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(27/07/2011 10:21:41)

Open renforce son réseau avec deux directeurs Grand Ouest

Les équipes dirigeantes de la région Grand Ouest chez la SSII Open s'enrichissent de deux membres avec les nominations de Cyrille Varin et de Nicolas Deschamps. Le premier d'entre eux prend la direction de la business unit Nantes Niort tandis que le second devient directeur de la business unit Rennes Lannion. Ils sont tous deux placés sous la houlette d'Eric Lemeilleur, le directeur de la région Ouest chez Open.

Avant de rejoindre la SSII, Cyrille Varin a passé 9 ans chez Cap Gemini où il occupait dernièrement le poste de directeur commercial sur le secteur services. Issu des rangs d'Open, Nicolas Deschamps était depuis 2005 directeur de l'agence ouest de la SSII qui couvre Rennes et Nantes.

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(22/07/2011 10:40:52)

Baromètre trimestriel HiTechPros/CIO : les services aux entreprises et la distribution prennent le pouvoir

Bertrand Lemaire : Quelles sont les grandes tendances de la demande en ressources humaines de ce deuxième trimestre 2011 ?

HiTechPros : En ce deuxième trimestre 2011, on retrouve un nouveau classement des secteurs d'activités les plus demandeurs, le secteur des « Assurances » représentant le plus de demandes les mois précédents, se retrouve « exclu » du trio de tête. En effet, la première place du classement revient au secteur « Services aux entreprises » avec 18,9 % des demandes.

Le secteur « Commerce et distribution » s'impose également avec 16 % des demandes suivi du secteur « Informatique » 14,2 % qui laissait déjà paraître de bons résultats les trimestres précédents.

Et du point de vue des compétences ainsi que des professions ?

Les technologies « Autres SQL » arrivent, sur ce deuxième trimestre 2011, en tête des compétences demandées par les clients avec 11,6 % des demandes à égalité avec la catégorie « Oracle ». On note l'entrée dans le trio de tête de la catégorie «  Business Objects » qui représente plus de 8,5 % des demandes.Concernant les autres compétences techniques, elles se répartissent entre 0 et 6,1 % des demandes.

Côté professions les plus demandées, le métier « Chef de projet » obtient la première place avec 24 % des demandes, suivi des métiers « Développeur » et « Consultant » ex-æquo avec 16,5 % des demandes. Ce deuxième trimestre est donc marqué par un retour de la demande sur le métier « Consultant » qui revient dans le trio de tête (à la place du métier « Ingénieur Système Réseaux »).

Quelles évolutions constate-t-on depuis un an ?

En termes de secteurs d'activités, par rapport au deuxième trimestre 2010, on retrouve un classement quasi-identique des secteurs d'activités les plus demandeurs en compétences informatiques. En effet avec 16,2 % des demandes au T2 2010 et 18,9 % ce trimestre, le secteur « Services aux entreprises » obtient la place de leader, suivi du secteur « Commerce et distribution » avec 13,4 % en 2010 contre 16 % en 2011.

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Pour finir ce tiercé, la troisième place est attribuée au secteur « Informatique » avec 4,2 % des demandes l'année dernière et 14,2 % cette année, nous pouvons noter une ascension fulgurante sur ce secteur qui détrône la catégorie «  Assurances ». Sa forte amélioration sur les trimestres précédents a donc été maintenue et renforcée sur ce 2ème trimestre 2011.

Et côté compétences techniques?

Du coté des compétences techniques, trois technologies restent particulièrement demandées.
Les compétences « Autres SQL » sont restées sur l'ensemble de l'année 2010 et en ce début 2011, les valeurs sûres parmi les compétences les plus recherchées avec 7,8 % des demandes au T2 2010 pour 11,6 % au T2 2011.

La compétence « Oracle » garde également sa place dans le trio de tête sur pratiquement toute l'année et passe de 6,9 % des demandes au T2 2010 à 11,6 % au T2 2011, ce qui l'amène à la première place ex-æquo. L'évolution de la compétence « Business Objects » est assez spectaculaire puisque celle-ci passe de 2,6 % à 8,5 % des demandes en un an.

On note la diminution des demandes « Systèmes d'exploitation Windows » qui retrouve son niveau d'il y a un an après avoir figuré deux trimestres parmi les compétences les plus recherchées.

Pour terminer, quelle évolution connait la demande en termes de métiers depuis un an?

L'analyse sur ce deuxième trimestre 2011 met en évidence qu'avec 15,8 % des demandes au T2 2010 et 24% au T2 2011, le métier « Chef de projet » se distingue encore une fois par rapport aux autres en représentant à lui seul près d'un quart des métiers recherchés. Quant au métier « Développeur », sa part dans les demandes se stabilise aux alentours de 16,5 %, après avoir atteint un pic à 23,4 % sur le T4 2010.

Pour finir, après une petite baisse de régime le trimestre précédent le métier « Consultant » retrouve un bon niveau avec 16,5 % au T2 2011 contre 14 % au T2 010.

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(09/09/2010 10:43:34)

Dossier : Business Intelligence, l'avenir s'annonce sans nuages

La Business Intelligence a, malgré la crise économique, soutenu le marché mondial  des logiciels et services avec une croissance à deux chiffres en 2009, atteignant 8 milliards de dollars (source Forrester), contrairement au marché global des logiciels qui a baissé de 8% la même année. La tendance devrait se poursuivre en 2010. Cependant, le marché de la BI change rapidement, et les éditeurs doivent appréhender les tendances émergentes. En effet, la difficulté n'est plus de recueillir l'information mais de la rendre disponible sous la bonne forme au bon moment et, à la bonne personne qui saura l'exploiter et en tirer de la valeur ajoutée.

Pour lire la suite du dossier (...)

(20/07/2011 10:12:25)

ITS Group acquiert Themis pour se renforcer dans le conseil

A l'origine intégrateur de solutions de supervision de système, ITS Group a progressivement évolué en enrichissant son offre de prestations d'infogérance et d'hébergement. Aujourd'hui, la société de services créée en 1996 poursuit sa diversification. Elle a récemment fait l'acquisition de 70% du capital de Themis, un cabinet de conseil francilien spécialisé dans les systèmes d'information, l'organisation et le management. Fort d'une quinzaine de collaborateurs, il a réalisé un chiffre d'affaires de 2 millions d'euros lors de son dernier exercice en ciblant notamment les assurances et les mutuelles. Avec les banques, ces deux profils de clients représentent plus de 50% des facturations d'ITS Group.

« Les assurances et les mutuelles connaissent des mouvements de concentration importants, comme celui de la fusion des caisses de retraites, explique Jean-Michel Bénard, le PDG et fondateur d'ITS Group. Au niveau des systèmes d'information, cela engendre, par exemple, le besoin de fusionner des centres de données. L'arrivée de Themis dans le groupe va nous permettre d'apporter aux clients des prestations de conseil et de réflexion stratégiques nécessaires pour mener à bien ce type d'opération.» Jusqu'ici, ITS Group n'était pas en mesure de proposer cet accompagnement. Capable de proposer du conseil dans le domaine de la production informatique, l'entreprise ne disposait pas d'une connaissance assez poussée du métier de ses clients, à l'inverse de Themis. Le fait que ce dernier s'adresse aux directions générales et ITS Group aux DSI illustre cette différence.

Themis ne sera pas fondu dans  le groupe

Soucieux de conserver l'image d'indépendance du cabinet de conseil, ITS Group ne compte pas le fondre dans le groupe tel que cela fut le cas pour ses neuf autres acquisitions. En tant que filiale, Themis conservera son nom et son dirigeant actuel qui reste actionnaire de la société à hauteur de 30%. Concernant les synergies entre le cabinet de conseil et le reste du groupe, plus particulièrement avec sa branche intégration Axir, ITS Group compte sur sa nouvelle filiale pour l'informer en amont des projets des clients et le mettre en avant. « Ce que nous ne voulons pas c'est qu'ITS Group rate un appel d'offre », insiste Jean-Michel Bénard. Ce dernier est en effet très attaché à faire progresser la branche intégration du groupe. Bien qu'elle fût son premier métier, elle est désormais passée derrière son activité d'infogérance et de délégation de personnel.

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(19/07/2011 11:59:21)

Trimestriels IBM : des chiffres flatteurs pour Big Blue

Pour le dernier trimestre, clos le 30 juin, IBM a engrangé un chiffre d'affaires de 26,7 milliards de dollars, soit une hausse de 12% par rapport à la même période l'année dernière. Le résultat net GAAP (règles comptables américaines, IFRS en Europe depuis la convergence des deux systèmes) a été de 3,7 milliards de dollars, en hausse de 8%. La firme a indiqué que le résultat net non-GAAP a été de 3,8 milliards de dollars, soit une hausse de 11% par rapport à la précédente année. Le bénéfice par action est de 3 dollars selon les estimations GAAP et de 3,09 dollars en non-GAAP.

Globalement, les logiciels et systèmes ont connu une progression de 17%, selon la compagnie. Les revenus issus du logiciel représentent 6,2 milliards de dollars. Les produits middleware d'IBM, WebSphere, Tivoli, Lotus et Rational, ont rapporté 3,9 milliards de dollars, soit un bond un bond de 21%. Côté matériel, l'activité Systems and Technology a généré un chiffre d'affaires de 4,7 milliards de dollars pour le trimestre. Les revenus de la division mainframe System z ont augmenté de 61% et les ventes de systèmes MIPS ont connu une hausse de 86 %. Enfin, les ventes de System Power ont progressé de 12% par rapport à l'an dernier.

Des résultats meilleurs que prévus

Avec une progression de 10%, la croissance des services reste toutefois à la traine par rapport aux chiffres affichés par les logiciels et  systèmes. La société a toutefois indiqué avoir engrangé 144 milliards de dollars de commandes, une hausse de 15 milliards par rapport à l'an dernier. Les revenus issus de l'activité Global Technology Services ont augmenté de 11% pour atteindre 10,2 milliards de dollars et la branche Global Business Services a bondi de 9% pour un chiffre d'affaires de 4,9 milliards de dollars.

Avec ces résultats, IBM a battu les estimations des analystes financiers, qui prévoyaient que l'entreprise atteindrait les 25,345 milliards de dollars de recettes, dont 3,7 milliards de dollars en revenu net, selon une projection réalisée par Thomson Financial. En raison de la performance sur ce trimestre, IBM a relevé ses prévisions d'exploitation (non-GAAP) avec un bénéfice dilué par action de 13,25 $, contre 13,15 $ à l'origine.

«Nous avions  poursuivi sur notre lancée grâce à nos initiatives pour assurer notre croissance sur les marchés porteurs, décisionnel, cloud et le programme Smarter Planet »  a indiqué Mark Loughridge, le directeur financier d'IBM, lors d'une vidéoconférence pour présenter les résultats. Les ventes de logiciels d'analyse de données, par exemple, ont augmenté de 20% ce trimestre. «Avec nos offres d'analyse prédictive , nous aidons nos clients à optimiser le traitement des quantités massives de données qu'ils possèdent», a-t-il ajouté.

Illustration principale : Mark Loughridge, CFO d'IBM, crédit D.R.

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Les ventes de services cloud computing et de logiciels ont également augmenté, selon la compagnie. Mark Loughridge n'a pas détaillé les revenus directement issus des déploiements cloud, mais il a indiqué que la taille moyenne des projets a triplé et qu'IBM a généré plus de revenus sur ce segment dans la première moitié 2011 que durant toute l'année 2010. Le chiffre d'affaires issu de l'activité  Smarter Growth a augmenté de 50%. Une croissance alimentée par le travail réalisé dans la vente de solutions dans les secteurs télécommunications, santé et distribution.

IBM a connu une croissance plus rapide dans les pays émergents, où les ventes ont augmenté de 13%, alors que les nations du G7 ont plafonné à 3%. Les États-Unis ont toutefois généré une croissance de 6%, 11% pour le Canada. Au Japon, les revenus d'IBM ont toutefois baissé de 5% suite à la catastrophe provoquée par le tsunami.

Des mainframes vendus à de nouveaux clients

«Nous avons 24 nouveaux clients mainframe dans les pays en croissance depuis l'introduction de la [nouvelle génération de System z] l'année dernière. Pensez-y comme un drapeau planté, qui fournit une base idéale pour la croissance future », a déclaré Mark Loughridge.

Un sujet de préoccupation reste cependant l'affaiblissement du marché pour les systèmes administratifs étatiques, bien que l'impact global pour IBM s'est avéré être «minimal», a souligné le directeur financier. Global Business Services a été notamment affectée, même si la division a été en mesure de rattraper ailleurs une grande partie de cette perte a-t-il ajouté.

Les ventes de WebSphere ont bondi de 55%, grâce à la publication d'une nouvelle version. Les ventes du package IBM Business Process Management a augmenté pour sa part de 30%. Les ventes de Tivoli ont crû de 9% et celles de Lotus de 12%, grâce aux capacités réseau social du logiciel, selon la compagnie.

En mars dernier, IBM a également lancé une nouvelle offre d'e-commerce pour apporter des capacités de traitement aux commerces de détail. D'ici 2015, Big Blue espère générer un chiffre d'affaires de 70 milliards de dollars en ventes de logiciels sur ce segment. Avec l'aide de partenaires, la société a également décidé d'adapter ses logiciels pour les petites et moyennes entreprises.


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(19/07/2011 09:57:33)

Econocom veut devenir une société de distribution et de services IT

Econocom a les moyens de devenir un « corporate reseller-SSII », un genre qui n'existait pas pour l'instant malgré les tentatives initiées dans les années 90 (Ista, Agena, etc.). Concrètement, Econocom emploie, après avoir digérer ECS, 2 500 personnes en Europe pour vendre, déployer et maintenir des matériels informatiques. L'objectif devient de développer l'activité liée aux applications logicielles et aux services. A la place de la revente de matériels ? « Non, c'est du business additionnel », affirme Jean-Philippe Melet, Directeur Général d'Econocom Managed Services France.

Environ 1 000 recrutements prévus


Pour devenir crédible en tant que société de services, le revendeur doit développer un effectif de consultants qui n'atteint pour l'instant qu'une centaine de personnes, pour 40 agences en France. « D'ici 2013, il y en aura 1 000 », affirme Jean-Philippe Melet. Comment vont-ils faire ? La croissance organique et les recrutements ne suffiront pas : Econocom va utiliser son carnet de chèques et racheter des SSII. Qui ? « Nous étudions actuellement plusieurs dossiers, dont certains pourraient vite aboutir, explique Jean-Philippe Melet. Au jour d'aujourd'hui, les croissances externes envisagées concernent des SSII de taille moyenne et devraient être finalisées au dernier trimestre 2011 ».

Mais si Econocom a de l'ambition - et la trésorerie suffisante - pour s'acheter des parts de marché dans le domaine des services informatiques, l'entreprise va également innover en matière de tarification : le prix « jour/homme » va être remplacée par des formules forfaitaires, notamment grâce aux nouvelles possibilités offertes par le cloud computing et le SaaS.

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(12/07/2011 13:38:48)

Le Comité Richelieu se dote d'un nouveau DG

L'association regroupant 254 PME et 3 140 PME associées a annoncé la nomination de Denis Bachelot comme délégué général du Comité Richelieu. Il aura pour mission de faire entendre auprès des pouvoirs publics et des grands comptes les préoccupations essentielles des PME innovantes. Denis Bachelot était jusque-là rédacteur en chef de la Correspondance économique.

Il remplace François Guignot, ancien PDG de SmartQuantum et administrateur du Comité Richelieu. Très investi dans les problématiques économiques des PME et de l'innovation, Denis Bachelot a publié en 2009, en collaboration avec Pierre d'Ornano, un ouvrage sur les PME, la crise et les pôles de compétitivité,  intitulé : « Survivre à la crise : le groupement d'entreprises, une solution pour les PME ».

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(12/07/2011 11:31:26)

Défaillances d'entreprises: le secteur IT relève la tête

Au niveau national et tous secteurs économiques confondus, l'amélioration de la situation des entreprises au cours du 2ème trimestre 2011 semble très timide : - 0,3% seulement. Dans son dernier point de conjoncture, le cabinet Altares note que les trois quarts des jugements prononcés concernent des micro-entreprises, comptant de 0 à 2 salariés.

Dans ce contexte général moins favorable qu'attendu, les filières IT font mieux que tirer leur épingle du jeu. Le secteur « services informatiques et édition de logiciels » est même celui qui enregistre le recul le plus important du nombre de défaillances d'entreprises : - 21,6% par rapport au 2ème trimestre 2010. A titre de comparaison, le secteur où les défaillances ont le plus progressé est de la santé et de l'action sociale : + 56,2% par rapport à l'an dernier.

Amélioration globale pour les TIC


C'est bien l'ensemble des segments du marché IT qui a connu une amélioration au second trimestre : - 15%. Une fois n'est pas coutume, c'est le commerce B to B qui affiche les résultats les plus flatteurs, avec une baisse de 7% du nombre de défaillances, tous secteurs confondus. A l'inverse, ce chiffre ne baisse que de 0,9% dans le commerce de détail. « Cela confirme que la demande augmente réellement dans le domaine B to B et que les entreprises ont recommencé à investir », explique Thierry Million, Directeur des Etudes d'Altares.

S'il n'y a pas de variations notables au niveau des régions pour les secteurs IT, Altares note que trois régions ont davantage souffert que les autres si l'on considère l'ensemble des entreprises : la Franche-Comté, le Limousin et Poitou-Charentes. Les meilleurs se trouvent dans le nord-est (Champagne-Ardenne et Lorraine), dans le sud-ouest (Aquitaine et Midi-Pyrénées) et en Auvergne.

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(08/07/2011 09:39:09)

La Snecma mise sur une GED Open Source

La division MRO (Maintenance, Repair and Overhaul) du groupe Safran, plus connue sous le nom Snecma assure la maintenance complète de moteurs d'avions civils et militaires. Pour ce faire, elle doit gérer près de 50 000 documents utilisés par les opérateurs en ateliers pour effectuer ces opérations de maintenance selon les procédures prévues. Chaque document subit plusieurs mises à jour par an.

Pour optimiser la gestion de ces documents, Safran a décidé, en 2007, de lancer le projet @érodoc. Il s'agit de faciliter d'une part l'accès au bon document dans sa bonne version par les 600 à 700 opérateurs en atelier, d'autre part la mise à jour par la soixantaine d'ingénieurs méthodes.

Une solution Open Source


Pour atteindre cet objectif, Safran choisit l'intégrateur Sollan qui préconise une intégration de la solution d'Alfresco dont il est partenaire gold.

Chaque pièce envoyée en maintenance est accompagnée d'un bon comportant un code barre spécifiant l'opération à mener. L'opérateur scanne ce code barre avec une douchette et accède ainsi immédiatement à la documentation adéquate (texte, schémas, photos...) pour décrire la pièce et les procédures à appliquer. En cas de besoin, l'opérateur peut commenter le document afin que les ingénieurs méthodes l'améliorent. Les modifications font l'objet d'un processus de validation parfaitement tracé.

Le coût du projet, toujours en cours de déploiement mondial, n'a pas été précisé.

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(07/07/2011 09:31:15)

ManPower souhaite acquérir des SSII comme Proservia

Il  y a un mois, Manpower annonçait le recrutement d'Alain Roumilhac. C'est l'ancien n°2 de la SSII Osiatis qu'il a quittée au mois de septembre dernier, avant de fonder un cabinet de conseil, Clemadel. Avant Osiatis, Alain Roumilhac a évolué chez IBM pendant 18 ans, occupant les fonctions de vice-président d'IGS en charge des lignes de services. C'est donc un homme expérimenté de l'industrie informatique et de ses services que la société de travail temporaire a recruté. Une société dirigée en France, depuis 2007, par Françoise Gri, ancienne PDG de IBM France. Pourquoi  un profil comme celui d'Alain Roumilhac dans une société de travail temporaire ?

Alain Roumilhac a été nommé directeur général pour l'Europe du sud de Manpower, en charge de deux marques : Experis et Manpowergroup Solutions. Le groupe de travail temporaire se redéploie en effet au plan mondial à travers le lancement de marques métiers : Manpower, Experis (recrutement pour les grandes entreprises), FuturSkill (évaluation de compétences), Right Management (management des talents) et Manpower Group Solutions (outsourcing). Elles sont destinées à mieux cibler et mieux accompagner les différents types de clientèles de Manpower.

Les deux directions ne peuvent s'exprimer davantage

Ce redéploiement passe également par une croissance externe. C'est la raison du projet de rachat de Proservia. Au stade actuel, Manpower a annoncé publiquement son intention de prendre le contrôle (*) de la société Proservia (**), dont la cotation a été suspendue. Les deux directions ne peuvent s'exprimer davantage, avant la communication du projet au CCE de Proservia et l'avis de l'Autorité de la concurrence.

Les premiers pas de Manpower dans le monde des SSII seront scrutés de près. Le Syntec Informatique devrait s'irriter de cette intrusion. La Fédération professionnelle déploie de multiples efforts pour effacer son image ancienne de fournisseurs de main d'oeuvre  et l'assimilation des SSII à des sociétés  de travail temporaire.

(*) « Majorité en capital et en droits de vote » explique le communiqué officiel

(**)  Proservia a réalisé un CA de 47,8 ME en 2010, en croissance organique de 7,6%

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