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(18/03/2009 15:05:32)

Apec : chute de 40% des offres IT par rapport à février 2008

Signe de l'aggravation de la situation économique en France, l'indicateur des offres d'emplois à destination des cadres publié par l'Apec pour février continue de reculer. Tous métiers confondus, le volume d'offres a diminué de 33% en février 2009 par rapport à février 2008. Si l'ensemble des filières est touché, l'informatique est parmi les plus mal lotie avec une lourde chute de 40% sur la période (et une baisse de 7% par rapport à janvier). Au total, elle a représenté un peu plus de 5 563 offres déposées en février (soit un total de 86 028 offres en cumul entre mars 2008 et février 2009) contre 9205 pour le même mois l'an dernier. Les différents métiers du secteur ont tous subi en février une baisse du nombre d'offres située dans une fourchette de 35% à 45%. Ce sont les fonctions liées aux systèmes et aux réseaux qui souffrent le plus avec une régression de 43% et 1043 offres (contre 1837 en février 2008). L'informatique de gestion a, quant à elle, plongé de 40% avec 3 076 offres (contre 5174 en 2008). Elle demeure cependant le plus gros réservoir de propositions d'emploi dans le secteur sur l'année glissante, avec 47 834 offres. Une quantité qui n'a néanmoins pas bougé entre février 2008 et 2009. Enfin, l'informatique industrielle perd 37 % de ses offres (778) et l'exploitation et la maintenance 35% (365). (...)

(18/03/2009 09:28:43)

IBM serait en pourparlers pour acheter Sun

Selon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas. Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs. (...)

(13/03/2009 16:15:42)

IBM veut renforcer la modularité de WebSphere grâce à OSGi

Les travaux de modularisation de WebSphere entrepris avec la version 6.1 sont encore à l'ordre du jour. S'exprimant à l'occasion de la conférence SD West 2009, Savio Rodrigues, chef produit WAS (WebSphere Application Server) d'IBM, a expliqué vouloir aller vers des composants de plus en plus fins. « Dans les versions futures, a-t-il dit, nous allons étendre notre travail avec OSGi pour rendre le serveur d'applications encore plus modulaire, de façon à ne plus avoir qu'à démarrer des [services spécifiques]. » Au lieu de lancer toute la couche de support des services Web, par exemple, WebSphere pourrait ainsi activer seulement le module dont une application a besoin. OSGi est un standard conçu pour intégrer des composants dans une architecture globale. Développé à l'origine pour l'environnement de développement Eclipse, il fait petit à petit son chemin dans les serveurs d'applications Java. IBM a commencé s'appuyer dessus dès la version 6.1 de WebSphere, et JBoss de Red Hat suit le même chemin. Toutefois, aucun ne repose entièrement dessus, à l'opposé du tout neuf dm Server de Springsource, conçu dès l'origine dans un souci de modularité. De même, depuis sa version 5, Jonas du consortium OW2 repose sur une passerelle OSGi. « La réécriture complète a pris deux ans, commente François Exertier, leader du projet dans OW2 et manager de l'équipe R&D Open Source de Bull. Aujourd'hui, tous les services techniques sont délivrés sous forme de composants OSGi. Cela permet par exemple d'arrêter un service - et les services avec lesquels il existerait des dépendances - sans arrêter le serveur. » Changer la configuration sans redémarrer le serveur Savio Rodrigues a donc indiqué qu'IBM entendait aussi faire bénéficier les développeurs travaillant sur WebSphere des avantages de l'architecture OSGi : « Un serveur d'applications plus léger, qui démarre plus vite, et que vous n'avez pas à redémarrer quand vous changez sa configuration ; toutes choses que vous vous attendez à trouver dans WebSphere, et sur lesquelles nous devons travailler. » Le chef produit a par ailleurs indiqué que la plateforme middleware d'IBM devrait prochainement supporter des langages de script en sus de PHP et Groovy, déjà utilisables pour sMash, le tout jeune outil de création rapide d'applications composites (mash-up) d'IBM. Python et la plateforme Ruby on Rails devraient faire leur apparition dans sMash comme dans WebSphere. (...)

(12/03/2009 10:40:07)

Eclipse lance l'initiative Pulsar, pour simplifier le développement pour les plateformes mobiles

Un outil de développement, mais des kits spécifiques pour chaque plateforme mobile. Un casse-tête auquel s'attaque la fondation Eclipse, avec l'initiative Pulsar. Le groupe de travail mobile d'Eclipse a comme feuille de mission la création d'une distribution particulière de l'environnement de développement capable d'interopérer avec une grande variété de SDK (kits de développement) fournis par les fabricants d'appareils mobiles et éditeurs de systèmes d'exploitation. Les développeurs pourront ainsi travailler sur une base commune d'un programme J2ME (Java 2 Mobile Edition), dans un seul environnement, tout en ciblant plusieurs plateformes mobiles. Motorola, Nokia et Genuitec font partie des leaders de l'initiative, qui est également soutenue par IBM, RIM et Sony Ericsson. Microsoft et Apple n'en font pas partie, non plus que Google, récemment entré dans l'arène de la mobilité avec Android. L'initiative est ouverte à tous, pourtant, souligne Dino Brusco, directeur senior des services et plateformes développeurs de Motorola. Pour Jeffrey Hammond, analyste principal de Forrester Research, cela montre bien « le schisme en train de se former dans le domaine des smartphones ». S'il applaudit l'initiative, il craint en effet que ce type d'effort n'aboutisse qu'à trouver un plus petit commun dénonimateur, qui du coup n'exploite pas la richesse des plateformes. Il encourage en tout cas les membres de Pulsar à aller de l'avant : « C'est un début. Il faudra plusieurs versions et supporter les plateformes que les développeurs veulent vraiment cibler. Ce sera techniquement difficile, mais cela paraît une bonne approche. » Le lancement de Pulsar est prévu pour la prochaine grande mise à jour d'Eclipse, dite Galileo, fin juin 2009. (...)

(11/03/2009 18:13:00)

Interview exclusive du DSI de Microsoft Corp.

« Je fais tout ce qu'on peut attendre d'un CIO, mais j'assure aussi un rôle clé : déployer et tester des logiciels Microsoft. » Tony Scott, « global CIO » de Microsoft, autrement dit responsable des systèmes d'information de l'éditeur au niveau mondial, était récemment de passage en Europe pour rencontrer les DSI européens de Microsoft et quelques grands clients triés sur le volet. Après une conférence de presse, il nous a accordé un entretien exclusif, à suivre en vidéo (VO sous-titrée) ou à lire ici. Par rapport à un DSI classique, Tony Scott a deux contraintes - qui semblent lui plaire énormément. La première est qu'il doit appliquer le « dog fooding » (de l'expression anglaise 'to eat its own dog food'). Autrement dit, ce que Microsoft propose à ses utilisateurs, l'éditeur se doit de l'appliquer en interne. « Nous avons les produits très en amont de leur cycle de développement, raconte Tony Scott. Non seulement nous les utilisons, mais en outre nous les déployons sur une échelle de plus en plus grande au fur et à mesure de leur maturation. » Un autre aspect de son métier : en tant que responsable haut placé de Microsoft - et placé aux premières loges en matière d'utilisation des logiciels - il doit assurer la relation avec les clients de Microsoft. « Je rencontre beaucoup de CIO tout au long de l'année, tant dans l'industrie que dans l'administration. J'en ai rencontré 60 ou 70 ces deux derniers mois. » On pourrait aussi ajouter une troisième contrainte : le fait d'utiliser de l'Open Source le moins possible. Toutefois, il y en a dans le système d'information de Microsoft, ne serait-ce, dit-il, que pour des raisons de « tests d'interopérabilité ». Mais Tony Scott s'empresse aussitôt de prendre un ton très sérieux pour expliquer que de son point de vue, et de par son expérience en tant que directeur technique de General Motors ou DSI de Disney, l'Open Source ne revient pas forcément moins cher. La tactique de Tony Scott : investir pour réduire les coûts Comme tout DSI, Tony Scott explique que sa première préoccupation est de réduire les coûts. « Il y a plusieurs stratégies face à cet impératif. Certains arrêtent de dépenser de l'argent. Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. J'ai déjà vu ça, plus tôt dans ma carrière, et c'est un modèle intenable à la longue, les CIO qui le pratiquent se font virer après 3 ou 4 ans. D'autres choisissent d'investir. Mon propre budget est en baisse, alors qu'il était étal l'année dernière. Or, j'ai dû augmenter les salaires. J'ai donc investi dans des technologies qui permettent de réduire les coûts, de 10 à 15% l'année suivante ; cette stratégie se révèle productive année après année. » Parmi les postes cités pour réduire les dépenses figurent la virtualisation (qui optimise l'utilisation des serveurs) et les communications unifiées. Technologie sur laquelle Tony Scott insiste beaucoup. « Cela nous permet d'économiser 60% sur la téléphonie. Et en plus les gens adorent le fait de disposer de toutes ces fonctionnalités agrégées (voix, messages vocaux, messagerie instantanée, visioconférence, tableau blanc, etc.) sur leur poste de travail. » Le DSI de Microsoft dit aussi recourir aux services hébergés - pour le courrier électronique notamment - et fonde beaucoup d'espoir sur le cloud - et donc Azure en particulier - pour absorber les pics de charge. Et de ce point de vue, cela lui facilite en effet la tâche, puisque les services en ligne de Microsoft ne sont pas de son ressort : il n'est alors qu'un client parmi d'autres. « Comme lorsque j'étais CIO de Disney », dit-il. (...)

(23/02/2009 15:40:54)

L'Esiea offre les frais de scolarité au gagnant de son concours de programmation

Dans les grandes écoles d'ingénieurs, les frais de scolarité sont généralement très élevés. Le concours de programmation WINgineer organisé par l'école d'informatique Esiea devrait permettre à quelques-uns de pouvoir y échapper : les gagnants de cette compétition verront en effet leurs frais de scolarité pris en charge (à des degrés divers) pour leur cursus dans l'une des écoles du groupe Esiea pendant une période de cinq ans. Pour concourir, il faut obtenir son baccalauréat scientifique avant la fin de l'année et être inscrit au concours d'entrée de l'école. Les candidats devront ensuite se mesurer les uns aux autres sur leur capacité à programmer un code en langage Netlogo, d'après les éléments d'un jeu vidéo. L'environnement de ce jeu représente un jardin où se trouvent des fleurs, ainsi que des grenouilles, des abeilles et des papillons au comportement programmé. L'objectif pour chaque candidat consistera à programmer un papillon pour qu'il mange un maximum de pollen en trois minutes. Ce score, traduction de la programmation optimale, permettra de déterminer le classement des candidats. Le lauréat du premier prix obtiendra la gratuité totale de sa scolarité pour une durée maximum de cinq ans. Le deuxième prix donnera droit à une bourse couvrant 50% des frais de scolarité sur cinq ans. Enfin, une bourse couvrant 25% des frais sera accordée au gagnant du troisième prix. A titre indicatif, les droits de scolarité à l'Esiea s'élèvent à 7 150 € pour l'année 2008/2009. Les candidats auront jusqu'au 15 avril 2009 à minuit (cachet de la poste faisant foi) pour faire parvenir leurs dossiers à l'école. Il leur faudra toutefois verser 60 € de frais d'inscription pour participer aux épreuves. (...)

(23/02/2009 15:01:21)

SAP reprend les outils de plateforme en ligne de Coghead

SAP vient d'acquérir les droits de propriété intellectuelle du Californien Coghead qui proposait jusqu'au 18 février une plateforme et des outils de développement pour bâtir et exploiter des applications de gestion en ligne. L'éditeur allemand figure déjà depuis deux ans, par le biais de SAP Venture, au capital de cette société créée en 2003. Il devrait utiliser cette infrastructure hébergée pour ses besoins internes dans un premier temps, selon l'un de ses porte-parole. Récemment, Coghead avait prévenu ses clients qu'il prévoyait d'arrêter son service en ligne pour des raisons économiques, mais sans mentionner, alors, l'accord signé avec SAP. Dans les prochaines semaines, ce dernier devrait en dire un peu plus sur la façon dont il compte exploiter la technologie acquise, mais il n'a pas, pour l'instant, l'intention de la vendre sous forme de service commercial. L'éditeur dit également travailler pour aider les clients de Coghead à effectuer une transition de leurs applications vers de nouveaux hébergeurs sans interruption de service. Un environnement pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne La plateforme de Coghead s'adressait aux éditeurs indépendants, développeurs et départements informatiques auxquels il fournissait un environnement de conception graphique pour élaborer des applications Web et les mettre à disposition en ligne : environnement de développement « drag and drop » basé sur Flex, d'Adobe, fonctions de workflow pour modéliser des processus métiers, interface de programmation REST et outils 'Coglets' pour l'intégration avec d'autres applications Web. Enfin, l'éditeur Coghead s'est appuyé sur le cloud d'Amazon EC2 et les services qui lui sont associés, AWS (Amazon Web Services). C'est l'une des nombreuses plateformes en ligne qui se sont multipliées à côté des Salesforce.com, Google et Microsoft Azure, ou encore d'autres acteurs plus petits comme Caspio, Californien lui aussi. Plusieurs d'entre eux proposent maintenant aux utilisateurs de Coghead des offres intéressantes pour migrer vers leur infrastructure. Pour le PDG de RunMyProcess, le marché existe malgré la faillite de Coghead « Coghead était une des start-up emblématiques du marché du Saas/PaaS/Cloud », commente Mathieu Hug, PDG de Runmyprocess.com étonné par cette « surprenante nouvelle de la faillite » de cette société puis de son rachat par SAP. Editeur d'une solution de BPM en mode SaaS, Runmyprocess.com voyait Coghead se positionner comme un concurrent. Son rachat est-il un avertissement pour toutes les plateformes fournies comme un service et les entreprises qui les utilisent ? Mathieu Hug ne le pense pas. « D'une part, le marché existe, nous le sentons émerger nettement depuis trois à quatre mois, mais lancer un business 'as a service' est un travail de longue haleine et la crise actuelle n'aide pas, analyse le dirigeant. D'autre part, le rachat par SAP prouve la valeur de ce type d'offre, même si SAP était déjà partie prenante de Coghead par le biais de SAP Venture. (...) Cela prouve aussi que le SaaS, les PaaS ou le cloud sont sans équivoque la prochaine étape majeure de l'évolution de l'informatique. » Pour Michael Coté, analyste pour le cabinet Redmonk, la technologie de Coghead semble bien convenir à SAP si l'on en juge par la popularité qu'elle a acquise au sein de la communauté de développeurs de l'éditeur allemand. (...)

(19/02/2009 18:09:37)

Soasta teste les applications du cloud

L'éditeur californien Soasta propose un outil de test d'applications en mode cloud. Cloudtest Global Platform recrée en effet le trafic généré par les applications installées sur des plateformes telles que EC2 d'Amazon ou Rackspace, par exemple. Ces tests simulent des accès aux applications en ligne provenant de divers endroits du monde dans des fuseaux horaires différents. Et la charge applicative générée est produite par des milliers de serveurs virtuels. Selon Soasta, c'est le moyen le plus réaliste de reproduire les réactions d'une application en cloud. « Les développeurs peuvent simuler des clients dans des endroits comme Londres, Los Angeles ou Hong Kong, explique Tom Lounibos, CEO de Soasta. Ils peuvent ainsi plus facilement identifier les erreurs provoquées à certains niveaux de montée en charge des services par exemple et faire des ajustements au niveau du code, du pare-feu, ou de la répartition de charge. » (...)

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