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Emploi
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(26/10/2010 11:40:57)
La Cnil rappelle les règles liées à la cybersurveillance des salariés
En effet, tous les dispositifs de cybersurveillance des salariés doivent faire l'objet d'une part d'une déclaration à la CNIL, comme n'importe quel traitement nominatif sans dispense, d'autre part d'une information des salariés. Dans l'affaire dont il est question, une entreprise employant un coursier avait installé un dispositif de géolocalisation de son véhicule de service. Or ce dispositif n'avait pas fait l'objet des formes obligatoires : il n'avait pas été déclaré à la CNIL et le salarié n'avait pas été informé de son existence et de ses modalités.
C'est donc sur la base de relevés illégaux que l'employeur avait licencié le coursier, coupable d'usage personnel de son véhicule de service, pratique interdite par note de service de l'employeur. Les preuves illégales ne pouvant pas être invoquées, le licenciement a donc été déclaré sans cause réelle et sérieuse par le Conseil des Prud'hommes et confirmé par la Cour d'Appel saisie. La CNIL s'est réjouie de cette nouvelle jurisprudence qui renforce celle établie depuis des années.
Les freelances IT tributaires des intermédiaires
iDirect.fr, en partenariat avec l'association professionnelle des informaticiens Munci, livre les résultats d'un sondage sur la sous-traitance mené auprès de freelances du secteur informatique. L'enquête a été conduite, du 11 au 16 octobre 2010, auprès des adhérents de iDirect, des consultants indépendants ayant une ancienneté moyenne de cinq ans et demi. L'étude montre d'abord que les missions sont majoritairement obtenues au travers d'un intermédiaire (66,46%).Il peut d'agir de SSII qui n'ont pas dans leurs salariés le profil demandé ou d'entreprises commerciales n'effectuant que du placement de freelances.
Puis viennent les cas de double-intermédiaires (16,31%), des missions obtenues sans aucun partenaire (15,37%) et enfin de celles effectuées avec plus de deux partenaires (1,86%).
Une marge de 27,48% pour les intermédiaires
Le sondage révèle également que les freelances sont parfois présentés à l'entreprise cliente comme étant des salariés de SSII (35,73% des cas). Mais dans la majorité des cas, le donneur d'ordre sait que le consultant est un indépendant revendu par une société tierce.
Enfin la marge moyenne des intermédiaires est de 27,48%, selon les freelances. Toutefois iDirect.fr émet une réserve sur ce point. La société indique que les indépendants n'obtiennent jamais copie du contrat client, qu'ils n'ont souvent qu'une affirmation verbale d'un agent commercial qui n'a aucun intérêt à faire connaître sa marge réelle. Le nombre de réponses à 20%, ratio souvent présenté comme standard, est d'ailleurs important, considère iDirect.fr, puisqu'il représente un tiers des réponses. Ces 27,48% en sus du prix freelance correspondent à un peu plus de 21% du prix payé par l'entreprise cliente.
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Apec 2010 : la reprise de l'emploi IT se confirme
Dans l'informatique, neuf entreprises sur dix ont recruté au troisième trimestre 2010, contre huit sur dix au troisième trimestre 2009. C'est ce qu'indique la note de conjoncture trimestrielle publiée aujourd'hui par l'Association pour l'emploi des cadres. Les prévisions de recrutements progressent en outre de 4 points et, pour 58% des entreprises de la high-tech, le volume de recrutement des cadres est plus élevé par rapport à l'an passé : dans l'informatique, 21% des entreprises ont ainsi prévu de recruter des cadres au cours du quatrième trimestre 2010.
Forte demande pour des profils systèmes, réseaux et données
S'agissant du volume des postes à pourvoir par secteur, l'informatique fait encore une fois partie des domaines où les hausses se sont fortement accélérées depuis le début de l'année. Dans l'IT (qui représente 23% de l'ensemble des offres d'emploi des cadres au global), la progression du nombre d'offres s'est maintenu à un haut niveau : + 67% au cours du troisième trimestre 2010, soit 20 147 annonces publiées par l'Apec au cours de cette même période, après + 69% enregistré au deuxième trimestre 2010. S'agissant des offres par fonction, c'est une fois encore l'informatique, avec 3 offres sur 10, qui enregistre l'une des hausses les plus élevées avec + 91%. La plus forte demande de cadres se situe dans le domaine des système, réseaux, données (+ 93%) et dans celui de l'informatique de gestion (+ 87%). L'Apec précise, par ailleurs, que 69% des entreprises qui ont embauché au troisième trimestre indiquent avoir engagé des jeunes diplômés.
Une offre IT pour 29 candidatures
Dans la filière high-tech, une offre a attiré en moyenne de 29 candidatures Toutefois, cette catégorie aurait amorcé un mouvement de baisse. Enfin, 71% des recruteurs IT déclarent qu'il leur a été difficile de trouver des candidats adaptés au poste, dont 16% « très difficile ». L'Apec souligne qu'il faut mettre en relation ce jugement avec le fait que le nombre moyen de candidatures par offre a reculé pour cette fonction.
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Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft
L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.
L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.
Une réorganisation fatale
Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.
L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.
Crédit Photo : D.R
(...)(19/10/2010 11:17:33)Monster réitère ses journées virtuelles de recrutement
Monster, spécialiste de la gestion de carrière en ligne, lance la troisième édition des Monster edays, ses journées virtuelles de recrutement. Jusqu'au 29 octobre, les candidats peuvent postuler en ligne et de façon interactive, avec les entreprises 24h/24 et 7j/7, partout en France ou à l'international. Grâce à des vidéos intégrées aux annonces, ils ont la possibilité de découvrir, de l'intérieur, l'environnement de travail des recruteurs. Des chats (vidéo et texte), faisant office d'entretiens d'embauche, autorisent la communication en direct avec des responsables d'entreprises de différentes agences régionales. Des outils permettent également aux employeurs de suivre les visites et les candidatures sur le stand et d'accéder à la base de CV qualifiée de Monster. « A la différence des salons traditionnels, cette formule permet aux exposants de toute région d'être visibles sur un plus grand laps de temps », expose Laurence Bricteux, directrice du marketing chez Monster, et d'ajouter : de leur côté, les postulants peuvent envoyer leurs questions quelque soit l'endroit où ils se trouvent, se promener dans les allées, visualiser les stands des exposants, postuler aux offres, et rebasculer à tout moment vers notre site d'offres d'emploi. »
Accéder à des candidatures de qualité
Cette année, la manifestation, qui compte sur 110 000 visiteurs uniques, accueille une quinzaine d'entreprises de tous les secteurs, dont celui de l'IT, représenté par des éditeurs (Cegid, Microsoft, NeoSoft), des SSII (Cella, CSC) et des fabricants de périphériques sans fil pour téléphonie mobile (comme Parrot). Au menu, des postes couvrent différents profils correspondant à tous niveaux d'expérience et de qualification, en région parisienne, en province, comme à l'étranger. Pour CSC, il s'agit de la seconde participation. "Nous souhaitions renouveler l'opération car elle nous a permis d'accéder à des candidatures de qualité que nous n'avions pas pu toucher par la voie des petites annonces", témoigne Sophie Vandermeersch, responsable du recrutement chez CSC. Pour elle, cette formule établit également un lien de proximité avec les candidats, au travers des chats, ce qui n'est pas possible lors des salons traditionnels, du fait d'un fort afflux de visiteurs.
La SSII compte donc sur le côté interactif de la manifestation pour l'aider à réaliser 500 embauches d'ici la fin de l'année, dont une majorité de profils expérimentés pour des postes situées en Ile-de-France. "Etre présent sur ce type de salon revient moins cher - soit entre 5 000 à 15 000 euros NDLR- que de passer par un cabinet de recrutement", considère la représentante de CSC. "Cette formule a également pour avantage de renforcer notre visibilité et d'attirer des candidats qu'on n'a pas l'habitude de toucher", indique t-elle.
Restait la formation à l'outil, seule ombre au tableau lors des précédentes éditions. Cette année, l'accompagnement semble avoir été réalisé bien en amont par Monster. "Un tour d'horizon sur les nouveautés proposées dans le cadre de cette édition a été effectuée" précise Sophie Vandermeersch. Plusieurs heures ont notamment été consacrées au fonctionnement des stands, aux questionnaires adressés aux candidats et à la mise en ligne de témoignages.
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Le marché de l'emploi IT devrait se stabiliser en 2010
Cadremploi et Keljob, spécialistes de la gestion des carrières sur Internet, ont organisé hier une conférence de presse intitulée « La reprise du marché de l'emploi est-elle durable ? » Les débats ont été précédés par une introduction sur l'état du marché en France. Ils ont révélé que, même si le chômage a augmenté dans l'IT, dans le même temps le nombre d'offres d'emploi publiées sur Internet a progressé depuis les sept derniers mois, après 20 mois consécutifs de baisse. La dernier indicateur d'emploi publié par l'Apec indiquait ainsi qu'en août dernier, la fonction high-tech représentait 28% des offres d'emploi cadres, soit 7 805 annonces IT sur un total de 24 800. En chiffres cumulés, sur douze mois glissants (c'est à dire sur la période de septembre 2009 à août 2010, par rapport à la période de septembre 2008 à août 2009), la progression des annonces concernant les cadres informaticiens a atteint 25%.
Répondre au développement de l'informatique embarqué
Selon Cadremploi et Keljob cette situation s'explique majoritairement par la mobilité, et en particulier celle des cadres. Eve Royer, responsable des ressources humaines d'Assystem, société de conseils et d'ingénierie a fait savoir pour sa part que son entreprise comptait recruter 900 collaborateurs en 2010, et que 650 embauches avaient déjà été réalisées depuis le début de l'année. « Ces niveaux de recrutement s'expliquent surtout par le dynamisme de deux secteurs, celui de l'énergie nucléaire, où la visibilité d'Assystem est forte et celui de l'automobile, du fait du développement de l'informatique embarquée. » a-t-elle déclaré. Dans cette SSII, 90 % de ces recrutements représentent des créations nettes d'emploi, et 10 % visent à répondre au départ de collaborateurs qui ont démissionné. Dans la grande majorité des cas, les personnes recrutées le sont en CDI. Assystem prévoit également de réaliser 1 200 embauches en 2011, dont 80 % de cadres et d'ingénieurs, en CDI.
Des recrutements en hausse de 10% selon le Syntec
De son côté Eric de Saqui de Sannes, DRH de Sogeti et représentant de Syntec Informatique, a indiqué que les prévisions du Syntec faisaient état d'une progression de 10 % des embauches entre 2009 et 2010, à environ 26 000 contre 24 000. Il a estimé que les effectifs devraient donc rester stables, alors que 3 500 emplois avaient été détruits l'année dernière. Sogeti a réalisé 944 embauches, en France, depuis le début de l'année. Entre 1 150 et 1 200 recrutements seront réalisés sur l'ensemble de 2010. La SSII envisage également d'intégrer 1 500 collaborateurs en 2011, dont 80 % de cadres, et 40 % de jeunes diplômés. Un plan destiné aux jeunes, qui vise notamment au développement des contrats d'alternance sera mis en place. Le DRH de Sogeti considère enfin que le développement de l'activité liée aux systèmes informatiques qui servent au fonctionnement des réseaux sociaux sera sans aucun doute porteur pour les acteurs de l'informatique.
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Attention à votre profil dans les réseaux sociaux
Si les réseaux sociaux sont considérés comme un outil de recrutement additionnel, quel usage les managers en charge des recrutements en font-ils concrètement ? Une étude conduite par Robert Half montre que les DRH européens n'hésitent pas à vérifier le profil d'un candidat via Google, Facebook ou Linkedin. Les plus enclins à le faire sont les Allemands (75%) suivis par les Néerlandais (72%) et dans une moindre mesure les Français (51%), les Belges (42%) et les Luxembourgeois (39%). Le cabinet a donc décidé de donner quelques conseils aux candidats qui pourraient connaître quelques déboires professionnels via ces outils. Considérant que les réseaux sociaux permettent de rejoindre des groupes de personnes exerçant la même profession, le cabinet recommande, en premier lieu, de les utiliser avant tout pour partager des discussions. Robert Half conseille également aux internautes de pratiquer la sélectivité, dans la mesure où ce sont les membres d'un réseau qui en font sa qualité et sa force.
Les réseaux sociaux personnels font partie de la sphère privée
Le cabinet préconise aussi de gérer avec soin les informations de son profil, d'inclure des « mots-clés » qui aideront à le trouver sur la Toile et également d'éviter les renseignements trop personnels sur les réseaux professionnels. Enfin Robert Half suggère aux postulants de ne pas hésiter à rediffuser des informations pertinentes vers d'autres sites et d'effectuer régulièrement un audit pour s'assurer que les informations privées ne soient pas accessibles à la sphère professionnelle
De leur côté, les recruteurs doivent s'interdire la consultation des réseaux sociaux personnels (Facebook, Copainsdavant...), y compris pour identifier ou entrer en contact avec de nouveaux talents. Les données à caractère personnel ne devant être prises en compte en aucune façon, y compris lorsqu'elles apparaissent sur des réseaux sociaux professionnels. En théorie...
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Provemploi 2010 : accéder à plus de 6 000 offres IT en région
Provemploi, le salon de l'emploi et des projets en région, ouvrira ses portes demain à l'Espace Champerret de Paris. Pour sa huitième édition, ce rendez-vous annuel de la mobilité réunira une centaine d'exposants, des groupes
nationaux, des PME régionales, des cabinets de recrutement et également des SSII comme Sogeti, Sopra Group, Logica, Apside, Unis, ou encore Groupe Open.
5 000 visiteurs sont attendus sur le salon, des profils de niveau Bac+2 et Bac+5, pour la plupart. Ils pourront accéder à un total de 20 000 offres d'emploi, dont 25% concernent le secteur informatique.
Des contacts pour créer ou reprendre une entreprise
Des réseaux de franchise proposeront aux visiteurs des dizaines de concepts à développer en régions. Les collectivités locales (agglomérations, conseils régionaux, conseils généraux), fortement représentées, exposeront, en parallèle, leur cadre de vie mais aussi leurs opportunités professionnelles en termes d'emplois, de création et également de reprise d'entreprises. Un village baptisé « Projets en Campagne » accueillera tout particulièrement les porteurs de projets en milieu rural. Des sociétés de portage salarial aideront également les candidats qui souhaiteraient travailler à leur compte, en province. Enfin, des professionnels de la mobilité et de l'installation seront disponibles pour aborder les aspects purement logistiques, comme le déménagement, le logement et l'intégration une fois sur place.
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Apec : les jeunes diplômés IT 2009 victimes de la crise
Au printemps 2010, soit environ 8 mois après leur sortie du système éducatif, 64% de la promotion 2009 des Bac + 4 et plus étaient en emploi, soit une baisse de 4 points par rapport à la promotion 2008. Ce recul est constaté dans toutes les disciplines, mais à des degrés différents. Ainsi, les plus fortes chutes de taux d'emploi sont observées dans des disciplines à orientation scientifique comme celles des sciences de l'ingénieur, aussi bien dans l'informatique et les télécoms, que dans les technologies multimédia.
Dans ces filières, 70% des jeunes diplômés de 2009 étaient en poste, contre 80% en 2008 et 91% en 2007. Si ce recul peut être mis en relation avec celui de la production industrielle, le comportement des diplômés des écoles d'ingénieurs n'y est pas étranger. Cette population est plus exigeante quant à la qualité de l'emploi occupé (intérêt des missions, salaire, statut de cadre...), et elle n'hésite pas à s'accorder un délai de recherche plus long pour trouver l'emploi correspondant à ses attentes
90% des jeunes diplômés décrochent un travail suite à leur stage de fin d'études
Comme chaque année, on constate une différence assez nette selon la nature du diplôme. : 64% des jeunes diplômés de 2009 issus d'écoles d'ingénieurs étaient en poste, contre 59% d'universitaires Parmi les jeunes en emploi dans le secteur privé qui expriment le souhait de travailler dans le secteur public, on note davantage de jeunes issus des filières transversales comme l'informatique (54%) D'ailleurs, ils sont une grande majorité (87%) à travailler dans des entreprises privées. L'étude indique, par ailleurs, que 86% des jeunes diplômés issus des filières informatique, télécoms, et technologies multimédia ont un statut de cadre. La quai totalité (90%) ont trouvé un emploi à la suite de stages effectués dans le cadre de leur cursus de formation. Enfin le salaire moyen d'un jeune informaticien diplômé la promotion 2009 atteignait les 31 400 euros
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