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(09/03/2012 10:31:16)
D2B ajoute Sybase SQL Anywhere à son offre infrastructure
Le grossiste D2B a signé un accord de distribution avec Sybase pour commercialiser SQL Anywhere, une suite logicielle qui intègre des technologies de gestion, de synchronisation et d'échange de données pour développer et déployer des applications de base de données dans des environnements distants et mobiles.
Jusqu'ici, la filiale de SAP commercialisait sa solution en direct auprès des revendeurs. En la confiant à D2B, elle permet au grossiste, très présent sur les marchés du stockage et de la sécurité, de concrétiser sa volonté d'élargir son offre dans le domaine des outils d'infrastructures. Jusqu'ici, celle-ci ne comportait que la solution Diskeeper (défragmentation de disques durs) référencée il y a moins d'un an par D2B (...)
Annuels Neurones : 18,2% de croissance organique en 2011
C'est peu de dire que Neurones sur performe le marché, avec 18,2% de croissance organique elle est très loin des 2,7% de progression globale des SSII. Le chiffre d'affaires (CA) s'élève à 283,3 millions d'euros (ME) contre 239 ,6 un an auparavant. Le résultat opérationnel se monte à 26,3 ME, soit 9,3% du CA. Le résulta net est de 17 ME, le résultat net part du groupe de 14,8 ME. (...)
(09/03/2012 10:20:42)Econocom a intégré ECS en 15 mois
«Cette opération est derrière nous ». En quelques mots, Bruno Lemaistre, l'un des deux directeurs généraux d'Econocom aux côtés de Jean-Philippe Roesch, règle le cas ECS. Au plan opérationnel, la fusion est maîtrisée, Econocom a l'habitude avec 15 rachats en 10 ans. Financièrement parlant, l'opération semble également terminée, pour preuve la société a emprunté 240 ME au moment de ce rachat, aujourd'hui, elle est totalement désendettée.
L'ensemble des résultats financiers est d'ailleurs positif. Le chiffre d'affaires annuel 2011 s'élève à 1,58 milliard d'euros, la société anticipait 1,4. « L'activité commerciale s'est révélée meilleure que prévue », commente Galliane Touze, secrétaire générale. L'apport de synergies, prévu par le rapprochement avec ECS est plus élevé qu'anticipé , avec 66,6 ME d'économies, 44% de plus que ce qui était prévu.
En pro forma, la croissance est de 1%. La société anticipait une tendance négative. En fait, elle s'est désengagée de deux activités d'ECS jugée non stratégiques, l'une sur les petits comptes (-de 500 salariés chez Econocom), l'autre avec des contrats de location entraînant des recours contre le groupe. C'est 60 ME qui sont sortis du périmètre. A périmètre comparable, sans ces 60 ME, la croissance est de 5%.
Les chiffres de la rentabilité
La rentabilité se vérifie avec un résultat opérationnel courant de 66,6 ME, contre 47,5 sur 2010. Le résultat opérationnel s'élève à 46 ME, à 64,6 retraité des éléments non récurrents, le résultat net part du groupe se situe à 21,5 ME, 41,6 ME retraité des éléments non récurrents, contre 28,8 lors de l'exercice précédent.
Econocom souligne également plusieurs éléments montrant l'équilibre de ses comptes. Equilibrage géographique, par exemple. Avec l'apport d'ECS, Econocom est davantage présente en Europe du sud et en Europe du nord. La France représente la moitié du CA. Le premier client ne réalise que 3,5% du CA, pas de dépendance donc.
Surtout, la société est désendettée. En octobre 2010, pour le rachat d'ECS, elle avait emprunté 240 ME. Aujourd'hui, elle affiche un désendettement net. La trésorerie brute, à 218 ME fin 2010, se retrouve à 145 ME fin 2011.
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Econocom se base toujours sur trois activités : distribution, services et location, mais en ajoute de nouvelles. On connaissait Everpad, une offre destinée à vendre des tablettes Apple iPad aux entreprises. Econocom a été la première en Europe à obtenir cet accord. 25 000 tablettes sont aujourd'hui vendues (et financées). NeverStop, offre venue d'ECS permet à l'aide d'un boîtier d'assurer à distance la maintenance réseau. Enfin, myBaas assure la sauvegarde sécurisée des données, c'est une offre issue d'un partenariat noué avec EMC.
En plus de ces trois offres proprement dites, Econocom ouvre deux nouveaux fronts. Un en rapport avec son métier classique de gestion de parcs, l'autre très novateur. La société est sur la virtualisation du poste de travail et de serveurs, elle a pris 40% du capital d'une start up belge spécialisée sur ce thème, Centix. Par ailleurs, Econocom, qui a ouvert un digital center à Paris, planche sur le thème des objets communicants.
La société est à l'affut de nouvelles acquisitions, forte de sa bonne santé financière et de sa capacité à intégrer. Manifestement, le temps n'est plus aux acquisitions de taille mais plutôt à des structures plus légères. Dans le leasing, où les banques veulent se défaire de leurs filiales moins stratégiques ? Dans la virtualisation du poste de travail et des serveurs ? La réponse ne saurait tarder, avec une année 2012, où Econocom anticipe un très prudent CA de 1,6 ME et un ROC de 70 ME. (...)
Dossier HPC : La course aux flops dopée aux GPU
Plus de 8% de croissance par an est attendu en Europe pour le marché du HPC (High Performance Computing ou Calcul haute performance) jusqu'en 2015 (source Intersect360 Research) : ce secteur ne connaît pas la crise ! Et pour cause, les besoins de performances pures ne cessent de croître dans les entreprises. Entre la finance, le cinéma, l'industrie, la santé, les universités, etc., tous les secteurs d'activités aujourd'hui réclament de la puissance de calcul pour des solutions d'ingénierie en 3D, de la simulation, des applications médicales et financières.
Bref, le supercalculateur n'est plus seulement réservé au calcul scientifique dans les grands centres de R&D. Ce marché dominé historiquement par IBM et Bull en Europe et en France attise la concurrence des fabricants, mais aussi celle des fondeurs et leurs architectures. On assiste ainsi à une discrète bataille entre les CPU d'un côté et les GPU de l'autre. Aujourd'hui, les CPU dominent, mais les projets de machines HPC combinant peu de CPU et beaucoup de GPU poursuivent leur croissance. (...)
Les actifs de Syn'Actives repris par OpenIP
Fin de partie pour Syn'Actives, opérateur télécoms nantais, lancé en 2007. Sa liquidation judiciaire a été prononcée le 25 janvier dernier. OpenIP reprend les actifs de cet opérateur , actif sur l'ouest avec une antenne à Vannes. Syn'Actives réalisait 0,46 million d'euros de chiffre d'affaires en 2011. OpenIP pour sa part était à 3,7 ME de CA en 2011, contre 2,6 l'année précédente. (...)
(09/03/2012 09:57:01)L'e-learning pour renforcer les formations chez Vinci Energies
Vinci Energies est issu du rapprochement de plusieurs entités du groupe Vinci et de Cegelec, racheté en avril 2010. Il se comporte comme une fédération de 1500 PME dans 38 pays regroupant 60 000 collaborateurs (soit une moyenne de 40 par entité, dont 30 000 équipés d'informatique). Il génère un chiffre d'affaires consolidé de 8,6 milliards d'euros dans des activités d'ingénierie et de services en électricité/télécoms (courants faibles et forts), climatisation, etc. Il peut être amené autant à poser des pylônes le long de lignes TGV qu'à équiper en réseaux une PME industrielle ou un immeuble d'habitation.
La formation des collaborateurs est pour l'entreprise un élément fondamental. Il dispose pour cela de l'Académie Vinci Energies qui réalise plus de 600 sessions de formations par an. Si l'Académie propose déjà une formation présentielle sur l'entretien de négociation commerciale, elle a souhaité compléter celle-ci par une formation en ligne à distance pour en accroître l'efficacité. Cette formation, tant dans sa partie en ligne que pour sa partie présentielle, est en deux parties : des rappels théoriques d'une part, une simulation d'entretien de l'autre. L'ensemble repose sur « les cinq règles d'or de la négociation » et forme autant à la préparation de la négociation qu'à sa conduite.
La formation en e-learning a été conçue spécifiquement par KTM Advance. Elle simule l'ensemble du processus par le biais d'un jeu de simulation de type « serious game ». Son côté ludique est là pour en renforcer encore l'efficacité. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)
Une serious game pour préparer les entretiens annuels d'évaluation chez EDF
Avec plus de 100 000 salariés en France, EDF est un des plus grands employeurs du pays. Il doit comme tel organiser les entretiens d'annuels d'évaluation de chaque collaborateur. La société souhaitait que chaque salarié s'implique davantage dans cet exercice. L'entretien annuel d'évaluation devait devenir un moment-clé de la vie du salarié dans l'entreprise.
La société avait déjà eu recours à une solution de serious game pour ses managers proposée par l'éditeur Daesign. L'objectif de ce module était de former les managers à la conduite de l'entretien annuel d'évaluation.
La direction commerce d'EDF a donc décidé de recourir à une nouvelle version du même serious game destinée cette fois aux salariés. Contrairement à d'autres serious games exécutés uniquement en ligne, celui-ci s'insère comme fil rouge d'une formation présentielle. Il est cependant également mis à disposition en exercice d'auto-entrainement.
Après des sessions pilotes au bilan satisfaisant, l'outil est actuellement en cours de déploiement. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)
SAP présente son appliance in-memory HANA à ses clients français
SAP France passe aux choses sérieuses avec HANA. Cette appliance, qui associe la technologie logicielle de l'éditeur à une infrastructure matérielle apportée par des partenaires constructeurs (HP, IBM, Siemens, Fujitsu...), vient donner un énorme coup d'accélérateur à l'analyse d'importants volumes de données montées en mémoire vive. Une performance permise par la baisse de coût importante sur le prix des mémoires vives au cours des années et les avancées technologiques. Les temps de réponse des applications décisionnelles s'en trouvent très sensiblement réduits, quelquefois de façon spectaculaire. Les clients en production font état de performances multipliées par 1 000, 10 000, ou davantage. Mais, bien au-delà des applications de Business Intelligence, SAP a l'ambition de mettre HANA au service de l'ensemble de ses applications de gestion et, à terme, de l'imposer en lieu et place de la base de données. L'éditeur mise énormément sur cette solution promue par Hasso Plattner, l'un des co-fondateurs historiques de la société, qui l'a présenté pour la première fois en mai 2009.
Ce matin, à Paris, les équipes françaises de SAP ont déroulé les apports de la solution à plusieurs dizaines de clients. Avec HANA, « SAP revoit la pile logicielle classique telle que vous la connaissez et la simplifie en mettant tout en mémoire », a rappelé Jean-Michel Jurbert. « Ce n'est pas seulement une base de données en mémoire mais une plateforme applicative in- memory pour des données venant d'autres systèmes que SAP ».
Provimi n'était pas satisfait des performances de BW
Les utilisateurs de la solution de datawarehouse BW figurent parmi les premiers clients à pouvoir profiter des bénéfices de HANA. C'est le cas de Provimi, invité ce matin à expliquer de quelle façon l'installation de l'appliance a amélioré ses temps de réponse. Un projet mené tambour battant en trois semaines. Ce spécialiste mondial de la nutrition animale (racheté par Cargill) gère 67 usines dans le monde. Il a uniformisé sa gestion autour de SAP (modules MM, SD, FI, COPA, logistics et applications VIM, GRC, Quality Management et CRM). Avant HANA, la chaîne de reporting qu'il avait mise en place s'appuyait sur BW comme source d'information principale. D'un point de vue plus stratégique, la direction de Provimi utilise BPC [Business Planning & Consolidation], logiciel de planification et de consolidation financière.
Mais tout le monde accède aux mêmes valeurs de stocks quels que soient les outils que l'on utilise, qu'il s'agisse de BW, d'ECC [les modules de l'ERP] ou de BPC, il n'y a qu'une vérité », explique Jean-Charles Valette, directeur du contrôle de gestion de Provimi. Le projet lié à BW visait à répondre aux questions du management et à détecter de nouvelles tendances dans le business pour réagir rapidement et gagner des parts de marché. « Mais nous n'en avions pas tiré les bénéfices escomptés, relate Jean-Charles Valette. Il nous fallait parfois cinq minutes pour récupérer les résultats d'une requête (et il fallait généralement enchaîner une vingtaine de requêtes). En clôture mensuelle, nous perdions également beaucoup de temps. L'état des stocks et des commandes n'était pas disponible en temps réel. De plus, nous avions mis du temps pour installer BW et nous devions passer par la IT pour disposer de nouveaux indicateurs clés ou adapter nos requêtes à d'autres demandes ».
Des temps de réponse tombés à 5 ou 10 secondes
Provimi gère 100 millions de données dans SAP. La société savait qu'en les exploitant bien, elle pouvait récupérer des informations « colossales » pour prendre des décisions. « En octobre, nous sommes allés à Walldorf [siège de l'éditeur en Allemagne]. Trois jours plus tard, SAP nous a montré ce qu'ils pouvaient faire avec nos données », poursuit Jean-Charles Valette. Un environnement de test est développé avec une quinzaine de dimensions. « C'était déjà très rapide, nous obtenions des réponses en 5 à 10 secondes. Nous avons décidé de mettre HANA en place ». Ce qui s'est fait avec l'appui de Capgemini. « En trois semaines, nous avions un pilote live ».
Le 13 octobre 2011, l'appliance arrive dans le datacenter de Provimi, quinze jours plus tard, toutes les tables de production utiles étaient dans HANA. Les premiers utilisateurs de HANA (douze personnes) donnent un feedback immédiatement positif, appréciant notamment l'interface conviviale de Business Objects Explorer (BOE). Les résultats ne se font pas attendre. Provimi réussit à la fois à générer des revenus et à réduire ses coûts. Le directeur du contrôle de gestion explique comment des niveaux de stocks anormalement élevés ont pu être identifiés, ce qui a permis de les réduire de 2 millions d'euros.
« Nous attendons aussi de gros bénéfices sur notre clôture mensuelle, avec un objectif de trois jours ouvrés, ce que ne permet pas notre chaîne de reporting pour l'instant », ajoute Jean-Charles Valette. « Nous sommes encore en phase de pilote dans HANA, il y a encore à développer. » Jusqu'à peu, par exemple, il n'était pas possible de disposer de données consolidées dans une monnaie de référence. « Nous allons faire dans HANA des traitements que nous ne pouvions pas envisager dans BW ». Mais HANA n'a pas encore toutes les fonctions actuellement accessibles dans BW. En complément, Capgemini explique que HANA a été mis en place sur BPC, la réplication s'effectuant dans l'appliance en temps réel depuis ECC, le reporting étant réalisé sur cette base.
En frontal de l'appliance HANA, le logiciel d'exploration des données BO Explorer offre une interface facile à manipuler (source : https://www.experiencesaphana.com/community/try)
Shadow, l'outil de développement web mobile gratuit d'Adobe
L'outil Shadow d'Adobe permet de naviguer en même temps sur le bureau d'un ordinateur et un terminal mobile. Pour les designers, l'application va faciliter le test de leurs productions et de contrôler les mises à jour de leurs sites. Selon Adobe, l'outil est capable d'effectuer la révision et le débogage de manière plus efficace, du fait que les concepteurs pourront visualer le comportement de chaque modification sur tous les appareils cibles simultanément. « Shadow est destiné aux concepteurs web front-end, - autrement dit l'intégrateur HTML - et aux développeurs qui souhaitent offrir de meilleures expériences web mobile, » a déclaré Bruce Bowman, chef de produit senior du pôle Digital Media Business d'Adobe. « L'outil leur permet de connecter différents périphériques mobiles à leur ordinateur. Shadow synchronise la navigation sur l'ordinateur et celle sur les dispositifs connectés. L'outil fait une inspection et un débogage à distance. » Le client Shadow existe client à la fois pour Mac et Windows, supporte iOS et Android, et analyse les workflows HTML, CSS et JavaScript. Le logiciel fonctionne via une extension du navigateur Chrome. Le client n'est pas réservé aux programmes d'Adobe, et peut être utilisé avec n'importe quel outil de développement.
Voir et inspecter
Shadow permet aux développeurs de pointer les erreurs, de tester de nouvelles idées et mises en page, et de voir les changements en temps réel sur les terminaux mobiles connectés. Celui-ci fonctionne en WiFi et reconnaît tous les périphériques connectés au même réseau. L'outil permet de suivre les changements rapides qui se produisent dans le domaine du développement, les nouveaux terminaux, les mises à jour des systèmes d'exploitation et les différentes versions de navigateurs.
Les niveaux de fonctionnalités varient selon le navigateur, quelques-uns comportent de nouvelles technologies, en avance sur les règles du W3C, ce qui suppose un contrôle constant pour s'assurer que le site web fonctionnement bien sur tous les support, ou au moins qu'il subit des impacts supportables. La fonction d'inspection de Shadow permet aux utilisateurs de réaliser la plupart des ajustements depuis leur ordinateur sans avoir à interagir avec les périphériques. Adobe explique que, alors qu'aujourd'hui, la plupart des développeurs travaillent selon la méthode des essais et des erreurs, Shadow leur permet de contrôler toutes les révisions depuis un ordinateur unique. « Plus le développeur web peut garder les yeux fixés sur son propre écran et ses mains sur sa propre souris, sans avoir à manipuler d'autres appareils, plus il peut être efficace », a déclaré Bruce Bowman. « Shadow permet le contrôle à distance des terminaux mobiles. Il n'y a dans ce mode fonctionnement aucune ambiguïté, aucun hasard, juste des outils d'édition précis. »
Une meilleure navigation avec le HTML 5
Comme pour les autres outils de développement web d'Adobe Labs, Edge, Muse, et Wallaby, Shadow s'inscrit dans la politique de l'éditeur qui consiste à promouvoir des produits HTML 5, et à prendre sa distance avec les sites mobiles basés sur Flash. Cette orientation est cohérente avec la position d'Adobe qui veut s'éloigner de la plate-forme Flash pour la création de contenu pour les terminaux mobiles. Contrairement à des applications natives développées avec des langages de programmation comme Xcode et Objective C, Shadow cible le web comme une plate-forme, de sorte que toute personne qui code avec du HTML 5, du CSS et JavaScript peut profiter du nouvel outil de développement web d'Adobe.
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Le logiciel client est disponible pour Mac et Windows, et comporte des extensions pour les teminaux mobiles, plus une extension pour le navigateur Chrome de Google. Une fois que tout est installé sur chaque appareil cible, l'utilisateur peut se connecter, naviguer, et se synchroniser avec l'ordinateur de bureau via la navigation synchronisée. Il suffit de taper un code d'autorisation sur le terminal pour accepter la connexion avec l'ordinateur et accéder au contrôle à distance et à la navigation synchronisée. Shadow est compatible avec Webkit, le moteur de rendu open-source intégré aux navigateurs Safari d'Apple et Chrome de Google, ainsi que les navigateurs sous iOS et Android. Il est compatible avec les iPad, iPhone et iPod Touch tournant sous iOS 4 et suivants.
Des origines Open Source
Shadow est basé sur le logiciel Open Source Weinre (Remote Web Inspector). Pris tel quel, il faut une certaine habileté pour utiliser Weinre. Cependant, Shadow a été doté d'une interface front-end qui atténue sa complexité, si bien que les concepteurs n'ont pas besoin d'avoir des connaissances en développement pour l'utiliser. Une fois installé, les utilisateurs voient immédiatement et simultanément sur les terminaux les changements appliqués dans le design ou le code. Adobe a connecté et testé environ 20 terminaux simultanément, et selon l'éditeur, le nombre d'appareils est illimité. « C'est une économie de temps réelle. Aujourd'hui les développeurs doivent manipuler en permanence le terminal, charger une URL longue, taper son adresse sur un minuscule clavier. Et ils doivent le faire sur chaque appareil qu'ils veulent tester, » a fait valoir le chef de produit senior du pôle Digital Media Business d'Adobe. « A chaque fois qu'ils font des modifications, ils doivent réactualiser chaque navigateur. Ils passent leur temps à rafraîchir les navigateurs. C'est pénible et ennuyeux. Shadow va s'occuper de tout ça maintenant. »
La version finale de Shadow devrait être disponible sur l'Adobe Store au cours du second semestre 2012. L'application sera également disponible sur l'iTunes Store et l'Android Market. La version desktop commerciale sera payante, mais Adobe n'a pas encore indiqué son prix. Enfin Shadow sera également disponible sous forme d'abonnement sur le nouveau service Creative Cloud d'Adobe, lequel devrait être lancé avant la fin du premier semestre de cette année.
On peut trouver plus d'informations sur Shadow sur le site web d'Adobe. L'éditeur a demandé aux utilisateurs de donner leur avis sur le produit avant sa sortie commerciale.
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