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PC et portables
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(02/09/2011 09:50:10)
Samsung s'immisce dans le client léger et zéro client
Le fabricant Sud-Coréen élargit le portefeuille de produits de sa division IT en lançant ses premiers clients légers et zéro client. Dans un premier temps, huit modèles sont proposés, équitablement répartis entre les deux types de produits. Dans la gamme des clients légers de Samsung, dépourvus de boîtiers externes, on trouve notamment le TC190 (écran 19'') et le TC240 (écran 23,6'') qui offre un affichage Full HD. C'est également le cas du zéro client NC240, doté, comme le NC190, de quatre ports USB pour la connexion de périphériques et de sources personnelles. « Nous n'en sommes qu'au début de la constitution de notre gamme. L'an prochain, nous disposeront d'au moins vingt modèles », indique Agnès Van de Walle, la directrice de la division IT de Samsung France. Tous les matériels qui viennent d'être lancés sont certifiés par VMware. Ils devraient l'être aussi par Citrix dans le courant du mois de septembre.
Conquérir 10% de part de marché dès la fin 2011
Bien qu'il ne dispose pas encore d'une gamme aussi large, Samsung fait déjà montre de grandes ambitions sur le marché français d'ici la fin de l'année 2011. Pour Agnès Van de Walle, le fabricant devrait en effet « prendre 10% de parts du marché des clients légers et des zero client d'ici la fin de l'année. » L'objectif est-il ambitieux ? Pour la dirigeante de la division IT de Samsung France, il n'est en tous cas pas aberrant d'espérer se poser rapidement en concurrent sérieux des leaders que son HP et Wyse. Etant numéro un en volume et en valeur sur le marché des moniteurs en France, l'entreprise compte notamment jouer sur cet avantage pour faire une bonne place à ses nouveaux produits. En outre, Samsung a déjà montré que ses ambitions doivent être prises au sérieux : en 2008, l'entreprise déclarait vouloir prendre la première place du marché français de l'impression laser couleur. Partant alors de la sixième place, elle a presque rempli son objectif puisque de récents chiffres publiés par Gfk la créditent de la seconde place juste derrière HP.
Pour arriver à ses fins, Samsung devra compter sur la distribution informatique. D'une part, en amenant ses partenaires actuels à commercialiser ses clients légers, d'autre part en recrutant de nouveaux revendeurs. Pour les servir, Samsung a signé un accord de distribution avec Arrow au second trimestre 2011, ce dernier référençant uniquement ses modèles de clients légers et zero client. « D'ici la fin de l'année, nous estimons que 200 000 postes de travail vont être renouvelés en France. La moitié le sera par le biais d'un renouvellement de matériel et constitue notre cible principale », conclut Agnès Van de Walle.
La division PSG de HP penche pour une spin off
Il y a juste quinze jours (jeudi 18 août au soir, heure française), HP indiquait vouloir entamer « une réflexion stratégique » sur l'avenir de sa division PSG. Derrière le tumulte médiatique qui s'en est suivi, les dirigeants de PSG ont indiqué rapidement comment ils entendaient maîtriser l'opération.
En France, les responsables de PSG ont appris la nouvelle, comme tout le monde, par les médias. Dans l'urgence, en trois jours, un plan de communication s'est mis en place. Le lundi 22, les partenaires distributeurs étaient informés par deux lettres. La première, une traduction, reprenait le texte envoyé par Tod Bradley, patron monde de la division PSG aux partenaires de HP. La seconde, rédigée par Pascale Dumas, vice-présidente de HP France et directrice générale de PSG, adaptait ces analyses au contexte français.
Ces deux courriers envoyaient un premier message et répondaient à la grande objection : HP veut-il se « débarrasser » de ses PC ? La réponse est négative. Au contraire, HP se réorganise, se « transforme », mais l'activité PC continuera, avec les mêmes interlocuteurs et les mêmes structures opérationnelles, mais un contexte juridique différente. « Il faut bien comprendre ce que représente PSG, souligne Michaël Albala , directeur commercial France de cette division. Au plan mondial, c'est 40 milliards de dollars de chiffre d'affaires sur les 130 affichés par HP. PSG représente 30% du CA et 20% du résultat net de l'entreprise, donc, on ne peut pas dire que HP voudrait se séparer d'une activité peu rentable. Ce n'est pas le cas et ce n'est pas notre motivation ».
Communiquer en 4ème vitesse
Un message qu'il a fallu distiller en quatrième vitesse. « Notre communication a concerné toutes les cibles : le management des partenaires, leurs équipes commerciales, les revendeurs, la grande distribution, note Sabine Turkieltaub, directrice marketing de PSG France. « Sans oublier nos partenaires stratégiques, Intel et Microsoft entre autres, et bien entendu nos équipes en interne ». Par téléphone ou en se déplaçant, les dirigeants de PSG se sont démultipliés pour éviter toute mauvaise interprétation.
(*) PSG = personal system group , HP compte deux autres divisions : IPG (Imaging and printing group) et EB (enterprise and business) qui regroupe tout ce qui traite à la fois de services, de stockage, de réseaux et de sécurité.
(**) Le spin-off est une séparation juridique qui va plus loin qu'une filialisation, les deux sociétés peuvent avoir le même actionnariat, la nouvelle société peut accueillir de nouveaux actionnaires, surtout, elles fonctionnent indépendamment. Exemples : Accor avec Accor services en France ou bien AT&T avec Lucent et NCR aux Etats-Unis.
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PSG France a joué « les yeux dans les yeux ». Pascale Dumas s'est déplacée chez ETC et Tech Data, les deux principaux grossistes en France, expliquant sur les plateaux des grossistes, devant les commerciaux, la nouvelle stratégie de HP. « Une communication rapide en direction des dirigeants de nos partenaires mais aussi de leurs équipes » explique Sabine Turkieltaub. « Le site de HP France, Smart Portal, reprend dans un éditorial, signée Pascale Dumas, les arguments de HP. ETC répercute l'analyse de HP sur son site pour informer ses revendeurs, de même que Tech Data qui reproduit même l'éditorial de Todd Bradley ».
La séparation est donc envisagée avec sérénité. Même si le travail à venir est conséquent, PSG montre qu'elle veut maîtriser le processus. Le timing est pratiquement ficelé. Avant le mois de décembre prochain, l'opération sera bouclée au plan mondial. Au mois de mars 2012, se réunit la traditionnelle conférence annuelle mondiale des partenaires HP. Le nouveau visage de PSG devrait être présenté à cette occasion. Après, il restera quelques mois pour finaliser le dispositif.
Et les contrats de distribution ?
Inévitablement, se posera la question des contrats de distribution. Seront-ils renégociés avec tous les partenaires pour chacune des catégories ? « Nous souhaitons le moins de bouleversements possibles et le plus de continuité », indique Michaël Albala. « Cette séparation est possible en douceur, les frontières entre les activités de PSG et des autres filiales sont nettement séparées, les pointillés se voient, on peut détacher PSG. J'ajoute que l'essentiel c'est-à-dire la supply chain est déjà indépendante, PSG est une entité agile qui le sera encore plus ».
Dernière objection à contrer, celle de la toute-puissance. HP est soupçonné depuis des années de ligoter ses partenaires, obligés de vendre une large gamme de produits, pour bénéficier de remises. Et les grossistes seraient peut être contents de pouvoir diversifier leur CA. « Nous entendons ces objections, note Michaël Albala, mais nous sommes une marque premium, un leader, de ce fait nous avons toujours apporté à nos partenaires du développement et de la marge. Notre position de leader signifie aussi une relation forte, sur la durée ».
(*) PSG = personal system group , HP compte deux autres divisions : IPG (Imaging and printing group) et EB (enterprise and business) qui regroupe tout ce qui traite à la fois de services, de stockage, de réseaux et de sécurité.
(**) Le spin-off est une séparation juridique qui va plus loin qu'une filialisation, les deux sociétés peuvent avoir le même actionnariat, la nouvelle société peut accueillir de nouveaux actionnaires, surtout, elles fonctionnent indépendamment. Exemples : Accor avec Accor services en France ou bien AT&T avec Lucent et NCR aux Etats-Unis.
VMWorld 2011 : Paul Maritz dessine les contours de l'ère post-PC
Selon Paul Maritz, PDG de VMware, l'avènement de l'ère post-PC met face à face l'informatique d'entreprise traditionnelle et le fort consumérisme technologique des utilisateurs qui demandent toujours plus de flexibilité pour travailler comme ils veulent, sur le périphérique de leur choix. Cela va provoquer des transformations dans l'usage des terminaux, les smartphone et les tablettes servant de point d'accès aux PC traditionnels, depuis leur lieu de travail. Cela signifie des changements majeurs en matière de développement d'applications et de systèmes back-end, dans la mesure où les bases de données relationnelles classiques ne sont pas capables, compte tenu du niveau de développement et de déploiement nécessaires, de répondre aux besoins des utilisateurs qui attendent un traitement des données en temps réel.
Plaçant le cloud computing au coeur de ce développement, Paul Maritz voit trois défis majeurs pour répondre à ces tendances. « En premier lieu, nous devons trouver, au moins pour un certain temps, un moyen plus efficace pour exécuter ce sous-ensemble d'applications client-serveur que nous ne pouvons pas abandonner et qui préfigure cette nouvelle ère. Il est nécessaire de l'améliorer pour concentrer nos efforts sur de nouvelles applications», a déclaré le PDG de VMware. Ensuite, il faut répondre à la demande d'informations en temps réel, nécessaire pour la prise de décisions. « On ne peut y arriver par un lifting superficiel de nos applications existantes », a déclaré Paul Maritz. Enfin, les utilisateurs veulent être en mesure de choisir le terminal sur lequel ils seront amenés à utiliser ces applications. « Les services informatiques ne peuvent pas contrôler un appareil dont le devenir est dépendant des tendances du marché, » a déclaré Paul Maritz. « Les services IT doivent offrir des applications et des services indépendants du terminal. » C'est ce que VMware appelle l'ère «post-PC ». Et de nombreux produits et annonces faites par l'éditeur pendant le VMWorld vont dans ce sens.
Des expérimentations vers le sans PC en cours
Steve Herrod, CTO de VMware, a déclaré que l'un des objectifs majeurs était de simplifier la gestion pour les administrateurs informatiques. « Ils doivent gérer les personnes, et non les appareils, » a-t-il déclaré. Ce point de vue a trouvé un écho auprès de l'Université McMaster de Hamilton, Ontario, qui a procédé à un important déploiement de produits VMware il y a 18 mois. Comme l'a déclaré Michael Curwin, directeur de l'information et des services technologiques au sein de l'Université, l'établissement a décidé de ne plus déployer d'ordinateurs de bureau traditionnels sur le campus. « Pour l'instant, nous sommes dans une phase de transition, c'est à dire que nous avons maintenu un certain nombre de postes de travail. Mais désormais, nous pouvons délivrer un desktop virtuel à une machine traditionnelle, et nous pouvons également livrer une VM sur un iPad, ou sur tout type d'appareil mobile choisi par l'utilisateur pour accéder à son environnement de travail, » a déclaré le directeur de l'information. « Je crois que la fin des postes de travail traditionnels est proche. En ce qui nous concerne, nous avons décidé de ne plus déployer de machines de bureau traditionnelles. Cela n'a tout simplement plus de sens pour nous, y compris sur le plan financier. »
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VMware View 5 fait partie des offres qui soutiennent cette tendance. La nouvelle version de l'outil de virtualisation de bureau et de gestion de VMWare apporte les améliorations promises en termes de bande passante, de support pour les images 3D, d'intégration des communications unifiées et de personnalisation de bureau virtuel avec gestion individualisée. VMware Horizon a également été mis à jour pour permettre à son moteur qui gère les identités, la politique et la conformité, de travailler avec des applications Windows virtualisées et de se connecter à des espaces de travail mobiles. Horizon comporte aussi un outil de gestion et de déploiement d'applications, et un autre permettant de déployer les applications virtualisées personnelles d'un utilisateur vers un dispositif tournant sous Android. Grant Aitken, vice-président de VMware pour le Canada, a conseillé aux entreprises de mettre en route des stratégies pour définir ce que le Cloud pouvait apporter à leur activité, et quelles mesures elles devaient prendre pour y arriver. « Cela vaut aussi bien pour une solution en interne, en externe ou une combinaison des deux, » a précisé Grant Aitken. « Ensuite, il faut qu'elles adaptent les éléments nécessaires de leur business plan. Cela signifie la virtualisation du plus grand nombre de leurs applications existantes, comme elles le souhaitent, et aussi rapidement qu'elles le désirent. »
Attention à la nature du terminal
Alors que VMware s'emploie à libérer les responsables informatiques du casse-tête du point d'accès, grâce à une virtualisation indépendante du périphérique, et alors que le PC traditionnel pourrait bientôt devenir minoritaire parmi le nombre d'appareils connectés à Internet, la nature du terminal est loin de devenir indifférente aux administrateurs informatiques, selon Michelle Warren, analyste principal de MW Research & Consulting, basé à Toronto. « La nature du terminal est encore plus pertinent aujourd'hui, » selon elle. « L'iPad a changé le marché, mais les tablettes existent depuis quelques années. Nous avons eu aussi ces tablettes informatiques avec stylet, il y a plus longtemps encore. Le changement vient de la manière dont nous les utilisons», a estimé l'analyste. « Si l'appareil utilisé n'avait pas d'importance, nous aurions tous la même machine et nous l'utiliserions tous de la même manière. Mais l'utilisateur attendra toujours du responsable IT qu'il fasse en sorte de supporter son matériel, quel qu'il soit. »
Recap été 2011 (juillet) : Google+ entre en scène, Pas de crises pour les entreprises IT, Florilèges sécuritaires
Le mois de juillet 2011 loin d'être climatiquement le plus chaud, aura été très actif sur le plan de l'IT. Rachat, résultats financiers, sécurité, réseaux sociaux, mobilité, plusieurs acteurs ont animé ce début d'été.
Naissance et succès de Google+
En jouant la modestie, Google a présenté au début de l'été son réseau social, baptisé Google+. Ce dernier se démarque entre autre de Facebook en catégorisant les personnes qui vous suivent dans des cercles et en refusant les pseudonymes. L'inscription se fait par invitation. A peine lancé, ce service a connu un fort succès au point que même les entreprises ont souhaité s'y inscrire. Paul Allen, co-fondateur de Microsoft avait prévu que la barre des 20 millions d'abonnés serait atteinte si Google ouvrait les inscriptions. Ce dernier garde néanmoins cette politique et travaille sur l'amélioration du service et sur la mise en place d'un service pour les entreprises, le marketing et même pour les jeunes.
Rachats et résultats financiers records
Sur le plan des acquisitions, la plus marquante a été celle de Pillar Data par Oracle. Le dernier spécialiste du stockage virtualisé tombe dans l'escarcelle de la firme de Larry Ellison, principal actionnaire de Pillar. On notera également le rachat de Force10 Networks, spécialiste du réseau par Dell. Beaucoup d'analystes penchaient plutôt sur un rachat avec Brocade.
Côté finance, les entreprises IT ne connaissent pas la crise en affichant des résultats trimestriels ou annuels record. Apple avait ouvert le bal en flirtant avec la 1ère place mondiale en termes de capitalisation boursière. Les ventes d'iPad et d'iPhone ont été un succès au point que la firme de Cupertino détrône Nokia sur le marché des smartphones. Par ailleurs, la sortie de Mac OS X Lion affichait un million de téléchargements dès le premier jour de commercialisation. Google, EMC, Microsoft ont déjoué les pronostics des analystes en publiant des résultats supérieurs aux prévisions. Même Intel échappe à l'érosion du marché des PC.
Botnet, Barack Obama, Jailbreak iPad 2
La sécurité ne prend pas de vacances et le web a vu l'arrivée d'un botnet coriace sous le nom de TDL-4. Il a réussi à infecter près de 5 millions de machines. Il combine réseau public de P2P et chiffrement propriétaire pour ses communications entre les ordinateurs infectés et les serveurs d'instruction. Autre fait, un compte twitter d'une chaîne de télévision américain a été piratée et a annoncé la mort de Barack Obama. Elle s'est excusée, mais des interrogations sont apparues sur la sécurité du site de micro-blogging. Le cloud a été aussi au coeur d'une polémique quand Microsoft a indiqué qu'il pourrait sur demande transférer des données de clients européens vers des sites soumis aux autorités américaines, en vertu du Patriot Act.
Enfin pour terminer, un hacker du nom de Comex a annoncé le déverrouillage des versions 4.3. d'iOS et donc de l'iPad 2 (en version 4.3.3 seulement) et propose après jailbreak un patch (disponible sur Cydia) pour corriger la faille dont il s'est servi pour craquer la tablette. Et que croyez-vous qu'il arriva, et bien Comex a annoncé récemment qu'il effectuait un stage chez ...Apple.
HP va produire un nouveau lot de Touchpad (MAJ)
HP a décidé de fabriquer davantage de TouchPad pour répondre à une étonnante demande, alors que l'entreprise avait d'abord annoncé qu' elle cesserait de produire ses tablettes sous WebOS. «Bien que nous ayons annoncé l'arrêt de la production de nos tablettes tactiles, nous avons finalement décidé d'en écouler un dernier lot pour satisfaire la demande », a indiqué Mark Budgell, un porte-parole de HP, dans un billet de blog. Le site du constructeur, actuellement indisponible, semble être surchargé, mais le billet de Mark Budgell a été publié partout ailleurs. Les nouveaux Touchpad seront commercialisées dans quelques semaines, mais l'on ignore le nombre exact d'unités qui sortiront d'usine : «Nous ne pouvons pas promettre que nous en aurons assez pour tout le monde », a précisé le porte parole du constructeur.
(...)
La tablette d'Amazon promise a un bel avenir selon Forrester
Sarah Rotman Epps, analyste chez Forrester, spécialiste du marché des tablettes multimédia, écrit dans le blog de sa société : "Dans un an, 'Amazon' sera synonyme de 'tablette Android', un très puissant challenger pour l'iPad." En s'adressant aux autres constructeur, elle ajoute : "si vous n'avez pas encore pris en compte la domination des tablettes Apple et Amazon dans votre stratégie de production, c'est le moment où jamais de le planifier et d'agir en conséquence."
Un potentiel énorme en fonction du tarif
Ces écrits sont d'autant plus étonnants que Jeff Bezos (PDG d'Amazon.com) n'a toujours pas levé le voile sur ses futures tablettes, et que tout n'est que spéculation. Pourtant, Sarah Rotman Epps l'affirme, "Si Amazon lance une tablette à moins de 300 dollars, elle pourrait se vendre entre trois et cinq millions d'exemplaires rien qu'au 4e trimestre 2011."
Aujourd'hui, l'iPad représente environ 70% des ventes de tablettes en Europe et 80% aux Etats-Unis, toujours selon Forrester.
Avec le récent succès de vente de la TouchPad, bradée par HP à 99 dollars aux Etats-Unis (99€ en France chez plusieurs enseignes), il devient désormais envisageable de concurrencer l'iPad, pourvu que les prix proposés soient inférieurs à la tablette d'Apple.
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