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(24/02/2011 10:09:58)

Annuels Logica : Bonne croissance de l'Europe du Nord et Centrale

Logica communique ses chiffres 2010 mondiaux et, ce qui est plus exceptionnel, donne également un aperçu sur l'Hexagone (la SSII fournit d'ailleurs dans un document de 36 pages de nombreux éléments permettant d'apprécier son activité). Pour l'ensemble du groupe, le chiffre d'affaires se situe à 3,697 milliards de livres sterling, en hausse de 1% pro forma. La marge d'exploitation ajustée est à 7,4%, le résultat opérationnel triple à 211 millions de livres sterling en raison de la réduction de l'amortissement et des charges exceptionnelles.

La France se distingue par une forte performance. Le chiffre d'affaires dans l'Hexagone se monte à 810 millions de livres en hausse de 7%. La région « Europe du Nord- Europe Centrale » progresse également de 7% à 788 millions de livres. La Suède de 4% à 566 millions de livres. En revanche, le Royaume-Uni fléchit de 5% à 709 millions de livres, le Bénélux baisse de 10% à 488 millions de livres.

Le Président pour la France, Jean-Marc Lazzari a souligné les points forts qui expliquent sa croissance : des contrats importants dans les services financiers (Banque Postale), le secteur public (+19%), un carnet de commandes important qui a permis de recruter 1 600 collaborateurs en 2010. Le même chiffre est avancé pour 2011. Jean-Marc Lazzari note également la part de l'outsourcing dans son chiffre d'affaires, 43%, et son dynamisme.

(...)

(24/02/2011 09:56:40)

Le cluster Numelink va présider France IT

Armand Lulka, le directeur du cluster Numelink (anciennement Loire Numérique) devient président de France IT. Ce regroupement comprend six clusters : Numélink (département de la Loire), Franche Comté Interactive, RhôneAlley (département du Rhône), Rhénatic (Alsace), le PEBA (Pôle E-Business sud Aquitain Adour) et le SPN (réSeau des Professionnels du Numérique en Poitou-Charentes). Ils veulent créer un label « entreprise numérique responsable » et favoriser les échanges et les actions mutualisées entre les 600 entreprises membres de leurs clusters. (...)

(23/02/2011 09:51:22)

Annuels Sopra : De bons résultats mais prudence pour 2011

La croissance organique de Sopra Group se monte à 6,2% sur l'exercice 2010, avec un chiffre d'affaires de 1, 169 milliard d'euros. La rentabilité est également très satisfaisante. Le résultat opérationnel courant se monte à 116,6 millions d'euros (10% de marge), le résultat opérationnel s'élève à 109,3 millions d'euros (9,3% de marge), le résultat net est de 74,8 millions d'euros (marge nette de 6,4%). 

Tous ces chiffres sont largement au-dessus des attentes des analystes financiers. Toutefois, la SSII reste très prudente sur 2011 indiquant simplement s'attendre à une croissance organique et une légère amélioration de sa marge opérationnelle. 

Sopra Group donne quelques précisions sur ses activités. La partie Conseil et intégration de systèmes et solutions, CISS, progresse à 961,5 ME en 2010, contre 912,1 en 2009. Soit + 5,1% en croissance organique. La France progresse de 6% en organique à 786,1 ME, l'Europe ne progressant que de 1,2%.  La partie Axway affiche un CA de 208,4 ME en hausse de 11,8%. Axway devrait être introduit en bourse après un vote des actionnaires intervenant au 2ème trimestre.

(...)

(18/02/2011 17:17:59)

Annuels Bull : la croissance s'est accélérée au 2e semestre

(Mise à jour) Deux mois après avoir présenté sa stratégie BullWay, avec laquelle il affiche l'ambition de devenir, en trois ans, l'un des leaders européens des systèmes numériques critiques, Bull présente des résultats intéressants sur son exercice 2010. Son chiffre d'affaires a progressé de 12% à 1,24 milliard d'euros, à taux de change et périmètre courants par rapport à 2009 (+2,7% en organique, c'est-à-dire à taux de change et périmètre constants d'une année sur l'autre). Après un premier semestre en retrait, la croissance a repris au troisième trimestre (+4,1%) pour s'accélérer sur le quatrième (+11,6%). Sur l'année, les prises de commande se sont élevées à 1,31 milliard d'euros, soit une augmentation de 11,4% par rapport à l'an dernier (+3,7% en organique). 

« L'entreprise est mobilisée pour progresser », a commenté le PDG de Bull, Philippe Vannier, en faisant référence au programme BullWay dont l'organisation est en cours de déploiement. Il a également rappelé qu'un audit du groupe avait été réalisé avant l'été. Ces derniers mois ont donc constitué « une période assez particulière où l'on a pu tester la volonté des équipes à assurer cette transformation. » Et la période allant de juillet 2010 à l'été 2011 s'annonce comme une année de transition. Un plan d'embauche d'un millier de personnes(*) est prévu, la moitié des recrutements concernant la France, l'autre moitié devant s'effectuer à l'international.

L'offre HPC, cruciale pour l'avenir de Bull

La trésorerie opérationnelle de Bull à l'issue de 2010 est jugée satisfaisante par le PDG et son directeur financier, John Selman. Elle permet de couvrir les besoins non récurrents et les éventuelles acquisitions ciblées si des opportunités, notamment technologiques, se présentaient. Quant au bénéfice net « toujours insuffisant » selon le directeur financier, il a certes été multiplié par 4,6 en un an, à 6,5 M€, mais en partant d'un résultat net 2009 qui « n'était pas très élevé ».

En considérant séparément chaque catégorie d'activités de Bull, John Selman souligne que les solutions matérielles, produits traditionnels du constructeur, ont montré une croissance de 11% et une bonne dynamique commerciale au 2e semestre (le book-to-bill est de 1,04 et la marge brute est stable). L'offre HPC, « cruciale pour l'avenir de Bull » est désormais la plus importante. Elle a représenté 150 millions d'euros en 2010, ce qui représente une progression de 50%. Parmi les références de l'année, le groupe cite, pour son offre bullx, le Tera 100 mis en place au CEA, mais aussi Genci et Awe. Sur bullion, Xerox et sur novascale gcos, la CNAF.

gcos, encore bon pied bon oeil

A noter que l'activité liée à l'environnement gcos a cessé de décliner, a signalé Philippe Vannier en réponse à une question de l'assistance lors de la conférence de presse des résultats. Son chiffre d'affaires s'est établi à 60 M€ environ. « Ces serveurs ont comme atout leur extrême fiabilité. Nous avons pris des commandes de systèmes en 2010 et nous allons en chercher de nouvelles. Chaque année, cette activité baisse moins vite que prévu. Il va y avoir un plateau que j'espère à 40 M€ -et que nous souhaitons compenser par d'autres ventes ailleurs- mais pas en 2011. »



Excellentes performances pour l'activité Services...

MAJ (*) En tenant compte des départs, l'effectif devrait augmenter de 500 à 600 personnes. Aucun plan de départs n'est prévu, ceux-ci devraient se faire de manière plus individuelle.
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Léger tassement pour l'activité Maintenance (-1,3%), mais avec une petite hausse des commandes (+0,5%) et une marge brute de 27,6%. L'activité Services & Solutions a, en revanche, enregistré « d'excellentes performances, à contre courant du marché », ne manque pas de souligner John Selman. La progression s'élève à 3,8% alors que Syntec numérique a fait état de 1% de croissance sur le marché des logiciels et services en 2010. La marge brute n'a pas augmenté autant que Bull l'aurait souhaité, notamment en raison de provisions que le groupe avait placées sur certains projets difficiles.

Bull mise sur les appliances DLP d'Amesys en 2011

Enfin, sur l'activité Securité et systèmes critiques, Bull annonce un chiffre d'affaires de 89 M€ et des prises de commandes de 90 M€ avec une marge brute à méthode constante de 29%. Dans ce domaine, des affaires ont été décalées, probablement sur 2011, espèrent les dirigeants. A cela s'ajoute par ailleurs l'offre de sécurité Data Leakage Prevention d'Amesys qui va être lancée. Ce produit de prévention des pertes des données permet une analyse en temps réel des données dans une appliance Bull. Trois gros clients français ont accepté d'être des partenaires de lancement de cette offre. Ce sont des machines assez conséquentes « sur lesquelles nous fondons certains espoirs », a confié le PDG.

Objectif : 700 M€ à l'international en 2013, soit 50% du CA

D'ici à 2013, Bull s'est fixé un objectif de chiffre d'affaires situé entre 1,35 et 1,45 milliard d'euros et un bénéfice avant impôt et taxes (EBIT) entre 50 et 60 M€. A cet horizon, le groupe souhaite réaliser 50% de son chiffre d'affaires à l'international, sans diminuer la partie réalisée en France. Aujourd'hui, le ratio est de 55% pour la France. « C'est un gros challenge », reconnaît Philippe Vannier qui rappelle que cela correspond, à terme, à environ 700 M€ d'un côté et de l'autre, soit 1,4 M€ au total. Mais le PDG semble confiant. « Notre position d'acteurs de niche [associant une offre d'infrastructures de puissance et des applications de sécurité] nous met dans une position favorable face à nos concurrents, ajoute-t-il Philippe Vannier. Comment, notamment, envisager le cloud sans solutions de sécurité ».
(...)

(18/02/2011 15:35:18)

Capgemini recrute 400 informaticiens à Toulouse

Capgemini souhaite renforcer ses équipes toulousaines. Pour accompagner la croissance de sa division Applications Services, la SSII prévoit d'intégrer 400 nouveaux collaborateurs : 100 offres concernent des jeunes diplômés (moins de 3 ans d'expérience), 150 sont réservées à des profils intermédiaires (entre 3 à 7 ans) et une proportion équivalente visent des profils expérimentés (au-delà de 7 ans). La palette des postes est assez variée : il s'agit d'architectes (d'entreprise, logiciel .Net et J2EE, Netweaver, Weblogic, PLM, sécurité, etc.), d'ingénieurs (.Net, Java,  Drupal, Sharepoint...), de business développeurs, de chefs de projet et de directeurs de projet, de responsables qualité, de consultants (BI, PLM, SAP, supply chain, conduite applicative Oracle, Unix et Java), de responsables du domaine applicatif, et enfin d'experts techniques Java/J2EE. Les nouvelles recrues interviendront auprès de clients nationaux et internationaux de l'aéronautique, du spatial, de la défense et de la navigation aérienne mais également du voyage et du transport, de l'industrie, de la santé ou du social

Cinq journées portes ouvertes

Ce programme de recrutement s'inscrit dans le cadre d'une campagne nationale baptisée « Mon job, Ma vie ». A travers elle, Application Services France envisage, en 2011, de se renforcer pour planifier, concevoir, diriger et développer des projets d'intégration de systèmes d'information. Du 21 au 25 mars, Capgemini orga­nise une semaine du recrutement dans la ville rose. Elle se déroulera dans les locaux toulousains du groupe, siège de la division Aérospatiale et Défense. Lors de cet événement, les postulants pourront découvrir les projets pour les­quels Capgemini recrute, les métiers proposés et les secteurs d'activité. Ils seront accueillis au sein du centre Accelerated Solution Environment (ASE) conçu pour accélérer les projets de transformation des entreprises.
Le centre ASE et les locaux de Cap­gemini seront spécialement organisés en mode portes ouvertes à l'heure du déjeuner puis en soirée. Cinq espaces, consacrés aux RH (carrières, formation), aux métiers du groupe, aux secteurs et également aux échanges (sur les projets, les postes à pourvoir) seront ouverts au public. L'entrée est libre, sur présentation d'un curriculum vitae.

 

Illustration: le site de Capgemini à Toulouse. Crédit photo: Capgemini

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(18/02/2011 10:44:19)

Feel Europe reprend l'ingénierie de Team Partners

« Ce rachat de Team Partners présente pour nous au moins cinq avantages » souligne Gilles Sitbon, le P-dg du groupe Feel Europe. Team Partners compte dix agences régionales alors que Feel Europe en affiche une seule, à Bordeaux, suite au rachat d'Ovelia l'an passé. L'ambition de Feel de s'implanter localement étant forte, ce rachat tombe à pic. Deuxième élément : la complémentarité. Team Partners est tourné vers l'industrie, Feel Europe orienté principalement sur le secteur banque-finances. Pas de chevauchement de compétences.  Troisième élément, qui découle du précédent, Feel Europe va diluer  avec ce rachat l'importance de ses grands comptes bancaires. Aucun ne dépasse 10% du CA, ce sera encore plus vrai dans le nouveau groupe.

Par ailleurs, sur un plan très opérationnel, Feel Europe va bénéficier directement de ressources rapidement disponibles pour ses projets au forfait (qui représentent avec les centres de services 30 à 40% de l'activité de Feel Europe). Enfin, Feel Europe qui dispose d'un centre de formation, membre du réseau Agenius va pouvoir le développer encore avec l'arrivée des clients de Team Partners.

Cette acquisition suit de près, neuf  mois, celle d'Ovelia. Cette dernière représentait 14 ME de CA annuel, Team Partners 36 ME. Sachant que Feel Europe termine l'année 2010 avec un CA de 49 ME, la question se pose d'une croissance externe peut être trop rapide. Réponse de Gilles Sitbon  « nous répondons à l'évolution du marché et de ses pratiques. Il ne s'agit pas de grandir pour grandir. Actuellement, les SSII ne peuvent évoluer que si elles ont la taille suffisante. Les directions achats imposent en effet la massification des achats, il y a moins de place pour les SSII spécialisées ». C'est pourquoi Feel Europe s'est fixé des objectifs ambitieux de croissance. Initialement, la SSII voulait atteindre les 100 ME en 2014. C'est fait. Gilles Sitbon se voit désormais à 150 ME en 2014.

Un an pour intégrer Team Partners [[page]]

L'intégration de Team Partners se fera assez naturellement. Feel Europe a l'habitude. Ovelia rachetée au mois de mai 2010 est d'abord devenue une filiale, avant que ses effectifs ne soient intégrés. « L'opération était déjà suffisamment ample avec 140 collaborateurs ». Team Partners devrait suivre le même schéma, mais avec 496 collaborateurs. Une année d'observation, en tant que filiale à 100%, et ensuite les effectifs seront redistribués dans Feel Europe.

Feel Europe compte quatre activités : infrastructures, développement, conseil, formation. Actuellement, depuis le rachat et l'intégration d'Ovelia, elles représentent respectivement 35 % de l'activité, 29%, 30%, 5%. Dans un an, une fois Team Partners intégré,  ces quatre activités devraient évoluer. La société rachetée étant dans les infrastructures et le développement, ces deux activités approcheront ou dépasseront les 40% de l'activité totale de Feel Europe.

Mais Feel Europe construit parallèlement sa croissance organique. Et sa rentabilité. La société termine 2010 avec un CA de 49 ME et 20% de croissance organique. La rentabilité reste forte avec 8 points de résultat d'exploitation sur 2010. Ce chiffre, du moins un chiffre proche doit être atteint en 2011. La croissance externe reprendra en 2012, sans doute dans le conseil. Le rachat de Team Partners Group n'ayant coûté que 2,6 ME, en incluant les congés payés, 1,1 sans eux.

Un seul actionnaire [[page]]

Dernière caractéristique, Feel Europe se refuse à envisager l'entrée en bourse. « Elle valorise insuffisamment notre métier », note Gilles Sitbon. Lui est passé par Oséo et le FSI. En juillet 2010, il a souscrit des obligations pour 3,5 ME afin de financer ses acquisitions. Et de rester indépendant. « Je suis et reste le seul actionnaire de la société. C'est à deux conditions, la taille et l'indépendance, que nous progressons».

Créée en 2000, Feel Europe a déjà effectué plusieurs rachats : Adequat dans la finance MOE MOA en 2004, Atalys Ingénierie et ses filiales Oratech et Datanalyse (sur la BI) en 2007, Acsio (cabinet conseil marocain) en 2008, 2IAP et Atfor dans la formation en 2009, Ovelia (filiale d'Overlap) en 2010. (...)

(17/02/2011 13:12:16)

Annuels Capgemini : Prises de commandes en hausse sur 2010

Capgemini, la SSII présidée par Serge Kempf et dirigée par Paul Hermelin a enregistré un chiffre d'affaires de 2,38 milliards d'euros (Md€) au 4e trimestre 2010. A taux de change et périmètre courants, cela représente une croissance de 16,2% par rapport au 4e trimestre 2009 (5,8% à taux de change et périmètre constants). Sur cette période, en France, le chiffre d'affaires du groupe a augmenté légèrement (+1,5%) comparé à l'an dernier, à 517 millions d'euros (M€). En progression séquentielle par rapport au 3e trimestre 2010, la hausse est de 19,2% (en chiffres courants) sur l'Hexagone.

Au deuxième semestre 2010, le groupe a dégagé une marge opérationnelle de 342 M€, soit 7,6% des 4,486 Md€ de chiffre d'affaires réalisé sur les six derniers mois de 2010 (5,8% au premier semestre). Sur l'année complète, la marge opérationnelle a légèrement baissé (-0,3 points) par rapport à l'an dernier. Quant au CA annuel, il augmente de 3,9% à taux de change et périmètres courants, mais baisse de 1,1% à taux de change et périmètres constants.

Une croissance qui forcit au 4e trimestre

La SSII indique que l'analyse des prises de commandes confirme l'accélération qu'elle a constatée sur les derniers mois de l'année. Celles-ci se montent à 9,86 Md€, soit une augmentation de 2009 par rapport à l'an dernier. Elles sont notamment reparties sur l'infogérance, activité qui a en revanche baissé de 3,2% sur l'exercice en raison de la baisse du volume réalisé avec un grand client américain. Sur ses autres métiers, la SSII note une progression moyenne de 11% sur ses prises de commandes.

L'intégration de systèmes, son premier métier (41,5% du CA) a progressé de 1,6% sur douze mois avec une marge opérationnelle presque inchangée de 6,7%. En revanche, l'activité consulting a reculé de 7,5% sur l'année. Enfin, pour sa filiale Sogeti, Capgemini indique un taux de marge opérationnelle de 9,2% pour un chiffre d'affaires « quasi identique à celui de l'année précédente ».

La France pèse 22% du CA total en 2010

Les activités réalisées sur l'Hexagone ont pesé 22% du chiffre d'affaires total en 2010, soit 1,93 Md€. Cela constitue un léger tassement par rapport à l'exercice 2009 (1,949 Md€) tant en chiffres courants (-0,9%) qu'organiques (-1%). Pour les autres activités du groupe, en 2010, la zone Royaume-Uni/Irlande pèse aussi 22% environ avec un CA de 1,91 Md€ (+3,2% en chiffres courants), l'Amérique du Nord a représenté 19% (+4,7%) et le Benelux 16% (-6%). Les 21% restants se répartissent entre les autres pays européens, l'Asie et l'Amérique latine pour un chiffre d'affaires de 1,875 Md€, en progression de 18,5% par rapport à 2009.

30 000 collaborateurs recrutés l'an dernier

A la fin de l'exercice, la trésorerie nette du groupe s'élevait à 1,06 Md€, contre 1,269 Md€ fin 2009, le groupe ayant procédé à plusieurs acquisitions dans l'année (SSS, IBX, Skvader, Thesys) et pris une participation dans la société brésilienne CPM Braxis. L'effectif total de la SSII s'établissait à 108 698 personnes dans le monde au 31 décembre 2010, dont 7 600 provenant des rachats. Cela représente un différentiel de 18 182 personnes sur un an (+20%). Le groupe indique par ailleurs qu'il a globalement recruté 30 000 collaborateurs en 2010. L'effectif offshore représente 35% du total, soit 38 400 personnes, dont 31 000 en Inde.

Pour 2011, Capgemini estime que la croissance de son chiffre d'affaires se situera entre 9 et 10% à taux de change et périmètres courants. Il prévoit une progression de sa marge opérationnelle, entre 0,5 et 1 point par rapport à 2010.

Source illustration : Résultats financiers 2010 de Capgemini (...)

(17/02/2011 09:33:46)

Annuels UTI Group : Des résulats conformes aux objectifs

La SSII UTI Group publie ses résultats pour l'exercice 2010 (clos le 31 décembre) qui s'élève à 28,51 M€, en hausse de 10,8% par rapport à 2009. La croissance du groupe s'est nettement accélérée au second semestre avec une hausse de 19,2% par rapport à la même période de l'exercice précédent, tandis qu'au premier semestre la progression restait modérée, à 3,1% par rapport à 2009. Cette croissance est principalement due à l'augmentation de 9,7% des effectifs opérationnels de la SSII ainsi qu'aux taux d'inter contrats faibles.

La société, dont l'activité se concentre principalement autour des secteurs banques (37%) et assurances (21%), enregistrait un chiffre d'affaires de 25,73 M€ en 2009. Les résultats pour l'exercice 2010 confirment, selon la direction, les objectifs d'amélioration du niveau de marge opérationnelle courante.

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(17/02/2011 09:29:29)

Osiatis se muscle dans la BI avec le rachat d'Alcion

Avec le retour de la croissance et celui de la rentabilité, Osiatis renoue avec la croissance externe. Au mois d'août dernier, il rachetait la partie Ile-de-France d'Astek, cette fois, il reprend la totalité de la société Alcion Group. Astek concernait la partie « historique » d'Osiatis, les infrastructures, qui représentent plus de 85% de son chiffre d'affaires (CA), Alcion concerne la partie ingénierie applicative.

Alcion intéresse Osiatis pour ses compétences (Java, JEE, DotNet et BI) et surtout son parc installé dans le secteur banque-finances. L'intégration des équipes sera rapide, elles rejoignent Osiatis Ingénierie, la filiale d'Osiatis spécialisée dans l'ingénierie applicative. Juridiquement, ce sera un peu plus long. Alcion est côté en bourse, au Marché Libre, Osiatis contrôle déjà 95,4% des actions Alcion, et souhaite racheter le solde. Dans ce cas, le titre sera retiré.

Alcion : un CA en chute régulière

Alcion présente un résultat positif en 2010. Pourtant la société a vu son chiffre d'affaires baisser d'année en année, passant de 12,12 millions d'euros en 2007, à 11,16 ME en 2008, 9 ME en 2009, 8 ME en 2010. Explication, cette activité applicative a souffert chez tous les acteurs du marché du fait de la crise économique et de la massification des commandes qui écartent les « petits » acteurs comme Alcion. Les recrutements ont également plus difficiles lorsque la croissance revient, plus difficiles que dans les « infra ». C'est la raison des difficultés rencontrées par Alcion.

Pour sa part, Osiatis renforce une activité, qui a débuté pour elle en 2005 avec le rachat de Focal. Cette dernière effectuait la moitié de son CA dans l'applicatif et l'autre dans les infrastructures. Aujourd'hui, l'ingénierie applicative représente 30 ME de CA pour Osiatis qui en a réalisé 243,6 en 2010, en croissance de 4,6%, supérieure à la moyenne du marché (1% selon Syntec Numérique).

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