Flux RSS
SSII
1477 documents trouvés, affichage des résultats 301 à 310.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(16/02/2011 16:37:17)
Annuels Atos Origin : bénéfices en hausse en 2010 et confiance affichée pour 2011
Pour dresser un bilan rapide de l'année 2010, Thierry Breton, PDG d'Atos Origin, résume rapidement que l'amélioration de la profitabilité, la génération de cash flow et la légère baisse du chiffre d'affaires sont conformes aux objectifs et en phase avec le consensus du marché. Le résultat net du groupe bondit à 116 millions d'euros (+625% par rapport à 2009 avec 35 millions d'euros) et le cash flow opérationnel à 143 millions d'euros contre 117 millions en 2009 et - 58 millions en 2008. Le CA est toutefois en recul de 3,5% à 5,021 milliards d'euros, alors que Thomson Reuters attendait 5,023 milliards d'euros. Après deux années de baisse du CA, Thierry Breton prévoit de renouer avec une légère croissance organique en 2011.
Thierry Breton déplore toujours dans ses comptes l'impact assez lourd de la faillite du groupe de tourisme et de distribution allemand Arcandor en 2009. Un manque à gagner significatif a en effet grevé la filiale allemande même si de nouveaux contrats ont été signés avec Karstadt et Neckermann. Toujours en Allemagne, le fait marquant de l'année 2010 reste l'accord industriel avec Siemens pour la reprise de son activité SIS et l'entrée du groupe teuton dans le capital d'Atos Origin à hauteur de 15%. Pour concurrencer plus efficacement Cap Gemini et Accenture, Atos Origin compte terminer l'intégration de la division SIS en juillet prochain. « Nous avons démarré les processus d'intégration et l'accord sera opérationnel le 1er juillet », a précisé Thierry Breton au cours d'une conférence téléphonique. L'intégration de SIS devrait avoir un impact significatif sur le second semestre du groupe. Le PDG attend une hausse du CA de 6% au moins.
Illustration principale : Thierry Breton, PDG du groupe Atos Origin
Annuels Infodis : activité stable en 2010
Près de 83% des revenus du groupe et 90% de son résultat ont été générés par sa filiale Infodis IT (services informatiques) qui regroupe 200 de ses 250 collaborateurs. Visuladis (distributeur en vidéo numérique), sa seconde filiale, a vu son chiffre d'affaires s'apprécier de 20% à 3 M€ en 2010. Elle devrait enregistrer une croissance de son activité de l'ordre de 10% en 2011.
L'année en cours devrait être l'occasion pour le groupe Infodis de réaliser des opérations de croissance externe. En janvier, l'entreprise a en effet recruté Gérard Guerguerian au poste de directeur général (le groupe en compte trois), un ancien vice-président senior d'Atos Origin. Avocat spécialisé dans les fusions acquisistions, il a pour mission de faire doubler la SSII de taille très rapidement.
Trimestriels SII : des revenus en hausse de 21,6% au 3e trimestre
Suite à l'annonce de ces résultats, SII a relevé ses prévisions pour l'ensemble de son exercice 2010/11 qui devrait se terminer sur un chiffre d'affaires de 220 M€ (avec une croissance organique supérieure à 13%) contre 213 M€ annoncés précédemment. Si cet objectif était atteint, la société de services enregistrerait alors un revenu annuel en hausse de 15,7%.
Les dernières activités d'Arès finalement cédées à GFI
L'interminable feuilleton Arès a pris fin lundi soir à l'issue du jugement prononcé par le Tribunal de commerce d'Evry. Comme nous l'avancions, le 20 janvier dernier, c'est GFI qui reprend les dernières activités d'Arès : Arès : une reprise casse-tête
Exceptionnellement dans ce genre de dossier, GFI donne des chiffres. La SSII a payé 2,9 millions d'euros (ME) pour reprendre le fonds de commerce d'Ares en France (et au Luxembourg). Ce qui représente 433 salariés, dont 404 en France et 29 au Luxembourg (le personnel administratif n'est pas repris). Et un chiffre d'affaires de 28 ME sur dix mois en 2011. En année pleine, en 2012, ce CA serait de 32 ME prévoit GFI. Cette activité sera logée dans la division « application services et infrastructure services » de GFI. La direction de GFI souligne la complémentarité des offres rachetées par rapport à celles de GFI notamment dans le secteur public et celui de la retraite.
Arès, créée en 1985, fut placée en redressement judiciaire le 18 juillet 2008 et en liquidation judiciaire le 25 novembre 2010. Son histoire récente est celle d'un lent dépeçage.
Vision IT recrute 400 ingénieurs en Europe
Le groupe franco-belge de conseil en technologies Vision IT prévoit de recruter 400 personnes en Europe d'ici la fin de l'année, dont 140 dans l'Hexagone. Après avoir mis l'accent sur la croissance externe du groupe ces dernières années, nous souhaitons cette année nous concentrer sur la croissance interne de l'entreprise, commente Marc Urbany, le co-président du groupe, dans un communiqué. Ce plan de recrutement devrait en effet permettre à la SSII de renforcer ses effectifs de quasiment 40%, puisque Vision IT Group compte actuellement 1 150 collaborateurs.
Du support trading à la virtualisation
70% des postes à pourvoir concernent des profils confirmés, la part restante étant réservée à des juniors : il s'agit de consultants PMO (Project Manager Officer) et SOX (Sarbanes-Oxley) de spécialistes d'Unix et de Microsoft, de développeurs (Java et .Net) et également d'ingénieurs tests. Les candidats interviendront sur des missions allant du support trading en salle de marché à des applications de virtualisation dans des grandes entreprises et dans des PME. Ils pourront participer à des projets internationaux en rejoignant l'un des dix bureaux européens du groupe situés en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal et Suisse.
(...)
Atos Origin se fixe un objectif "zéro e-mail" pour 2014
Thierry Breton, PDG d'Atos Origin a récemment indiqué qu'il souhaitait voir les collaborateurs de la SSII qu'il dirige abandonner l'envoi de courriers électroniques pour communiquer entre eux. Le dirigeant pense que la messagerie classique pourrait être avantageusement remplacée par d'autres applications qu'il juge plus adaptées à la collaboration. Selon lui, les managers, qui passent de 5 à 20 heures par semaine à lire et écrire des emails, utilisent déjà les réseaux sociaux plus que les moteurs de recherche et passent 25% de leur temps à rechercher de l'information.
Au sein d'Atos Origin, des outils collaboratifs et des plateformes communautaires ont déjà été mis en place pour « partager et garder une trace des idées qui naissent sur des sujets allant de l'innovation au Lean Management en passant par les ventes, a notamment expliqué le PDG. L'e-mail ne sera bientôt plus considéré comme la meilleure manière de travailler et d'échanger ». L'objectif affiché est de muer la SSII en entreprise « zéro e-mail » d'ici trois ans.
Messagerie instantanée et plateformes communautaires
Le groupe français a donc décidé de mettre en place des solutions qu'il qualifie de « novatrices » dans le domaine des réseaux sociaux afin de partager une information plus personnalisées, de façon plus immédiate. Des outils qu'il considère en outre plus efficaces en termes de coûts. Afin de devenir une entreprise « où il fait bon vivre », Atos Origin en a déjà déployé certains.
La société dit notamment encourager l'usage de la messagerie instantanée Office Communicator de Microsoft (désormais renommée Lync) et avoir installé des plateformes communautaires. Selon les premiers résultats qu'elle a constatés, le recours à ce type de logiciels aurait d'emblée réduit le volume des e-mails de 10 à 20%.
Illustration : la messagerie instantanée Lync de Microsoft (...)
Dématérialisation : Les DRH identifient les gains, mais les attentes restent fortes
La dématérialisation des processus RH est largement pratiquée mais l'approche des DRH est très immature selon une enquête de Markess International. Dans certains cas, celle-ci est poussée par des dispositions obligatoires, comme dans le cas des déclarations sociales. Mais la plupart des processus sont au mieux numérisés, c'est à dire qu'ils sont d'abord gérés sous forme papier, puis scannés et retraités au format numérique, par exemple au sein d'une GED, avec ou sans reconnaissance automatique de caractères et intégration des informations. Les doubles flux papier et numérique sont également très fréquents.
Les gains importants de la dématérialisation sont connus. Selon l'enquête de Markess International, le premier recherché est l'accès simplifié et permanent aux documents traités (72% des répondants approuvent ce point de vue). Evidemment, la réduction des coûts arrive aussitôt après (70% des répondants) ainsi que les délais (60%). Si environ la moitié des organisations numérisent ou dématérialisent d'ores et déjà des documents liés aux processus RH, la quasi-totalité envisagent d'y passer.
Markess International s'est aussi intéressé, document par document, à ce que les organisations dématérialisaient et envisageaient de dématérialiser dans les prochaines années. Tous les documents et tous les processus sont concernés (de 30% à 50% des répondants selon les documents) et partout on voit un intérêt pour accroître la part numérisée des documents (d'ici 2012, de 60% à 90%). Il y a cependant un net retard sur le bulletin de paye où les réticences sont les plus grandes. Il n'en reste pas moins que la valeur juridique des documents est un vrai problème, ce qui justifie que le double flux papier et numérique soit la règle générale.
Cliquer ici pour agrandir l'infographie
Des attentes fortes parmi les responsables
Les responsables interrogés ont pourtant de fortes attentes et souhaitent des solutions les plus intégrées possibles, y compris d'un côté avec le SIRH et de l'autre avec les coffres-forts électroniques qui garantiront la préservation avec valeur juridique des documents le temps nécessaire (plus de 50 ans pour un bulletin de salaire).
Le modèle économique des offreurs est généralement toujours le même : chaque document est archivé le temps nécessaire contre un paiement initial unique.
L'immaturité de l'approche des utilisateurs est caractérisée par le manque d'intérêt a priori pour le partage des informations et la réversibilité du stockage externalisé des documents archivés sous format numérique.
Des discussions seraient en cours entre acteurs et sous l'égide de l'Afnor pour aboutir, dans un premier temps, à un « bulletin de salaire numérique » standardisé et, dans un second temps, à une normalisation des coffres-forts électroniques afin que chaque salarié puisse posséder le sien auprès du prestataire de son choix, exactement comme il possède un compte en banque où toucher son salaire auprès de la banque de son choix. (...)
Granit et l'Afeit rejoignent l'enquête du Syntec Numérique
A côté des collectivités locales, des pôles de compétitivité, la Bretagne compte deux grandes associations spécialisées sur les TIC : Granit et l'Afeit. La première regroupe 80 membres, la seconde une cinquantaine. Prestataires, représentants des entreprises, institutions en sont membres. D'autres associations ou structures couvrent le sujet, comme la Meito active également en Pays-de-Loire.
Le Granit et l'Afeit viennent de constituer, avec le représentant du Syntec Numérique dans l'Ouest, Benoît Jeannin, un Comité filière numérique Bretagne. Le but ? Valoriser la filière numérique régionale bretonne. Plusieurs actions sont prévues. La première est de participer à l'enquête semestrielle du Syntec Numérique qui comporte des volets régionaux. Les deux associations vont porter l'enquête auprès de leurs adhérents et contacts en local et relancer ces contacts.
B-dom' cherche l'équilibre dans la diversification
La filiale de dépannage informatique à domicile de l'enseigne multispécialiste Boulanger a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 3,2 M€, en hausse de 14% comparé à l'année précédente. Malgré ce dynamisme, le résultat net de cette entreprise créé fin 2006 est resté dans le rouge. « Nous sommes en phase de croissance et donc d'investissement,justifie Cédric Leprince Ringuet, le directeur de B-dom'. Nous atteindrons l'équilibre, voire un peu plus, cette année ». Le résultat d'exploitation attendu devrait se situer quant à lui autour de 100 K€ sur des revenus prévisionnels de 4 M€.
Quand Cédric Leprince Ringuet parle d'investissement, il fait notamment allusion à l'élargissement du nombre de collaborateurs de la société. En 2010, 14 nouveaux emplois ont ainsi été créés, portant l'effectif total de B-dom' à 60 personnes. Parmi les nouvelles recrues, on compte des techniciens ainsi que des cadres tels qu'Olivier Gradel, un ancien des magasins de sport Decathlon, nommé directeur opérationnel.
Deux partenariat en cours de négociation
Pour faire fructifier son activité historique (dépannage, installation, formation en informatique), B-dom' veut également étendre ses partenariats avec les distributeurs qui proposent ses services aux particuliers au-delà des seules enseignes du groupe HTM (maison mère de Boulanger). «Dans le groupe, nos services sont proposés à l'heure actuelle par Boulanger, le site Webdistrib.com, les magasins Gitem, et bientôt par Electro-Dépôt,explique Cédric Leprince Ringuet. Nous allons tester cette approche hors du groupe avec deux enseignes, l'une dans la téléphonie mobile et l'Internet, l'autre dans la distribution semi-professionnelle. »
Les ambitions de B-dom' pour 2011 ne s'arrêtent pas là. Le prestataire de services souhaite également diversifier ses activités en ouvrant une nouvelle filiale d'ici deux mois. Encore peu disert sur le sujet, Cédric Leprince Ringuet indique que son activité sera tournée vers le concept de la maison intelligente Le directeur de B-dom' donne toutefois quelques indices :« Aujourd'hui, la loi Borloo sur les services à la personne nous limite à l'informatique et l'Internet. Jusqu'ici, nos techniciens ne peuvent pas toucher à des matériels comme l'iPhone ou les Smart TV ». La diversification de B-dom' fait en tous cas penser à celle engagée dans l'audiovisuel par la société Solutions30 (ex-PC30), un prestataire historiquement focalisé sur le dépannage informatique. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |