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(27/09/2011 09:08:42)

Le marché IT continue à progresser en 2011 et 2012, selon Forrester

Le cabinet d'études Forrester a indiqué la semaine dernière que les dépenses technologiques mondiales progresseraient de 11,5% (7,5% à taux de change constant) sur l'année 2011 pour atteindre 2 042 milliards de dollars, malgré la fragilité actuelle de l'économie. Selon lui, toutes les catégories de produits (logiciels, matériel et services associés) montrent une progression à deux chiffres, logiciels en tête avec +11,9%. La faiblesse économique qui est apparue en juillet et août ne ralentira pas la croissance technologique d'ici le quatrième trimestre, estime Andrew Bartels dans un billet de blog accompagnant le rapport du cabinet d'études, même si le risque d'une nouvelle récession a effectivement augmenté.

En 2012, en revanche, la croissance des dépenses IT va marquer le pas dans toutes les catégories, Forrester prévoyant une progression globale de 5,5%, les entreprises et les administrations se montrant prudentes dans leurs achats IT, tant aux Etats-Unis qu'en Europe.

Illustration : Andrew Bartels, analyste chez Forrester. (...)

(26/09/2011 16:03:37)

Capgemini et EMC vont lancer une offre de stockage dans le cloud

Au cours des prochains mois, Capgemini et EMC vont proposer ensemble différents services à la demande dans le cloud, qui seront déclinés au niveau mondial. Le premier d'entre eux sortira courant 2012 et portera sur des solutions de stockage avec services associés. Cette offre, présentée sous le nom de « Storage as a service », comportera plusieurs « paliers de stockage » en fonction des besoins du client, expliquent les partenaires dans un communiqué, en précisant qu'ils ont développé une architecture de stockage commune et reproductible dont les coûts et les niveaux de service sont prévisibles. Elle reposera sur les systèmes haut de gamme VMAX et sur les baies VNX d'EMC (et non sur l'offre cloud Atmos pour le moment). La tarification de ces offres packagées n'est pas encore fixée.

Les entreprises disposeront ainsi de capacités de stockage sans avoir besoin d'anticiper leurs besoins, l'option cloud leur permettant en outre de réduire leurs coûts de possession. Ce faisant, Capgemini entend proposer des « prestations enrichies, différenciées et compétitives », indique Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial. Les deux sociétés rappellent qu'elles avaient déjà réalisé ensemble, en 2002, un service de stockage assorti d'une facturation à l'utilisation.

Plus tard, une offre « Messaging as a service »

Dans le cadre de cet accord de cinq ans entre Capgemini et EMC, d'autres services dans le cloud doivent suivre, dans les douze à dix-huit mois. Déjà baptisé « Messaging as a service », le suivant s'appuiera sur les logiciels de messagerie de Microsoft. Sur ce terrain, une autre SSII française, Atos, a indiqué la semaine dernière qu'elle lançait une offre de cloud privé pour le secteur public autour des services de messagerie Office 365, de Microsoft.
Les services dans le cloud élaborés en commun par Capgemini et EMC seront principalement disponibles en France, en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques, ainsi qu'en Chine et au Brésil.

Illustration : Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial (crédit : Capgemini) (...)

(26/09/2011 12:33:11)

Atos recrute 600 ingénieurs dans 17 villes françaises

Atos réitère ses journées nationales de recrutement baptisées Talent Days,  ce qui devrait l'aider à intégrer 600 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Cette opération se déroulera entre le 4 et le 13 octobre prochains dans 17 grandes villes de l'Hexagone. Les entretiens ont été fixés le 4 octobre à Bezons, (le siège social d'Atos situé dans le Val d'Oise),  ainsi qu'à Cournon d'Auvergne et à Rennes. Ils auront lieu le 6 octobre à Aix-en-Provence, Bordeaux, Lyon, Metz, Tours/Le Mans, et, le 11 octobre, à Grenoble, Orléans, Nantes et Sophia-Antipolis. La date du 13 octobre a elle été arrêtée pour les villes de Lille, Niort, Strasbourg, Toulon, Toulouse, ainsi qu'une nouvelle fois à Bezons.  

Retour sur les candidatures le jour même

Conçues sur le modèle du speed recruiting, ces journées permettront aux candidats, qu'ils soient étudiants, jeunes diplômés ou déjà expérimentés, de passer des brefs entretiens avec des recruteurs et des managers opérationnels d'Atos. Le groupe précise que les postulants auront  un retour sur leur candidature le jour même et pour ceux qui seraient retenus, une proposition d'embauche dans les 3 jours suivants.

La palette des postes à pourvoir est vaste. Il s'agit  d'ingénieurs d'études et développement et d'experts techniques sur Java/J2EE, d'ingénieurs développement sur Microsoft, de consultants (Webmethods, SAP, CRM, AMOA, BI), de chefs de projet (Peoplesoft, SAP HR, SAP BW, SAP Fico), de directeurs de projet et d'architectes techniques. Atos recherche également des administrateurs de bases de données (Oracle), des administrateurs d'outils d'intégration (Webmethods) et de serveurs d'application (Weblogic), des ingénieurs systèmes (Unix-Linux et Windows), et également  des ingénieurs réseau et sécurité

Atos confirme ainsi son plan de recrutement en France de plus de 1 500 personnes en 2011, dont 60% de jeunes diplômés. 900 ingénieurs ont déjà rejoint le groupe.

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(26/09/2011 10:22:26)

La crise impacte le moral des PME et des ETI, selon la Banque Palatine

La crise est durable. C'est le premier enseignement de cette étude. Pour 47% des dirigeants interrogés, la crise durera au moins jusqu'à fin 2012. 43% la voient se finir courant 2012, 7% seulement fin 2011. Ces dirigeants craignent avant tout, dans 48% des cas, la baisse de la consommation. Loin devant le cours des matières premières, qui inquiète 37% des répondants, ou même celle des faillites bancaires ou d'autres entreprises (24% d'inquiets). C'est donc le client particulier qui est au centre des préoccupations.  Et la situation générale  de l'économie qui inquiète.

Curieusement, les dirigeants interrogés sont moins inquiets pour leur entreprise et pour leur secteur que pour l'économie en général. 69% ont confiance dans l'entreprise sur les six mois à venir. Ils étaient 81% au mois de juin dernier, 81% également en avril, 84% en janvier. La chute est donc forte.  Concernant le secteur d'activité, et toujours sur six mois, les dirigeants sont confiants à 57%, contre 73% en juin, 74% en avril, 7% en janvier. Une chute  aussi forte qu'à la question précédente.

L'été a été meurtrier


Les points vraiment négatifs viennent de l'économie mondiale. 27% d'optimistes sur les six mois à venir, contre 51% en juin et 37% en avril, 38% en janvier. L'été a été meurtrier, comme le titre l'étude. Concernant l'économie française, la même tendance se retrouve, en plus violent, 22% de confiants, contre 57% en juin, 44 en avril, 44 également en janvier.

Autre paradoxe, si l'optimisme est en chute libre au passage de l'été, la reprise est réelle. Pour 52% des dirigeants, leur chiffrer d'affaires est supérieur à celui de 2010. 52% des dirigeants ont ce sentiment en septembre. Ils n'étaient que 41% sur le 1er semestre. Signe de cet optimisme, les dirigeants interrogés sont plus nombreux à envisager d'embaucher, 16%, que de réduire leurs effectifs, 7%.

Les priorités arrivent dans le même ordre qu'avant l'été. En tête (82%, avec  51% de très prioritaire et 31% d'assez prioritaire) la stratégie commerciale en baisse de 6 points par rapport à juin, ensuite les process de production (70% comme en juin), l'innovation (68% identique à juin).  Viennent ensuite : l'organisation interne, le positionnement sur les nouveaux marchés, le niveau des investissements, le recrutement de compétences, les nouvelles technologiques, le développement à l'international, les acquisitions.

(*) Ce Baromètre concerne les entreprises de 15 à 500 millions d'euros de CA annuel, il a été réalisé par l'Institut Opinion Way, du 29 août au 9 septembre, auprès de 300 dirigeants d'entreprise.

(...)

(23/09/2011 11:10:41)

Semestriels Neurones : Un bon début d'année pour la SSII

La SSII a signé un bon premier semestre 2011 lors duquel son chiffre d'affaires à progressé de 21% comparé à la même période l'an dernier pour atteindre 140 M€. « A ce jour, Neurones ne constate pas d'impact de la crise financière sur son activité », indique la société de services dans un communiqué. Sa rentabilité ne semble pas, elle non plus, souffrir de la situation économique. Le résultat opérationnel a ainsi atteint 12,6 M€ (+9%), traduisant une marge opérationnelle de 9% par rapport aux 8,7% du premier semestre 2010. Au final, le résultat net part du groupe ressort à 7,4 M€ contre 5,1 M€ un an plus tôt.

Le seul bémol au tableau réside dans la baisse de chiffre d'affaires par salariés. Il est passé de 40 500 € au premier semestre 2010 à 32 450 € cette année. Entre ces deux périodes, l'effectif de la société a progressé de 12,5%, passant de 2 852 collaborateurs à 3 208.

Pour l'ensemble de l'année 2011, Neurones confirme son estimation de chiffre d'affaires à 275 M€. En outre, la SSII rehausse ses prévisions de résultat opérationnel qu'elle attend désormais en croissance annuelle de plus de 9%.

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(23/09/2011 10:28:41)

Open CIO Summit : Le casse-tête des licences propriétaires dans le cloud

Parmi les « tracks » proposés à l'Open World Forum 2011, l'un était plus particulièrement destiné aux DSI : l'Open CIO Summit, troisième édition. A la façon d'Eric Besson en plénière, René Kraft, directeur général d'iCDC (le GIE informatique du groupe Caisse des Dépôts et Consignation), y a souligné les apports considérables de l'open-source aux entreprises. Par nature, en effet, l'Open Source implique l'usage de standards et garantit donc l'interopérabilité. L'ouverture des sources garantit également le professionnalisme et l'efficacité des développements ainsi que l'audit de sécurité. Enfin, la capacité d'adapter à ses besoins propres une base standard ouvre la porte à des innovations locales et différenciantes.

Gérer les licences propriétaires, un calvaire évitable

A ces gains « par nature » associés aux logiciels libres s'ajoute un gain qui, visiblement, est majeur bien qu'indirect tant les intervenants se sont tous entendus pour en parler. Ce gain est celui de la non-gestion des licences. Selon tous les DSI s'étant exprimé, la complexité et la rigidité des politiques de licencing pratiquées par les éditeurs de logiciels propriétaires aboutit à de telles complications pour les DSI qu'il vaut mieux suer un peu plus sur des logiciels libres où cette question ne se posera pas.

Hubert Tournier, DOSI adjoint du Groupement des Mousquetaires, a ainsi souligné que les licences propriétaires ne facilitent pas l'usage de ces logiciels dans un cloud privé où des machines virtuelles sont tantôt créées, tantôt détruites ou en sommeil ou avec un nombre d'utilisateurs variable. « Ces licences poussent les utilisateurs de clouds privés vers l'Open Source », a-t-il indiqué. Selon lui, tout compris, une machine virtuelle revient à 130 euros/an en cloud Open Source contre 20 000 en cloud propriétaire ! Sans oublier que le PaaS en lui-même n'étant pas facilement facturable aux clients internes, il doit coûter le moins possible à la base. Jean-Luc Raffaelli, de la DSI groupe de La Poste, a insisté sur la simplification des procédures d'achat par le recours à l'Open Source.

L'effet brouillard du nuage sur l'Open Source

Mais, très souvent, les DSI sont agnostiques dans la guerre de religions Libre/Propriétaire. « Les solutions Open Source sont appréciées parce qu'elles offrent des solutions supplémentaires aux DSI » a souligné Sébastien Bridelance, du département architecture technique de la DSIO d'Auchan. Mais l'ouverture du code, pour lui, n'apporte qu'un avantage théorique : le métier d'Auchan n'est pas de reprendre la maintenance corrective ou évolutive du code. Ceci dit, changer de fournisseur pour obtenir de meilleures conditions commerciales est toujours possible, comme l'a confirmé Jean-Luc Raffaelli, de la DSI groupe de La Poste qui, précisément, vient de le faire. 

Il reste la grande polémique du moment : le SaaS est-il un fossoyeur ou un stimulant de l'Open Source ? En effet, certains éditeurs Open Source profitent du SaaS pour passer à un modèle de rémunération récurrent avec des modules propriétaires pour assembler des composants libres. A l'inverse, le libre permet l'interopérabilité des différents clouds et par conséquent facilite l'adoption de cette nouvelle architecture. (...)

(23/09/2011 10:10:43)

Open World Forum : ouverture des formats et des données

« La contribution de l'Open Source à la révolution numérique est des plus importantes », a constaté Eric Besson en ouvrant la quatrième édition de l'Open World Forum, le 22 septembre 2011 à l'Eurosite George V à Paris. Le Ministre délégué en charge de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique a ainsi cité les logiciels libres que tout à chacun utilise quotidiennement : OpenOffice, Firefox, ou même VLC (« meilleure application multimedia au monde issue d'un travail de l'Ecole Centrale de Paris » selon le ministre)... Sans oublier le système d'exploitation Androïd qui équipe la majorité des smartphones en étant basé sur un noyau Linux.

Les deux co-présidents de cette manifestation, Louis Montagne et Jean-Pierre Laisné, ont renchéri : « il serait aujourd'hui impossible aux entreprises de se passer du logiciel libre qui a trouvé sa place partout, jusqu'en embarqué dans les automobiles ». Ce constat est un truisme mais mérite malgré tout d'être rappelé.

La manifestation accueille plus de 2 000 visiteurs d'une quarantaine de nationalités. Elle propose des interventions de plus de 200 experts grâce au travail d'une trentaine de responsables de « tracks » thématiques.

Au coeur des appels d'offres publics

Eric Besson s'est refusé à opposer le monde du Libre et celui du Propriétaire, préférant leur concurrence et la complémentarité issue de leurs différences. Par contre, il a semblé attaché à l'adoption de formats ouverts, garants de l'interopérabilité et de la concurrence. Interopérabilité et portabilité seront au coeur des appels d'offres publics pour la création de clouds et la place du logiciel libre devrait donc y être prépondérante.

L'ouverture des formats est liée, dans le discours ministériel, à celle des données. Pour l'Etat, une telle double ouverture sert à la fois les citoyens et les entreprises capables de créer des services utiles à la population à moindre frais. Selon une étude de l'Union Européenne citée par le ministre, le patrimoine en logiciels libres existant à ce jour représente 130 000 années/hommes de travail pouvant être valorisées 12 milliards d'euros.

Le ministre avait à peine terminé son discours que l'APRIL (Association Pour la Recherche en Informatique Libre) publiait un communiqué pour le commenter. Selon l'association, la concurrence tant désirée entre Libre et Propriétaire est aujourd'hui faussée et ce club attend que le ministre tienne ses engagements antérieurs, notamment en termes de lutte contre la vente liée matériel-logiciels.

L'Open Source engagé dans l'après-PC

Si le vice-président de la région Ile-de-France en charge des nouvelles technologies, Jean-Paul Planchou, s'est contenté de rappeler le rôle important du logiciel libre dans le marché et dans le dynamisme des entreprises régionales dans le secteur des TIC, l'adjoint au maire de Paris en charge de l'innovation, Jean-Louis Missika, a, lui, fustigé la politique gouvernementale. Selon lui, si 25% de la croissance européenne est liée au Numérique, le gouvernement auquel appartient Eric Besson fait tout pour la brider.

Au delà des pétitions de principe, Jean-Luc Beylat, président du pôle de compétitivité Systematic, a rappelé que l'open-source était au coeur de la préparation de l'après-PC. Qu'il s'agisse de cloud, d'applications web ou de nouveaux terminaux (smartphones, tablettes...), l'open-source possède des réponses souvent en avance. Sur les 1,2 milliards d'euros d'investissements du pôle de compétitivité, 100 millions sont consacrés à la R&D 43 millions au financement d'amorçage dans le domaine de l'open-source.

Illustration : Eric Besson, ministre délégué en charge de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique (crédit : M.G.)

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(21/09/2011 15:18:26)

Smile s'empare du hollandais Stone-IT

Smile, intégrateur français de solutions Open Source, vient d'acquérir Stone-IT, un spécialiste des logiciels libres situé aux Pays-Bas pour un montant non communiqué. Grâce à ce rachat, la SSII française se renforcera dans une région où elle est présente depuis une dizaine d'années. Elle proposera une palette de services (consulting, développement, intégration, formation, maintenance applicative et infrastructure) sur l'ensemble des domaines métiers où l'open source est utilisé (site internet, intranet, portail, e-Commerce, GED, ERP, BI, messagerie).

Création d'une filiale en Belgique

Situé dans la ville d'Utrecht, Stone-IT a été créé il y a 15 ans. Le groupe, qui compte le secteur public et celui de la santé comme principaux clients, devrait réaliser un chiffre d'affaires proche de 2 M€ en 2011. « «L'offre de Stone IT est complémentaire avec celle de Smile aux Pays-Bas, de sorte que les possibilités de synergies sont immédiates », a déclaré Marc Palazon, président du directoire de Smile dans un communiqué.

En parallèle à ce rachat, la SSII a annoncé la création d'une filiale à Bruxelles, pour viser l'ensemble du marché belge et luxembourgeois. Cette agence sera intégrée à l'entité Smile Bénélux.

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(21/09/2011 10:23:14)

Semestriels Prodware : L'activité dynamique tire les bénéfices de l'éditeur

Le 20 septembre à la mi-journée, l'action Prodware s'appréciait de 14% à la bourse de Paris. Une envolée spectaculaire due aux excellents résultats que vient de publier l'éditeur et intégrateur pour le compte du premier semestre 2011. Sur six mois, l'entreprise a vu son résultat opérationnel progresser de 103% à 8,6 M€, ce qui correspond à une marge brute de 18,1% contre 10,6% un an plus tôt. La croissance du résultat net est encore plus spectaculaire puisqu'elle atteint +146% à 10,6 M€.

Ces résultats sont liés à un fort dynamisme de l'activité lors du premier semestre 2011 au cours duquel les revenus se sont établis à 47,3 M€. Un chiffre qui traduit une croissance de 19% en consolidé et de +7% à périmètre comparable. Prodware a notamment bénéficié de l'intégration dans ses comptes de l'activité PLM d'Arès rachetée en novembre 2010 et rebaptisée depuis Prodware ID.

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