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(01/09/2011 10:26:23)
La SSII UBI milite pour des centres de télétravail
A Strasbourg, La SSII UBI ne se contente pas du business quotidien, mais veut garder la tête hors de l'eau. Son PDG, Jean Christophe Uhl, anime la commission télétravail du think tank régional Ten4Alsace. « Je m'intéresse depuis des années aux usages, et particulièrement au télétravail qui devrait mailler toute la région Alsace » nous explique-t-il. Il met en pratique cette inclinaison en ouvrant dans ses locaux un centre de télétravail.
« Beaucoup de gens dans le monde du télétravail s'autocensurent, les salariés par rapport à la frontière travail / vie personnelle, les managers qui craignent que le salarié s'occupe des enfants ou regarde la télé ». Il faut donc des lieux dédiés au télétravail, mais à proximité des zones urbaines. La formule est celle d'un abonnement sur plusieurs jours, le salarié venant dans les locaux suivant ses besoins. Autre avantage, une fois dans les lieux, les salariés vont échanger et développer leurs demandes et leurs besoins. Un rapport (révélé par nos confrères d' e-alsace), commandé par la Préfecture de région au cabinet Items, proposait dix recommandations pour encourager le télétravail.
Du speed dating sur l'innovation
Par ailleurs, UBI participe à une nouvelle opération en Alsace, baptisée Démo Alsace. Il s'agit sur un modèle californien, de type speed dating, d'organiser une réunion courte. Elle débute par des démos, 5 ou 6 à chaque fois, sur des innovations. L'assistance est debout, 200 personnes sont attendues. La série de démo se prolonge par des contacts. Une première réunion a lieu le 13 septembre chez UBI, à partir de 18 heures, avec comme innovations : une gestion des accès, du collaboratif, la visiconférence Cisco. « Il faut sortir des démos powerpoint » note avec humour Jean Christophe Uhl.
Résultats Devoteam : un semestre en croissance, mais avec une érosion des marges
La SSII Devoteam a dégagé une marge d'exploitation de 13 millions d'euros (M€) pour le compte du premier semestre de son exercice 2011. Un montant stable comparé à il y a un an mais qui ne représente plus que 4,9% de son chiffre d'affaires contre 5,4% précédemment. « Hors impact ponctuel de Wola Info [Ndlr : une société polonaise rachetée en mai 2010], en perte de un million d'euros sur le semestre, la marge est quasi stable à 5,3% du chiffre d'affaires », précise toutefois le communiqué publié par la société. Le résultat opérationnel recule quant à lui de 7% à 11,7 M€, conséquence de la comptabilisation d'un profit exceptionnel de 4,7 M€ en 2010 sans lequel il aurait été en croissance de plus de 40%. Au final, le résultat net part du groupe ressort à 6,9 M€, soit une baisse de 6% comparé au premier semestre 2010.
CA en hausse de 12%
Malgré l'effritement de ses marges, Devoteam reste une entreprise en croissance. Sur le semestre, son chiffre d'affaires a progressé de 12% à 268,5 M€. Une hausse à la fois soutenue par son pôle Technology Consulting, dont les revenus ont progressé de 8,8% (+3,5% en organique) à 220 M€, et surtout son pôle Business Consulting qui a généré un chiffre d'affaires de 48 M€ en croissance de 28% (+16,7% en organique).
Pour l'ensemble de l'exercice 2011, Devoteam maintient son objectif de chiffre d'affaires de 530 M€. Elle réitère également sa prévision d'une marge d'exploitation de 6%, précisant toutefois que « les incertitudes liées à l'environnement actuel la rendent plus difficile à réaliser. »
SCC se développe dans l'interactivité et le multimédia
La nouvelle activité, interactivité et multimédia, est logée au sein de la division «convergence». Elle est animée par Cédric Dervaux passé par Hypcom Technologies, un grossiste, et Smart Technologies, fabricant de TBI (tableaux blancs interactifs). L'idée pour SCC est d'être pro-actif sur des marchés émergents. Ceux du collaboratif autour de supports comme les TBI, les tablettes, les smartphones et même la téléphonie fixe. SCC vise l'équipement des salles de conférence et des auditoriums. Les clients appartiendront à deux segments, celui de l'éducation nationale et celui des entreprises. SCC s'appuie d'abord sur l'offre Cisco DMS, digital media system pour l'affichage dynamique sur écran.
Par ailleurs, trois business unit de SCC France changent de titulaire. Olivier Frerebeau devient le responsable de la bu «convergence». Il a un parcours très orienté chanel : Alium, APC, 3Com, Westcongroup. SCC indique trois objectifs pour le nouveau responsable : chiffre d'affaires, qualité de service et positionnement. Stéphan Cottet, venu de Epson, devient responsable de la bu Managed print services. Anne Morin, venue de Télindus, devient responsable de la bu Cisco UCS Oracle HW (et des offre de cloud computing associées).
Le premier de ces nouveaux responsables pallie un départ, les deux autres arrivent suite à des évolutions internes.
Manifeste Agile, dix ans après : au-delà du développement logiciel
Les co-auteurs du « Manifeste pour le développement agile de logiciels » se sont réunis début août aux Etats-Unis pour faire un point, dix ans après la publication de leur texte, sorte de traité sur les pratiques qu'ils prônaient. Avec l'objectif de réduire les délais de développement, celles-ci reposent sur un mode de programmation itératif qui permet aussi d'ajuster les exigences de départ, si nécessaire, et encourage les développeurs à travailler en équipes. La démarche agile s'est posée en alternative aux cycles de développement « en cascade » (waterfall) qui ont été utilisés pendant des années avant d'être jugés trop lourds par certains.
Quinze des dix-sept auteurs de l'« Agile Manifesto » se sont ainsi retrouvés le 8 août à Salt Lake City (Utah) pour la conférence Agile 2011. Ils ne s'étaient pas réunis aussi largement depuis que leur manifeste a été établi dans les montagnes Wasatch de l'Utah en février 2001. Premier constat, l'adoption de ce mode de programmation se fait maintenant au grand jour, les développeurs ne craignant plus d'en parler ouvertement, rapportent nos confrères d'Infoworld. Cela ne fut pas toujours le cas les premières années. « Nous n'avons plus à cacher le fait d'y recourir », a confirmé Martin Fowler, l'un des co-auteurs (*). C'est avec lui que Robert Martin avait à l'époque planifié, sous le nom de « Sommet du processus léger », la réunion qui a finalement conduit au Manifeste. Pour illustrer la propagation de ces pratiques, un autre signataire, Alistair Cockburn, a notamment évoqué leur utilisation dans le cadre d'un contrat impliquant 24 hôpitaux dans l'Etat d'Utah.
Interagir avec l'équipe de développement agile
Mais la programmation agile s'étend maintenant à d'autres domaines, au-delà du développement de logiciels, a de son côté rapporté le co-auteur Andy Hunt. « Nous avons monté une société d'édition sur la base des pratiques agiles », a-t-il cité en exemple. Pour Jim Highsmith, consultant du groupe de conseil ThoughtWorks, ces pratiques peuvent bénéficier à l'ensemble de l'entreprise en étant utilisées au-delà du domaine informatique. De la même façon, Mike Beedle s'attend à ce qu'un framework de type agile émerge du management intermédiaire. (.../...)
(*) Liste des co-auteurs du Manifeste Agile : Kent Beck, Mike Beedle, Arie van Bennekum, Alistair Cockburn, Ward Cunningham, Martin Fowler, James Grenning, Jim Highsmith, Andrew Hunt, Ron Jeffries, Jon Kern, Brian Marick, Steve Mellor, Ken Schwaber, Jeff Sutherland, Dave Thomas.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
Sur le même sujet :
- Le 1er septembre 2011 : La démarche agile influe sur l'organisation au-delà de la DSI[[page]]
S'adapter à un environnement qui bouge
Autre illustration, l'éditeur Tasktop Technologies, qui utilise certains concepts agiles dans la conduite de sa société. « Honnêtement, je n'y croyais pas en rejoignant l'entreprise, relate son président Neelan Choksi. Un an plus tard, je dois reconnaître que ça fonctionne. » Tasktop réalise son marketing sous forme d'itérations, un concept typique du développement agile de logiciel. « Cela nous amène à nous concentrer sur certaines activités, pendant un certain laps de temps », explique Neelan Choksi.
Chez Land O'Frost, une société de restauration rapide, les pratiques agiles ont été adoptées pour anticiper et répondre à un environnement qui change rapidement. « Si vous ne réagissez pas, vous ne réussirez pas », constate Steve Sakats, vice président senior, responsable des ressources humaines. Ses indicateurs clés d'agilité se concentrent sur la rapidité et la flexibilité dans les domaines tels que les ventes, le développement de la clientèle, la finance, les ressources humaines et l'opérationnel -de façon similaire à l'accent mis par le Manifeste « Agile » sur la collaboration avec le client et la capacité à répondre au changement.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
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Agility Consulting and Training, la société de conseil à laquelle recourt Land O'Frost, a développé un modèle agile qui englobe l'anticipation des changements et l'évaluation des résultats, mais qui tend aussi à mettre en confiance et à encourager l'action et les propositions d'actions.
Ironiquement, dans le peu de développement logiciel qu'elle réalise, Land O'Frost utilise toujours les méthodes traditionnelles, reconnaît Steve Sakats son responsable des ressources humaines. Néanmoins, explique-t-il, c'est parce qu'elle achète la plupart des systèmes qu'elle utilise plutôt que de les développer elle-même.
Des principes déjà utilisés dans l'entreprise
Bien que la notion d'agilité se soit popularisée dans le monde du développement, Dave Sharrock, le vice-président d'Agile42, considère que les processus qui lui sont associés ont toujours été utilisés dans la gestion des entreprises, sans être clairement définis jusque-là. « Dès que vous disposez d'une organisation agile pour le développement de logiciel, vous mettez automatiquement la pression sur les autres parties de votre organisation pour qu'elles travaillent de façon similaire. »
Les démarches Lean (mode de gestion de production précurseur d'agile) et agile ont été promues dans les années 70 par W. Edwards Deming, rappelle de son côté Nathan Slippen, responsable technique de la société de conseil Valtech. « Ces principes peuvent s'appliquer à différents niveaux d'une entreprise », par exemple en rendant les processus plus transparents ou éliminant les gaspillages, deux notions fondamentales du Lean. Mis en oeuvre avec succès au-delà du développement de logiciel, les concepts de collaboration et de flexibilité apporteront les mêmes bénéfices. Mais cela requiert de penser les choses d'une nouvelle manière. Et les participants impliqués dans le processus à la façon dont les choses étaient faites jusqu'à présent. C'est une évolution qui concerne les individus, conclut Dave Sharrock, d'Agile42.
Illustration : le site Agilemanifesto.org
(...)(30/08/2011 15:06:30)
VMworld : Dell lancera un service de cloud public cette année
Le service sera basé sur la plateforme vCloud de VMware, hébergée dans le data center de Dell situé à Plano, au Texas. Les clients pourront louer des capacités de calcul et de stockage en pay-as-you-go, ou en souscrivant à des contrats à long terme incluant du hardware réservé ou dédié. Dell proposera également des services de conseil aux entreprises pour les aider à construire des clouds privés dans leurs propres centres de calcul, également avec vCloud. Enfin, le constructeur proposera des clouds «hybrides» avec le logiciel Connector de VMware, qui permet de relier des environnements cloud privés et publics. Les annonces officielles de ces offres doivent être faites lors de la conférence VMworld de VMware de Las Vegas (29 août - 1er Septembre 2011).
Ces offres vont intensifier la concurrence entre Dell, IBM et Hewlett-Packard, ces derniers proposant aussi des services de cloud publics. Et elles vont mettre également Dell en compétition avec des prestataires de services comme Amazon Web Services, Verizon Business et Terremark - dont certains sont également ses clients. « Dell est obligé d'entrer dans le secteur des services pour rester compétitif dans une industrie où les services cloud sont devenus la norme », a déclaré Arun Taneja, fondateur et analyste-conseil de Taneja Group. « Dans les trois ans qui viennent, tous les grands constructeurs informatiques offriront des services cloud sous une forme ou une autre », a-t-il prédit. « La particularité de Dell se trouve dans son offre de services de sécurité gérés, résultant de l'acquisition de SecureWorks l'année dernière », a déclaré Mark Bilger, vice-président et CTO de Dell Services. « Ils seront proposés en standard et non en option », a-t-il précisé.
Un programme bêta dans quelques semaines
Ce service, au nom à rallonge de Dell Cloud with VMware vCloud Datacenter Service, « vise principalement les grandes et moyennes entreprises », a déclaré le CTO de Dell Services. Un programme bêta sera lancé dans quelques semaines et la disponibilité générale est prévue pour le quatrième trimestre de cette année, aux Etats-Unis, et l'année prochaine, en Europe et en Asie. Dell prévoit d'ajouter une offre Platform-as-a-Service (PaaS) l'an prochain, sur la base de Microsoft Azure et d'un autre service de cloud computing basé sur une plateforme Open Source - sans doute OpenStack ou Eucalyptus - « mais la décision n'a pas encore été prise », comme l'a indiqué Mark Bilger.
Grâce à son acquisition de Perot, Dell fournit déjà des services d'hébergement d'applications qui lui rapportent près d'1 milliard de dollars de revenus chaque année. « Au moment où les contrats de ces clients arrivent à échéance, Dell espère pouvoir les reporter sur son cloud public normalisé », explique le CTO de Dell Services. « L'environnement basé sur VMware est plus moderne et devrait entraîner une réduction de coûts, aussi bien pour Dell que pour ses clients », a t-il ajouté. Mais de nombreux clients de Perot venaient du secteur de la santé, et Dell aura besoin de rendre son service compatible HIPPA (Health Insurance Privacy And Portability Act) avant de pouvoir les transférer. « Ce sera fait l'année prochaine », a affirmé Mark Bilger.
Dell va proposer trois niveaux de service : « Pay-as-you go », dont le prix par machine virutelle coûtera le plus cher, « Réservé », qui garantit la disponibilité du serveur, et « Dédié », qui attribue ses propres serveurs au client. Pour ces deux derniers niveaux, le client devra s'engager pour une durée d'une année. Dell n'a pas voulu dévoiler le prix de ses offres. Mais Mark Bilger a indiqué que les services seront « compétitifs » avec ceux des concurrents, et qu'ils comporteront « une petite prime », puisque les fonctions de sécurité « sont incluses ».
vCloud, un changement stratégique
Le choix de vCloud est un changement stratégique pour Dell qui a passé la dernière année à construire sa propre pile de virtualisation, son Système Virtuel Intégré (VIS) et son logiciel Advanced Infrastructure Manager (AIM). Dell vendra désormais ces logiciels avec VMware. « Les clients devront utiliser la même plateforme logicielle pour leurs clouds privés et publics, afin de pouvoir les relier dans un cloud hybride », a expliqué le CTO de Dell Services. « Mais nous envisageons d'offrir dans l'avenir une solution permettant le mélange et la compatibilité entre plateformes différentes, y compris pour nos technologies AIM et VIS, et de les relier à notre cloud public », a-t-il ajouté.
« Le partenariat avec de gros éditeurs comme VMware est important pour Dell », a déclaré Jeffrey Kaplan, directeur général de ThinkStrategies. « Ceux-ci conviennent également que le cloud est un domaine important pour l'avenir des entreprises », a t-il ajouté. « Pour réussir, il faut qu'elles puissent non seulement construire leurs propres solutions, mais elles doivent aussi faire équipe avec les leaders de l'industrie et c'est ce que fait Dell avec ces offres ». Le groupe texan a même fait mieux que ce qu'avait prévu Jeffrey Kaplan pour se réinventer comme entreprise de logiciel et de services. « Je n'étais pas très favorable à l'acquisition de Perot, mais ils ont vraiment atteint leur objectif », a reconnu l'analyste. « Les services seront hébergés sur des serveurs blade Dell M610, intégrant des processeurs Intel Xeon six coeurs », a expliqué Mark Bilger. « Dell va déployer son hardware en blocs de 17 racks, associant 192 serveurs lames et 2 300 processeurs physiques », a t-il ajouté.
Illustration : Le datacenter de Dell à Plano, au Texas (crédit : D.R.)
Nexity modernise son espace client sur le web
Nexity est un acteur global de l'immobilier proposant à la fois de la promotion immobilière et des services de gestion, tant pour les particuliers que pour les entreprises ou les collectivités. Un même client peut donc être en relation avec Nexity, par exemples, aussi bien pour l'acquisition d'un bien immobilier en construction que pour la gestion de copropriété ou la gestion locative.
Pour faciliter les relations clients, le groupe a souhaité mettre à disposition de ses clients un espace web unique regroupant tous les services auquel un client donné accède. Il s'agissait notamment de communiquer en temps réel l'état d'avancement des travaux, de permettre une visite en 3D d'appartements, de suivre les différents contrats en cours, etc.
Pour réaliser cet espace web global, Nexity a eu recours à une solution spécifique développée par une équipe de 18 personnes de la société Altran durant cinq mois. Pour l'heure, 130 000 contrats sont gérés dans la plate-forme et, à terme, le chiffre sera de 500 000.
Le coût et les technologies du projet n'ont pas été communiqués. (...)
Le cloud privé est une opportunité pour la distribution IT selon Canalys
Le marché mondial du cloud privé (matériels et services) représenterait cette année une opportunité de chiffre d'affaires de 40 milliards de dollars pour les revendeurs et prestataires de services informatiques. Cette estimation émane du cabinet d'études Canalys pour qui la résolution des problématiques de sécurité autour de ces infrastructures est un axe fort de création de valeur pour les partenaires.
Le marché du cloud public échappe en revanche au canal de distribution. Dommage, car celui-ci devrait représenter 85 milliards de dollars de revenus cette année. Ce segment très tourné vers le grand public est trusté par des acteurs tels que Google et Microsoft.
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