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Développement
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(13/02/2009 18:01:19)
Techdays'09 : Azure, Seven, Multitouch, les technologies de Microsoft mises à nu
Troisième édition et un succès qui ne se dément pas pour la grand-messe française de Microsoft, où développeurs, administrateurs systèmes et décideurs IT se sont pressés pour approfondir leurs connaissances et obtenir des informations sur les futurs produits. Windows Azure, Windows Seven, Visual Studio 2010 étaient ainsi au coeur des interrogations, les 10, 11 et 12 février derniers au Palais des Congrès de Paris. LeMondeInformatique.fr a assisté aux trois jours de l'événement ; notre dossier vous propose un compte-rendu pratique et sans langue de bois. (...)
(12/02/2009 16:38:26)Sun sort la version mobile de sa technologie de client riche JavaFX
Ouf, Sun sera prêt pour le Mobile World Congress de Barcelone, qui ouvrira ses portes le 16 février prochain : le constructeur a même devancé l'appel de quelques jours, et présenté la version mobile de JavaFX, sa technologie de client riche (RIA, Rich Internet application). Présenté début décembre, JavaFX n'avait guère soulevé l'enthousiasme, comparé aux technologies de RIA existant déjà, comme celles de Microsoft (Silverlight), Adobe (Flex/AIR) ou Google (GWT). Néanmoins, Sun compte sur l'énorme base installée de Java, tant du point de vue des clients que des développeurs. Du côté des mobiles, par exemple, Sun explique que la plateforme Java Mobile Edition (Java ME) est installée sur 2,6 milliards de mobiles. Et le Californien indique que plusieurs fabricants et opérateurs, comme Sony Ericsson, LG Electronics et Orange, soutiennent son initiative. (...)
(11/02/2009 17:31:05)TechDays'09 : Microsoft insiste sur les notions de choix et d'ouverture
« C'est une grande première », a souligné Marc Jalabert, en désignant l'un des transparents de sa présentation : une diapositive n'affichant que des noms de partenaires, qui plus est éditeurs Open Source ou actifs dans le Libre, tels que Novell/Suse, Xandros, Sun, OpenOffice.org... Récemment nommé directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, Marc Jalabert entretient depuis longtemps de bons rapports avec les communautés techniques, et a contribué - avant que Sam Ramji n'entre en scène - à une normalisation des rapports entre Microsoft et le monde de l'Open Source. En ouvrant la deuxième journée des Techdays, conférence parisienne accessible gratuitement aux utilisateurs des technologies Microsoft, Marc Jalabert n'a donc pas manqué de rappeler les efforts de Microsoft en faveur de l'interopérabilité et de l'ouverture, et nombre de démonstrations qui ont émaillé le discours d'ouverture - consacré aujourd'hui aux outils systèmes et progiciels - se sont efforcées de l'illustrer. L'édition R2 d'Office Communications Server, par exemple, peut être utilisée pour monter une conférence téléphonique directement depuis Outlook. Mais Microsoft a montré qu'il était possible pour un participant distant de s'y inscrire, pour se faire rappeler, en utilisant Firefox sur un système Suse Linux. Toujours côté Linux, Microsoft a montré comment un serveur Suse peut être administré depuis la console Systems Operations Center. Azure s'ouvrira aux langages dynamiques Plus tard dans la journée, lors d'une session consacrée à Azure, « un système d'exploitation dans le nuage », pour reprendre l'expression de Stève Sfartz, architecte chez Microsoft France, Microsoft a expliqué que la plateforme s'ouvrirait à des langages tiers, PHP, Python, Ruby, Java, tandis que le protocole OpenID permettra d'échanger des informations d'accréditation sur un mode standard. D'ores et déjà, les applications déployées sur Azure peuvent faire appel à des services écrits dans tout langage. Et toujours dans le domaine de l'interopérabilité et de l'ouverture, une session était consacrée aujourd'hui à « l'Agility Center », qui, comme son nom ne l'indique pas, est le fruit d'une initiative conjointe entre les filiales françaises d'IBM et de Microsoft. Ce serveur associe trois lames biprocesseurs dans un châssis BladeCenter S avec la solution de virtualisation de Microsoft, ainsi que les outils d'administration adéquats, pour 55 000 euros environ. L'idée, explique Marc Jalabert, est d'accélérer l'adoption de la virtualisation dans les PME, « sous-informatisées en France ». (...)
(11/02/2009 09:06:45)Techdays'09 : le tactile multipoint à l'honneur
Le 'multitouch' - ou tactile multipoint - était à l'honneur lors de la première journée des Techdays de Microsoft France, hier au Palais des Congrès de Paris. D'abord avec la présence sur scène du dessinateur François Cointe (qui officiait naguère sur Le Monde Informatique), émaillant le discours d'introduction avec ses dessins humoristiques réalisés sur 'Surface', la table tactile interactive. Puis Mitsu Furuta, de l'équipe relations techniques développeurs de Microsoft France, a brièvement montré les possibilités du kit de développement Surface pour Visual Studio, ainsi que la capacité de la table tactile à interagir avec des objets portant un 'tag' spécifique. Et l'équipe de Microsoft n'a pas manqué de rappeler non plus que Windows 7 disposera nativement de capacités tactiles. Surtout, l'après-midi, l'éditeur a donné la possibilité à deux start-up françaises, Intuilab et Stantum, de venir présenter leurs développements. Les deux ambitionnent de mettre à la poubelle le modèle Wimp (Windows, icon, mouse, pointer) qui régit les IHM (interfaces homme-machine) depuis 1973, au profit d'interfaces plus naturelles. Contrairement au tactile simple, couramment utilisé sur les bornes d'information, le multipoint accepte plusieurs points d'entrée. L'iPhone d'Apple a mis la technologie en lumière, avec la possibilité de réorienter ou de redimensionner des photos avec deux doigts. Des tables tactiles permettant la collaboration à distance La société toulousaine Intuilab, spécialiste de la création d'IHM, a décidé cet été de se lancer dans l'édition logicielle, et a sorti Intuiface, une suite logicielle pour exploiter les capacités des surfaces tactiles multipoints. Partenaire aussi bien d'Adobe (pour la technologie AIR, Adobe integrated runtime) que de Microsoft (pour son WPF, Windows presentation foundation), Intuilab a proposé une démonstration d'un scénario faisant collaborer plusieurs utilisateurs répartis sur deux écrans 'multitouch', reliés en réseau. A terme, explique Vincent Encontre, directeur général de la start-up, on pourrait arriver à « des salles de réunion virtuelles infinies ». En tout cas, il en est persuadé, « avec ce qui se prépare en Corée, dans 10 ans, tous les écrans auront des capacités 'multitouch', c'est le sens de l'histoire ». Davantage orienté sur les couches basses et les écrans de mobiles ou de PC tablettes, Stantum a commencé ses développements sous le nom de JazzMutant, et il s'agissait à l'époque, a raconté son PDG Guillaume Largillier, de « développer des nouvelles interfaces pour les musiciens », comme des « tables de mixage virtuelles ». En 2005 - « deux ans avant l'iPhone », s'est plu à rappeler Guillaume Largillier - Stantum a lancé son premier écran tactile multipoint « industrialisable ». Le savoir-faire de la start-up bordelaise a commencé à intéresser des industriels, si bien qu'elle livre aujourd'hui ses technologies en OEM. Des menus contextuels appelés par le pouce de la main opposée [[page]]Toutefois, pour Guillaume Largillier, il reste encore énormément de progrès à réaliser. Il faut améliorer la réactivité des systèmes, tout en prenant en compte le fait que les utilisateurs pourraient faire de faux mouvements. Ensuite, il faut résoudre une équation apparemment impossible : « Il y a de plus en plus de fonctions dans les logiciels, mais de moins en moins d'espace. En outre, on n'a pas la même précision avec les doigts qu'avec la souris. Et puis le nombre de gestes appropriés pour telle ou telle fonction est limité, on ne peut pas demander à un être humain d'associer un mouvement à chaque opération. » La solution proposée par Stantum consiste à utiliser au maximum les menus contextuels, appelés par le pouce de la main tenant l'écran - donc le pouce gauche pour les droitiers, les doigts de la main droite réalisant alors les opérations voulues. D'après Guillaume Largillier, il suffirait de quelques minutes pour s'y habituer. Et lui aussi en est persuadé, le 'multitouch' va envahir notre vie - d'autant que Windows Seven devrait le populariser. Le tout est de ne pas faire n'importe quoi pour ne pas rebuter les gens d'emblée. (...)
(10/02/2009 15:58:29)Techdays'09 : Visual Studio, Windows 7 et Azure, fers de lance de la stratégie de développement de Microsoft
Prévus pour durer trois jours, les Techdays ont démarré ce mardi matin au Palais des Congrès de Paris avec un tour d'horizon d'une heure des nouveautés concernant les développeurs. Devant un amphithéâtre quasiment comble, Thomas Serval, nouveau directeur plateformes et écosystème (suite à la nomination de Marc Jalabert au poste de directeur du marketing et des opérations, au comité de direction de Microsoft France), a passé en revue les technologies et concepts tels que Surface, LiveMesh, Windows 7, .Net 3.5, Solver Foundation, S+S, Azure... Développement et débogage PHP directement dans Visual Studio Le pivot de toutes ces démonstrations était l'atelier de développement Visual Studio ; une importance résumée par un slogan 'emprunté' à Tolkien : « un seul outil pour les programmer tous ». La seule véritable nouveauté était d'ailleurs l'annonce de l'intégration d'un plug-in PHP dans Visual Studio 2008. Intérêt: la possibilité non seulement de profiter de la puissance de Visual Studio pour écrire du PHP, mais aussi de déboguer directement le code produit. Jusqu'à présent, il fallait soit utiliser deux ateliers différents, soit, pour combiner Visual Studio et PHP, bidouiller une intégration, éventuellement avec des bouts de code fournis en Open Source, ou acheter un plug-in auprès de JCX Software (environ une centaine d'euros). Microsoft a conclu un accord commercial avec l'éditeur de ce plug-in pour inclure sa technologie avec Visual Studio. En France, la filiale de l'éditeur a même décidé de le fournir gratuitement, nous a précisé Laurent Ellerbach, responsable des relations avec les développeurs. Des milliers de personnes inscrites pour voir les nouveautés de Seven [[page]] Passant rapidement sur WPF (Windows Presentation Framework), l'interface riche qui devait se généraliser lorsque Vista aurait connu le succès, l'équipe de Microsoft a pris le temps de présenter Windows 7. « Vous vous êtes inscrits par milliers aux sessions sur Seven, on a dû réagencer l'agenda, il y a désormais deux sessions par jour », a expliqué Eric Mittelette, responsable des relations techniques développeurs. Survolant quelques nouveautés de Seven - dont la personnalisation de la barre de tâches, ou le support natif du 'multitouch' (manipulation des objets de l'écran avec plusieurs doigts) -, Microsoft a pressé les développeurs de tester leurs applications sur le système d'exploitation. L'idée, nous a expliqué par la suite Thomas Serval, est « que les éditeurs de logiciels tiers soient prêts et puissent bénéficier du raz de marée attendu avec Seven ». Le discours était certes le même avant la sortie de Vista, mais il est vrai que, de ce que la bêta laisse voir pour l'instant, Windows 7 est bien plus prometteur. Après avoir donné un aperçu des nouveautés qui viendront avec la version 2010 de Visual Studio - comme un éditeur de tests fonctionnels capturant automatiquement en vidéo les scénarios de test (un must pour les rapports de bugs) -, Microsoft a proposé une explication de texte toujours utile de sa stratégie S+S. S+S et Azure pour la plus grande liberté de choix possible Guère pressé de rejoindre le clan des éditeurs de Saas (applicatifs disponibles en ligne), Microsoft avait présenté sa stratégie Software plus services (S+S) qui a l'avantage de conserver l'importance des logiciels installés sur les postes clients. Puis est venu le train du 'Cloud computing', auquel Microsoft a rattaché ses wagons, avec l'annonce de Windows Azure. Au final, tout cela aboutit à « la plus grande liberté de choix possible pour le développeur et l'éditeur de logiciels », a expliqué Thomas Serval. Aujourd'hui, le développeur peut recourir à des briques techniques (comme SQL Server Data Services) voire des services applicatifs en ligne (comme Exchange Online), héberger son application en ligne (sur Azure - s'il s'agit d'une application .Net : la liberté de choix a tout de même ses limites), rien qu'en sélectionnant l'option de déploiement dans Azure au sein de Visual Studio. Et il suffit de modifier le fichier de configuration l'accompagnant pour modifier le nombre d'instances souhaitées. Zoomant sur un des services en ligne de Microsoft, l'outil de synchronisation LiveMesh, l'équipe de développement de Microsoft France a montré une première mondiale: l'utilisation du service de synchronisation de fichiers pour synchroniser une application, réalisant ainsi un service applicatif de collaboration en temps réel. (...)
(09/02/2009 15:33:46)Le client riche vu par Oracle
Oracle a mis en ligne un site d'information sur les REA (applications d'entreprise riches) démontrant son savoir-faire en matière d'interfaces riches pour le Web. S'il n'édite pas lui-même de technologie de type RIA (applications Internet riches) comme Microsoft ou Adobe, Oracle veut montrer qu'il n'est pas à la traîne dans ce domaine. Son site, rea.oracle.com, illustre - notamment avec une vidéo et plusieurs exemples - ce qu'il est possible de réaliser avec les outils actuels de l'éditeur, en premier lieu le portail Webcenter, l'outil de développement Jdeveloper et les composants du cadre applicatif ADF (Application development framework). Vues par Oracle, les applications d'entreprise riches recourent aux composants Ajax, à du Flash ou au besoin à un mélange des deux. Le but est tout autant de proposer une interface Web plus attractive et plus interactive au grand public que de proposer une interface plus productive (plus proche de l'interface des outils de gestion) aux utilisateurs internes. Oracle montre par ailleurs comment utiliser ces technologies pour permettre aux utilisateurs de réaliser leurs propres combinaisons de services applicatifs (mash-up). (...)
(09/02/2009 09:49:15)Méthodes agiles: les utilisateurs français de Scrum se fédèrent
Le petit monde des méthodes agiles se structure. Le club des utilisateurs français de Scrum vient ainsi de voir le jour, à l'initiative de Luc Legardeur, PDG du cabinet d'architectes Xebia. « Nous recourons aux méthodes agiles depuis les débuts de Xebia, raconte Luc Legardeur. Et depuis un an et demi, nous délivrons des certifications de 'ScrumMaster' [chef de projet Scrum]. » Dans le domaine informatique, deux méthodes agiles - dont le but est d'organiser plus efficacement les développements - sont principalement utilisées: XP (ou eXtreme Programming), pour la conduite des projets techniques, et Scrum (mêlée, dans le vocabulaire du rugby), pour la gestion de projet. « Il existe déjà plusieurs communautés XP, indique Luc Legardeur, mais rien ne fédère les gens pratiquant Scrum. Jeff Sutherland, le père de Scrum, avec qui nous sommes en contact régulier, nous a proposé de fonder le club utilisateurs français. » Pour fonder le SUG (Scrum user group), Luc Legardeur a contacté quelques spécialistes reconnus, comme Claude Aubry, expert indépendant et enseignant à Toulouse, Alexandre Boutin, expert à Grenoble, ou Véronique Messager Rota, auteur de l'ouvrage de référence 'Gestion de projets: vers les méthodes agiles'. Tous sont « membres bienfaiteurs et correspondants en province ». Ils seront notamment mis à contribution pour alimenter une lettre d'information mensuelle destinée à la communauté des utilisateurs de Scrum. Luc Legardeur l'estime à quelque 5 000 personnes, et cite plusieurs grands groupes y ayant eu recours: BNP Paribas, Generali, Orange, Sagem, La Poste, Areva, M6, Pierre Fabre... Une adhésion à l'association et des outils d'information gratuits L'adhésion à l'association sera gratuite, le but étant justement de « promouvoir les méthodes agiles et d'aider les gens qui les mettent en oeuvre ». Cela pourra peut-être éviter un écueil récemment mis en exergue par Hervé Lourdin, consultant d'Octo Technology. Ce dernier explique qu'avec l'augmentation du nombre de projets se réclamant de Scrum, augmente aussi le nombre d'échecs. Mais, écrit-il dans son blog, « ce n'est probablement pas 'la faute à Scrum' ». Il ne faut pas confondre la discipline méthodologique, et la façon dont elle est appliquée. La relation avec les clients sera assurée par Christophe Addinquy, du groupe Vidal, qui avait relaté son expérience réussie avec les méthodes agiles lors du séminaire 'Rencontres agiles 2007', organisé par Didier Girard (Sfeir) et Bernard Notarianni (Octo Technology). La première rencontre officielle du SUG - dont le rythme devrait être trimestriel - aura lieu le 19 mars au soir, en présence de Jeff Sutherland. En attendant, un "scrum coffee" est organisé le 11 février prochain. (...)
(06/02/2009 11:08:44)LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
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