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(28/09/2011 14:18:28)

IBM et 4 fondeurs engagent 4,4 milliards de dollars pour créer les puces de demain

Cinq fabricants de puces (Intel, IBM, Samsung Electronics, GlobalFoundries et Taiwan Semiconductor Manufacturing Co), regroupés dans un consortium baptisé Global 450, vont investir 4,4 milliards de dollars en recherche et développement dans l'État de New York au cours des cinq prochaines années, pour développer des technologies capables de graver des galettes de silicium (des wafers) de 450 millimètres, a déclaré le gouverneur de l'État Andrew M.Cuomo. Dans un discours webdiffusé, ce dernier a expliqué que cet investissement dans l'état de New York était en concurrence avec d'autres endroits dans le monde entier.

Déjà fortement implanté dans cette région, IBM s'est engagé à investir 3,6 milliards de dollars au total pour développer les prochaines générations de processeurs en technologie de gravure 22 et 14 nanomètres, a déclaré John Kelly, directeur d'IBM Research. Depuis 2000, IBM a engagé plus de 10 milliards de dollars dans l'état de New York, son plus gros investissement dans le monde entier, a déclaré John Kelly. Big Blue possède en effet de nombreux centres de recherche dans la région.

Une maitrise technologique cruciale

Le passage de 300 à 450 mm pour les galettes de silicium exigera un effort sans précédent dans l'industrie et la collaboration de principaux fondeurs de puces. Le projet New York est critique pour le nouveau consortium a déclaré Brian Krzanich, directeur général en charge de la fabrication et de l'approvisionnement chez Intel. Le fondeur de Santa Clara travaille déjà sur des fabs capables de produire des wafers de 450mm et compte sur les résultats issus des investissements consentis dans l'état de New York pour mettre en production ses futures usines dans la seconde moitié de la décennie. Intel a également décidé d'établir son centre 450 mm sur la côte Est à Albany pour renforcer sa participation au projet.


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Cet investissement conséquent permettra de conserver et de créer 6 900 emplois dans l'État de New York, dont 2 500 dans les nouvelles technologies, selon un communiqué publié par le bureau de presse du gouverneur. Aucune entreprise privée ne recevra de fonds publics dans le cadre de l'accord. Pour soutenir le projet, l'État de New York va investir 400 millions de dollars dans l'Université de New York (SUNY) et plus précisément dans le Collège des nanomatériaux et des sciences d'ingénierie (CNSE) à Albany. Les investissements de l'État dans le CNSE seront effectués sur une période de cinq ans.

Illustration principale : Wafer d'un diamètre de 300 mm, crédit photo Intel

(...)

(28/09/2011 12:22:02)

Une solution IBM pour gérer les places de parking dans les villes

« Les systèmes de gestion des villes sur les capacités de stationnement sont assez inefficaces », a déclaré Vinodh Swaminathan, directeur des systèmes de transport intelligents d'IBM. « Pensez à une place de stationnement comme un actif fiscal. Avec la possibilité d'analyser ces actifs, nous pouvons les gérer beaucoup plus efficacement » précise le dirigeant. En collaboration avec Streetline, société basée à San Francisco, qui propose des capteurs de distance, IBM a donc créé une plateforme. Les capteurs sont capables de déterminer si un espace de stationnement est occupé par une voiture. IBM fournit le logiciel d'analyse via un service cloud, qui agrège les données des capteurs pour comprendre comment les places de parking d'une ville sont utilisées au cours du temps.

Pour cette offre baptisée Smarter Parking Starter Kit, Streetline va intégrer deux capteurs pour chaque espace de stationnement. Le premier déterminera si une voiture occupe la place et le second lira le compteur, pour savoir si l'automobiliste a payé et pour combien de temps il reste au compteur. Les données collectées sont transmises à travers un réseau mesh sans fil. IBM utilise son logiciel de BI Cognos, pour analyser les données et générer des rapports et des statistiques visibles sur un tableau de bord et mis à disposition des autorités publiques. Big Blue a déjà intégré des rapports pré-définis, comme les recettes des parkings, l'efficacité opérationnelle des compteurs, calcul du temps d'occupation des places de parking ou cartographie des zones où les stationnements sont le plus utilisés. Les villes peuvent développer leur propre analyse en utilisant ces données. Ils pourraient ainsi optimiser les recettes des places de parking en appliquant une politique tarifaire plus adaptée. Ils peuvent anticiper la demande pour les places de parking et fournir des alternatives à proximité. Un tel système pourrait rendre les villes plus agréables pour les utilisateurs et les touristes.

A l'attention des automobilistes aussi.

Vinodh Swaminathan n'a pas révélé de prix pour le kit Starter Smarter parking, mais il se dit prêt à négocier les tarifs avec les villes qui souhaitent adopter ce système. Il a indiqué que ce programme fait gagner de l'argent aux villes grâce à la surveillance et la gestion de leurs espaces de stationnement. Plus tard, ce système pourrait aussi fournir des services plus avancés, comme la possibilité pour les utilisateurs d'étendre la durée de stationnement grâce à une application pour smartphone.

Côté automobiliste, ils peuvent bénéficier des données de Streetline via une application gratuite, appelée Parker, pour iOS et Android. Ce programme permet d'alerter le conducteur d'une place libre à proximité. (...)

(27/09/2011 14:21:32)

Oracle annonce un super serveur Sparc T4 disponible fin 2011

Comme à son habitude, Larry Ellison s'est montré particulièrement fougueux quand il est monté sur scène au siège d'Oracle pour annoncer ses produits. Il a commis plusieurs saillies qui ont fait rire la salle et indiqué qu'il est « impatient » de démarcher les clients d'IBM.

Le T4 est la dernière addition à la famille de processeurs Sparc développée par Sun Microsystems, qu'Oracle a acquis l'année dernière. Cette puce possède huit coeurs par processeur contre 16 pour le T3, mais chaque coeur fonctionne jusqu'à 3 GHz contre 1,65 GHz seulement pour le T3. Selon le CEO d'Oracle, cela donne au T4 des performances mono-thread cinq fois supérieures à son prédécesseur. Le Sparc T4 est disponible dès maintenant dans les serveurs lame et rack (de 16 000 à 160 000 $). Il sera également utilisé dans le Sparc SuperCluster T4-4, un système haut de gamme qui emmènera jusqu'à 128 coeurs dans un seul système de la taille d'un serveur rack.

Une plate-forme commune à Exadata

Oracle ne donne pas encore de tarif pour son SuperCluster dont il avait déjà commencé à parler l'année dernière. Pas de date de livraison ferme non plus, bien que John Fowler, vice-président exécutif d'Oracle Systems Group, a déclaré dans une interview à nos confrères d'IDG News Service que la machine sera disponible d'ici la fin de l'année. Sur certains points, elle sera similaire aux serveurs dédiés Exadata Database et Exalogic Elastic Cloud. Dans les trois cas, Oracle affirme qu'il a énormément travaillé sur les briques serveur, stockage et réseau pour optimiser les performances, et intégré ses logiciels sur ces plates-formes.

Mais alors que le système Exalogic participe à la bataille du middleware et que la machine Exadata se destine au marché de l'entreposage de données et du traitement transactionnel en ligne, le Sparc SuperCluster T4-4 a été conçu pour répondre aux besoins de l'informatique générale, y compris les applications standard de planification des ressources.

Jusqu'à 1024 coeurs avec huit racks

Le super serveur d'Oracle repose sur quatre noeuds de serveur Sparc T4, chacun avec quatre sockets pouvant accueillir des puces huit coeurs à 3 GHz, des commutateurs Infiniband, des systèmes de stockage ZFS, et une plate-forme Exadata. Il peut être acheté dans une configuration demi-rack , ou comme un rack complet avec 4 To de mémoire DRAM et jusqu'à 198 To d'espace de stockage. Jusqu'à huit racks (1024 coeurs donc) peuvent être reliés entre eux avec une image système unique, a encore précisé Larry Ellison,  « C'est une machine très importante ».

Illustration principale : Sparc SuperCluster T4-4 d'Oracle

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Certains des composants du SuperCluster semblent se chevaucher avec ceux de la machine Exadata Database. Mais ce serveur haut de gamme sera moins spécialisé dans le stockage de bases de données et proposera plus d'espace de stockage standard à la place. La puissance de calcul disponible sera également plus conséquente. « Vous pourrez ajouter plusieurs briques de stockage Exadata dans un rack en quelques secondes si vous le souhaitez ... mais le rack d'origine sera toujours moins équipé qu'un système Exadata pour favoriser le stockage général, l'objectif est de proposer une machine destinée à un usage plus général», a déclaré John Fowler (voir illustration ci-dessous) lors d'un interview avec nos confrères d'IDG News Service.



"Si vous allez juste travailler avec la base de données Oracle 11, Exadata est définitivement le produit qu'il vous faut. ... Mais si vous voulez exécuter PeopleSoft ou SAP ou des applications développées en interne dans le même cluster, vous pourrez le faire avec le SuperCluster, mais pas avec [la machine Exadata Database] », a-t-il dit. «C'est la façon la plus simple de souligner les différences ».

La compétition avec IBM est lancée

Larry Ellison a déclaré qu'un rack Sparc SuperCluster complet peut surpasser le serveur haut de gamme Power 795 d'IBM « d'une bonne longueur ». Lundi dernier, IBM a refusé de commenter ces prétentions. Le SuperCluster offre une bande passante de 42 Go /s pour le stockage et peut réaliser jusqu'à 1,2 million d'opérations par seconde en entrée / sortie a indiqué le bouillant CEO.

« Oracle est en train de proposer une plate-forme orientée hautes performances à la base installée de clients restés fidèles à Sparc et Solaris », a déclaré Dan Olds, analyste chez Gabriel Consulting. « Il y a toutes sortes de tests et de comparatifs entre  les serveurs IBM et les machines x86 les plus courants. Mais il reste à savoir si cela sera suffisant pour convaincre des clients de considérer à nouveau l'acquisition de matériel Sparc ». Le SuperCluster ambitionne de faciliter la mise à niveau des systèmes Sparc existants. Ce serveur haut de gamme sera livré avec Solaris 11, mais les clients pourront choisir d'exécuter Solaris 10 s'ils le préfèrent, selon John Fowler. Solaris 11 inclut toutefois certaines améliorations qui permettent de mieux gérer le nombre élevé de threads et l'importante bande passante en entrée/sortie.

L'avenir de Sparc semble assuré

Quand Oracle s'est porté acquéreur de Sun, plusieurs questions s'étaient posées quant à son engagement sur la plate-forme Sparc. Mais Larry Ellison en a fait la pierre angulaire de la stratégie de l'éditeur de Redwood, en construisant des machines chères, mais puissantes, qui combinent les technologies Sun et Oracle. La société dispose d'ailleurs d'une feuille de route pour sa famille Sparc avec un T5 dans les tuyaux. John Fowler ne désirait pas en dire beaucoup sur cette puce lors de sa rencontre avec nos confrères d'IDG NS, sauf qu'Oracle est en avance quant à son développement.

(...)

(27/09/2011 09:08:57)

Selon le Gartner, les services informatique à bas coût sont appelés à se développer

Selon le cabinet d'études, les responsables IT doivent désormais considérer l'adoption de services IT industrialisés à bas coût (ILCS pourIndustrialized low-cost IT services) afin d'accroître la compétitivité de leur département tout en conservant la maîtrise du risque, de l'intégration et de la personnalisation des services fournis. L'étude révèle d'ailleurs que la prise en compte de ce type de service, liée notamment à la nécessité de réduire les coûts, fait partie des priorités 2011 des responsables informatique interrogés.

Selon Claudio Da Rold, vice-président et analyste chez Gartner : «Il existe de nombreuses façons de réduire le coût d'un service IT et d'accroître la valeur de l'informatique. Toutefois, pour certains services de base, les modèles industrialisés low cost, plus efficaces et moins onéreux, vont peu à peu s'imposer.» Selon Gartner, ce secteur embryonnaire représentera plus de 30% des services IT et cloud en 2015, pour atteindre un chiffre d'affaires annuel de 177 milliards de dollars. Gartner note également que la combinaison entre services industrialisés et cloud présente un potentiel très intéressant pour offrir des services low cost.

Croissance annuelle de 30%

Selon l'étude, les services de messagerie électronique, pour lesquels des offres cloud très concurrentielles existent déjà, sont un secteur qui montre des signes clairs d'industrialisation. Autre exemple : l'utilisation de services d'infrastructures pour SAP (IU4SAP). Développés selon des principes industriels (standardisation, virtualisation, automatisation), ces produits offrent un service de bonne qualité à bas coût, et devraient atteindre un taux de croissance annuel de 30% ces trois prochaines années.

Gartner note toutefois que si le coût d'un service industrialisé low cost peut être nettement inférieur aux coûts internes, le coût total peut être bien plus élevé en fonction des efforts de customisation, d'intégration et de gestion du risque que l'entreprise doit consentir.

«A l'avenir, certains services informatiques resteront gérés en interne. Toutefois, les services industrialisés représentent l'avenir du secteur des services IT, car ils englobent tous les niveaux de la chaîne des valeurs: infrastructure, applications et processus business. Globalement, nous estimons que la situation de l'industrie des services IT est similaire à celle de l'industrie de l'aviation en 2000, et qu'elle désormais prête à subir une mutation en profondeur grâce au modèle ILCS», a indiqué Frank Ridder, vice-président de la recherche chez Gartner.

Crédit photo D.R.


ICTJournal.ch (...)

(26/09/2011 16:03:37)

Capgemini et EMC vont lancer une offre de stockage dans le cloud

Au cours des prochains mois, Capgemini et EMC vont proposer ensemble différents services à la demande dans le cloud, qui seront déclinés au niveau mondial. Le premier d'entre eux sortira courant 2012 et portera sur des solutions de stockage avec services associés. Cette offre, présentée sous le nom de « Storage as a service », comportera plusieurs « paliers de stockage » en fonction des besoins du client, expliquent les partenaires dans un communiqué, en précisant qu'ils ont développé une architecture de stockage commune et reproductible dont les coûts et les niveaux de service sont prévisibles. Elle reposera sur les systèmes haut de gamme VMAX et sur les baies VNX d'EMC (et non sur l'offre cloud Atmos pour le moment). La tarification de ces offres packagées n'est pas encore fixée.

Les entreprises disposeront ainsi de capacités de stockage sans avoir besoin d'anticiper leurs besoins, l'option cloud leur permettant en outre de réduire leurs coûts de possession. Ce faisant, Capgemini entend proposer des « prestations enrichies, différenciées et compétitives », indique Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial. Les deux sociétés rappellent qu'elles avaient déjà réalisé ensemble, en 2002, un service de stockage assorti d'une facturation à l'utilisation.

Plus tard, une offre « Messaging as a service »

Dans le cadre de cet accord de cinq ans entre Capgemini et EMC, d'autres services dans le cloud doivent suivre, dans les douze à dix-huit mois. Déjà baptisé « Messaging as a service », le suivant s'appuiera sur les logiciels de messagerie de Microsoft. Sur ce terrain, une autre SSII française, Atos, a indiqué la semaine dernière qu'elle lançait une offre de cloud privé pour le secteur public autour des services de messagerie Office 365, de Microsoft.
Les services dans le cloud élaborés en commun par Capgemini et EMC seront principalement disponibles en France, en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques, ainsi qu'en Chine et au Brésil.

Illustration : Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial (crédit : Capgemini) (...)

(26/09/2011 15:21:54)

GDrive, le stockage en ligne pour Google Docs se précise

Selon cette photo, il semblerait que Google Drive se présente comme un dérivé de Google Docs, où les internautes peuvent déjà aujourd'hui stocker des documents. Il pourrait même y être totalement intégré. Ce qui fait peu de doute, c'est que le service sera accompagné d'un logiciel de synchronisation, à installer aussi bien sur un ordinateur que sur des appareils mobiles, à l'image de ce que propose déjà Dropbox par exemple.

Une forte concurrence


Aucune information en revanche n'a filtré sur une date de lancement ou sur la capacité de stockage alloué, gratuit et payant. Google permet déjà de sauvegarder 1Go de données gratuitement et 25 Go pour 5 dollars par an. Sur le marché du « cloud », l'éditeur va se retrouver confronté à de nombreux rivaux, à commencer par Apple qui, via son application iCloud, propose déjà à ses abonnés 5Go d'espace gratuit (et plus, en mode payant), mais aussi à Amazon.

Quoi qu'il en soit, Google Drive sera une étape primordiale pour imposer auprès du grand public Chrome OS, dont la philosophie est de dématérialiser à la fois les programmes et les données.

Illustration: Photo prise par le bloggeur Johannes Wigand

Crédit Photo: D.R

(...)

(23/09/2011 15:12:54)

Diablo, mise à jour majeure pour l'architecture cloud OpenStack

La mise à jour de la plate-forme cloud Open Source OpenStack enrichit le logiciel d'une interface graphique revue et d'un système unifié de gestion des autorisations. Comme l'a déclaré Jonathan Bryce, président de la fondation OpenStack Project Policy Board, l'objectif de cette version était de « rendre OpenStack facile à utiliser et à administrer. » Les développeurs ont aussi continué à apporter des améliorations pour les infrastructures Cloud de grande taille. « Nous ne parlons pas ici d'utiliser OpenStack pour faire tourner un cloud de 100 ou même de 1000 serveurs, mais de dizaines de milliers de serveurs. Même si certaines options ne sont pas encore à cette échelle ». Au total, cette version nommée Diablo comprend plus de 70 fonctionnalités et améliorations.

Parmi les nouvelles fonctions, plusieurs sont adaptées aux infrastructures de très grande taille. Le logiciel présente un planning distribué pour le déploiement de machines virtuelles partout au niveau du système, même si les noeuds sont dispersés dans différents datacenters à travers le monde. Une fonction de synchronisation de conteneur multi-cluster peut être utilisée pour répliquer les données entre différents clusters distants. La gestion des images disques permet désormais aux utilisateurs de rechercher des instances de machines virtuelles spécifiques, une fonctionnalité qui peut s'avérer très pratique pour les fournisseurs de service qui ont un nombre important de clients à gérer.

Un projet développé à l'origine par la NASA

D'abord développé par la NASA dans le cadre de son projet Nebula Cloud Project, OpenStack est un ensemble de logiciels Open Source capable de faire tourner des installations cloud de grande envergure. Rackspace, l'hébergeur qui participe au programme, prévoit aussi de proposer des déploiements OpenStack dans ses propres services. OpenStack est constitué de trois composants : OpenStack Compute, OpenStack Object Storage et OpenStack Image Service. Selon la fondation, à ce jour, la pile logicielle a été téléchargée plus de 50 000 fois. La plateforme de trading latino américaine MercadoLibre, qui sert plus de 58 millions d'utilisateurs, utilise le logiciel. Walt Disney et le CERN (l'Organisation européenne pour la Recherche nucléaire), aussi.

L'interface utilisateur de Diablo, en grande partie développée par Nebula, un fournisseur de service OpenStack, permet aux administrateurs de gérer le provisionning des ressources via un portail. Dans les versions précédentes d'OpenStack, les administrateurs devaient contrôler le logiciel en utilisant des lignes de commande, ou à l'aide de leurs propres programmes par le biais d'une API OpenStack. « Le nouveau tableau de bord avec l'interface graphique est téléchargeable séparément, mais il peut être facilement branché à la pile logicielle, » a expliqué Jonathan Bryce. Essex, la prochaine version d'OpenStack, intègrera directement l'interface graphique dans son programme.

Intégration avec Active Directory

Le logiciel dispose également d'un système de gestion unifié des identités, appelé Keystone OpenStack, lequel peut relier les différents systèmes d'authentification précédemment déployés pour des composants autonomes. « Le système vient remplacer les choix d'authentification existant dans l'architecture OpenStack, » a déclaré le président de l'OpenStack Project Policy Board. « Il offre une signature unique pour tout. » Il peut également s'intégrer à des systèmes d'annuaires externes, comme Microsoft Active Directory ou d'autres systèmes d'authentification basés sur LDAP (Lightweight Directory Access Protocol). Comme OpenStack DashBoard, Keystone est disponible en téléchargement indépendant, et sera intégré dans la prochaine version du logiciel Open Source. Enfin, OpenStack Quantum, une fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de configurer des réseaux virtuels au moyen d'une API, est également disponible en téléchargement séparé.

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(21/09/2011 15:45:26)

16 apps Android utiles aux informaticiens (2e partie)

9 - Android VNC-Viewer (gratuit)

Si vous préférez le VNC pour les connexions de bureau à distance, si la configuration du routeur ne vous pose pas de problème, et si vous disposer d'adresses IP statiques ou un nom d'hôte DNS dynamique, alors vous pouvez envisager de vous tourner vers ce petit client VNC open source. Celui-ci supporte les connexions VNC avec la plupart des serveurs VNC sous Windows, Linux et Mac OS X, aussi bien en WiFi que via un réseau mobile.

Contrairement au client Wyse PocketCloud, cette appli n'affiche aucune publicité et offre la fonction de zoom pincée gratuitement. En contrepartie, celui-ci ne sait pas sécuriser vos connexions automatiquement. Pour cela, il faudra recourir à une autre application, comme ConnectBot, pour crypter la connexion à l'ordinateur/serveur auquel vous souhaitez accéder à distance.

http://market.android.com/details?id=android.androidVNC


10 - Spiceworks Mobile
(gratuit)

Si votre entreprise utilise la solution de gestion informatique Spiceworks, vous pouvez utiliser ce client pour voir votre réseau et faire l'inventaire des PC, traiter les tickets de maintenance, communiquer et gérer les utilisateurs, grâce au support d'Active Directory. Vous pouvez également communiquer avec d'autres administrateurs de la communauté Spiceworks pour demander un feedback, trouver de l'aide ou rechercher des informations.

https://market.android.com/details?id=com.spiceworks&feature=search_result


11 - ActiveDir
Manager (gratuit ou 1,99 dollar)

Vous travaillez avec Active Directory dans votre entreprise ? Alors l'appli ActiveDir Manager est incontournable. Celle-ci vous permet de voir et de gérer les utilisateurs, les groupes et les ordinateurs directement depuis votre terminal sous Android. Elle vous permet aussi de réinitialiser les mots de passe utilisateur, de désactiver ou de modifier les comptes, de valider les adhésions à des groupes, et d'effectuer d'autres tâches d'administration ordinaires. ActiveDir Manager supporte Windows Server 2000 et suivant, avec StartTLS, SSL, ou aucun cryptage. L'application peut se connecter directement au serveur Active Directory en VPN via WiFI ou réseau cellulaire. Seule différence entre les versions gratuite et payante : cette dernière permet d'enregistrer les paramètres et les options de connexion LDAP.

https://market.android.com/details?id=net.bealsystems.ADUserManager


12 - WiFi Analyzer
(gratuit)

Si vous utilisez le WiFi au sein de votre entreprise, vous aurez peut-être envie de vous faire aider par cet outil d'analyse pour établir les points d'accès, vérifier l'utilisation des canaux, résoudre les dysfonctionnement liés au WiFi, ou vérifier la sécurité du réseau sans fil. Celui-ci permet notamment d'afficher et d'exporter les détails relatifs aux points d'accès : SSID, adresse MAC, cryptage, canal utilisé et niveau du signal en dBm, le tout sous forme de barre graphique avec légende. Vous pouvez voir les canaux sous forme graphique, avec chaque point d'accès et le niveau du signal en temps réel, et avoir accès à un historique récent. L'outil effectue un classement des canaux et donne des recommandations sur les plus performances. Un visualiseur de signal permet aussi de trouver les points d'accès.

https://market.android.com/details?id=com.farproc.wifi.analyzer&feature=search_result

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13 - SharesFinder
(gratuit)

Cette appli cherche les serveurs Windows (SMB), FTP et HTTP partagés sur le réseau auquel vous êtes connecté en WiFi. Cela peut s'avérer utile si vous essayez d'accéder à des fichiers sur le réseau ou à l'occasion d'un audit de sécurité. Pour chaque serveur/dossier partagé détecté, vous verrez les adresses IP et l'adresse pour le contrôle d'accès au média, le nom SMB, et le nom du vendeur.

L'appli permet également les opérations ordinaires de transferts de fichiers et de gestion de fichiers SMB distants, notamment la création et la suppression des fichiers et des dossiers. Il est possible de se connecter anonymement ou à l'aide d'un nom d'utilisateur et un mot de passe. En ce qui concerne les ressources HTTP, SharesFinder utilise le navigateur Internet. Pour les ressources FTP, vous pouvez vous connecter via un client FTP tiers, comme AndFTP.

https://market.android.com/details?id=com.scan.places


14 - Overlook Fing
(gratuit)

Si vous effectuez un quelconque travail sur le réseau de votre entreprise, cette appli est incontournable. Elle sait faire du scan de port TCP, envoyer des pings, effectuer du traceroute, et rechercher des DNS sur un réseau Wi-Fi. Elle peut également afficher des informations détaillées (SSID, informations sur les IP, vitesse) sur la connexion Wi-Fi active.

Il est possible de voir et d'exporter les coordonnées (adresse MAC, IP et fournisseur) de chaque ordinateur ou périphérique détecté sur le réseau, lesquelles sont personnalisables avec un nom, une icône ou des notes. Vous pouvez également effectuer un scan de ports ou envoyer des pings à  un ordinateur ou un périphérique particulier. L'appli peut aussi lancer des applications clients tierces pour le SSH, Telnet, le FTP, le FTPS, le SFTP, le SCP, le http, le HTTP sécurisé et le SMB.

https://market.android.com/details?id=com.overlook.android.fing


15 - RouterPasswords
(gratuit)

Encore un must-have pour tous ceux qui travaillent avec les équipements réseaux : une simple base de données qui contient les informations de connexion et d'identification par défaut de  plus d'un millier de routeurs, de passerelles, de modems et autres éléments réseaux. Même s'il est possible de trouver ces éléments en ligne, RouterPasswords permet un accès hors ligne rapide à ces informations. Il suffit de taper le nom du modèle ou de la marque du matériel, et l'appli liste les éléments correspondants.

https://market.android.com/details?id=net.davidgouveia.routerpasswords


16 - Linux Commands
(gratuit)

Si vous utilisez Linux, sans être un expert de la ligne de commande, cette appli est vraiment une mine de référence, puisqu'elle répertorie plus de 500 commandes Linux facilement accessibles. Il suffit de sélectionner une commande pour en voir la syntaxe, la description et toutes les options relatives. Vous pouvez même noter vos commandes favorites et les afficher au démarrage, en plus de pouvoir y accéder manuellement. On peut certes trouver ces mêmes informations en ligne, mais l'appli offre un accès hors ligne très appréciable.

https://market.android.com/details?id=com.dekryptedit.LinuxCommands


Pour consulter les huit autre apps pour Android, cliquez sur ce lien

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