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(04/04/2012 13:36:33)
Analyse prédictive : SAP veut concurrencer SAS et IBM
Avec son application Business Objects Predictive Analysis, SAP espère faire une intrusion sur le marché du logiciel d'analyse prédictive. L'application est actuellement en phase de « pré-lancement», un terme utilisé par SAP pour désigner une sortie très contrôlée. L'application comporte un ensemble d'algorithmes prédictifs et sait également traiter les algorithmes écrits avec le langage Open Source R pour l'analyse statistique.
L'analyse prédictive diffère de la BI (business intelligence) traditionnelle. Au lieu de faire tourner des rapports statiques sur les ventes ou les niveaux des stocks, le logiciel explore et modélise les données d'entreprise, il établit des corrélations et cherche des tendances qui permettent de mieux comprendre les événements, les comportements des clients et d'autres éléments à venir. « Le marché et nos clients attendent avec impatience que SAP leur propose un outil qui leur permettra d'adopter une stratégie prédictive concrète, » a déclaré Mani Gill, vice-président et General manager des solutions de business intelligence dans un blog posté mardi sur le site de l'éditeur. « Ce moment est arrivé, » a-t-il ajouté.
Des acteurs déjà bien installés sur le marché
Sur ce marché, SAP va se trouver en concurrence avec des produits d'analyse prédictive déjà bien installés, comme ceux de SAS Institute, du département SPSS d'IBM et du data mining d'Oracle, mais aussi avec des produits proposés par un certain nombre de start-ups, comme Revolution Analytics, qui supportent le langage Open Source R.
Business Objects Predictive Analysis sera proposé en version autonome, mais SAP prévoit également de le coupler avec sa base de données in-memory HANA, qui dispose d'une bibliothèque de fonctions statistiques, comme le précise un communiqué. D'après le billet posté par Mani Gill, le logiciel permettra également d'accéder à d'autres bases de données, notamment celles d'Oracle.
Selon SAP, les utilisateurs vont disposer « de magnifiques fonctions de visualisations et d'exploration de données avancées, le tout dans une interface drag-and-drop pour effectuer la sélection, l'organisation et le traitement des données ». Toujours selon l'éditeur, il sera également possible d'envoyer les résultats vers d'autres applications de BI de SAP, des terminaux mobiles et vers Microsoft Office. « L'analyse prédictive est une pratique encore réservée aux statisticiens, mais les salariés des entreprises veulent pouvoir disposer de données prédictives pertinentes », écrit encore Mani Gill dans son blog. « Nous voulons offrir à tous les utilisateurs ce dont ils ont besoin. »
(...)(04/04/2012 13:23:20)Microsoft, parmi les contributeurs clefs de Linux ?
Pour la première fois, et probablement de manière temporaire, Microsoft est devenu un contributeur de premier plan de Linux. L'entreprise de Redmont, qui avait dans le passé assimilé Linux à une forme de cancer, a été classée au 17e rang des plus importants contributeurs au code de Linux.
Le rapport de la Fondation Linux sur l'état du développement pour la plate-forme Open Source publié hier, fait la liste des contributeurs au noyau Linux depuis la version 2.6.36 jusqu'à la version 3.2. Si les 10 plus gros contributeurs énumérés dans ce rapport réalisé tous les ans sont bien connus - Red Hat, Intel, Novell, IBM, Texas Instruments, Broadcom, Nokia, Samsung, Oracle et Google - l'apparition de Microsoft est une nouveauté. Au total, depuis la version 2.6.36, Microsoft a contribué à 688 modifications, soit environ 1% des changements acceptés au niveau du noyau par la Fondation. Les ingénieurs de Microsoft ont également signé 2 174 changements, ce qui représente environ 1,1% de tous les changements pour la période prise en compte.
Mieux s'intégrer à l'écosystème Linux
La majeure partie du travail de Microsoft concerne les pilotes de sa propre technologie de virtualisation Hyper-V. Cet hyperviseur de type 1 permet de faire tourner Linux en tant que système d'exploitation hôte dans Windows Server. Un des signataires du rapport, Jon Corbet, par ailleurs éditeur de LWN.net et lui-même développeur pour le noyau Linux, estime que l'apport de Microsoft a culminé depuis la version 3.0 de Linux sortie l'année dernière, mais que cette implication va s'amenuiser au fil du temps. « Même les pilotes de l'hyperviseur n'ont pas tellement besoin d'être réactulasés à ce point», écrit-il dans un article expliquant les raisons de la contribution de Microsoft. Pour la Fondation Linux, la participation de Microsoft au système d'exploitation Open Source montre à quel point le noyau de Linux est populaire aujourd'hui. Et Microsoft doit travailler avec Linux pour faire partie d'un écosystème informatique d'entreprise plus large.
Dans la période couverte par le rapport, plus de 1 000 développeurs de 200 entreprises environ ont contribué au noyau. Mais ce sont les contributeurs individuels qui ont apporté le plus grand nombre de changements : 11 413 modifications, soit l'équivalent de 16,2% de tous les changements réalisés sur le noyau pendant la période de référence. En ce qui concerne les contributions des entreprises, c'est Red Hat qui tient le haut du pavé avec 7 563 modifications sur le noyau, soit 10,7% de tous les changements. Intel arrive juste derrière avec 5 075 modifications, soit environ 7,2% de tous les changements.
Des modifications supervisées par L.Torvalds
En moyenne, chaque nouvelle version du noyau, livrée tous les deux ou trois mois, subit entre 8 000 et 12 000 correctifs. Tous les apports sont supervisés par Linus Torvalds, le créateur de Linux. La grande majorité de ces changements sont réalisés par des tierces parties.
Greg Kroah-Hartman, de la Linux Foundation qui travaille sur le kernel de Linux, et Amanda McPherson, vice-présidente du marketing et du développement à la Fondation sont aussi signataires du rapport à côté de Jon Corbet.
La Fondation Linux est une association à but non lucratif qui s'est donnée pour mission d'améliorer et de maintenir le noyau Open Source Linux. Elle est financée par les entreprises qui utilisent Linux dans leurs produits et services, notamment Hewlett-Packard, IBM, Intel, Novell et Oracle.
(...)(04/04/2012 11:44:49)Hyperweek bascule son réseau social en marque blanche dans le cloud
La plateforme Hyperweek, qui offre aux entreprises une communauté en marque blanche, est désormais disponible depuis le cloud, et activable en un clic. Cela signifie que toute entreprise désireuse de créer son propre réseau social d'entreprise peut le faire en toute indépendance et ce sans aucun délai d'attente. Une période test d'un mois gratuite est en outre offerte à tout nouvel utilisateur.
«Cette nouvelle offre», se réjouit Raphaël Brinner, CEO et fondateur de la plateforme suisse, «rencontre un grand succès. En l'espace de trois jours, ce ne sont pas moins de 45 entreprises qui ont ouvert un compte et commencé à créer leur réseau social, dont plusieurs réseaux potentiels de 10 000 personnes». Des groupes comme Publigroupe et Opendata.ch font partie des premiers à avoir commencé à tester cette nouvelle plateforme.
A l'heure actuelle, les services de Hyperweek sont hébergés sur les services cloud d'Amazon en Irlande. «Une solution suisse avec cloudsigma à Zurich est en cours d'évaluation», indique toutefois Raphaël Brinner. «En effet, nous avons un certain nombre de demandes, notamment de départements de l'administration fédérale, dont les données doivent pour des raisons légales être hébergées en Suisse».
Dans le but de poursuivre son développement, la jeune compagnie genevoise vient également de lever 500 000 de francs par l'intermédiaire de Creapole et Investiere. Le montant sera réinvesti dans le roadmap (évolution) et la distribution de la plateforme, nous indique Raphaël Brinner.
(...)(04/04/2012 11:34:52)Jive étoffe sa plate-forme collaborative avec un module jeux
L'éditeur américain Jive Software, qui produit des logiciels de réseau social d'entreprise, a annoncé le lancement d'un module, baptisé Jive Gamification, qui s'intègre dans sa solution phare. Ce module utilise la technologie développée par Bunchball, et est disponible aussi bien pour les réseaux sociaux internes de l'entreprise que pour les communautés externes. Jive Gamification utilise des mécanismes ludiques pour offrir des fonctionnalités personnalisées et collaboratives, et permet notamment de créer des jeux de rôles, des défis, d'offrir des niveaux et des badges, de fixer des objectifs d'équipe, de proposer des récompenses, virtuelles ou réelles, etc.
Selon un récent rapport de Gartner, les entreprises recourent de plus en plus aux processus de gamification. Au niveau interne de l'entreprise, le procédé est utilisé à des fins de recrutement, de formation interne, d'encouragement à la performance, ou encore pour inciter au partage de connaissances ou dans le but améliorer la santé des collaborateurs. En externe, le procédé vient en soutien aux relations clients, par exemple dans des programmes de marketing, d'innovation ou encore de fidélisation de la clientèle.
Jim Scullion, CEO de Bunchball, relève qu'une intégration superficielle de processus de gamification ne suffit plus désormais. «Par conséquent, ajoute-t-il, cette collaboration avec Jive permet d'offrir aux clients des mécanismes de gamification complètement intégrés à l'ensemble de leur plateforme».
(...)(04/04/2012 11:21:33)Annuels Acteos : 15% de progression annuelle
L'éditeur de supply chain, Acteos, publie ses résultats annuels. Le chiffre d'affaires se monte à 11,7 millions d'euros (ME) en 2011 en progression de 11% par rapport à l'exercice précédent. En France, le CA grimpe de 11% à 6,9 ME, en Allemagne, il progresse de 20% avec un CA de 4,8 ME (40% de l'activité). La rentabilité est également à deux chiffres, avec une marge brute en hausse de 12% à 9 ME, un résultat opérationnel en hausse de 23% à 0,6 ME, un résultat net qui double à 1,3 ME. (...)
(04/04/2012 11:19:27)Aspaway réorganise son capital pour assurer sa croissance
Créée en octobre 2000, la société Aspaway a connu la 1ère formule du cloud, l'ASP, qui lui a donné son nom. Elle a traversé le on demand avant d'arriver aujourd'hui au SaaS. Le tout sur une ligne simple : de l'hébergement dans le monde IBM. Un investisseur privé accompagnait de façon minoritaire les 4 fondateurs depuis leurs débuts. Indispensable pour assurer les investissements nécessaires. Il devait sortir au bout de 5 à 7 ans. Ce départ s'est réalisé plus tard que prévu.
Les dirigeants de la société voulaient de leur côté en garder le contrôle. « Nous étions de plus en plus sollicités par des entreprises voulant entrer dans notre capital » nous précise Michel Theon le pdg d'Aspaway, mais nous souhaitions, les quatre associés fondateurs, rester majoritaires. Nous avions envie de continuer. « Bref, Aspaway a voulu rester le même tout en changeant d'actionnaire minoritaire. Un exercice peu commun dans le monde IT. Le cabinet Aelios Finance a accompagné la société et dégoté la formule du OBO, owner by out, qui a permis de faire sortir le précédent investisseur privé pour faire entrer le nouveau, le fonds Alliance Entreprendre.
Devenir plus visible
L'arrivée d'Alliance Entreprendre rend la société beaucoup plus visible et lui permettra de réaliser des opérations de croissance externe. Mais de manière maîtrisée. « Nous sommes sur un marché dont tout le monde parle, note Michel Theon, mais les offres sont supérieures à la demande. Le client n'a pas grandi aussi vite que les nouveaux prestataires, partis très vite, sans forcément de qualité de service associée. Ils vont se fragiliser, comme ce fut le cas pour plusieurs acteurs du marché de l'ASP au début des années 2000.»
Dans les deux années à venir, Aspaway compte effectuer une ou plusieurs opérations de croissance externe. La société se classe actuellement aux alentours de la dixième place en France sur le marché de l'hébergement avec beaucoup de compétiteurs entre 800 000 et 2 millions d'euros, donc à sa portée et qui auront du mal à tenir la distance. Aspaway en revanche reste sur une forte croissance organique.
« Il y en a qui vont souffrir »
« 2011 fut une année sportive, plus dure que les précédentes, avec des compétiteurs plus présents mais très en retard, et tirant les prix vers le bas » relève Michel Theon. La société a réalisé 9 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en croissance organique de 20%. « 2012 sera une année intéressante, où les clients vont regarder de près les tarifs et les prestations proposées, il y en a qui vont souffrir». La qualité serait tirée vers le bas, avec des disques lents, du stockage machine en lieu et place d'une virtualisation sur des baies. Ce qui explique la fragilisation prévisible de plusieurs acteurs de l'hébergement.
Aspaway prévoit également d'élargir ses offres, avec un axe cloud estampillé Aspaway et des offres verticales lancées avant l'été.
(...)(04/04/2012 11:12:14)
Annuels Everwin : un CA de 8,3 millions en 2011
L'éditeur Everwin, né en janvier 2011 de la fusion entre MFP Soft et Apsilys, publie son premier exercice financier annuel. La société progresse de 18%, à 8,3 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), par rapport à l'exercice précédent des deux sociétés fusionnées.
Pour 2012, Everwin vise la même performance, avec un CA prévu entre 9,2 et 10 ME. Quinze recrutements sont prévus, dans le commercial ou le technique.
(...)(04/04/2012 11:09:35)SoCloz : un moteur de recherche pour trouver le bon produit en stock
La société française SoCloz a été créée en 2010 et a lancé son offre en ligne en novembre 2011. Elle propose de collecter les états des stocks de multiples enseignes et magasins afin qu'un consommateur puisse trouver en ligne où acheter ce qu'il souhaite.
La première difficulté résulte de la collecte elle-même. Chaque enseigne possède en effet son propre système d'information avec sa propre logique d'organisation de l'information et ses propres référentiels. « Cela suppose des développements spécifiques pour chaque nouveau partenaire qui nous rejoint » admet Jérémie Herscovic, fondateur de l'entreprise. A ce jour, 6 200 points de vente sont référencés pour 755 000 produits (contre 4 500 et 450 000 au démarrage du service).
La masse de données ainsi constituée est traitée au travers d'un moteur de recherche couplé à du développement spécifique. Le consommateur peut ainsi chercher un type de produits et le service va lui proposer un certain nombre de magasins dans une zone géographique donnée et de références. A chaque fois, les informations sur le magasin (horaires d'ouverture, adresse...) et les prix pratiqués seront affichés.
La mise à jour ne pouvant pas, dans la majorité des cas, être en temps réel, un indicateur spécifie quand le stock est limité à quelques unités. Il n'est cependant pas possible de remonter une information dans le système d'information du distributeur pour, par exemple, positionner une réservation.
L'outil, encore en plein développement, a déjà été distingué par SFR dans son « Start-up for Business » et par le Cegid For Retail Forum dans l'Innovation Store. La start-up continue pour l'heure de lever des fonds. (...)
Renouvellement des administrateurs du club des utilisateurs francophones de SAP
Lors de son Printemps le 20 mars 2012, l'USF (association des Utilisateurs Francophones de SAP) a réuni son Assemblée Générale. Celle-ci a renouvelé le Conseil d'Administration qui a ensuite reconduit Claude Molly-Mitton (en photo) comme président pour la troisième année consécutive. Quatre nouveaux entrants ont été élus : Alexis Beck Djevaguiroff (Président de la Commission « Ile de France - PME », Sequans Communications), Patrick Boquet (Thales Avionics), Eric Hoffstetter (Président de la Commission « Grand Est », Sew Usocome), et Andreas Latz (GDF Suez).
L'USF a annoncé vouloir poursuivre son développement. Cela passe notamment par la création de nouvelles commissions régionales. Classiquement, celles-ci s'adressent davantage aux PME que les commissions thématiques nationales. La prochaine à être créée devrait être celle de la région Rhône-Alpes. L'USF envisage également la création d'une telle commission régionale dans des pays francophones, notamment au Maghreb.
Toujours plus de collaboration interne et externe
S'alignant sur la croissance externe de SAP, l'USF a déjà intégré le club utilisateur de Business Object. En 2012, l'USF devrait étendre sa compétence à des produits comme Sybase et Success Factor. Mais une telle extension de compétences ne se fera pas au détriment d'une collaboration renforcée avec d'autres associations, notamment le Cigref.
La collaboration sera également renforcée en interne grâce à une refonte du site web de l'association. Celui-ci se verra doté de nouvelles fonctions collaboratives et de forums redynamisés.
Enfin, l'USF s'impliquera toujours plus dans le programme lancé fin 2011 en France à l'initiative conjointe de SAP et du « club international des dirigeants de clubs utilisateurs SAP », le Sugen : « Customer Connection ». Il s'agit d'un programme de co-innovation et d'influence sur la feuille de route SAP. (...)
Toulon Provence Méditerranée choisit une DSP pour son réseau très haut débit
L'agglomération de Toulon Provence Méditerranée regroupe 12 communes d'une surface de 37 000 hectares, 430 000 habitants et 27 000 entreprises. Pour renforcer son développement économique dans le cadre du programme Toulon Grand Projet Rade, elle a décidé de lancer le projet TPM Très Haut Débit. Une délégation de service public (DSP) a été signée le 2 avril 2012 à cette fin.
La délégation est d'une durée de 20 ans et impliquera un investissement de 10,74 millions d'euros dont 54% (5,9 millions d'euros) de financements publics. C'est une filiale dédiée d'Altitude Infrastructure, THD 83, qui est délégataire pour construire, exploiter et commercialiser le réseau. Celui-ci sera construit par Sogetrel.
D'ici mi-2013, la DSP prévoit la construction de 216 kilomètres de fibre et deux noeuds de raccordements optiques au backbone national d'Altitude Infrastructure. Cette première phase va entraîner une desserte de 63 zones et parcs d'activités économiques ainsi que de 187 sites publics (les 12 hôtels de ville, les collèges, les lycées, les hôpitaux, les sites militaires, etc.). Les extensions sont prévues au fil des besoins et de la rentabilité économique. Les établissements raccordés, publics ou privés, bénéficieront d'un débit symétrique garanti de 1 Gb/s. (...)
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