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Développement
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(19/02/2009 17:39:51)
Police scientifique cherche experts informaticiens
On peut être informaticien et rêver d'intégrer la police scientifique. Ceux qui se sentent l'âme d'un expert pourront tenter leur chance en passant les concours pour obtenir le titre d'ingénieur de police technique et scientifique de la police nationale. Seul bémol, les places proposées cette année par le ministère de l'Intérieur sont limitées à onze. Sept postes d'informaticiens seront ouverts par la voie du concours externe ; les candidats intéressés devront s'inscrire avant le 6 mars (cachet de la poste faisant foi) pour participer aux épreuves. Pour les candidats souhaitant concourir en interne, où quatre postes sont à pourvoir, la date limite d'inscription a été fixée au 2 mars. Profil recherché : un diplômé en informatique qui maîtrise notamment les bases de données (Oracle, MySQL, PostgreSQL...) et possède des connaissances dans les langages C, Java, PHP, Visual Basic ou autres. (...)
(19/02/2009 17:04:51)Delphi et JBuilder accessibles à la demande
Les nostalgiques des outils de développement de Borland tels que Delphi ou JBuilder vont pouvoir se réjouir : Embarcadero, qui les a rachetés en mai 2008, les propose en ligne, au sein d'une offre de distribution originale. Embarcadero All-Access inclut tous les outils de développement et de gestion de bases de données de l'éditeur, l'accès à ce portefeuille (plus de quarante en comptant les éditions différentes des logiciels) étant soumis au paiement d'une seule licence. L'éditeur a prévu quatre niveaux de membres, du Bronze (pour les développeurs ou administrateurs de bases de données isolés) au Platinum (pour les architectes et autres responsables de projets d'entreprise). Selon le niveau de membre et le type de licence retenu (au développeur nommé, au jeton...), chacun pourra puiser dans ce portefeuille les produits qui le concernent. La principale innovation est cependant seulement en train de se mettre en place. Embarcadero prévoit de rendre l'ensemble de ses outils accessibles en utilisation à la demande, directement depuis le Web, grâce à sa technologie InstantOn. D'ici à fin 2009, tous les outils devraient pouvoir ainsi s'utiliser sans installation en local. Embarcadero avait obtenu Delphi, C++ Builder ou encore JBuilder lors du rachat - pour 23 M$ - de Codegear, une entité autonome où Borland avait regroupé ses outils de développement. L'éditeur de JBuilder s'était rendu à cette solution après avoir vainement tenté de les vendre en 2006. Confronté au succès grandissant d'Eclipse, Borland avait décidé de concentrer ses efforts sur le marché de la gestion du cycle de vie des applications. (...)
(19/02/2009 15:05:07)Selon Intel, d'ici à 2012, un serveur sur quatre sera installé dans un méga-datacenter
Intel affirme que, d'ici à 2012, entre 20% et 25% des serveurs se trouveront dans des "méga-datacenters". Aujourd'hui, toujours selon Intel, ce type de sites ne représente que 10% du marché. Pour Intel, ces méga-datacenters sont ceux de grands acteurs comme Google, Amazon, Microsoft, les opérateurs telcos/Internet et les fournisseurs de services web 2.0 comme SalesForce. Sous l'effet de la crise, tous devraient connaître une forte augmentation de demandes d'externalisation ou de sous-traitance de la part d'entreprises en quête d'optimisation des coûts. Ces prédictions d'Intel préparent le terrain pour l'annonce imminente de ses premiers processeurs Nehalem pour serveur. Fondés sur la même architecture que le Core i7, ils constituent une rupture technologique qu'il convient de justifier en ces temps de vaches maigres. Capacité de traitement unique comme pour un processeur multicoeur Aujourd'hui, les datacenters qui déploient des environnements virtualisés - premier pas vers une architecture en cloud - optent le plus souvent pour des serveurs rack biprocesseurs milieu de gamme plutôt que pour des machines dernier cri. Les prix de ces bipro bénéficient d'une forte concurrence entre les constructeurs. Dans l'espoir de relancer le marché, Intel fait reposer sa stratégie "cloud computing" sur ses Nehalem. Le fondeur promet des plateformes optimisées pour s'insérer dans des datacenters où les serveurs seraient conçus pour être gérés en "pool", vus comme une capacité de traitement unique comme l'est un processeur multicoeur aujourd'hui. Il fait miroiter un ensemble de serveurs capable de réallouer dynamiquement leurs ressources pour optimiser la répartition de la charge de traitement. Willowbrook, carte-mère moins gourmande et prête pour la virtualisation Intel a aussi levé le voile sur "Willowbrook", une carte-mère conçue par ses soins qui ramène de 110-115 watts la consommation en veille d'un serveur Nehalem à moins de 85 watts. Promise pour la fin mars, elle sera dotée de fonctions dédiées à la virtualisation, tout particulièrement pour les entrées-sorties. Intel met en avant Virtual Machine Device Queues (VMDq), qui décharge l'hyperviseur dans ce domaine et souligne le rôle que pourrait jouer le bus PCI Express (PCIe) dans la virtualisation des périphériques d'entrées-sorties. Dans un datacenter, dont la taille serait telle que les coûts de personnel s'effaceraient devant l'ampleur de ceux des équipements, Intel estime que 75% des coûts de fonctionnement proviennent du coût de l'infrastructure (pour 50%) et de la consommation électrique (pour 25%). Pour un tel site dont les ressources serveur sont uniformisées autour de processeurs Nehalem, Intel identifie plusieurs sources d'économie au niveau des infrastructures. 57% proviennent d'une optimisation du code, autrement dit, d'une gestion fine des ressources en fonction de la charge, 23% sont dégagées par une amélioration de la consommation, 17% de serveurs aux cartes-mères optimisées et 3% de la conception du datacenter. (...)
(18/02/2009 13:01:37)Deux nouveaux documents de travail sur HTML 5
Le W3C (World Wide Web Consortium) a publié deux nouveaux documents de travail sur la version 5 d'HTML, en développement depuis 2004. L'un sur HTML 5 proprement dit, l'autre sur les différences entre cette version 5 et la version 4. Compatible avec le code de la version 4 (figée en 1997), la version 5, qui a vocation à réunir les extensions XML d'HTML 4 (XHTML 1) ainsi que les API JavaScript dans un même référentiel, est fortement orientée vers la structuration des documents et l'intégration d'éléments multimédia. Sur ce dernier point, il doit intégrer la fonction Canvas pour l'intégration de graphiques en 2D. (...)
(17/02/2009 15:49:09)Mozilla propose un espace de développement en ligne
Avec leur projet Bespin*, les Mozilla Labs veulent mettre en mode cloud un framework collaboratif de développement. L'éditeur de code, accessible par un navigateur, utilise des fonctions de la version 5 de HTML dont Canvas, pour apporter aux développeurs un environnement de travail comparable à la bureautique avec les Google Apps. Outre les possibilités habituelles, le système intègre aussi une gestion de projets. Objectif : permettre des sessions d'édition de code en temps réel entre plusieurs développeurs. Bespin 0.1 s'appuie aussi sur Ubiquity, interface en langage naturel pour accéder aux ressources du Web. Pour l'instant, cette offre reste en devenir. Il lui manque en particulier l'espace de collaboration. La vidéo explicative sur la page d'accueil du projet donne, en une dizaine de minutes, une bonne idée de l'envergure du projet et de ses effets sur la façon de développer. (*) Bespin est une planète gazeuse évoquée dans la Guerre des étoiles (L'Empire contre attaque), sur laquelle se trouve la "cité des nuages". (...)
(16/02/2009 18:02:28)Techdays'09 : Le développement logiciel peut lui aussi être vert
Oui, il est possible de réduire la consommation électrique en étant plus attentif lors de l'écriture des applications. C'est ainsi qu'Eric Mittelette, responsable du groupe développeurs de la division plateforme d'entreprise chez Microsoft France, a entamé sa session « développement d'applications vertes » aux Techdays'09 de Microsoft qui se sont tenus la semaine dernière à Paris. Tenant davantage du credo que de la méthode, sa déclaration était néanmoins inspirée par plusieurs expériences de développement réalisées wattmètre en main. Plus que de grandes leçons d'algorithmique et de programmation, il a fourni des pistes pour une programmation plus raisonnable. Ainsi le responsable Microsoft donne un premier conseil aux futurs développeurs verts : se munir d'un wattmètre pour mesurer la consommation des différentes versions de logiciel qu'ils écriront. « Sans mesure on ne peut rien faire », assène-t-il. Il suffit de brancher son PC sur l'appareil de mesure et de jauger la consommation des différentes versions de programmes en exécution. Equipé de la sorte, le développeur dispose aussi de plusieurs outils fournis par l'éditeur pour étudier la consommation des logiciels. Ainsi, dans Seven, l'utilitaire Xperf lance, en ligne de commande, un diagnostic de la consommation du système. Une fois arrêté, il génère un fichier d'informations concernant directement le noyau. Il indique par exemple les points chauds au niveau du processeur ou de l'activité du disque, etc. Powercfg, lui, crée un rapport appelé energy-report qui liste tous les problèmes de consommation identifiés au niveau de la machine et de son système. « On voit que le périphérique USB n'est pas entré en veille quand on l'a demandé, par exemple, indique Eric Vernié, chargé de la relation technique avec les développeurs. Ce document peut aussi signaler que la batterie est en mauvais état. » La parallèlisation n'est pas toujours une solution Wattmètre branché sur un portable, les deux responsables Microsoft ont procédé à plusieurs démonstrations de l'impact de certains changements au sein du code sur la consommation énergétique. Ainsi, Vista seul consomme 40 watts. Mais l'affichage d'une fractale de Mandelbrot, image issue d'un algorithme mathématique, fait monter le compteur jusqu'à 51 watts. En parallèlisant le programme pour un fonctionnement sur deux coeurs, la consommation descend à 43 watts en moyenne mais avec un pic à 56. Sur 6 coeurs, le même type de phénomène se produit. Conclusion : il est essentiel d'arbitrer entre exécution rapide et consommation. Moins compliquées, certaines astuces limiteront la gourmandise des programmes. L'utilisation de la fonction P-invoke dans .Net permet, par exemple, lorsqu'on débranche un portable du secteur et qu'il ne fonctionne plus que sur sa batterie, d'arrêter d'éventuelles animations en cours pour économiser l'énergie. On doit aussi préférer un accès direct à la mémoire plutôt qu'une copie d'objets. Enfin, pourquoi faire appel à une fonction mathématique telle que la racine carrée dans une bibliothèque idoine, alors qu'on peut l'écrire simplement en ligne ? Là-encore, la preuve fut faite par le tout puissant wattmètre. Pour économiser, le code doit aussi savoir gérer les diverses fonctions de mise en veille et de reprise ainsi que les transitions entre les deux états. Il doit résister aux défaillances logicielles, pour éviter la surconsommation d'un redémarrage entre autres. Eric Mittelette évoque par exemple la redondance de services ou de modules comme on la voit apparaître dans Live Mesh. Si un élément crashe, l'ensemble du logiciel retrouve néanmoins 'son chemin' au travers des services restants. Une question d'équilibre [[page]] Pour Eric Mittelette, il faut un état d'esprit particulier pour développer plus vert. Dès le départ, on doit comprendre l'impact du logiciel sur la consommation énergétique et limiter l'utilisation des ressources en conséquence. Il faut écrire un code souple, adaptable, pensé, capable de monter en puissance, avec des couches d'abstraction au-dessus des données, etc. Quoique... Encore une fois, pour être manipulées, toutes ces clés requièrent un grand sens de l'équilibre. Ainsi, trop de couches d'abstraction des données vont utiliser un grand nombre de ressources et, au final, nuire à l'efficacité énergétique. La parallélisation du code a, elle aussi, ses limites. La surcharge entraînée par la gestion d'un code réparti sur plusieurs processeurs ou coeurs consomme de la ressource et va finalement nuire aux économies faites en exploitant au mieux la plateforme processeur comme l'expliquait le Gartner dans une de ses études récentes. Enfin, on a souvent le choix entre consommer un peu plus mais moins longtemps ou consommer moins sur une durée plus longue. Un peu de bon sens ? Eric Mittelette énonce quelques vérités qu'il fallait sans doute rappeler. Il faut ainsi utiliser les ressources adaptées à ce que l'on développe et ne pas écrire une calculette sur 24 coeurs... Il faut parfois prendre le relais du système d'exploitation sur la consommation énergétique. Le responsable Microsoft évoque l'exemple des applications kiosques. Installées dans les magasins, elles restent parfois ouvertes sur des images plein écran toute la journée. Dans ce cas, l'OS les alimente en permanence pour ce type de besoin. Il est intéressant d'imaginer un écran d'accueil allégé en cas de non utilisation prolongée. Parmi les conseils plus pointus, Microsoft rappelle que le timer de l'OS, qui lui permet de garder le contrôle, se déclenche entre 15 et 18 ns. Si une application déclenche un timer en dessous de ce délai, l'OS s'adapte et pour ce faire, il utilise les ressources processeurs à plein. Toujours au niveau du système, plutôt que de laisser tourner le « file system watcher » qui observe en permanence ce qui se passe au niveau du gestionnaire de fichier uniquement pour guetter un type d'événement, mieux vaut s'abonner à cet événement. Il s'agit à la fois de limiter les cycles CPU et de maîtriser les entrées/sorties (en jouant avec les caches par exemple). Un appel à la bonne volonté de tous les développeurs, sous Windows ou non Eric Mittelette rappelle qu'avec un portable, 8% de la consommation électrique provient du disque dur. Quant aux disques SSD, réputés moins gourmands puisqu'ils ne 'tournent' pas, Microsoft rappelle néanmoins qu'ils ne s'arrêtent jamais. Limiter les animations, faire attention aux couleurs. Sur les écrans classiques et avec les écrans à Led rétroéclairées, le blanc est plus consommateur que le noir (pour lequel on n'allume pas les pixels). Pour conclure, Eric Mittelette en appelle à la bonne volonté des développeurs qu'il invite à se doter du fameux wattmètre et à se mettre au travail. « Nous allons créer un forum, un blog, un site pour partager les bonnes pratiques du développement vert. Et que vous travailliez sur Windows, sur Linux, ou un autre OS, cela nous est égal. C'est dans l'intérêt global. » (...)
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