de sécurité, de conseil et de services plus élevés que la moyenne, par exemple dans la banque, dans certains secteurs industriels, et dans l'énergie. Sur cette base, Arkoon recrute de nouveaux partenaires.
« Nous recherchons comme profils, des partenaires très aguerris en sécurité, nous explique Jérôme Robert, directeur marketing d'Arkoon, de grands intégrateurs réseaux et sécurité, véhiculant une grande expertise en sécurité ». Arkoon les accompagne en formations, avec deux niveaux : Arkoon certified security administrator et certified security expert. Deux personnes de l'équipe channel vont se consacrer à ces partenaires.
Arkoon publie par ailleurs ses chiffres annuels 2011 qui font ressortir un chiffre d'affaires en hausse de 6,2% à 10,8 millions d'euros (ME).
Les prochaines offres clouds de Nerim ouvertes aux partenaires
Les ventes en indirect représentent actuellement un peu plus de 50% des ventes de l'opérateur télécoms Nerim. Elles concernent plusieurs offres : l'ensemble des connexions Internet, les offres d'hébergement, la ToIP en mode courtage, une partie des offres de sécurité réseau. Ne sont pas concernées, les offres en téléphonie. En revanche, l'opérateur qui prépare des offres de cloud computing va les rendre accessibles à ses partenaires.
Ceux-ci sont au nombre de 350 actifs, donc ayant réalisé au moins une vente dans le mois. Nerim en recrute de nouveaux pour compléter sa couverture régionale, essentiellement dans le grand Ouest, le Nord et l'Est. « On veut des partenaires qui souhaitent travailler dans la durée, nous les formons, via Nerim Université » note Cyril de Metz, directeur général, « nous leur proposons les services d'un opérateur reconnu pour sa qualité de service et ses compétences en sécurité ».
L'opérateur prépare ses offres de cloud computing, avec des capacités d'hébergement dans deux datacenters : Equinix à Saint Denis et NetCenter à Courbevoie ; deux centres redondants, reliés en fibre noire par Nerim. L'opérateur va proposer en vente directe ou en vente indirecte des capacités d'hébergement et des formules de datacenter virtuel. « Les partenaires pourront présenter des services d'infrastructure ou bien intégrer leurs différents soft et se présenter des offres en SaaS », commente Cyril de Metz.
Par ailleurs, Nerim a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 24 millions d'euros (ME) en 2011.
Spotify lance le son haute qualité pour iOS
Dans sa dernière mise à jour, l'application Spotify pour iOS propose un niveau d'écoute à 320kbps, soit une qualité sonore encore inédite en version mobile. Les abonnés au service peuvent désormais choisir entre trois niveaux de qualité : basse (96kbps), haute (160kbps) et extrême (320kbps).
Cette qualité « extrême » est réservée aux abonnés payants, qui peuvent ainsi synchroniser toute leur discothèque en 320kbps. Pour le moment, seule la version compatible iOS dispose de ce format d'encodage.
Cette dernière mise à jour de l'application propose également la connexion Facebook en un clic, conséquence du partenariat entre les deux firmes.
YouTube améliore son appli pour les Google TV
« Tout d'abord, vous remarquerez que l'appli offre une navigation internet plus rapide et plus fluide. Ensuite, la nouvelle fonctionnalité « Discover » vous aide à naviguer dans les chaînes YouTube par catégorie. Que vous soyez à la recherche d'une vidéo désopilante, de cours de cuisine alléchants ou des dernières actualités, il y a des chaînes pour tous les sujets qui vous intéressent », affirme un billet du 12 février, rédigé par Jurek Foryciarz sur le blog Google TV.
Google continue d'avancer vers son objectif de marier la vidéo sur Internet avec la télévision en direct. Pour les utilisateurs, cela signifie qu'ils peuvent davantage profiter des contenus qui les intéressent, sans avoir constamment recours à la télécommande.
Google s'est associé avec divers fabricants de téléviseurs, dont Sony, LG et Samsung, pour créer des équipements sous la marque Google TV (les Google TV de LG et Samsung ont été annoncées mais ne sont pas encore commercialisées), mais cette appli YouTube est disponible sur de nombreux téléviseurs connectés à internet.
Cette appli YouTube sera disponible dans l'Android Market au cours « des prochains jours ».
Avec ses serveurs Proliant Gen8, HP pousse l'automatisation
Pour la plénière de sa Global Partner Conference 2012 à Las Vegas, HP a fait dans le local avec un petit show sur scène. Les choses sérieuses n'ont toutefois pas tardé à commencer avec l'arrivée sur scène de Dave Donatelli, patron de l'activité infrastructures (ESSN) chez HP. Après des annonces sur le business avec les partenaires, nous reviendrons sur le sujet dans un article ultérieur, le dirigeant a présenté les serveurs Proliant Gen8 et dressé la feuille de route de l'HP post Apotheker. A savoir une pyramide qui comprend à la base l'infrastructure ("The core"), puis à la strate supérieure la partie logicielle ("Expand the core"), ensuite les services ("Add value to the core") et enfin les solutions ("Make it work"). « C'est le pouvoir de la convergence. Notre but est très ambitieux, il s'agit de transformer l'industrie avec nos solutions serveurs, stockage et réseau pour aller vers le cloud », a indiqué Dave Donatelli. Et cette stratégie porte le nom de projet Voyager.
Dave Donatelli, patron de l'activité infrastructures (ESSN) chez HP
Après le projet Moonshot, dévoilé le 11 octobre 2011, qui visait à améliorer l'efficience énergétique des datacenters avec des solutions innovantes comme des prototypes de serveurs basés sur les plates-formes ARM et Intel Atom, le projet Odyssey, lancé le 22 novembre 2011, qui consistait à gérer comme un seul système des plates-formes animées par Linux, Windows et Unix pour des applications critiques, HP annonce donc Voyager pour redéfinir les attentes et les coûts des plates-formes serveurs. Si le projet Voyager ne concerne aujourd'hui que la plate-forme x86, Dave Donatelli a expliqué lors de la conférence de presse qui a suivi la plénière que le projet sera étendu à Itanium en novembre prochain. John Gromala, responsable marketing chez HP nous a ensuite expliqué que beaucoup d'efforts ont été réalisés pour mener à bout le projet Voyager et qu'il pouvait s'étendre à d'autres infrastructures.
Des serveurs mais pas de détails sur les processeurs
Pour revenir au sujet phare de la journée, le lancement des Proliant Gen8, HP a présenté certaines des innovations de cette plate-forme qui a demandé 2 ans de développement et 300 millions de dollars d'investissement. 900 brevets ont d'ailleurs été déposés pour couvrir ces innovations, notamment un Smart Socket codéveloppé avec Intel. Intel, justement, était le grand absent de cette conférence de presse. Pas un mot n'a en effet prononcé sur les processeurs qui animeront ces Proliant Gen8. Mark Potter, en charge de l'activité serveur chez HP a simplement concédé qu'il y avait des rumeurs de nouveaux processeurs chez Intel. Le fondeur californien n'annoncera ses puces Xeon E5 - le nom qu'il ne fallait pas prononcé lors de cet événement - que début mars. Le 5 mars pour être plus précis selon un confrère d'IDG NS qui a arraché l'information à Santa Clara. Mais la plate-forme Proliant Gen8, qui sera disponible à partir de mars et progressivement étendue dans la gamme au cours de l'année, accueillera également les puces pour serveurs d'AMD.
Une plate-forme majeure pour HP
Beaucoup d'innovations ont été présentées à l'occasion du lancement du Proliant Gen8 qui autoriserait un retour sur investissement sur 5 mois et permettrait de doubler la capacité d'un datacenter selon les dirigeants de HP. Pour expliquer ces deux points, plusieurs éléments sont mis en avant et notamment l'architecture ProActive Insight. Le constructeur de Palo Alto entend bien améliorer l'automatisation des serveurs pour augmenter significativement leur disponibilité. Grâce à l'intelligence logicielle dont sont équipées ces machines, HP indique ramener à 3 secondes l'intégration d'un serveur. Avec l'outil Active Health, pas moins de 1600 paramètres du serveur sont analysés en temps réel pour prévenir les problèmes et les pannes. Et avec Smart Update, le numéro des serveurs indique pouvoir mettre à jour 1000 machines avec un seul clic.
Pour augmenter la performance de ces serveurs, HP mise également sur les SSD comme système cache et le support du PCIe 3 sur les cartes mères. Avec ces deux éléments, HP indique améliorer de 85% le trafic du stockage en entrée/sortie. Enfin, avec une nouvelle architecture pour l'écriture en cache des données sur les SSD, Mark Potter annonce une révolution aussi importante que l'arrivée du Raid en 1989. « Les serveurs et le réseau sont un frein à l'augmentation du stockage. Pour un dollar dépensé en stockage, il est nécessaire d'investir 6 dollars en serveur, en réseau et en administration. (...) Aujourd'hui nous voulons changer ce challenge », nous a indiqué Florian Reithmeier, responsable de l'activité serveurs X86 pour HP Europe.
[[page]]
M Reithmeier définit le projet Voyager comme la fourniture de serveurs en self service. « Nous pensons que nos clients veulent passer plus de temps sur l'innovation et les nouveaux projets et moins sur la gestion de leur informatique. La question aujourd'hui est l'automatisation des Datacenter. Comment gérer, déployer simplement des nouveaux serveurs ». Pour ce faire, HP propose un QRCode avec chacun de ses serveurs Proliant Gen 8. Le scan de ce code avec un simple smartphone permet de transférer toutes les informations vers le système d'administration. Une machine peut ainsi être déployée en 3 secondes sans erreur humaine. Selon M. Reithmeier, « 70% des erreurs dans les datacenters sont dues au personnel. Nous pouvons améliorer ça ». Deux technologies proposaient par HP permettent en effet de réduire ces risques, l'ADM (Advanced Data Memory) et la présence de led sur les disques durs. La première assure l'intégrité des données grâce à des algorithmes maison et la seconde indique si un disque dur ou un SSD peut être débranché. Une manipulation pas si anodine que ça quand un opérateur doit faire face à un rack avec une centaine de disques durs.
Le système de led pour indiquer si un disque travaille encore ou s'il peut être enlevé sans risque de perte de données.
Toujours dans le domaine des centres de calcul, HP introduit un outil baptisé 3D Sea of sensor qui rassemble toutes les informations recueillies par les capteurs matériels et les sondes logicielles pour créer une représentation en 3D du Datacenter. Un bon moyen pour détecter les zones les plus chaudes, contrôler le refroidissement et la consommation électrique, augmenter ou réduire la densité dans une zone ou décider où placer certaines applications critiques. « L'idée est bien de manager plus efficacement son datacenter en apportant de l'intelligence à tous les niveaux » nous a expliqué John Gromala.
Les serveurs Proliant Gen8 sont déjà en test chez certains clients de type early-adopter. HP reviendra en détail sur les configurations techniques et les prix quand les puces Xeon E5 auront été annoncées.
(...)(13/02/2012 17:06:55)UptimeCloud analyse les coûts d'AWS en temps réel
Destiné aux utilisateurs d'AWS, le service de surveillance des coûts UptimeCloud aide à prévoir et gérer sa dépense dans le cloud public d'Amazon. Il devrait intéresser à la fois les nouveaux venus et les habitués d'AWS, estime Nick Johnson, directeur marketing d'Uptime, car la plupart d'entre eux ont, selon lui, du mal à contrôler leurs coûts. Pour illustrer son propos, il cite un utilisateur de la bêta version d'UptimeCloud qui décrit le processus de mise en oeuvre des services cloud par une formule lapidaire : « déployez, priez et payez ».
UptimeCloud présente un tableau de bord où l'on peut voir en temps réel le coût d'utilisation d'AWS et consulter des prévisions de facturation pour l'heure, la journée, la semaine, le mois ou l'année. Le tout s'accompagnant de recommandations sur les moyens de réduire ces coûts. La partie prévisionnelle permet de constituer un budget mensuel et de recevoir une alerte lorsque les coûts vont le dépasser. Lorsque les utilisateurs modifient leur exploitation du cloud, UptimeCloud leur indique l'impact que cela aura sur leurs coûts.
Un service intégré via l'API d'Amazon
Le service permet aussi d'obtenir le détail de l'utilisation du cloud dans l'entreprise. Les clients peuvent voir les coûts par application, par projet, par utilisateur, par localisation, par compte, par instance, etc. Ils peuvent aussi accéder à des prévisions basées sur ces critères. Uptime dit pouvoir offrir des indicateurs plus détaillés que certains concurrents parce qu'il s'intègre avec AWS en utilisant l'interface de programmation d'Amazon. La plupart des services de suivi de coûts rassemblent les données sur les prix en se connectant via les identifiants du client. Mais, outre que cela présente des risques sur le plan de la sécurité, cela ne donne pas au fournisseur de service la profondeur de détail offerte par UptimeCloud, considère Alex Bewley, directeur technique d'Uptime. Par exemple, UptimeCloud peut analyser les variations quotidiennes de consommation et les coûts associés, ce qui peut être utile aux gros consommateurs d'instances ponctuelles d'AWS, tandis que les autres services ne peuvent pas suivre les tendances journalières, d'après le fournisseur.
Il est aussi possible de suivre les utilisateurs d'AWS individuellement et de voir la façon dont ils consomment les ressources, avec un outil de gestion des identités et des accès proposé par Amazon. Les conseils procurés par UptimeCloud sur la réduction des coûts sont surtout basés pour l'instant sur les façons de tirer avantage des options tarifaires d'AWS. Cela n'aidera pas à identifier les ressources sous-utilisées qui pourraient être regroupées pour faire des économies.
Les utilisateurs du service dans sa version bêta auraient estimé qu'ils n'avaient pas besoin de ce niveau de détail pour l'instant, a indiqué Alex Bewley. Uptime prévoit à l'avenir d'ajouter des recommandations sur les instances sous-utilisées, a précisé le directeur technique.
Cloudyn et Cloudability proposent des services
D'autres fournisseurs aident les entreprises à gérer leurs dépenses dans le cloud. Parmi eux, Cloudyn et Cloudability. Le premier a récemment lancé son service pour AWS. Le deuxième permet aussi de poser des alarmes lorsque les clients atteignent certains seuils. Tous deux font des suggestions pour maîtriser les coûts. Amazon lui-même compte proposer à ses utilisateurs des fonctions similaires, mais ce ne serait pas encore une priorité, selon Alex Bewley, d'Uptime. En attendant, Amazon accueille volontiers les fournisseurs tiers proposant ce genre de services. Des factures trop élevées risquent en effet de dissuader les directions des services informatiques de recourir au cloud.
Les entreprises peuvent essayer gratuitement UptimeCloud pendant trente jours. Ensuite, elles paieront le service en fonction du nombre d'instance qu'elles exploitent sur AWS. A partir de 295 dollars par mois de 101 à 250 instances. Le service revient à 1 845 dollars par mois entre 1 001 et 2 500 instances et à 5 945 dollars par mois entre 5 001 et 10 000 instances.
(...)(13/02/2012 16:40:41)
Samsung dévoile la Galaxy Tab 2 en version 7 pouces
Samsung rénove sa série de tablettes en commençant par l'entrée de gamme. La Galaxy Tab 2 dispose d'un écran de 7 pouces, pour une définition de 1024x600 pixels, et est équipée d'un processeur double-coeur cadencé à 1GHz, associé à 1Go de mémoire vive, un capteur photo de trois mégapixels et une caméra faciale pour la vidéoconférence.
L'ardoise numérique utilisera Android 4.0 (connu sous le nom Ice Cream Sandwich) et intégrera toutes les applications de la suite de Samsung (Apps, ChatON, etc.). En termes de stockage, elle sera disponible en plusieurs capacités, 8, 16 ou 32Go.
La tablette de Samsung sera lancée au mois de mars en Europe. Aucune date précise n'a été communiquée pour la France.
Hadopi enclenche la machine judicaire
Plusieurs dossiers d'internautes ont été transmis à la justice par la Hadopi selon le Point. L'hebdomadaire explique que la haute autorité adresse en flux continu des saisines auprès des juridictions de la résidence des internautes. Il s'agit de la suite logique de la procédure inscrite dans la loi ayant créé la Hadopi. Les premières phases sont la riposte graduée où les internautes sont avertis de leur comportement illégal, via un courriel et une lettre avec accusé de réception. Au bout de deux avertissements, les dossiers passent devant la Commission de protection des droits (CPD) qui décide ou non de leur transmission au parquet.
Temps judiciaire contre temps électoral
L'enclenchement de la phase répressive intervient dans un contexte électoral où certains candidats à l'élection présidentielle se sont déclarés pour la suppression d'Hadopi. Ainsi, François Hollande a souhaité lui substituer « une grande loi signant l'acte 2 de l'exception culturelle française », réconciliant « la défense des droits des créateurs » et « un accès aux oeuvres par internet facilité et sécurisé ». De son côté, le Président de la République avait demandé à la fin 2011 à la Hadopi de réfléchir sur l'extension de son contrôle sur les sites de téléchargement direct et de streaming. Il faudra attendre maintenant la décision des procureurs de la République sur les suites à donner aux différentes saisines et les premiers jugements.
Mozilla corrige une faille critique dans Firefox 10
Pour la troisième fois consécutive, Mozilla fournit un correctif aux utilisateurs de Firefox juste après avoir lancé la dernière mouture de son navigateur. Vendredi dernier, la Fondation a procédé à une mise à jour vers Firefox 10.0.1 pour réparer un bug pouvant être potentiellement exploitable par des hackers. Andrew McCreight et Olli Pettay, deux développeurs chez Mozilla, ont découvert cette faille qu'ils ont qualifiée de « critique ».
Firlefox 10 a été livré il y a un peu plus d'une semaine, le 31 janvier denier. L'éditeur de logiciels libres n'en est pas à son premier coup d'essai en matières de bugs. Lors des deux précédentes versions du navigateur, des défaillances avaient provoqué des crashs de Firefox sur Linux et Mac OS X
Mise à jour aussi de la version professionnelle
Un jour après la sortie de Firefox 9 le 20 décembre dernier, Mozilla, avait livré une mise à jour pour rectifier un correctif qui avait généré un nombre élevé de plantage chez les utilisateurs de Mac. Un mois auparavant, soit deux semaines après la sortie de la version 8 du navigateur, Mozilla avait encore une fois dû faire face aux problèmes de crash de l'édition Mac du logiciel. Ces accidents ont été attribués à une mise à jour de Java par Apple au début du mois.
Mozilla a également remis à niveau Firefox ESR, l'édition professionnelle que la firme avait dévoilé le mois dernier. Firefox 10 ESR recevra les mises à jour de sécurité - comme celle annoncée vendredi dernier - mais son interface utilisateur et ses fonctionnalités resteront inchangées.
La mise à niveau 10.0.1 sera automatique pour les utilisateurs de Firefox 10. Ceux qui souhaitent télécharger la mise à jour n'auront qu'à cliquer sur « A propos de Firefox », dans le menu Firefox (Mac), ou sur «À propos de Firefox », dans le menu Aide sous le bouton Firefox (Windows).
- Télécharger la version de Firefox 10.0.1
(...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |