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(07/10/2010 18:11:42)

Ubuntu 10.10 dispo pour les netbooks, les PC de bureau et les serveurs

Canonical poursuit ses efforts pour diffuser sa distribution Linux Ubuntu sur les micro-ordinateurs. Avec cette version 10.10 disponible en téléchargement en 3 éditions Netbook, Desktop et Server, Canonical se pose en concurrent direct de Microsoft Windows. Selon l'éditeur 12 millions de postes de travail utilisent sa distribution Linux. Bien souvent avec Windows, il est vrai puisqu'il est très facile d'installer Ubuntu sur un PC sans faire de partition physique. « Nous sommes les leaders du marché de bureau sous Linux», a ainsi déclaré Steve George, vice-président du développement commercial de Canonical.

La version destinée aux netbooks dispose d'une interface graphique appelée «Unity» adaptée aux petits écrans. Le bureau Unity dispose de boutons pour lancer les d'applications et la recherche de fichiers dans les dossiers. «En fait [la version 10.10] est optimisée pour rendre l'utilisation d'Ubuntu beaucoup plus facile » précise Steve Georges. Cette mouture 10.10 supporte également les capacités multi-touch mais uniquement pour la gestion des fenêtres. Une extension à d'autres applications est en cours de développement selon le communiqué la firme.

L'édition Desktop met quant à elle l'accent sur l'installation du logiciel. Les principaux apports de la version pour poste de travail concernent la mise en place de la distribution et des logiciels intégrés en standard « «comme les navigateurs, la suite bureautique OpenOffice et Skype » précise Steve George. Canonical a aussi développé des services cloud spécifiques pour sa distribution avec Ubuntu One, une espace en ligne qui apporte une meilleure interopérabilité avec les plates-formes Google Android, Apple iPhone et Microsoft Windows. La mise en oeuvre d'Ubuntu One permet de partager et de synchroniser des fichiers, des contacts et des signets dans un espace en ligne offrant 2 Go de stockage.

Enfin, avec Ubuntu Server Edition 10,10, Canonical déclare qu'il sera plus facile de configurer et d'exécuter son système d'exploitation pour développer et déployer des clouds publics.

«Nous avons ajouté des fonctionnalités pour augmenter notre avance en matière de cloud public et combler l'écart entre les technologies hybrides et les ressources informatiques locales. La couche infrastructure reste la brique de base pour démarrer un cloud  et Ubuntu 10.10 possède tout les atouts pour permettre à l'Open Source d'être au coeur des projets », souligne Neil Levine, vice-président en charge des services entreprise chez Canonical.

Cette version 10.10 intègre certaines améliorations au niveau du noyau, plus d'options de configuration au moment du démarrage, et la possibilité d'exécuter une machine virtuelle Amazon en mode déconnecté avec KVM. Cette capacité permet aux utilisateurs de tester et de développer en local avant de pousser leur VM dans un cloud. L'outil de configuration Cloudlnit a été étendu pour permettre aux utilisateurs de choisir des options par défaut sur un nuage pour désigner un hôte et générer des clés privées SSH.
Les administrateurs disposent également d'une interface revue pour faciliter le déploiement de l'OS. La société lance également son programme serveur Ubuntu Cloud 10, qui permet aux utilisateurs d'essayer gratuitement pendant une heure Ubuntu Server 10.10 sur la plate-forme Elastic Compute Cloud d'Amazon.

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(06/10/2010 18:06:13)

Synergy 2010 : Citrix étend les bénéfices de la virtualisation avec XenDesktop 5

Aujourd'hui, à l'occasion de Citrix Synergy 2010 à Berlin, l'éditeur a dévoilé la dernière mouture de XenDesktop, sa solution de virtualisation pour postes de travail. La version 5 de la plate-forme améliore la simplicité d'utilisation et apporte davantage de ressources aux postes de travail virtualisés à la fois pour les utilisateurs finaux et pour les informaticiens. « Nous souhaitions apporter davantage de rapidité à notre offre afin d'accompagner la croissance des entreprises », a déclaré Mark Templeton, PDG de Citrix lors de la cérémonie d'ouverture. Le pari semble être réussi puisque les utilisateurs peuvent désormais achever l'installation de XenDesktop 5 en seulement 10 minutes. De plus, la console Desktop Studio simplifie la tâche des administrateurs dans la gestion des postes de travail virtuels. L'installation de nouveaux utilisateurs ne leur prendrait plus que quelques secondes. La solution proposée tire également partie de la console Desktop Director, en donnant aux départements informatiques un plus grand contrôle des postes de travail virtuels à travers l'entreprise, grâce à des informations en temps réel sur les usages, les statuts et niveaux de service.

Prise en compte des smartphones et des tablettes

La dernière version de l'outil de virtualisation supporte Microsoft System Center, ce qui autorise l'administration des applications sur des postes de travail virtualisés ou physiques. En outre, la plate-forme accepte désormais une plus grande palette de terminaux, des milliers de produits faits par d'autres (éditeurs ou constructeurs) et une génération complète d'applications web en mode SaaS (software-as-a-service). Elle étend notamment les bénéfices de la virtualisation à d'autres équipements comme les smartphones et ce, pour la première fois, leur donnant la possibilité de fonctionner en mode virtuel à travers l'hyperviseur Xenclient.. L'outil prend également en compte certaines améliorations avancées pour l'utilisateur, par exemple, la capacité d'utiliser à partir de tablettes mobiles, tels l'iPad d'Apple ou la PlayBook de BlackBerry, certaines applications qui n'avaient pas été développées au départ pour les écrans tactiles. Parmi les autres évolutions apportées à cette version 5, l'on notera des améliorations pour l'affichage HD (haute définition) notamment avec une bande passante faible.

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(30/09/2010 11:11:42)

Fedora 14 teste la virtualisation de bureau

Plus précisément, cette mise à jour sera la première à intégrer la totalité des Spice (Simple Protocol for Independent Computing Environments), autrement dit les infrastructures de bureau virtuel VDI (Virtual Desktop Infrastructure) de Red Hat. Ainsi, cette version bêta de Fedora permettra d'héberger des bureaux virtuels et de les rendre accessibles via le réseau. "À long terme, Spice permettra à Fedora de fournir une meilleure expérience utilisateur en matière de virtualisation de bureau. Dans le court terme, Fedora s'enrichit d'une intéressante technologie Open Source que de nombreuses personnes ont envie d'essayer," peut-on lire dans la documentation de Fedora.

En plus de Spice, Fedora 14 expérimente plusieurs autres technologies. Elle comprend par exemple le framework Meego qui permettra aux utilisateurs de tester l'interface Meego présente sur certaines tablettes tactiles. Elle inclut également une version de démonstration du logiciel Sugar CRM, ainsi qu'un ensemble d'outils de développement Sugar. Le logiciel fournit également des briques pour l'exécution du langage de programmation objet D, et une version bêta de Perl 6, surnommée Rakudo Star.

Fedora 14 sera également compatible avec le logiciel de gestion serveur à distance IPMI (Intelligent Platform Management Interface) d'Intel. Il comprend aussi la prochaine génération du gestionnaire de session Linux systemd, qui devrait être intégré par défaut dans la version 15 de Fedora. Le logiciel offrira enfin la version 4.5 de KDE et pourra exécuter le noyau Linux 2.6.35.

Une base de tests pour la distribution entreprise de Red Hat

C'est en 2003 que Red Hat a initié le programme Fedora, en fait une version Open Source de son OS RHEL, destinée à être utilisée pour tester de nouvelles fonctionnalités. Jusqu'à présent, selon Red Hat, plus de 20 000 personnes ont contribué au projet. Des portions de Fedora sont ensuite incorporées dans RHEL, ainsi que dans la distribution Linux d'Oracle, qui emprunte beaucoup à RHEL.

Comme avec n'importe quel logiciel en version bêta, Fedora souffrira probablement encore de quelques bugs, de sorte qu'il ne devrait pas être utilisé en production, au moins avant la version finale. Les développeurs espèrent que les utilisateurs feront remonter les bogues afin qu'ils puissent être corrigés.

La version finale de Fedora 14 devrait être livrée en novembre, juste avant un certain nombre de mises à jour de distributions Linux, dont Ubuntu 10.10 de Canonical, RHEL 6 et Debian 6, prévues pour la fin de l'année.

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(29/09/2010 11:40:04)

La Fondation Codeplex se rebaptise Outercurve

Créée à l'automne 2009 à partir du portail communautaire de Microsoft, la Fondation Codeplex cherche à prendre quelques distances avec son géniteur. Elle vient de changer officiellement de nom pour devenir la Fondation Outercurve. Paula Hunter, sa directrice exécutive, espère que cette modification dissipe un peu la confusion qui s'opère entre son organisation et Codeplex.com, le site de Microsoft hébergeant les projets Open Source de l'éditeur de Windows. « Nombreux sont ceux qui ont associé les activités de ce site aux nôtres et vice-versa », a-t-elle admis.

La Fondation CodePlex avait été constituée comme un relais entre les communautés Open Source et commerciales. Depuis, l'organisation à but non lucratif a cherché à s'écarter de l'influence de Microsoft en se mettant en quête de financement externe et en insistant sur sa neutralité vis-à-vis de la plateforme.

Paula Hunter rappelle que l'objectif de la Fondation consiste à favoriser la collaboration entre développeurs sur les projets Open Source, que ces développeurs soient des familiers du libre, qu'ils évoluent dans le monde des logiciels commerciaux ou, encore, au sein des entreprises. « Nous nous occupons de l'administration IT et de la supervision et les développeurs se concentrent sur le code associé au projet », explique-t-elle.

Une fondation toujours présidée par Sam Ramji

Toutefois, les racines même de l'organisation, tout autant que l'intérêt de Microsoft pour l'Open Source, ont toujours constitué un sujet de controverse. On a notamment reproché à la Fondation son conseil d'administration, jugé trop proche de Microsoft. Il est notamment présidé par Sam Ramji, désormais vice-président de la start-up Sonoa, mais qui fut jusqu'en novembre 2009 le patron Open Source de Microsoft. En mai, la Fondation a recruté Stephen Walli au poste de directeur technique, encore une fois un ancien collaborateur de l'éditeur.

Pour l'instant, CodePlex gère sept projets Open Source, parmi lesquels Ajax Control Toolkit, CoApp, ou encore Orchad, destiné à fournir des composants réutilisables pour la plateforme ASP.net. D'autres doivent être prochainement annoncés, a indiqué Paula Hunter.

Pour créer son nouveau nom, l'organisation a consulté la société bostonienne Protobrand, spécialiste des marques. La directrice exécutive de la Fondation Outercurve reconnaît que ce fut une tâche difficile. « Trouver une dénomination est devenu délicat ces temps-ci, souligne-t-elle. Il faut non seulement que le nom choisi n'ait pas été déjà déposé comme marque ou protégé par copyright, mais aussi que l'adresse web soit encore disponible. Outercurve convenait dans les trois cas et il sonnait bien.

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(27/09/2010 10:23:27)

OpenIndiana se pose en remplaçant de Solaris 11

Alasdair Lumsden, directeur général d'une société d'hébergement, EveryCity, est un des protagonistes du projet. « Nous avons utilisé Solaris 10 au sein de mon entreprise et Sun a commencé à facturer des suppléments pour la sécurité. Nous sommes donc passés à OpenSolaris, mais après le rachat d'Oracle, cela est devenu très cher. Alors, avec quelques personnes de la liste de diffusion, nous avons travaillé sur une version Open Source. » EveryCity a été utilisé pour l'hébergement, mais le projet reste un élément indépendant de son activité.

Alasdair Lumsden estime avoir bien anticipé l'abandon d'OpenSolaris. « Il y a un mois, une note de service à partir d'Oracle a été divulguée, révélant que l'éditeur arrêtait le développement d'OpenSolaris en se concentrant sur ses offres commerciales. ». Le dirigeant pense que le projet n'entre pas en conflit avec celui déjà existant Illumos, basé sur le noyau OpenSolaris. « Je vois des similitudes avec Linux dans la manière de diversifier les distributions comme Red Hat autour d'un même noyau. Il y aura aussi plusieurs distributions OpenSolaris » confirme-t-il avant d'ajouter : « OpenIndiana offre quelque chose de différent. Les autres projets tournent depuis longtemps autour de la question, mais notre projet a été spécialement conçu pour remplacer Solaris 11. ».

OpenIndiana utilise la licence CDDL pour construire son « système d'exploitation à partir du code source d'OpenSolaris ». Alasdair Lumsden a déclaré que le logiciel ne devrait pas faire face à plus de difficultés juridiques que Google avec Android. « Oracle n'a rien pour nous poursuivre », dit-il. « La seule chose qui nous préoccupait était le nom, car nous ne devions pas utiliser Solaris dedans. » conclut-il.

Le programme a été lancé la semaine dernière et a été téléchargé 2 000 fois dès le premier jour.

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(24/09/2010 11:24:17)

Citrix renforce son équipe en France

Directeur Général de Citrix France depuis mars dernier, Eric Lecoq hérite d'une dynamique enviable : l'éditeur a enregistré une croissance de son chiffre d'affaires de 35% au second trimestre 2010 et son objectif pour les trimestres à venir est de progresser systématiquement plus vite que le marché global de la virtualisation. De fait, Citrix doit embaucher, notamment dans l'Hexagone. L'équipe commerciale devra compter plus de 60 personnes d'ici la fin de l'année, contre 50 aujourd'hui. « Cela ne change rien à notre modèle de distribution, qui reste 100% indirect, affirme Eric Lecoq. L'objectif est plutôt d'apporter de nouvelles ressources à nos 180 partenaires certifiés. »

De fait, Citrix ne souhaite pas recruter davantage de partenaires, mais renforcer ses liens avec ses relais existants. « En France, nous travaillons avec toutes les entreprises du CAC 40 et, au niveau mondial, 1 613 sociétés du Global 2000 sont clientes de Citrix, précise Eric Lecoq. Le premier enjeu est donc de renforcer notre présence dans les moyennes entreprises. »

Une direction renouvelée

Arrivé chez Citrix au printemps, Eric Lecoq a travaillé dans l'édition logicielle depuis 20 ans, notamment chez Oracle ou BMC Software. Pour autant, les trois directeurs commerciaux qu'il vient de nommer sont issus des rangs de Citrix. Franck Risbec, ancien de RISC Technologies et de HP, était auparavant responsable des grossistes chez Citrix France : il devient Directeur Channel. Patrick Rohrbasser, jusqu'à présent en charge des régions, est promu Directeur Grands Comptes (le CAC 40 et les grandes administrations). Enfin, Karim Djamaï est nommé Directeur Mid-Market : il a notamment été responsable des alliances et du secteur Ile-de-France.

« La dynamique de ce marché est forte et nous devons être en mesure de renforcer nos parts de marché. Cela passe par des recrutements en interne, par un plus grand support de nos partenaires et par de nouveaux accords technologiques, tel que celui que nous passons avec Cisco, dont l'offre sera « Citrix ready », conclut Eric Lecoq.

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(23/09/2010 16:13:52)

Microsoft instille du calcul partagé dans Windows HPC Server 2008 R2

La dernière version de HPC (High Performance Computing) Server peut être gérée avec des outils Windows, et « s'inscrit dans la tendance qui vise à faire sortir le HPC de son statut d'infrastructures spécialisées pour les intégrer à l'ensemble du processus informatique de l'entreprise » a déclaré Kyril Faenov, directeur général du HPC Group chez Microsoft.  La mise à jour proposée peut prendre en charge des cycles de calcul sur des systèmes existants dans l'entreprise. « Le prochain Service Pack 1 mettant à jour HPC Server permettra également de l'associer à des cloud publics » a indiqué Microsoft. C'est l'administrateur système qui définit les paramètres indiquant quels cycles de calcul utiliser et décide si le processus s'effectue en arrière-plan ou s'arrête quand l'utilisateur tape sur son clavier. Les fonctionnalités sont similaires à celles du système Search for Extraterrestrial Intelligence, ou SETI@Home, qui sait utiliser la puissance de plusieurs millions d'ordinateurs là où elle est disponible pour effectuer ses calculs. Selon Kyril Faenov, le fait d'ouvrir cette possibilité à un produit basé sur Windows étendra le nombre d'utilisateur à cette technologie de puissance de calcul partagé. L'éditeur qui vise actuellement à étendre en priorité sa solution sur des clusters HPC de petites et moyennes entreprises pense que les entreprises et les gouvernements pourraient « devenir dépendants de ces systèmes de simulation et d'analyse à grande échelle ». Mais, même si HPC Server 2008 R2 est compatible avec des milliers de processeurs, Linux reste de loin le système d'exploitation dominant sur les ordinateurs très haut de gamme puisqu'il fait tourner 91% du Top 500 des super ordinateurs, laissant à peine 1% de part à Windows.

Intégrer le double boot


Selon Addison Snell, analyste chez Intersect360 Research, « la version mise à jour de HPC Server place Microsoft dans la bonne direction sur le marché du calcul haute performance. » Aujourd'hui, le constructeur Cray a déclaré que Windows HPC Server 2008 R2 serait disponible sur son supercalculateur Cray CX1 qui supporte à la fois les systèmes d'exploitation Linux et Windows. Le Cray CX1, qui coûte entre 25 000 et 100 000 dollars et accepte des processeurs pouvant accueillir jusqu'à 96 coeurs. La vitesse de calcul dépend de la configuration des processeurs et selon qu'ils utilisent ou non tous les accélérateurs GPU. « S'il utilisait des puces Intel, alors sa capacité de traitement serait probablement de l'ordre de 5 Tflops, » a déclaré Barry Bolding, vice-président de la division produit de Cray. Cette société a ajouté une capacité de double boot sur ces systèmes, car Barry Bolding indique que Microsoft a apporté à son logiciel des fonctionnalités qui rendent plus facile l'exécution de deux systèmes d'exploitation sur le même cluster. SGI, le concurrent de Cray, a également annoncé que son supercalculateur personnel Octane III ferait tourner Windows HPC Server 2008 R2.

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