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SSII
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(08/08/2011 15:02:20)
Trimestriels Acteos, Aedian, Generix, Solucom
Acteos, éditeur, spécialiste des flux logistiques, livre les chiffres de son 1er semestre. Le chiffre d'affaires (CA) total se monte à 5,8 millions d'euros (ME) contre 4,4 lors des six 1ers mois de l'exercice précédent. La société souligne également son niveau de prise de commande, +38% en France, +21% pour l'ensemble du groupe (Allemagne, Etats-Unis), gage d'une croissance régulière.
De son côté, la SSII Aedian publie ses résultats annuels, clos au 30 juin dernier. Le chiffre d'affaires est stable à 40,4 millions d'euros. Le groupe note deux progressions, celle de l'activité de conseil passée en un an de 41 à 43 % du CA et celle des projets à engagement de résultats qui forment 37% de ce CA, contre 27% lors du précédent exercice. Aedian a commencé à déployer son pan stratégique Cap 2014. Objectif essentiel : atteindre les 5% de marge opérationnelle, contre 2,5% actuellement. Plusieurs mesures sont déjà engagées : modernisation des dispositifs d'épargne salariale, réorganisation du suivi des collaborateurs, renforcement de la fonction marketing, rationalisation des processus et outils de CRM, refonte des processus d'élaboration des propositions commerciales.
Pour sa part, l'éditeur Generix publie plusieurs résultats, ceux de son exercice annuel 2010/2011, clos au 31 mars dernier, et celui du 1er trimestre du nouvel exercice annuel, achevé au 30 juin dernier. Pour le dernier exercice annuel, Generix affiche (résultats non audités) un chiffre d'affaires (CA) de 66,2 millions d'euros (ME) en baisse de 2,4%, un résultat opérationnel de -5,2 ME, en baisse de 2,5 ME, un résultat financier positif de 0,1 ME (-0,7 contre -0,8), un résultat avant impôt de -5,9 contre -3,5. Le résultat net part du groupe se situe à -5,7 contre -2,8. Generix explique avoir connu une diminution de son activité licence, non compensée par la croissance de l'activité SaaS ou par la réduction des charges opérationnelles. La société souligne avoir réorganisé ses forces commerciales et amélioré son marketing.
Le conseil et les services en baisse chez Generix
L'éditeur doit ainsi faire face à une situation financière délicate. La prochaine assemblée générale, le 15 septembre, devra statuer sur une augmentation de capital de 8,2 ME. Le 1er actionnaire, Pléiade Investissement, prévoit de garantir cette augmentation à 100%. Le 24 janvier dernier, un accord des banques avait déjà accordé une ligne de trésorerie court-terme de 8,5 ME. Pour le 1er trimestre de son nouvel exercice, Generix annonce un CA de 15,68 ME en baisse de 8%. Les activités « conseil et services », -27% à 5,67 ME et licences, -8% à 1,67 ME, expliquent cette baisse.
Retour à la croissance attendu chez Solucom
Enfin, le cabinet de conseil Solucom affiche un chiffre d'affaires de 26,3 millions d'euros (ME), en recul de 6%. Solucom pour son 1er trimestre fiscal 2011-2012 (avril-mai-juin), Le cabinet explique ce résultat par le tassement de ses effectifs. Le taux d'activité des consultants s'élève à 84%, souligne la société, contre 85% sur l'exercice annuel précédent. Les prix de vente ont retrouvé une tendance positive au cours de ce deuxième trimestre.
Solucom prévoit un retour à la croissance pour le second semestre et confirme son objectif annuel d'un CA compris entre 110 et 115 ME, d'une marge opérationnelle située entre 10 et 12%. Solucom confirme également vouloir réaliser une opération de croissance externe.
(...)
Recap IT : Black Hat et « bug bounty », Adobe montre Edge, L'Enisa scrute HTML5, Bull accueille le FSI
Vous avez manqué les principaux sujets de la semaine, pas de panique, voici un récapitulatif des actualités incontournables. L'Etat français aurait trouvé des partenaires pour son cloud. Et par l'intermédiaire du FSI, il rentre au capital de Bull. L'indicateur mensuel des offres d'emploi cadres publié par l'Apec montre que les annonces IT ont poursuivi leur progression en juin.
L'une après l'autre, les SSII françaises livrent leurs résultats semestriels : entre croissance à deux chiffres et progression modérée, on trouve aussi quelques replis. Le groupe Steria a fait part du décès de Jean Carteron, son fondateur, qui a créé sa société sur la lancée du Plan Calcul et des grands principes de la participation.
Du côté des acteurs du web, Facebook a annoncé qu'il rémunérerait 500 dollars ceux qui trouveraient des bugs sur son site. Deux jours plus tard, la société de Mark Zuckerberg jette son dévolu sur Push Pop Press, éditeur de livres numériques, tandis que la ville japonaise Takeo bascule son site web sur le réseau social. Le désormais rival Google+ atteint les 25 millions d'utilisateurs.
L'éditeur Adobe a profité de l'été pour livrer aux développeurs une pré-bêta du logiciel Edge, conçu pour assembler des contenus dynamiques sur le Web en s'appuyant sur HTML5 et les standards ouverts associés. Mardi, Google et Living Social se sont offert des sites d'achats groupés.
Pas de vacances pour les experts en sécurité
Dans le domaine de la sécurité, un chercheur de CA a découvert un cheval de Troie capable d'enregistrer des conversations téléphoniques effectuées depuis un terminal sous Android (alors que l'OS mobile de Google a trusté 48% du marché mondial des smartphones au 2e trimestre). L'Enisa, l'agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information, a pour sa part livré un rapport pointant 51 problèmes de sécurité sur HTML5.
Mercredi a débuté à Las Vegas la conférence Black Hat. Un professeur de Carnegie Mellon y a exposé comment on peut associer des données privées à la photo d'une personne publiée sur Internet. Quant à Microsoft, il lance un concours de sécurité, BlueHat Prize, doté de 250 000 dollars, pour développer de nouvelles technologies de lutte contre le piratage. Dans le même temps, son centre de sécurité (MSCR) livre un rapport faisant le compte des failles permettant d'exécuter du code à distance.
Enfin, les rumeurs bruissent toujours autour de la sortie de l'iPhone 5 (septembre ou octobre ?), tandis que le Canadien RIM montre de son côté cinq nouveaux smartphones sous BlackBerry 7. (...)
Semestriels Capgemini : chiffre d'affaires en hausse de 12,9%
Capgemini a enregistré un chiffre d'affaires de 4,7 milliards d'euros (Md€) au 1er semestre 2011, en hausse de 12,9% par rapport à celui du 1er semestre 2010. A taux de change et périmètre constants, la croissance est de 7,4% (6,4% au 1er trimestre et 8,4% au deuxième). Le total des prises de commandes enregistrées au cours de ce premier semestre s'élève à 5,2 Md€, proche de celui réalisé au 1er semestre 2010 (5,3 Md€) et qui avait été marqué par le renouvellement ou l'extension de plusieurs grands contrats d'infogérance. Pour les métiers les plus sensibles à la conjoncture comme le conseil, l'intégration de systèmes et les services de proximité, le ratio prises de commandes sur chiffre d'affaires s'établit à 1,18 (1,27 pour l'Amérique du Nord seule).
La marge opérationnelle est de 6,1% contre 5,8% l'an dernier. Le résultat d'exploitation progresse, lui, de 20% à 240 millions d'euros.
Baisse de la trésorerie nette pour cause d'acquisitions
Le résultat net part du Groupe s'élève à 127 millions d'euros, en progression de près de 26% sur celui réalisé au 1er semestre 2010. Le montant de la trésorerie nette consolidée au 30 juin 2011 est inférieur de 640 millions d'euros à ce qu'il était au 30 juin 2010 en raison, notamment, de plusieurs acquisitions (dont celle de 55% de CPM Braxis) pour un effet total de 470 millions d'euros et d'une augmentation du besoin en fond de roulement liée, en particulier, à la forte croissance du chiffre d'affaires. En phase avec le plan d'action arrêté l'an dernier, la SSII a procédé au cours de ce 1er semestre 2011 à plusieurs rachats : CS Consulting en Allemagne, Avantias et Artesys en France, BI Consulting Group aux Etats-Unis. Le groupe prévoit d'autres acquisitions dans les semaines ou les mois. Il vient d'ailleurs de finaliser celle de Prosodie.
Plus de 16 000 nouveaux collaborateurs
La France reste la première « grande région » du groupe. Son chiffre d'affaires a progressé de 5,8% sur le semestre écoulé, à périmètre constant par rapport au 1er semestre de l'année dernière. Son taux de marge opérationnelle atteint 7,6%, en forte progression par rapport au 1er semestre 2010. Par métiers, l'intégration de systèmes réalise la meilleure croissance du groupe, avec un chiffre d'affaires en progression de 9,6% (à taux de change et périmètre constants). Son taux de marge opérationnelle est de 5,8%, en légère augmentation par rapport au 1er semestre 2010. Le rythme de croissance de cette activité s'est accéléré au cours du semestre.
Grâce à l'intensification de sa politique d'embauche « onshore » comme « offshore », Capgemini a recruté près de 16 500 nouveaux collaborateurs au 1er semestre. La SSII compte au total 114 274 collaborateurs au 30 juin 2011, soit près de 20% de plus qu'un an auparavant. L'effectif offshore atteint 37% de l'effectif total (contre 35% au 31 décembre 2010), soit 42 592 personnes dont 34 565 en Inde.
Illustration : D.R.
Le FSI entre au capital du groupe Bull
Détenu à 49% par l'Etat et à 51% par la Caisse des dépôts et consignations, le FSI, fonds stratégique d'investissement, intervient en fonds propres pour prendre des participations minoritaires dans des entreprises françaises porteuses de projets innovants. Il vient d'annoncer avoir pris une participation dans le groupe informatique Bull et « avoir franchi à la hausse le seuil de 5% de son capital ». L'organisme dit vouloir accompagner le développement du groupe français sur ses différents marchés. Il souligne que cette opération traduit également l'attention qu'il porte à la capacité des entreprises à créer de la compétitivité.
« Je me réjouis de l'arrivée du FSI, qui devient le 3ème actionnaire de référence du Groupe après Crescendo et France Telecom », a déclaré Philippe Vannier, PDG de Bull et président de Crescendo Industries, dans un communiqué. « Le plan stratégique que nous mettons en oeuvre depuis un semestre augmentera d'autant le potentiel de la société qu'il sera soutenu dans la durée par ses actionnaires, ce qui correspond à la philosophie du FSI ».
Conformément à sa pratique, le FSI souhaite s'associer à la gouvernance de la société et demandera la nomination d'un administrateur.
Bull a réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de plus de 1,2 milliard d'euros, dont près de 50% à l'international, et emploie environ 8 600 salariés dans le monde dont plus de 4 500 en France.
En juin dernier, le FSI avait participé à l'augmentation de capital de Soitec, fabricant de matériaux semi-conducteurs d'extrêmes performances.
Photo : Philippe Vannier, PDG de Bull (crédit : LMI)
HSBC pourrait tailler dans ses équipes IT
La banque britannique HSBC a annoncé qu'elle allait supprimer 30 000 emplois au cours des trois prochaines années. Ses équipes IT sont menacées dans la mesure où la banque a dans son viseur les fonctions liées au back-office. L'établissement financier a révélé cette semaine, à l'occasion de la publication de ses résultats financiers, qu'il avait déjà supprimé 5 000 postes au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en France, en Amérique latine et au Moyen-Orient, depuis le début de l'année 2011. Les effectifs du groupe, au niveau mondial, s'élevaient à 295 995 en date du 30 juin, dont 76 879 en Europe.
L'IT et les emplois de back office sont susceptibles d'être affectés par cette réorganisation, comme l'a précisé Stuart Gulliver, directeur général du groupe HSBC, dans un rapport financier. «Nous avons lancé un programme visant à réduire les coûts de notre siège social et des fonctions de notre support mondial », a-t-il indiqué.
Des économies de 1,7 à 2,4 Md€, d'ici 2013
Selon Bloomberg, le dirigeant d'HSBC a également déclaré aux journalistes : « Ce que évoquons, c'est la suppression d'un grand nombre de fonctions liées au back-office et au support où nous pensons que nous avons créé une bureaucratie inutile dans cette entreprise depuis un certain nombre d'années ».
En procédant à cette restructuration, la banque table sur des économies de 1,5 à 2,1 Md£ (soit entre 1,7 à 2,4 Md€) d'ici 2013. Ceci en dépit d'une augmentation de 3% de ses bénéfices avant impôts de 6,98 Md£ (8 Md€) au cours du 1er semestre 2011.
La banque avait déjà révélé fin juin, qu'elle allait supprimer 700 emplois au Royaume-Uni, dont des postes d'informaticiens. Le même jour, la Lloyds Banking Group a fait savoir qu'elle allait également procéder à 15 000 coupes.
Crédit photo : HSBC (...)
Disparition de Jean Carteron, fondateur de la SSII Steria
Jean Carteron était beaucoup plus qu'un patron de SSII. En créant Steria (*) en 1969, il avait posé comme principe de base la prépondérance de l'actionnariat salarié. Ces derniers détenaient 60% du capital. Aujourd'hui, après de nombreuses acquisitions et un virage international vigoureux, les salariés n'ont plus que 16,5% du capital de la SSII.
Au départ, Jean Carteron créait une société sur la lancée du Plan Calcul et des grands principes de la participation. Une industrie nationale forte et des salariés associés au capital, il y avait du gaullime social dans cette création d'entreprise. Mais, ces dernières années, Steria a accéléré son développement par croissance externe, rachetant Intégris (division conseil de Bull) en 2001, ce qui doubla le chiffre d'affaires et le nombre de salariés. En 2005, c'était au tour de l'Allemand Mummert d'être repris. En 2007, Steria changeait encore plus de dimension avec l'intégration de l'Anglais Xansa, très présent en Inde. Le chiffre d'affaires France ne représente plus qu'un tiers du chiffre d'affaires de Steria.
Jean Carteron était diplômé de l'Ecole Polytechnique. Il avait débuté dans le secteur public, PTT et EDF, avant d'intégrer Sema et de participer aux travaux du Commissariat au Plan. Il est décédé le 22 juillet dernier.
(*) Stéria = Société technique d'étude et de réalisation en informatique et automatique
Photo : Jean Carteron, fondateur de Steria (crédit : D.R.)
Lire le message de François Enaud aux salariés de Steria
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Semestriels SSII : entre croissance à deux chiffres, progression modérée et replis
AtoS : baisse de 0,7% du chiffre d'affaires semestriel
Au 1er juillet dernier, Atos Origin (né il y a un peu plus de dix ans du rachat par la française Atos de la hollandaise Origin) est devenue AtoS, après le rachat par Atos Origin de Siemens IT Solutions and Services. Son chiffre d'affaires semestriel s'élève à 2,476 milliard d'euros, en recul de 0,7% en organique.
La SSII est plus satisfaite de sa rentabilité, avec une marge opérationnelle de 166 millions d'euros, représentant 6,7% du CA (contre 6% au 1er semestre 2010). Cette marge opérationnelle a augmenté de 11% au 1er semestre 2011. Le résultat net part du groupe, de son côté, se monte à 100 M€ en hausse de 66%.
Par activités, AtoS est en légère hausse dans l'infogérance : +0,6% à 906 millions d'euros ; en net recul dans l'intégration de systèmes de 2,6% (mais le montant n'est pas précisé), en hausse de 3,3% dans les « services transactionnels de haute technologie » à 524 M€ de CA. Dans le conseil, le CA baisse de 16,9% à 91 M€. Dans le BPO médical, légère hausse à 81 M€ de CA.
Ausy : une croissance organique à deux chiffres
Ausy a retenu l'attention avec trois acquisitions ces six derniers mois : Aptus (société de conseil en technologie ) Application Systems (groupe APX) en France ; Elan en Allemagne. Mais la croissance organique est également au rendez-vous avec +14,2% pour un chiffre d'affaires semestriel de 109,3 M€. Avec la croissance externe, ce CA atteint 139,3 M€.
Infotel : des semestriels à deux chiffres
Chez Infotel, on se frotte les mains, la société affiche un CA semestriel de 60 millions d'euros, en croissance pro forma de 12,5%. Les services en représentent plus de 90%, le reste revenant à l'activité éditions.
Groupe Keyrus : +16% à périmètre courant sur le 2e trimestre
Le chiffre d'affaires du 2e trimestre progresse de 14,7% à périmètre et taux de change constant, à 34,3 millions d'euros, par rapport au 2e trimestre 2010. L'activité Grands Comptes agit toujours comme une locomotive (+18,8%) mais le Mid-market affiche aussi de son côté 9,6% de croissance (dont 5,2% en organique).
Sur le deuxième semestre 2011, le chiffre d'affaires de la SSII spécialisée sur le décisionnel et les ERP atteint 66,483 M€ (+13%). Keyrus a lancé en début d'année un cabinet de conseil axé sur la Business Intelligence.
Octo Technology, cabinet de conseils, fait partie des premiers de la classe avec 13% de croissance organique au 1er semestre 2011 et un CA de 10,29 M€. La marge d'exploitation se monte à 4%, la marge nette à 5,2%. Le taux d'activité des consultants s'établit à 73%, contre 72% au 1er semestre de l'exercice précédent.
La société s'est également engagée dans un plan à horizon 2020, avec création de filiales en Belgique et au Brésil, et lancement du projet OCTO On Line, une plateforme de services en ligne donnant accès aux outils développés et utilisés par les consultants. La première application disponible sur Octo On Line sera commercialisée dès le second semestre.
Open : CA en repli de 2,6% sur six mois
Open publie un chiffre d'affaires semestriel de 131,8 M€, en recul de 2,6%. L'international qui réalise un peu plus de 10% du CA recule de plus de 30%, la France progressant de 2,3%, grâce à de grands contrats engrangés dans l'industrie et la santé.
Open souligne également son taux d'occupation, passé à 88,5% au deuxième trimestre, contre 87,9% pour celui de l'an passé. Le taux journalier moyen augmentant à 412 euros, contre 393, toujours entre les deux deuxième trimestre. Open compte recruter 800 collaborateurs cette année, 350 l'ont été sur les six premiers mois.
Osiatis : en croissance semestrielle de 9,3%
Osiatis publie un CA semestriel de 136,9 millions d'euros, en croissance organique de 9,3%. Les services aux infrastructures, qui représentent 86% du CA, sont en croissance de 9,8% avec 118,4 M€ de CA. L'autre activité, nouvelles technologies, représente 18,6 M€ en hausse de 6,3%.
L'international, qui pèse 12% du chiffre d'affaires, est en recul de 6,1%.
Proservia : 14,75% de croissance
Proservia, spécialisée dans les métiers de l'infrastructure et de la production, réalise un CA de 27,4 M€, en croissance organique de 8,05 % au 1er semestre. « La dynamique commerciale, les bonnes performances de nos filiales Ovialis et NetLevel et une maîtrise toujours rigoureuse de nos coûts nous permettent de rester confiants quant à l'atteinte de nos objectifs 2011 » souligne le P-dg Thierry Congard.
Concernant le rachat de la société, un communiqué précise : « En complément des communiqués diffusés en date des 6 et 7 juillet 2011 sur l'annonce de l'offre émanant de Manpower France Holding, il est précisé que les actionnaires composant le bloc majoritaire ont procédé à la signature d'un contrat de cession d'actions portant sur 1.303.874 actions et représentant 68,37% du capital existant de la société Proservia au prix de 14,39 € / action. L'opération reste soumise à l'accord de l'autorité de la concurrence. »
Steria en croissance organique de 3,4%
Steria affiche un CA de 865,1 M€ au 1er semestre 2011, en croissance de 3,4%. Cette croissance s'est accélérée au deuxième trimestre souligne la SSII, avec + 5 ,6% contre +1,3% au 1er trimestre. Côté rentabilité, la SSII dégage une marge opérationnelle en croissance de 0,8% (à 57,6 M€), mais un résultat opérationnel en baisse de 25,1%, un résultat net part du groupe de -12,7%.
La partie infogérance et BPO progresse de 4%, à 332,2 M€, le conseil et l'intégration de systèmes est en hausse de 3,1% avec un 532,9 M€.
Illustration : Allfreeclipart.com (...)(01/08/2011 17:20:24)
Semestriels Econocom : chiffre d'affaires en léger recul
Econocom publie les chiffres (provisoires) de son 1er semestre 2011. Deux lectures sont possibles. Dans la première, le chiffre d'affaires consolidé a doublé passant de 361 à 765 millions d'euros, c'est évidemment avec le rachat d'ECS. Mais, à périmètre comparable, le CA a baissé de 2%, c'est dû au désengagement de plusieurs activités, explique la société.
Econocom souligne le dynamisme de ses activités commerciales et les résultats positifs du rapprochement mené avec ECS. Les principaux objectifs, progression forte du résultat opérationnel courant et hausse du CA annuel (qui passerait à 1,4 milliard d'euros), sont confirmés.
(...)
CIS Valley dévoile ses orientations stratégiques
La société de services bordelaise(*) sait clairement où elle veut aller. D'ici trois ans, cette filiale de la holding Aquitaine Valley veut porter son chiffre d'affaires à 50 millions d'euros contre 33 millions d'euros. Un objectif inscrit dans son plan d'orientation stratégique 2012-2014 qui sera dévoilé dans les détails à la fin de l'année. Le projet est porté par Michel Rouvellat, le président et successeur de Jean-Jacques Roubière à la tête de la société, ainsi qu'un comité de direction resserré. Depuis le premier juin, ses membres ne sont plus que 6 contre 19 auparavant.
Objectif : prendre plus rapidement les décisions nécessaires à la diversification de la société et les communiquer plus efficacement à l'ensemble de ses salariés. Dans le cadre du plan d'orientation stratégique de CIS Valley, son équipe dirigeante va notamment devoir définir les actions à mener pour diversifier ses activités vers le cloud computing, l'hébergement de données santé à caractère personnel et les solutions collaboratives.
Construire des offres packagées pour les PME
Déjà hébergeur (ainsi qu'intégrateur, éditeur et prestataire en développement spécifique), la société de services possède donc son propre datacenter sur lequel elle peut s'appuyer pour proposer des offres liées à l'informatique dans le nuage. « Nous sommes déjà présents sur le marché du cloud computing mais jusqu'à présent nous bâtissons des solutions sur-mesure. Notre objectif est de construire des offres packagées pour notre coeur de cible de clients PME-PMI », explique Michel Rouvellat. Des offres qui s'orienteront vers des solutions métier, la mise à disposition de cloud privés ou encore la diffusion d'offres d'éditeurs tiers en mode hébergé.
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S'agissant du développement de son activité dans le domaine des données à caractère santé, CIS Valley dispose déjà d'un atout non négligeable. La société a récemment reçu l'agrément du ministère de la santé en tant qu'hébergeur de données santé à caractère personnel. De fait, explique Michel Rouvellat « Les éditeurs qui vont développer des applicatifs utilisant ce type d'informations devront faire appel aux services de sociétés telles que la nôtre. »
Miser sur le travail collaboratif en mode SaaS
Dernier grand axe de développement identifié par CIS Valley : le travail collaboratif avec le développement de solutions basées sur Sharepoint de Microsoft. Proposant déjà des développements spécifiques basés sur cette application, CIS Valley voudrait continuer sur cette lancée en proposant cette fois-ci des applications en mode SaaS à ses clients.
Pour se donner les moyens de mettre en oeuvre sa nouvelle stratégie, la société a mis en place depuis avril un plan de recrutement somme toute modeste. En effet, il ne devrait fait passer son effectif que de 113 à 120 salariés d'ici la fin 2011. Au préalable, la société avait tout de même reconstitué son équipe avant-vente qui avait été réduite à peau de chagrin. « Plutôt que de recruter un grand nombre de personnes, nous allons d'avantage faire appel à la sous-traitance tout en restant maître d'oeuvre », indique Michel Rouvellat.
(*) CIS Valley dispose également d'agences à Nantes, Orléans, Toulouse et Montpellier.
APX va compléter ses vPack pour créer son cloud privé
La SSII APX a lancé ses vPack en mai dernier, des offres de cloud privé clés en main qui repose sur la solution unifiée de VMware (vSphere 4.1 et vSphere 5 à la rentrée), EMC (VNxe et VNx) et Cisco (UCS), plus connu sous l'acronyme VCE "Virtual Computing Environnemment". Yves Pellemans, directeur technique d'APX, souligne « de plus en plus de nos clients souhaitent transformer leur infrastructure vers du IaaS, nous avons donc répondu par l'offre vPack ». Cette dernière se décline en trois niveaux suivant le profil de l'entreprise, le vPack 25 supporte de 20 à 35 machines virtuelles (à destination des petites entreprises), le vPack 50 supporte de 35 à 75 machines et enfin le vPack 100 supporte de 75 à 199 VM.
Yves Pellemans nous a précisé en avant-première que dès la rentrée deux packs supplémentaires seraient ajoutés, le premier est nommé End User et s'adressera aux postes de travail (aux offres VDI), le deuxième est baptisé PRA et accompagnera les entreprises dans la mise en place d'une politique de reprise d'activité. Sur le plan tarifaire, les vPack sont facturés 130 euros par VM et par mois en infogérance. Ces offres donnent également accès à la hotline 24/7, le maintien en condition opérationnel et la supervision.
Ce lancement découle aussi des retours des clients qui ont assistés aux ateliers de travail au sein de la solution datacenter d'APX. Il y a un peu plus d'un an, la SSII avait créé cette structure dans ses locaux autour des solutions VCE (VMware, Cisco et EMC). Yves Pellemans constate que depuis le 1er octobre dernier, 64 ateliers ont été réalisés et explique « nous avons de plus en plus de demande pour des POC (proof of concept) et sur des ateliers très spécifiques ».
Il lustration: Yves Pellemans, directeur technique d'APX
Crédit Photo: D.R
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