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Emploi
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(17/11/2010 15:02:05)
Indicateur Apec : les offres IT ont augmenté de 50% depuis un an
L'indice mensuel de diffusion des offres d'emploi online à destination des cadres, publié aujourd'hui par l'Apec, a bondi de 87 points dans la filière IT au cours du mois dernier. De la même manière, l'indicateur mensuel, qui suit les évolutions du marché par fonction, montre une augmentation du volume des annonces à destination des informaticiens. En chiffres cumulés, sur douze mois glissants, la progression des offres concernant les cadres de la high-tech s'est établie à +51%. Sur octobre 2010, la fonction a totalisé 9 656 annonces, pour un volume global de 92 803 offres cumulées sur douze mois. La catégorie « Informatique de gestion » reste celle qui regroupe le plus grand nombre de postes, avec 3 416 offres confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 38 079 annonces comptabilisées au cours des douze derniers mois (+ 46%).
Compétences web et technologies Internet toujours en hausse
Suivent les « Systèmes réseaux et données », avec 2 128 offres publiées sur le site de l'association en octobre 2010 et 17 423 annonces diffusées sur la période de novembre 2009 à octobre 2010 (+49%). La demande concernant les compétences en technologies Internet et autour des sites web continue d'évoluer fortement, avec une hausse de 541% enregistrée au cours des douze derniers mois. Autre fonction marquée par une forte progression : les directions informatiques qui ont crû de 100% soit 2 028 postes à pourvoir.
A l'inverse, les compétences en « Maitrise d'ouvrage et fonctionnel » sont celles qui ont affiché la plus faible évolution au cours des douze derniers mois (+9%, pour 8 566 annonces).
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Baromètre HiTechPros/CIO : Le marché de l'emploi freine sa baisse
Pour ce mois d'octobre, les catégories techniques les plus demandées n'ont toujours pas changé. En effet, les compétences les plus recherchées restent : « Nouvelles technologies » (27 % des demandes), « Systèmes, réseaux, sécurité » (27 % des demandes) et « Consulting Expertise » (14 % des demandes). La demande de la catégorie « Systèmes, réseaux, sécurité » prend la place de premier ex-æquo avec « Nouvelles technologies » depuis deux mois, ce qui signe une remontée importante.
Les plus fortes hausse de la demande sont d'ailleurs, en premier lieu, ce même « Systèmes, réseaux, sécurité » (+56 %) suivi de « Mainframe » (+25 %) et « Recette, support utilisateurs » (+6,8 %). A l'inverse, les compétences techniques affectées par les baisses de la demande les plus importantes ce mois-ci sont tout d'abord les PGI (-37,8%), les « Nouvelles technologies » (-21,5%) et enfin le « Clients serveur » (- 18,9 %).
Pour Syntec numérique, la reprise de l'emploi est modeste mais visible
Rebaptisé Syntec numérique, la fédération professionnelle des éditeurs, SSII et sociétés de conseil en technologies confirme la retour progressif à la normale sur le front de l'emploi. Le secteur renoue avec la création nette de postes en 2010, sous l'effet du redémarrage de l'activité et de la reprise du turnover. 35 000 recrutements sont attendus (dont 26 000 cadres IT) en 2010 pour un total de 3 000 à 5 000 créations nettes d'emploi. « Le secteur a vécu une année 2009 catastrophique », a rappelé Philippe Tavernier, président de la Commission sociale, emploi et formation chez Syntec numérique, à l'occasion de la conférence de presse semestrielle du syndicat professionnel, et d'ajouter: « on peut à présent parler d'une reprise modeste, mais visible. Certes, nous sommes loin des années 2008, période au cours de laquelle 40 000 recrutements avaient été réalisés. Mais, en 2009, les entreprises ont beaucoup freiné l'emploi, surtout au cours du second semestre et il faut un certain temps afin de relancer le processus.»
8 entreprises sur 10 pensent embaucher un cadre IT
En outre et pour 63% des entreprises interrogées, les création nettes d'emploi étaient à la hausse en 2010. Elles sont restées stables pour 31% d'entre elles et en baisse pour 5%. Un peu plus de la moitié des PME (56%) ont revu leurs prévisions à la hausse, alors que pour 42%, les créations nettes de postes se sont stabilisées. Seules, pour 6% des entreprises de taille moyenne, les créations nettes d'emploi ont reculé en 2010.
Le secteur des activités informatiques emploie actuellement 370 000 collaborateurs, dont 246 000 cadres, ce qui le positionne parmi les premiers recruteurs en France même en période de creux
S'agissant des intentions de recrutement, au quatrième trimestre 2010, huit entreprises sur dix envisagent d'embaucher un cadre informaticien, soit quatre points de plus par rapport à la même période l'année passée.
Une offre sur trois pour les jeunes diplômés
« Globalement, deux postes de cadres IT sur trois restent difficiles à pourvoir et des tensions se font sentir sur certains domaines comme le cloud ou le SaaS », précise Philippe Tavernier. Selon ce dernier, les profils de consultants, de chefs de projet et d'architectes informatiques restent difficiles à trouver, surtout ceux qui ont de réelles compétences lingistiques. Par ailleurs, les perspectives sont tout particulièrement dynamiques pour les jeunes diplômés. « Sur 20 000 offres de cadres IT, une sur trois concerne ce type de profils », a noté Pierre Lamblin, directeur des études et recherche à l'Apec. D'après lui, la recherche d'emploi reste néanmoins difficile pour les jeunes, même s'ils sont mieux lotis que d'autres. « Environ sept sur dix parviennent à trouver un emploi dans le secteur high-tech, car ils sont en concurrence avec les promotions de 2009 et 2008. » Syntec numérique a également publié ses prévisions 2011 pour les logiciels et services.
Illustration: Philippe Tavernier, président de la Commission sociale, emploi et formation chez Syntec numérique. Crédit photo: Syntec numérique
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Baromètre Keljob : les offres d'emploi augmentent dans la filière IT
Le volume des offres d'emploi sur Internet retrouve le niveau du début de la crise. C'est ce que montre l'indice de mesure des annonces diffusées sur Internet et publiées par le site d'emploi Keljob.com. Avec une augmentation de 22% par rapport à novembre 2009, le baromètre de novembre 2010 (indice à 249) confirme la tendance à la hausse du nombre des postes à pourvoir sur la Toile dans toutes les professions. Selon Keljob, on approcherait du niveau de novembre 2008, période au cours de laquelle l'indice était à 253.
Sans surprise, la filière informatique et télécoms fait partie du top 5 des secteurs les plus porteurs avec un indice en hausse de 30%.
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Meilleure progression en région Rhone-Alpes
L'amélioration du marché de l'emploi se vérifie sur l'ensemble des régions, qui sont toutes en progression. La région Rhône-Alpes se démarque en affichant le meilleur volume d'offres, toutes professions confondues et la plus forte progression par rapport à novembre 2009. Dans cette région, l'indice de mesure se situe à 248, soit une hausse de 52%. Suivent l'Ouest (indice à 199, + 42 %), l'Ile-de-France (indice à 226, + 39%), l'Est (indice à 209, +32%) le Sud-Ouest (indice à 238, +31%). En queue de peloton on retrouve les régions Nord / Picardie (indice à 186 +25%), le Sud-Est (indice à 235 +21%), et enfin les DOM TOM (indice à 247, +12%.
Viveo France - Temenos : Le CE assigne de nouveau la direction en référé
Le litige qui oppose les représentants des salariés de l'éditeur de logiciel Viveo France à la direction, suite au rachat de ce dernier par le groupe suisse Temenos, connaît un rebondissement. Le jeudi 28 octobre, le Comité d'entreprise a assigné pour la seconde fois la direction devant le Tribunal de Grande Instance de Paris dans le cadre d'un recours en référé. Cette procédure intervient quelques mois après l'annonce d'un plan de restructuration visant à supprimer plus d'un tiers des effectifs de Viveo France (soit 64 postes sur un total de 180 salariés). «Ce qui distingue ce recours par rapport au précédent qui avait été engagé début juillet, c'est qu'au cours de l'audience du 16 septembre, la demande avait été focalisée sur l'amélioration des conditions d'accompagnement des salariés licenciés, alors que celui-ci est centré sur les irrégularités de procédure », explique la CGT dans un communiqué.
La première demande de suspension avait été rejetée
Dans son ordonnance du 30 septembre dernier, le juge avait rejeté la demande de suspension de la procédure, formulée par le comité d'entreprise, en raison du nombre de candidats au départ volontaire qui était largement supérieur au nombre de postes à supprimer prévus dans le cadre du plan social. Le juge avait alors considéré que, dans ce contexte, la suspension de la procédure paraissait préjudiciable aux candidats volontaires.
Constatant de nombreuses irrégularités dans la conduite du PSE qui dure depuis plus de neuf mois, le comité d'entreprise a demandé au tribunal de juger illicite la procédure de licenciement économique collectif en cause et d'ordonner en conséquence sa suspension jusqu'à sa parfaite régularisation.
L'audience a été fixée par le tribunal pour le jeudi 4 novembre au Palais de justice de Paris.
Un inspecteur des finances devient patron de l'informatique de la Caisse des Dépôts
Jean-Jacques Delaporte, 62 ans, énarque, est devenu conseiller du directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations. Il a effectué toute sa carrière au sein du groupe, de ses filiales et de son partenaire historique les Caisses d'Epargne, notamment à des postes financiers ou dans des structures financières. Il était devenu DSI de CDC Ixis en 2000 lors de la création de cette entité mais, en 2002, il était devenu directeur des services bancaires et titres de la même société. Il était revenu à l'informatique en 2004 en prenant son poste de directeur général d'Informatique CDC.
Un DSI formé à l'ENI
Comme son prédécesseur, Maurice Sissoko n'est pas un informaticien de formation. Issu de l'administration des impôts, il est diplômé de l'Ecole Nationale des Impôts. Après une carrière classique bien qu'au déroulé particulièrement rapide, il est devenu en 2001 inspecteur des finances. Il a notamment une expérience de la lutte contre la fraude fiscale dans le secteur financier. Il a intégré le groupe Caisse des Dépôts en 2005, en tant que directeur des prêts et de l'habitat à la direction des fonds d'épargne.
En 2008, il était devenu directeur du pôle service d'Icade, la filiale immobilière de la Caisse des Dépôts. A seulement 44 ans, il devient donc directeur général d'une DSI groupe filialisée d'un ensemble d'entités totalisant plus de 71 000 salariés et consolidant environ 2 milliards d'euros de bénéfices annuels et 19 milliards d'euros de fonds propres.
Crédit photo : D.R.
Open recrute 700 informaticiens en 2011
Après avoir intégré plus de 330 collaborateurs depuis le début de l'année, la société de services informatiques Open poursuit le rythme de ses recrutements. Pour accompagner ses clients grands comptes, l'entreprise ouvre 700 postes en 2011 sur tout le territoire national et également en Belgique et au Luxembourg. Les candidats diplômés d'écoles d'ingénieurs, de commerce ou d'universités ayant des compétences très ciblées sont les principaux profils recherchés. Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs d'études, ingénieurs concepteurs, ingénieurs systèmes / réseaux, administrateurs de bases de données, architectes fonctionnels et techniques, urbanistes, concepteurs fonctionnels, consultants en management junior et senior, chefs de projet et directeurs de projet.
Cooptation, réseaux sociaux, journées portes ouvertes
Dans ce cadre, la maîtrise des technologies suivantes est recherchée: .Net, Java/J2EE, Android, Iphone, FPGA, VHDL, C++, Oracle, Unix, Business Object, Informatica, Quality Center, systèmes Unix, Windows, et des doubles compétences autour de Java et des mainframes. Pour attirer un maximum de candidats, Open prévoit de développer des actions de cooptation, de renforcer sa présence sur les réseaux sociaux et également sur ses journées « portes ouvertes » Open Job Day. La SSII compte également échanger avec des candidats potentiels à travers des chats. Elle entend aussi communiquer grâce aux partenariats noués avec des grandes écoles tout en maintenant bien sûr les réseaux classiques de recrutement (CV, salons, sites d'emplois) qui demeurent les plus efficaces.
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La frilosité gagne les jeunes informaticiens des Mines
Dans un secteur économiquement morose, le placement des ingénieurs IT des Mines de Nantes reste globalement bon : 94% des diplômés de la promotion 2009 sont en activité contre 76,4% au niveau national (source enquête 1er emploi de la Conférence des Grandes Ecoles). « Le taux net d'emploi des jeunes informaticiens se maintient », commente Emmanuelle Michel, responsable des relations entreprises et stages aux Mines de Nantes, et d'ajouter : « mais la poursuite des études croît de manière significative, avec une augmentation du nombre de thésards.» De plus, un étudiant sur deux intègre l'entreprise où il a effectué son stage de fin d'études.
Augmentation sensible des CDD
« Avant la crise, les élèves prenaient davantage de risques en postulant auprès de sites institutionnels comme l'Apec ou de portails d'entreprises », note la représentante de l'école des Mines qui considère que les candidats sont devenus plus frileux. Autre fait notable : le taux d'embauches à durée déterminée (CDD) a augmenté de façon sensible. C'est, à l'évidence, une conséquence directe de la crise économique qui se traduit par la frilosité des entreprises, même si taux de CDI signé par les diplômés des Mines de Nantes reste à un niveau élevé (85%). Sur le plan de la rémunération, les jeunes diplômés de l'informatique sont cependant encore gagnants : en deux ans, le salaire moyen d'un jeune informaticien des Mines est passé de 34 800 € à plus de 35 000 € alors qu'il a diminué d'environ 2% au niveau national.
Illustration: l'école des Mines de Nantes. Crédit photo: D.R
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L'Isep mise sur une pédagogie orientée projet
Approche par compétences, pédagogie par projet, coupure dans l'enseignement. Tels sont les temps forts de la réforme du cycle ingénieur engagée il y a deux ans par l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris). «Nous avons décidé de revoir l'ensemble de la pédagogie afin de mieux motiver les futurs ingénieurs, favoriser leur insertion professionnelle et renforcer leur efficacité dès leur entrée sur le marché du travail », expose Michel Ciazynski directeur général de l'Isep. Ainsi, les cours, les travaux dirigés et pratiques ont été en partie remplacés par une méthode basée sur l'apprentissage par projets, alors que l'ancien modèle était basé sur l'utilisation de connaissances théoriques.
Des parcours qui se substituent aux options
A l'Isep, les étudiants sont les acteurs principaux dans la construction de leurs connaissances et le développement de leurs compétences. Réunis en petits groupes, ils travaillent sur des projets à caractère professionnel, s'inspirant d'une réalité industrielle, avec un semestre en informatique et un autre en électronique et signal. : Autre pan de la réforme : une logique orientée « parcours », qui remplace celle des options : à présent, le tronc commun se limite à la première année et les élèves peuvent ensuite choisir un parcours parmi ceux qui figurent au programme et qui intègrent un ensemble de modules dans quatre domaines techniques : informatique, réseaux et télécoms, électronique, signal et image.
L'Isep a également choisi d'appliquer une « coupure pédagogique », pont entre la fin de la classe préparatoire et l'entrée en cycle d'ingénieurs qui aide les jeunes à se familiariser rapidement avec le monde de l'entreprise et avec les différents métiers de l'informatique. Durant le mois de septembre, les 200 élèves de première année sont sensibilisés aux différents domaines de l'ingénierie. Pour découvrir les métiers et compétences qui s'y rattachent, des conférences métiers proposent des témoignages d'ingénieurs en poste, et des conférences thématiques sur différents sujets. Une trentaine de visites d'entreprises sont également organisées par l'Isep, chaque élève effectuant entre trois à cinq visites, en groupe de sept à trente, encadré par un professeur.
Des stages en entreprise dès la seconde année
L'autre évolution majeure du cycle ingénieur réside aussi dans l'introduction de parcours à visée professionnelle à partir de la seconde année, qui débute par un stage en entreprise de quatre à six mois. Dix parcours standards sont proposés aux élèves en informatique, traitement du signal et de l'image, électronique,, télécommunications et réseaux. A l'arrivée, élèves et entreprises semblent plutôt satisfaits. «L'apprentissage par la pratique s'inscrit parfaitement dans notre coeur de métier », souligne Annie Meheust, DRH de Capgemini FSGBU (Financial services global business) France. « Nous travaillons effectivement tous en mode projet, aussi bien en informatique que dans les fonctions de support », considère-t-elle. Selon la DRH, l'approche projet dispensée par l'Isep permet de disposer de candidats à la fois autonomes et « agiles », capables de s'adapter aux évolutions technologiques et également au contexte multiculturel.
Sarra Ghaib, élève de l'Isep en 3ème année raconte : « J'ai pu avoir accès à un tout un panel de métiers IT, dans différents secteurs d'activité, comme le conseil, le bâtiment, ou encore l'énergie. En seconde année, j'ai choisi la formule de l'alternance, en suivant parallèlement des cours en marketing, finance, comptabilité et conduite de projet, et j'ai finalement su que je voulais créer ma propre société. » De son côté Charles Couraud, étudiant en première année, se réjouit de la coupure pédagogique proposée par l'établissement. «Outre la découverte des différents métiers du secteur IT, le fait de travailler en groupe est plus motivant », estime le jeune homme qui indique vouloir se diriger vers l'univers des réseaux et des télécoms. D'après lui, il n' y aurait pas d'absentéisme grâce à ce mode d'apprentissage en mode projet.
Illustration : Elèves du cycle ingénieur de l'Isep. Crédit photo : Cédric Helsy.
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