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(26/04/2012 10:41:38)
PDA à l'ancienne pour équiper les commerciaux de Hama
Hama qui conçoit, fabrique, importe et commercialise des accessoires photo et multimédia, propose 17 000 références produits à un réseau de distribution (essentiellement la grande distribution) grâce à 35 commerciaux itinérants. Pour faciliter la prise de commandes, ceux-ci ont été dotés de PDA avec lecteur de code-barre qui se synchronise avec leurs PC dotés chacun d'une clé 3G.
« Le PDA a été préféré au smartphone pour éviter un nouvel abonnement 3G en plus de la clé 3G mais l'évolution des matériels permet d'envisager d'utiliser un smartphone pour remplacer les deux outils avec un poids correct » précise Yann Salvert, responsable du service IT de Hama. Au contraire du portable, le PDA est emmené en rendez-vous clientèle et permet de scanner les codes-barres des produits soit à partir des listes détenues par les clients, soit à partir des stocks en rayons.
Lors de la synchronisation entre PDA et ordinateur portable, l'outil récupère les états de stocks. Les commerciaux ne disposent donc pas d'un état des stocks en temps réel mais avec une fraîcheur d'information suffisante sans multiplier les coûts. Les PDA Pidion sous Windows Mobile sont dotés de la gestion commerciale Danem. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Optic 2000 choisit Microsoft Dynamics AX 2012 pour repenser son SI
Le groupe Optic 2000 dispose de 1 850 magasins (coopérative, franchises et succursales) en France et en Suisse sous les enseignes Optic 2000, Lissac et Audio 2000. Il y distribue des produits d'optique ou d'aide à l'audition pour un chiffre d'affaires de 1,166 milliard d'euros. Pour accroître son efficacité et la qualité du service rendu par la DSI avec des coûts les plus limités possibles, le groupe a choisi de refondre son système d'information pour unifier dans toutes les enseignes les fonctions d'achats, de gestion des stocks et des tarifs ainsi que les fonctions spécifiques comme la gestion des ordonnances et des tiers-payeurs. La multiplicité des outils en place ne répondait en effet plus aux attentes du groupe.
Après un appel d'offres, le groupe a écarté les solutions spécifiques au métier optique et a choisi une solution généraliste, Microsoft Dynamics AX 2012, adaptée aux contraintes du secteur. La pérennité de la solution, sa solidité, son adaptabilité, son ergonomie et sa facilité d'administration et de maintenance ont été des critères de choix majeurs. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)
Intel lance ses puces Core i5 et i7 Ivy Bridge gravées en 22 nm
Intel a annoncé comme prévu ses premiers processeurs Core de troisième génération, nom de code Ivy Bridge, qui sont plus rapides et plus économes en énergie que les processeurs actuellement utilisés dans les ordinateurs de bureau et les PC portables. La gamme Ivy Bridge initiale comprend 13 processeurs quad-core pour les ordinateurs de bureau, les PC portables et les tout-en-un, a déclaré Kirk Skaugen, vice-président corporate et directeur général du groupe Intel PC client lors d'un événement à San Francisco.
Le fondeur de Santa Clara annoncera d'autres puces Ivy Bridges pour les ultrabooks, les PC portables et les ordinateurs de bureau grand public dans les prochains mois, a-t-il dit. La société compte 570 concepts de PC - 270 ordinateurs de bureau et tout-en-un et 300 PC portables - en plus des 100 projets d'ultrabooks exploitant la plate-forme Ivy Bridge.
Les dual-core arriveront plus tard
Les puces destinées aux ultrabooks seront de type dual-core et basse consommation, et assez petites pour équiper les châssis très minces des prochains ultrabooks, 18 millimètres environ soit 0,7 pouce. Il y a eu « des demandes prioritaires « pour la fabrication de puces Ivy Bridge destinées à des ultrabook très minces, et la production de ces processeurs va monter en puissance très rapidement, a indiqué M. Skaugen. Intel espère bien que les futurs ultrabooks Ivy Bridge pourront bouger les lignes entre les PC portables et les tablettes grâce à leur écran tactile, une batterie longue durée et plus de connectivité. Intel a indiqué que le prix de départ des ultrabooks sera ramené à 699 dollars HT d'ici la fin de l'année.
Le MSI GT70 500
Les premières puces Ivy Bridge commercialisées sont de type quatre coeurs et comprennent huit modèles Core i7, cinq Core i5 (2,8 à 3,4 GHz) et un i7-3920XM Extreme Edition cadencé à 3,5 GHz (1,4 milliard de transistors sur un die d'une surface de 160 mm2), une version avec le coefficient multiplicateur débloqué, que M. Skaugen appelle le processeur le plus rapide du monde. Acer a déjà annoncé des PC de bureau basés sur les processeurs Core i5 et i7, à des prix compris entre 699 et 1 199 dollars HT.
La plupart des PC portables et des ordinateurs de bureau sur le marché sont livrés avec les processeurs Core, utilisant la micro-architecture Sandy Bridge et introduits en début d'année dernière. Les puces Ivy Bridge fournissent jusqu'à deux fois plus de performances graphiques, en 2D et 3D avec notamment le support de DirectX 11, et gagnent 20% pour la partie puissance CPU, selon M. Skaugen.
Première utilisation de transistors 3D
L'utilisation de transistors 3D Tri-Gate est un des facteurs majeurs dans l'amélioration des performances des puces Ivy Bridge. Ces transistors soignent les performances graphiques et applicatives tout en préservant l'autonomie de la batterie. Intel a ainsi déclaré que les transistors 3D - qui reposent sur un processus de fabrication en 22 nanomètres - permettent de consommer moitié moins d'énergie et sont jusqu'à 37% plus véloces que les puces gravées en 32-nm utilisant des transistors 2D. La technologie des transistors 3D, un mince aileron en trois dimensions qui sort verticalement du substrat de silicium (voir illustration), vient avantageusement remplacer l'agencement des transistors 2D.
Lors de la refonte de sa micro-architecture, le fondeur mis en place un sous-système graphique avec doublant le nombre de transistors pour booster les performances graphiques, précise le dirigeant d'Intel. Les noyaux graphiques HD 4000 (650 MHz)et HD 2500 supportent par exemple jusqu'à trois moniteurs en même temps.
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L'interface Thunderbolt va également se développer sur les cartes mères puisqu'elle est supportée nativement par les Ivy Bridge. Introduite il y a un an, cette technologie de connecteur à haute vitesse concurrence l'USB 3.0 pour déplacer plus rapidement des données entre des ordinateurs et des périphériques de stockage. On la retrouve aujourd'hui principalement sur les Macintosh d'Apple. Les PC portables Thunderbolt sont attendus plus tard cette année chez les principaux constructeurs tels que HP, Lenovo (ci-dessous le tout-en-un A720 AIO 2), Acer et Asus.
Intel a également mis en oeuvre la technologie QuickSync 2.0 sur ses puces Ivy Bridge pour accélérer la conversion vidéo à des formats spécifiques. QuickSync 2.0 permettait de transcoder la vidéo 23 fois plus rapidement qu'avec un PC vieux de trois ans, selon M. Skaugen . QuickSync 2.0 est deux fois plus performante que la technologie apparue l'année dernière avec les Sandy Bridge.
Plus de sécurité
La firme de Santa Clara a également introduit des fonctionnalités de sécurité pour protéger les PC au niveau du système d'exploitation. Les outils OS Key et OS Guard sont censés prévenir les attaques de logiciels malveillants et seront disponibles sur les PC à venir animés par les systèmes d'exploitation Windows 8 ou Linux, a précisé M. Skaugen. Intel indique également avoir mis en oeuvre une technologie antivol pour bloquer les ordinateurs dérobés et la prochaine version sera en mesure de déverrouiller les systèmes via SMS.
Il y a enfin quelques autres améliorations au niveau matériel. Le support du PCI-Express 3.0, qui peut transférer des données à 8 Gigabits/s contre 5 Gigabits/s pour le PCIe 2.0, devrait offrir un autre bond de performances pour le traitement des données.
Pour les utilisateurs d'Oracle Exadata, la performance a un prix
Ces dernières années, les produits d'Oracle ayant fait l'objet de grosses campagnes de promotion sont rares et le tapage fait autour de la machine Exadata Database fait un peu exception. Oracle veut faire de l'Exadata le porte-étendard d'une série d'appareils combinant son logiciel avec les serveurs de Sun pour le stockage et l'équipement réseau. Depuis le lancement initial de l'Exadata en 2008, Oracle a sorti d'autres systèmes, notamment une Big Data Appliance et sa machine Exalytics. Mais, dans le genre, Exadata est son produit le plus mature. C'est aussi celui qui se vend le mieux.
Lors de la conférence Collaborate qui s'est tenue cette semaine à Las Vegas (du 22 au 26 avril 2012), les utilisateurs qui connaissent bien l'Exadata ont reconnu que le système était à la hauteur de ce qu'Oracle avançait : à savoir une performance époustouflante, comparée aux configurations de bases de données traditionnelles. Mais le prix élevé de sa grille tarifaire, ainsi que les compétences requises pour utiliser le système efficacement, nécessitent une préparation minutieuse et beaucoup d'attention de la part des clients.
Des réponses beaucoup plus rapides
« L'année dernière, l'agence Experian, spécialisée dans le crédit, a acheté et installé deux « demi-rack » de machines Exadata, » comme l'a déclaré Praveer Misra, qui dirige l'infrastructure des bases de données pour les services marketing d'Experian. « Les résultats obtenus avec Exadata sont impressionnants. Certaines opérations sont exécutées 80 000 fois plus vites qu'auparavant, ce qui ne peut que satisfaire les utilisateurs finaux », a déclaré Praveer Misra. « Certains n'en reviennent pas !», a-t-il ajouté. « Et demandent s'ils peuvent aussi en bénéficier dans leurs services ! »
« Cependant, il y a six semaines environ, les systèmes Exadata d'Experian ont subi une panne majeure », a-t-il ajouté. « Les services informatiques avaient entamé l'application de correctifs sur les cellules de stockage du système lorsqu'un disque a eu des défaillances », a-t-il raconté. « Mis à part cet élément défaillant, la documentation d'Oracle aurait dû prévenir qu'il fallait appliquer les patchs d'une certaine façon », a continué le directeur de l'infrastructure. « Si la documentation avait indiqué clairement la procédure, les administrateurs n'auraient pas pris le risque de faire l'application de correctifs à leur manière ». Mais malgré cet incident, « je recommanderais tout de même Exadata », a déclaré Praveer Misra. « Dans l'ancien environnement, mon équipe passait son temps à résoudre des problèmes urgents. Maintenant, elle a du temps pour faire autre chose. »
Un apprentissage nécessaire pour maitriser Exadata
Pourtant, l'expérience de Praveer Misra reflète bien l'apprentissage que demande Exadata aux administrateurs. Vinod Haval, le vice-président des standards des infrastructures et de la gouvernance à la Bank of America, a fait la promotion du concept de « DMA » (Database Machine Administrator) ou administrateur de machine de base de données, qui colle bien à un projet Exadata. Selon Vinod Haval, le responsable d'une machine Exadata est à « 60% un administrateur DBA Oracle RAC (Real Application Clusters), à 20% un administrateur de stockage, à 15% un administrateur système, plus 5% en divers », a-t-il déclaré au cours d'une table ronde à laquelle il a participé pendant la conférence Collaborate. « Chacun d'entre eux peut tenir le rôle de DMA, mais un DBA s'en tirera mieux », a-t-il ajouté. Selon lui, la création d'une fonction DMA exclusive n'a pas de sens si l'entreprise est équipée d'une ou de deux machines Exadata. « Mais s'il y en a sept ou huit, alors ça peut se justifier », ont convenu les différents intervenants à la table ronde.
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Bank of America est l'un des premiers et plus gros clients Exadata d'Oracle. « La banque s'intéresse de manière systématique à toute nouvelle technologie et analyse rigoureusement son usage possible », a déclaré le vice-président. Bank of America a défini « 16 à 17 critères » indispensables, qui prennent en compte aussi bien les niveaux de compétences des personnels informatiques, que les questions d'organisation pour sa mise en oeuvre ou encore la gestion des incidents, avant qu'un nouveau système puisse entrer en production. « Les mêmes règles ont été appliquées à l'Exadata, » a déclaré Vinod Haval.
Le prix des solutions Exadata est-il trop élevé ?
Parmi les personnes ayant assisté au débat, plusieurs ont évoqué la question du prix élevé de l'Exadata et l'échelle tarifaire qui peut facilement représenter plusieurs millions de dollars, quand on cumule le coût des licences logicielles et le prix du hardware. Pour Sridhar Avantsa, directeur associé chez l'intégrateur de systèmes Rolta, qui participait à la table ronde, il est important que les clients définissent ce qu'ils entendent « par prix abordable ». Tout d'abord, et jusqu'à présent, la plupart des systèmes Exadata vendus sont des systèmes quart de rack », a expliqué le directeur de Rolta. « Aux États-Unis, ces systèmes coûtent 330 000 dollars en hardware ». Ensuite, les clients ont peut-être la possibilité de réunir plusieurs bases de données en une seule qui tournera dans l'Exadata, et même se retrouver, au final, avec une capacité excédentaire. « Ce qui leur permettra d'économiser sur les licences et le stockage, » a-t-il ajouté.
Vinod Haval a donné un point de vue pragmatique sur la question du prix. « Est-ce que l'Exadata est cher ? » a-t-il demandé. « Oui, cela ne fait aucun doute. Mais s'il est bien adapté à son objectif, si l'utilisateur trouve la solution optimum pour l'utiliser, alors l'investissement sera rentable ». Selon lui, la réussite ou l'échec de l'investissement dépend à « 65% de l'entreposage ». Toujours selon Vinod Haval, il est essentiel que les clients profitent des fonctionnalités de stockage de l'Exadata, notamment de la compression hybride par colonne.
Attention à l'obsolescence matérielle
Les intervenants ont également discuté du hardware de l'Exadata, en particulier pour clarifier une question concernant les composants. En effet, les clients se demandent si les composants des anciennes versions peuvent être échangés avec des versions plus récentes pour rester au même niveau de performance. « Dans l'ensemble, il n'y a sans doute pas grand-chose à faire pour éviter l'inévitable », a déclaré Sridhar Avantsa. « Essentiellement, tout hardware qui a plus de cinq ans est obsolète ».
La conférence Collaborate est sponsorisée par trois groupes d'utilisateurs indépendants d'Oracle.
(...)(25/04/2012 11:51:54)Des serveurs relais mis en place par le FBI bientôt débranchés
Une autre série de serveurs gouvernementaux utilisés comme filets de sécurité seront déconnectés le 9 juillet. Ces serveurs relais avaient été mis en place le 8 novembre dernier, après l'operation Ghost Click menée par le FBI, qui avait mis hors d'état de nuire un groupe de hacker opérant sous le nom de « Rove Digital ».
Depuis 2007, ces pirates exploitaient sur Internet une escroquerie par le biais de serveurs DNSChanger grâce auxquels ils ont pu prendre le contrôle d'environ quatre millions d'ordinateurs dans le monde et au moins 568 000 aux États-Unis. Avec leur spamming publicitaire les pirates ont pu collecter la coquette somme de 14 millions de dollars. Surtout, les ordinateurs infectés étaient devenus dépendant de ces serveurs voyous pour leur navigation sur Internet.
Une mesure temporaire qui va prendre fin
Selon le FBI, si l'agence avait pris l'option de fermer l'infrastructure des criminels et de confisquer les serveurs pirates, leurs victimes n'auraient plus été en mesure de se connecter à Internet. Pour éviter cela, la nuit où les agents fédéraux ont mené leur opération conduisant à l'arrestation de six personnes de nationalité estonienne, Paul Vixie, fondateur et président de l'Internet Software Consortium, a été recruté pour installer deux serveurs « propres » qui ont pris le relais des serveurs saisis. Ces serveurs avaient été programmés pour cesser leur activité le 8 mars, mais un juge fédéral a prolongé le délai jusqu'au 9 Juillet. Jenny Shearer, porte-parole du FBI a déclaré que l'agence voulait identifier les ordinateurs encore infectés, pour les faire pointer vers le site web du DNS Changer Serving Group (DCWG), afin de détecter, de nettoyer et de protéger ces machines contre l'escroquerie. Les experts en sécurité pensent que les utilisateurs concernés auraient intérêt à faire vérifier leurs machines par des personnes ayant des compétences techniques. « Il faudrait peut-être même restaurer les paramètres par défaut de ces ordinateurs », a déclaré Jenny Shearer.
« Souvent, une machine infectée a beaucoup plus qu'un seul problème », a convenu Dan Philpott, spécialiste de la sécurité au niveau fédéral pour le District de Washington DC. En effet, selon le FBI, les pirates ont profité de vulnérabilités présentes dans le système Windows de Microsoft pour installer des logiciels malveillants sur les ordinateurs des victimes. Ces malware ont désactivé la mise à jour des logiciels antivirus et les ont reprogrammer pour utiliser des serveurs DNS voyous hébergés dans des datacenter situés en Estonie, à New York et à Chicago, tous propriétés des cybercriminels. Les ordinateurs pouvaient ensuite être redirigés vers des versions frauduleuses de plusieurs sites web, puisque les utilisateurs accédaient en réalité à une fausse version de l'Internet.
Un faux réseau pour tromper les utilisateurs
Comme l'avait écrit l'expert en sécurité Eric Cissorsky au mois de février sur Infosec Island, « la fonction de DNSChanger était de rediriger les systèmes infectés vers des destinations malveillantes. En retour, ces sites installaient d'autres logiciels malveillants. Il est probable que des Chevaux de Troie comme Zlob, TDSS, Alureon, TidServ, et TLD4 ont été installés sur les systèmes DNSChanger infectés ». Cette semaine, dans une interview, Eric Cissorsky a déclaré que les utilisateurs infectés par DNSChanger devaient effectuer un scan de virus hors ligne, avec des utilitaires dans le genre de MS Windows Defender Offline, pour détecter et éliminer tout autre malware présent sur leur machine ».
Et pour ceux qui ne savent pas si leur machine est infectée, « tous les principaux vendeurs offrent un certain type d'outils gratuits pour réaliser des scans de virus en ligne. Plusieurs offrent même des anti-virus hors ligne gratuits. En cas de doute, celui-ci conseille de refaire le scan plusieurs fois et d'utiliser les outils de plusieurs vendeurs différents.
Le FBI estime que, même si le nombre d'utilisateurs touchés a diminué, il resterait environ 85 000 machines infectées aux États-Unis. Une nouvelle prolongation de la durée de vie des serveurs au-delà de la date limite du 9 juillet n'est pas envisagée. « Dès le départ, il était prévu que cette solution serait temporaire », a déclaré Jenny Shearer.
(...)(25/04/2012 11:33:23)Un analyste chinois prédit la fin du MacBook Pro 17" chez Apple
Selon Ming-Chi Kuo, analyste chez KGI, Apple arrêtera la production du MacBook Pro 17 pouces au moment de la sortie des prochains modèles de MacBook, plus mince et plus puissant. D'après MacRumors, Ming-Chi Kuo, déjà connu pour avoir annoncé à l'avance la sortie d'un iPod Touch blanc et la fin du MacBook, pense que en raison des faibles ventes de la version 17 pouces du MacBook Pro, Apple a décidé de sortir ce modèle de son catalogue. Dans un document publié le 22 Avril, l'analyste affirme qu' « au début du troisième trimestre 2012, Apple va remplacer le MacBook Pro 17 pouces par un MacBook entièrement nouveau, très performant et facile à transporter, qui devrait combiner les avantages du MacBook Air et du MacBook Pro. »
Toujours selon Ming-Chi Kuo, «même si Apple sort de nouveaux produits, le constructeur devrait arrêter la production du MacBook Pro 17 pouces cette année, du fait d'un ralentissement dans la demande pour ce produit et maintenir une stratégie très cohérente». Par ailleurs, l'analyste de KGI prévoit une poussée des ventes de Mac au second trimestre 2012, pour trois raisons principales. En premier lieu, le lancement, en juin, du système d'exploitation Mountain Lion, qui intègre des fonctionnalités d'iOS dans Mac OS, et une fonction d'interaction avec la TV d'Apple. Ensuite, la sortie des processeurs Ivy Bridge d'Intel. Enfin, une forte demande dans le secteur de l'éducation. « D'après nous, Apple va vendre 5,32 millions d'ordinateurs de cette nouvelle ligne (en hausse de 28,5 % à trimestre égal et de 35,2 % en glissement annuel) au second trimestre 2012. Celle ligne de produit va devenir son principal moteur de croissance. », a déclaré l'analyste.
Un MacBook Ivy Bridge plus fin avec SSD
Les rumeurs concernant la sortie d'un MacBook complètement remanié circulent depuis un certain temps déjà, et certains rapports indiquent que les ventes de Mac ont été moins importantes que prévues, anticipant en quelque sorte le lancement d'un nouveau modèle de MacBook. Parmi les facteurs qui pourraient stimuler les ventes de Mac, Ming-Chi Kuo mentionne l'arrivée des processeurs Ivy Bridge d'Intel. Le fondeur a annoncé que ses processeurs seraient disponibles le 29 avril, et les experts pensent qu'Apple sera l'un des premiers fabricants à sortir un ordinateur portable équipé de ce processeur.
La prochaine machine, mélange de MacBook Air et de MacBook Pro selon les rumeurs, devrait être plus mince, et pourrait être dotée d'un écran de type Retina. Elle pourrait aussi intégrer des disques SSD, abandonnant définitivement les disques durs traditionnels à plateaux.
Apple a également annoncé ses résultats du second trimestre 2012, nous reviendrons plus tard dans la journée sur ce sujet.
(...)(25/04/2012 10:17:13)Microsoft ajoute des pays contributeurs à l'App Store de Windows 8
Pour la phase de pré-lancement de Windows 8, Microsoft a recueilli des projets d'applications Metro via son App Windows Store, afin d'étoffer la pré-version Consumer Preview du futur système d'exploitation qui a déjà pu être téléchargée et testée par des millions d'utilisateurs.
Alors que les projets d'apps étaient jusqu'à présent limités à cinq pays d'origine (à savoir la France, l'Allemagne, L'Inde, le Japon, les Etats-Unis) le fournisseur de logiciels annonce que dorénavant 33 nouveaux pays ont été ajoutés comme marchés de provenance des projets d'applications Metro.
A terme, Microsoft prévoit d'impliquer 200 pays pour le lancement de son nouveau système d'exploitation. Comme Antoine Leblond, vice-président du département de Microsoft pour les services web, l'a expliqué, cette approche devrait notamment permettre aux utilisateurs d'avoir accès à des applications qui soient au plus proche des besoins locaux.
Pour soumettre uns app dans le Windows Store, il est nécessaire de s'inscrire et de payer une cotisation de 37 euros pour les personnes privées, 75 euros pour les entreprises. Par ailleurs, Microsoft poursuit sa promotion auprès des développeurs en organisant des Windows Dev Camps à travers le monde, qui doivent leur permettre de s'initier au développent de projets d'apps.ICTjournal.ch (...)(25/04/2012 10:09:24)
France Télévisons peaufine ses outils de Social-TV
Pour interagir et intéresser les téléspectateurs, France Télévisions a décidé de les impliquer avec la possibilité de commenter les évènements en direct. Cela a été utilisé durant les Victoires de la Musique, ainsi que sur l'émission en prime time de "On ne demande qu'à en rire" le 13 avril. Après modération, une vingtaine de tweets ont été diffusés en direct.
Dans la même veine, l'émission "Mots croisés" du 16 avril a permis aux Français d'interroger en direct les candidats à l'élection présidentielle via Facebook. Si les utilisateurs du réseau social ont posté plus de 3 000 questions via une plate-forme développée par Brainsonic, l'équipe de journalistes a sélectionné une soixantaine de commentaires diffusés en direct pendant l'émission. Le développement du système et le bon fonctionnement durant le direct ont été assurés par Novius.
Les Hospices Civils de Lyon avec Itesoft pour numériser leurs factures
Les HCL (Hospices Civils de Lyon) regroupent 22 000 professionnels et constituent, avec leurs 14 établissements de santé, le deuxième groupe hospitalo-universitaire français derrière l'AP-HP à Paris. Dans le cadre du projet « Cap 2013 », les HCL modernisent leur offre de soins, développent l'activité et innovent dans le but de retrouver l'équilibre financier.
Pour réduire les coûts de fonctionnement, les HCL ont décidé de numériser les 200 000 factures entrantes annuelles afin de les intégrer plus aisément et automatiquement dans un workflow lié au PGI Oracle E-Business Suite. Cette dématérialisation va servir de socle à un centre de service partagé.
Les HCL ont choisi les solutions d'Itesoft en raison des capacités d'automatisation du processus d'intégration des factures. FreeMind pour Invoices, d'Itesoft, est ainsi utilisé pour la numérisation et la lecture automatique, Balance for Oracle et Share pour l'intégration, le contrôle et la validation des factures. Le coût du projet n'a pas été communiqué. (...)
Skype dispo pour la PS Vita de Sony
Les possesseurs de la PS Vita, dernière console portable de Sony, peuvent désormais téléphoner avec leur machine. Les deux modèles, WiFi et 3G, exploitent en effet les fonctionnalités d'appels vidéo et vocaux de Skype. Après avoir téléchargé le logiciel via le PlayStation Network, les joueurs auront la possibilité d'"y avoir accès, tout en jouant ou en employant d'autres applications", explique Sony. (...)
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