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(13/02/2012 15:58:20)
Graal : Un compilateur dynamique pour Java
Le projet Graal pour la mise en oeuvre d'un compilateur dynamique pour Java semble profiter d'une conjoncture favorable. Celui-ci pourrait produire un code d'une excellente qualité sans compromettre le temps de compilation, ni monopoliser trop de mémoire dans la machine virtuelle Java. Les participants au groupe de discussion OpenJDK - le groupe fonctionne par messagerie électronique - parmi lesquels on trouve des représentants d'Oracle, plaident en faveur du projet. Leur volonté : explorer l'utilisation d'un compilateur dynamique dans une machine virtuelle Java native comme HotSpot, ou méta-circulaire comme Maxine. Sur le site qu'Oracle réserve au projet Graal, on peut lire que la machine virtuelle Maxine est une plate-forme de prochaine génération écrite en Java, qu'elle est compatible avec des environnements de développement intégrés (IDE) Java modernes ainsi qu'avec le Java Development Kit classique, et qu'elle possède une architecture modulaire.
Le compilateur Graal, basé sur le code de Maxine, servirait de point de départ au projet de compilateur dynamique. « Ce qui est clair, c'est que Graal va profiter de la bonne capacité de compilation de Java », a déclaré Al Hilwa, analyste chez IDC. « Il existe un mouvement en faveur du mode natif, que l'on doit à bien des égards aux outils de développement iOS d'Apple, lesquels reposent sur un modèle de compilation en natif pour Objective-C. Pendant longtemps, la balance penchait plutôt du côté des langages pour machines virtuelles comme Java. Mais le succès des terminaux sous iOS a commencé à inverser la tendance. Dans ce contexte, Java doit améliorer ses performances pour les rapprocher de ce que l'on arrive à faire avec les compilateurs natifs, mais aussi évoluer en terme d'intégration avec du code natif. »
Un compilateur agnostique bytecode pour la JVM
Hari Gottipati, principal architecte Java de l'Apollo Group, une entité privée émanant de l'Université de Phoenix, a salué le compilateur Graal et les efforts accomplis par Oracle pour la JVM, ainsi que l'impact potentiel sur le codage Java. « Imaginez un codage en Java, une compilation avec un compilateur écrit en Java, enfin l'exécution par la machine virtuelle Java elle aussi écrite en Java - il y a du Java tout au long de la chaîne. C'est la voie d'une intégration parfaitement transparente entre l'application et la machine virtuelle », a déclaré Hari Gottipati, également membre du Groupe d'utilisateurs Phoenix Java. « Je suis sûr que toute la communauté Java va être très emballée par le projet. »
Lors du JVM Language Summit organisé par Oracle en juillet dernier, Graal a déjà fait l'objet d'une présentation intitulée « Graal, un Compilateur Agnostique Bytecode pour la JVM » par Thomas Wuerthinger, de Oracle Labs. En plus de réfléchir à Graal, Oracle travaille à faire converger la machine virtuelle Java JRockit avec HotSpot, tombé dans l'escarcelle d'Oracle lors du rachat de Sun début 2010. Ces travaux devraient normalement être complétés par la sortie d'un JDK 8 en 2013.
EMC place Hadoop dans une solution de stockage NAS d'Isilon
EMC Isilon a présenté une baie de stockage NAS évolutive qui intègre nativement Hadoop, outil Open Source d'analyse des grands volumes de données. Selon EMC, la diffusion de Hadoop dans l'entreprise a été freinée par le fait que les précurseurs n'ont eu d'autres choix que de s'appuyer sur des infrastructures de stockage inadaptées et pas optimisées pour le traitement des Big Data. Notamment, elles écartaient le partage des données, une fonction capitale pour l'exploration des gros volumes d'informations. L'intégration du protocole HDFS (Hadoop Distributed File System) avec la solution de stockage NAS d'EMC Isilon « élimine les problèmes d'intégration des divers composants Open Source avec le matériel. » Cela signifie que les clients peuvent désormais profiter des avantages de fonctionnalités analytiques des Big Data sans avoir besoin de chercher à adapter et à intégrer des produits issus de multiples fournisseurs. « L'intégration du HDFS supprime également le seul point d'achoppement inhérent à la plate-forme Open Source Hadoop Apache traditionnelle », a indiqué EMC.
La firme prévoit de combiner son offre NAS Isilon avec son propre système d'analyse Open Source Greenplum HD. Elle pense que cette solution aidera également à réduire la complexité des déploiements Hadoop. « La solution Isilon permet aux clients de relier Hadoop et ses fonctionnalités intégrées directement à un flux d'analyse de données structurées, sans avoir besoin de déplacer les données », a expliqué Luke Lonergan, CTO de Greenplum. « Cette combinaison améliore la collaboration et accélère l'analyse des données. Nos clients peuvent ainsi mettre en évidence certains résultats plus rapidement. Ils sont donc plus efficaces et disposent d'un avantage sur leurs concurrents. » EMC affirme que Isilon est la seule plate-forme de stockage NAS à intégrer le protocole HDFS en natif. Celui-ci est compatible avec de nombreux protocoles standards de l'industrie (NFS, CIFS, FTP, HTTP) et permet à l'entreprise d'avoir la main sur la protection, le stockage et le déplacement rapide des données.
Evangéliser autour d'Hadoop au sein des entreprises
Conçu à l'origine pour aider les projets de recherche à grande échelle, Hadoop trouve de plus en plus sa place au sein des entreprises. En particulier quand la quantité de données à traiter dépasse la capacité des bases de données relationnelles classiques. Mais aussi quand une entreprise recueille de grosses quantités de données sans savoir encore quel type d'analyses elle doit leur appliquer pour en tirer des résultats. JPMorgan Chase utilise cette technologie pour la détection des fraudes et la gestion des risques. De son côté, eBay y recourt pour construire un nouveau moteur de recherche pour son service d'enchères.
Fonctionnelle depuis six ans, la plate-forme Hadoop n'est disponible en version 1.0 que depuis fin 2011. Cependant, la technologie bénéficie déjà de nombreux soutiens sur le plan commercial. Des startups comme Cloudera, Hortonworks - une émanation de Yahoo ! - et MapR proposent toutes des distributions commerciales du logiciel. IBM a intégré Hadoop dans son pack d'analyse de données InfoSphere BigInsights et Microsoft fait tourner une copie de Hadoop sur son service cloud Windows Azure. « Dès que les entreprises seront convaincues que l'adoption de Hadoop pourra simplifier leur infrastructure et leur architecture et qu'elle leur permettra de gérer et partager leurs données en toute sécurité, la plate-forme Open Source va changer la donne dans le secteur de l'analyse des données non structurées », a déclaré Sam Grocott, vice-président du marketing chez EMC Isilon. « Nous pensons que cette solution, qui associe les capacités des systèmes en scale-out NAS Isilon avec l'écosystème Hadoop en offrant des fonctions d'analyse des données sur une plate-forme de stockage, va accélérer le déploiement d'Hadoop à l'échelle de l'entreprise. »
Sopra Group veut renforcer ses activités au Royaume-Uni
Trois jours avant de présenter ses résultats financiers pour l'année 2011, la SSII française Sopra Group annonce son intention de renforcer ses activités outre-Manche par deux acquisitions. L'une porte sur la filiale britannique de Business & Decision qui intervient dans les domaines du décisionnel, du CRM (gestion de la relation client) et du e-business sur plusieurs secteurs (services financiers, distribution, secteur public, transports). L'autre projet de rachat concerne l'activité de Tieto consacrée aux services financiers sur le marché britannique. Ces deux entités ont respectivement réalisé un chiffre d'affaires de 26 M€ et 22 M€ en 2011, précise Sopra dans un communiqué.
Sur les neuf premiers mois de l'année dernière, la France pesait toujours plus de 80% du chiffre d'affaires de la SSII française, soit 632,4 millions d'euros sur un total de 769,8 M€. Les deux projets d'acquisition pourraient être finalisés au cours de ce trimestre, sous réserve des autorisations réglementaires requises. Les activités rachetées seront intégrées à la filiale britannique de Sopra Group. Cette dernière a réalisé un chiffre d'affaires de 58 millions d'euros environ pour l'année 2011.
Le système de paiement sans contact Google Wallet vulnérable
Après une première faille permettant de contourner le code PIN du service sur des Nexus rootés (technique pour obtenir les droits d'administration sur le terminal) découverte par Joshua Rubin, chercheur chez Zvelo Labs, le site Smartphone Champ a dévoilé jeudi dernier un trou majeur de sécurité dans la solution de paiement mobile NFC Google Wallet sans avoir besoin de rooter le smartphone. La méthode utilisée donne accès à la carte prépayée Google lorsque les utilisateurs réinitialisent leur code PIN. Le blog a découvert la faille en remarquant que la carte était non pas connectée au compte Google de l'utilisateur, mais à son smartphone.
En fait, si un hacker vole votre téléphone et efface les données sur Wallet Google, il n'a qu'à se connecter de nouveau à l'application et entrer un nouveau code PIN pour se voir attribuer un compte. Il n'aura pas besoin de placer sa propre carte prépayée Google sur son terminal, car il aura directement accès à la carte d'origine de l'utilisateur.
Passer par le support pour désactiver la carte
« Google Prepaid n'est pas relié à votre compte, il est en fait rattaché à votre smartphone, c'est pourquoi si vous changez de terminal mobile, vous devez appeler le réseau Money Network lorsque vous basculerez sur un nouveau dispositif », conseille le bloggeur Hashim dans une vidéo publiée sur Smartphone Champ. Il semblerait, par ailleurs, que ce trou de sécurité soit relativement important ».
Le Californien a indiqué qu'il était conscient de la faille et qu'il travaillait actuellement sur une solution qui sera bientôt disponible. Dans un courriel adressé à Android et Me blog, la firme a également précisé que « toute personne qui perdrait ou souhaiterait vendre son smartphone pouvait appeler les équipes de support de Google Wallet sans frais pour désactiver la carte prépayée.»
Annoncé au printemps 2011, Google Wallet permet de faire des achats, échanger des coupons et accumuler des points simplement en agitant, devant un lecteur spécial, un smartphone compatible avec la technologie NFC (Near Field Communication). La plateforme, qui a fait ses débuts sur le réseau de Sprint avec le smarphone Nexus S 4G sera bientôt disponible sur d'autres terminaux basés sur Android.
Le paiement sans contact est devenu l'une des caractéristiques principales des smartphones depuis que Google a l'activé pour son système d'exploitation Android avec Android 2.3 ("Gingerbread") dont la mise à jour a été effectuée l'an dernier. La société de paiement en ligne PayPal a également développé une application NFC qui fonctionne sur le smartphone Nexus S
En France, dans le cadre de l'initiative Payez mobile, opérateurs, acteurs du secteur bancaire ont des réflexions sur le déploiement de cette technologie. Récemment, la ville de Nice a été la pionnière en la matière, avant Strabourg, en septembre 2011.
(...)
Le marché des tablettes va se segmenter selon Context
Selon les chiffres analysés par le cabinet Context, spécialisé dans l'analyse de marché IT, la domination d'Apple sur le marché des tablettes ne faiblit pas, au contraire. Ainsi, en Europe de l'Ouest, les parts de marché d'Apple auraient encore augmenté pour culminer à 88% au dernier trimestre 2011 (contre 76% au troisième trimestre 2011). Parmi les facteurs pouvant expliquer ce succès, la popularité de l'iPhone 4s, qui propose des synergies encore renforcées avec l'iPad. En effet, note le cabinet d'analyse, le choix des consommateurs se porte en premier lieu sur des tablettes proposant un écosystème bien intégré et un accès facile aux contenus.
Selon Context, les dernières tendances concernant la vente de tablettes laissent entrevoir l'émergence d'une industrie bi-polaire reposant sur le prix, avec d'un côté des produits « de luxe » et de l'autre des appareils standard. Le cabinet d'analyse voit en revanche peu de place pour une gamme intermédiaire (segment de prix entre 300 et 500 euros) durant l'année 2012, et la bataille annoncée entre l'iPad 3 et le Kindle semble devoir renforcer cette tendance.
« Nous projetons par ailleurs que la vente de PC traditionnels va rebondir aux 3e et 4e trimestres 2012, avec l'arrivée de Windows 8 et de l'écosystème assorti » relève encore Salman Choudhry. Le cabinet prévoit en outre que les fabricants vont accélérer la mise sur le marché de produits hybrides, à la frontière entre tablettes et laptops, à l'image de l'Eee Pad transformer, ce qui facilitera leur incursion dans le monde de l'entreprise.
ICTjournal.ch
TF1 révise son décisionnel RH avec Microstrategy
Le groupe TF1 a déployé en janvier 2010 le projet Sigma sous SAP pour unifier sa gestion au niveau groupe, toutes activités confondues. Il manquait cependant un outil complet de pilotage des ressources humaines disponible sous divers environnements, notamment les tablettes voire les smartphones pour la direction du groupe.
Au départ, la DRH groupe disposait de rapports sous SAP BW (Business Warehouse) créés dans le cadre de Sigma mais ceux-ci n'étaient ni souples ni ergonomiques. Par ailleurs, il existait une application de tableau de bord, faite maison et avec des données devant être intégrées ponctuellement. L'ensemble n'était disponible que pour les personnels de la DRH sur les PC. L'objectif poursuivi était d'obtenir, sur tous les terminaux, un rafraîchissement au minimum quotidien des données et une ergonomie avancée avec un usage aisé sans besoin de formation particulière.
Par ailleurs, TF1 a signé la Charte de la Diversité. L'outil décisionnel devait permettre de contrôler que ses dispositions étaient respectées tant sur le recrutement que sur la politique de rémunération.
Une cinquantaine d'utilisateurs étaient concernés. Les opérationnels de la DRH devaient accéder à l'outil via le portail applicatif sur PC, le comité exécutif RH autant par le portail applicatif que sur tablettes et le comité directeur essentiellement sur tablettes.
Un projet baptisé REVE
Le projet, nommé REVE (Reporting EVErywhere), se devait d'être global au niveau groupe, fiable, pérenne et surtout sécurisé. « Les données intègrent des informations extrêmement sensibles, notamment les salaires des vedettes de la chaîne » souligne Dan Malka, chef de projet informatique détaché à la DRH groupe. Environ 90% des données pouvaient être récupérés via SAP BW car elles étaient disponibles dans Sigma. Le solde était constitué de données intégrables (fichiers Excel...).
Deux produits ont été examinés pour compléter SAP BW et atteindre tous les objectifs. Le premier, logiquement, était SAP BO (Business Object), le second, Microstrategy.
Le groupe TF1 dispose en interne d'une expertise sur BO XI 3 mais la version 4 avait été recommandée, bien que manquant de maturité, pour correspondre aux attentes en termes de multi-terminal. BO bénéficiait d'une intégration évidente dans SAP et la version 3 aurait coûté moins cher que toute autre solution, car déjà présente sur le système d'information du groupe. La version 4 supposait en effet de racheter des serveurs et des licences.
Cette nécessité de rachat de serveurs et de licences constituait le handicap majeur pour Microstrategy. Mais, à l'inverse de BO, l'accès multi-terminal y était déjà mature et l'intégration de l'ensemble des outils de l'écosystème ne posait aucun souci. Enfin, les fonctionnalités avancées et métier plaidaient aussi en faveur de cet outil qui a été finalement choisi.
Deux étages : SAP BW et Microstrategy
SAP BW et SAP HR (human Ressource) ont été maintenus, avec une intégration confiée au prestataire habituel du groupe TF1, Northgate Arinso. La couche Microstrategy (version 9.2.1), elle, a été intégrée par Censio. Les métadatas propres à Microstrategy ont été mises en place dans un serveur MS SQL 2008. La connexion Microstrategy/SAP repose quant à elle sur Microstrategy Intelligence Server.
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SAP BW a été conservé pour sa partie intégration des données, le stockage/archivage, le datawarehousing et les cubes associés aux quelques requêtes de base. Microstrategy se base sur les requêtes BW (et pas sur les cubes pour améliorer les performances) pour construire les rapports, disponibles sans redéveloppement quel que soit le terminal. « On peut cependant prévoir d'ajouter la prise en charge de certains apports des tablettes ou des smartphones (géolocalisation GPS, accéléromètre, commande tactile...) dans les rapports affichés sur ces outils » relève Dan Malka.
Le socle de REVE a été construit de janvier à septembre 2011. Des tableaux de suivi des rémunérations ont été ajoutés dans un deuxième lot, de juillet à novembre 2011. Un troisième lot a permis de piloter la campagne annuelle de réévaluation des salaires, avec intégration des propositions des managers opérationnels saisies via l'intranet. Enfin, un projet d'industrialisation a été mené de décembre 2011 à janvier 2012.
Des bonnes pratiques à respecter
Plusieurs règles ont été adoptées pour s'assurer de la performance de l'ensemble. La première a été de gérer trois niveaux dans la mise en place d'une évolution de l'outil : développement, pré-production et production. Le passage d'une évolution d'un niveau au suivant se fait par simple glisser-déposer dans Object Manager de Microstrategy. Dan Malka préconise : « une bonne pratique est de bien sauvegarder ses métadatas Microstrategy avant toute manipulation de ce genre ».
Par ailleurs, la connexion des tablettes s'effectue en respectant strictement les règles de la DSI groupe (VPN/HTTPS sur les connexions WiFi ou 3G...). Cela implique un paramétrage fin qui est malheureusement perdu en cas de mise à jour du coeur applicatif.
Le bilan est cependant largement positif pour les utilisateurs métier. Ceux-ci se sont largement impliqués dans le développement de l'outil, via des allers-retours entre métiers et informaticiens. Malgré tout, le raccordement de la BI RH et de la BI finances (sous SAP BW) n'a pas été de tout repos.
Le budget du projet n'a pas été communiqué.
Annuels Sodifrance : Bon deuxième semestre et recrutements à venir
Après un premier semestre 2011 médiocre, au cours duquel son chiffre d'affaire n'avait progressé que de 0,3%, Sodifrance a rattrapé son retard pendant la seconde moitié de l'année avec une activité en hausse de 16,8%. Au final, le chiffre d'affaire annuel de la SSII s'est établi à 68,2 M€, soit une hausse de 8,2% sur un an. Une performance plus qu'honorable que la SSII qualifie de près de quatre fois supérieure à la croissance du secteur sur lequel elle évolue.
En conséquence, le taux d'activité des consultants de l'entreprise a progressé de près de 3 points à 87% comparé à 2010. Cette hausse du taux d'occupation des collaborateurs s'est opérée pendant que ses effectifs progressaient de 6,3% pour atteindre 925 personnes, réparties sur 12 implantations, au 31 décembre 2011. Cette année, les objectifs de recrutement de la SSII sont encore plus ambitieux puisqu'elle compte accroître ses équipes de 150 personnes, 80 devant la rejoindre sur la zone Paris-Île-de-France et le reste en région.
Annuels Alcatel-Lucent : une amorce de redressement
Alcatel-Lucent publie ses résultats annuels 2011, le chiffre d'affaires se monte à 15,33 milliards d'euros en recul de 2,1%. Toutefois, le résultat net est positif à 1,1 milliard d'euros (contre une perte de 334 millions d'euros en 2010), c'est la 1ère fois depuis la fusion entre Alcatel et Lucent en 2006 que la société y parvient. Ben Verwaayen, arrivé aux commandes il y a un peu plus de 3 ans met en avant d'autre éléments positifs. Par exemple une progression de sa marge opérationnelle ajustée sur 2011 et une trésorerie nette positive en 2012.
Alcatel-Lucent est tout de même dans une situation encore tendue. La société vient de démentir vouloir supprimer 1 800 emplois, comme un syndicat français le supposait. Elle parle de déployer des postes. L'équipementier va également mettre sur le marché son portefeuille mondial de brevets, offrant l'accès à ses 29 000 brevets à travers une syndication de licences formée par la société RPX. Alcatel-Lucent reste dans cette formule propriétaire des brevets. Ben Verwaayen a indiqué vouloir engager des économies supplémentaires, de 200 millions sur les coûts fixes et de 300 millions d'euros sur les coûts variables en 2012.
Les soldes d'hiver sur Internet progressent selon la Fevad
A quelques jours de la fin des soldes d'hiver le 14 février, les Français se sont déjà montrés friands des bonnes affaires proposées sur Internet. Selon le bilan de la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance), les ventes des cybermarchands ont progressé de 9% lors des quatre premières semaines de soldes, comparées aux mêmes en 2011.
Avec la chute des températures, les internautes se sont rués sur les bonnes affaires, qui arrivaient à pic puisqu'il s'agissait des soldes d'hiver. Le chiffre d'affaires des ventes d'habillement vêtements a augmenté de 10% au cours des quatre premières semaines.
Néanmoins, les Français n'ont pas fait de folies et ont stabilisé leur panier d'achat. Le coût moyen de ce dernier s'est établi à 109€, en hausse de 1%. Côté vêtements, le budget moyen représente 76€ (+3%).
(...)(13/02/2012 10:21:44)L'assistant vocal Angie veut concurrencer Siri d'Apple
Question pratique, recherche ou encore traduction : l'application Angie, disponible sous Windows Phone, a réponse à tout et se présente comme une possible alternative à Siri, l'assistant vocal intelligent d'Apple, présent sur l'iPhone 4S. De son côté, Angie est destiné à être multiplateforme et à fonctionner sous tous les systèmes d'exploitation mobiles, y compris iOS.
Une application hexagonale
La société française xBrainSoft, qui a développé Angie, a présenté son application dans le cadre des Tech.days en partenariat avec Microsoft. Elle est disponible en téléchargement gratuitement sur MarketPlace, en attendant sa conversion vers d'autres systèmes d'exploitation. Le PDG de xBrainSoft a fait plusieurs démonstrations de l'assistant vocal lors de l'évènement, comme trouver une borne de taxi la plus proche ou calculer le plus court chemin pour aller à un endroit.
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