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(06/04/2011 17:27:57)
Dossier : Après les serveurs, des postes de travail virtualisés pour réduire les coûts
La virtualisation des postes de travail VDI (Virtual Desktop Infrastructure) émerge doucement en France, quelques projets sont en cours de déploiement.... Il est encore aujourd'hui prématuré de mesurer l'impact réel de cette technologie. Cela dit, le VDI intéresse les entreprises qui se posent des questions sur la remise à plat de leur poste de travail, surtout depuis l'arrivée de Windows 7. Faut-il en profiter pour adopter le VDI ?
Au travers de notre enquête, nous avons pu nous rendre compte combien le VDI suscite de nombreuses interrogations notamment sur l'investissement, la maturité de la technologie et sur l'impact des coûts d'exploitation et d'administration. Dans certains cas, une virtualisation des applications n'est-elle pas suffisante ? La question mérite d'être posée...
Pour lire la suite du dossier, cliquez sur le lien (...)(13/07/2011 15:33:34)
WPC Microsoft : « Il est temps de passer à Windows 7 »
Microsoft veut aller vite dans la migration de Windows XP vers Seven. Stephen Rose, Community Manager de l'équipe de commerciaux de Windows, reprend le compte à rebours des 1 000 jours de support restants à Windows XP dans un blog de Microsoft. « Windows XP a fait un parcours incroyable et des millions d'utilisateurs PC lui en sont reconnaissants. Mais il est temps d'aller de l'avant, » écrit Stephen Rose, faisant valoir que le système ne bénéficiera plus de mises à jour de sécurité dans « moins de 1 000 jours. »
« Du point de vue de la sécurité, les ordinateurs PC bas de gamme tournant sous Windows XP seront vulnérables » après cette date, ajoute le manager. « Sans compter que de nombreux éditeurs de logiciels tiers n'ont pas l'intention de prolonger le soutien de leurs applications tournant sur Windows XP, ce qui rendra la situation plus compliquée, des risques pour la sécurité, et des coûts de gestion supplémentaires pour les départements informatiques. » Selon les statistiques et sondages menés par les cabinets d'études sur la popularité des systèmes d'exploitation, Microsoft a beaucoup de mal à faire bouger les utilisateurs d'XP. Selon Net Applications, qui mesure la type d'OS utilisés lors des connexions sur le web, Windows 7 tient 27% du marché, mais XP domine encore avec 51% de systèmes tournant sur les ordinateurs PC au niveau mondial. Si la tendance se poursuit sur les trois derniers mois, Windows 7 ne dépassera pas XP dans la course aux parts de marché avant le deuxième trimestre 2012. Selon Forrester Research, les entreprises s'avèrent encore plus dépendantes de Windows XP. Le cabinet a établi récemment que la part du vieil OS sur les PC d'entreprise atteignait 60%.
Travail de sape et assurance sur la compatibilité Windows 8
Ce n'est pas la première fois que Microsoft tente de ringardiser Windows XP. Plus tôt cette année, certains responsables de l'équipe d'Internet Explorer (IE) avaient qualifié XP de « plus petit dénominateur commun», pour expliquer pourquoi l'ancien système d'exploitation ne pourrait pas faire tourner IE9 et les futurs navigateurs. L'entreprise a également pris des mesures radicales pour tuer d'autres produits qu'elle considère obsolètes. Ainsi, depuis mi-2009, Microsoft exhorte les usagers à abandonner IE6, le navigateur livré peu avant XP. Il y a quatre mois, l'éditeur a fait monter un peu plus la pression en lançant un site web affichant la baisse continue d'IE6, sa lente agonie en quelque sorte. Cette campagne incitant les utilisateurs à abandonner XP a coïncidé avec l'ouverture de la Worldwide Partner Conference (WPC), un show annuel organisé par Microsoft pour les revendeurs. Le PDG, Steve Ballmer, a ouvert la conférence en annonçant que Windows 7 avait franchi la barre des 400 millions de licences. Quant à Tami Reller, la directrice marketing produit pour le groupe Windows, elle a repris ce chiffre pour comparer le temps d'adoption de Windows 7 avec celui de Windows XP sur une période comparable. « Il est trois fois plus rapide que pour Windows XP, » a-t-elle déclaré.
Quant à Windows Vista, le premier OS de Microsoft à échouer depuis Windows Millennium, il a encore été passé sous silence. Pourtant, les clients sont unanimes : Vista a culminé à un peu moins de 19% en octobre 2009, mais a perdu environ la moitié de ses parts de marché depuis. Tami Reller a seulement mentionné Windows 7 comme remplaçant de XP, mais aussi désigné son successeur, Windows 8, qui devrait vraisemblablement être livré l'année prochaine. Alors que Tami Reller a encouragé les entreprises à poursuivre le déploiement de Windows 7, celle-ci a promis que Windows 8 serait en mesure de fonctionner sur le même matériel. « Pour nos clients professionnels, vos clients, » a t-elle dit en s'adressant aux partenaires présents à la conférence, « c'est un élément important, car le fait que Windows 8 puisse tourner sur du matériel compatible Windows 7, garantit que les investissements en hardware fait aujourd'hui par nos clients pourront exécuter Windows 8 dans le futur. »
Ni Tami Reller, ni Steve Ballmer n'ont mentionné le cycle de vie de Windows 7, mais l'entreprise compte pousser les utilisateurs déjà sous Windows 7 à passer à Windows 8. Conformément à une politique qu'elle pratique de longue date, Microsoft assurera le support de Windows 7 Home Premium, l'édition la plus populaire auprès des particuliers, pendant cinq ans, soit jusqu'en en janvier 2015, contre dix ans pour les entreprises.
F5 Networks présente deux appliances de virtualisation de fichiers
Les produits entrée de gamme (ARX1500) et milieu de gamme (ARX2500) de F5 sont de taille 1U en hauteur. Le ARX1500 coûte environ le même prix que son prédécesseur l'ARX 500, mais intègre huit ports Gigabit Ethernet - seulement deux ports sur le ARX500, selon Renny Shen, directeur marketing produit de F5. Le constructeur n'a pas voulu révéler la tarification spécifique pour les récents produits, mais il a évalué le prix de base à 30 000 dollars pour l'entrée de gamme et jusqu'à 200 000 dollars pour le haut du marché. « Nous pensons que pour beaucoup d'entreprises l'ARX500 était devenu vraiment trop petit», explique le responsable en ajoutant « selon la licence du logiciel acheté avec le ARX 1500, l'appliance peut évoluer de 1 500 à 3 000 utilisateurs finaux ».
Le ARX2500 s'adresse lui a des environnements de partages de fichiers intensifs et est livré avec quatre ports Gigabit Ethernet et deux ports 10 Gigabit Ethernet.
Une gamme complète et interopérable
La gamme des ARX s'étend maintenant de l'ARX VE, qui a un seul port Gigabit Ethernet et supporte jusqu'à 500 utilisateurs, à l'ARX4000, une solution de taille 4U avec 12 ports Gigabit Ethernet et deux ports 10 Gigabit Ethernet qui peut accueillir jusqu'à 12 000 utilisateurs. Sans oublier, la gamme ARX Cloud Extender, que nous avions vu à Boston récemment.Michael Raposa, DSI du fournisseur de vidéo à la demande In Demand LLC, a déclaré que proposer des ports 10 Gigabit Ethernet sur une appliance facilite la gestion du partage de trafic sur les différents ports. In Demand fournit un service de pay per view et de VOD que les consommateurs achètent auprès des câblo-opérateurs comme Cox, Comcast et Time Warner. L'entreprise a installé deux ARX 4000 en corrélation avec des baies NetApp d'une capacité de 300 To et les serveurs de fichiers. Les appliances de virtualisation de fichiers ont permis de créer un seul nom de domaine sur l'ensemble des 300 To de capacité, de sorte que les applications n'ont plus besoin d'avoir une LUN (logical unit numbers) dédiée et ainsi accroître les performances.
Tous les appareils ARX prennent en charge le protocole CIFS pour l'environnement Windows et NFS pour les équipements sous Unix et Linux. F5 indique que ses solutions sont compatibles avec presque tous les périphériques NAS et serveurs de fichiers du marché.
Patch Tuesday : Mises à jour moins nombreuses, mais correctifs plus denses
Le nombre de correctifs pour le prochain Patch Tuesday est plus petit que celui du mois de juin. Microsoft avait alors livré 16 mises à jour, corrigeant 34 vulnérabilités. L'éditeur fournit généralement moins de mises à jour dans les mois impairs. En mai, par exemple, Microsoft livré seulement 2 mises à jour pour réparer 3 failles.
Parmi les 4 mises à jour prévue la semaine prochaine, une sera qualifiée de « critique », notation la plus élevée dans le système de Microsoft qui en comprend 4. Les 3 autres seront affectées de la notation « important ». Le Patch Tuesday sera le troisième en nombre de correctifs proposés (22), le mois d'avril détient le record avec 64 puis vient le mois de février avec 34.
Mais le ratio failles par mise à jour sera le plus élevé de l'année, observe Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle security. « Je pense que nous allons voir un bulletin avec un nombre très élevé de vulnérabilités », a déclaré Andrew Storms. « Nous avons vu cela se produire plusieurs fois cette année, notamment le mois dernier quand l'éditeur a corrigé 8 bugs dans Excel avec une mise à jour » ajoute-t-il.
Réparer les augmentations de privilèges et les détournements de DLL
Le spécialiste indique que le Patch Tuesday devrait réparer de nombreuses failles permettant soit une « augmentation de privilèges » (prendre les droits administrateurs sur une machine), mais également pour éviter des « détournements de DLL ». Sur ce dernier risque, Microsoft a publié plus d'une douzaine de mises à jour concernant ce type d'attaque.
La seule mise à jour critique prévue pour la semaine prochaine affecte Windows Vista et Seven, mais n'a pas d'impact sur XP ou sur les versions serveurs de l'OS. Andrew Storms indique que la faille corrigée était présente dans Vista, puis livrée avec Windows 7.
Trois des quatre mises à jour seront liées à Windows, tandis que la quatrième s'attachera à des problèmes dans Microsoft Visio 2003, qui a été patché en février dernier. Les 3 mises à jour qui s'appliquent à Windows Vista corrigeront des bugs dans le Service Pack 1 (SP1), édition qui prendra aussi sa retraite dès mardi prochain tout comme Office XP.
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Patch Tuesday : Arrêt programmé du support Office XP et Windows Vista SP1
Office XP et Vista Service Pack 1 (SP1) ne disposeront plus de support à partir du 12 juillet prochain date du prochain Patch Tuesday. Il s'agira des dernières mises à jour de sécurité Microsoft sur ces deux produits.
Le support de la firme de Redmond dure 10 ans avec deux phases, les cinq premières années sont dédiées au « support principal », et les cinq autres concernent le « support étendu ». La plus grande différence entre les deux périodes est que dans la seconde les correctifs non liés à la sécurité sont fournis uniquement aux entreprises qui ont payé des contrats de maintenance spéciale.
Basculer sur la SP2 pour gagner du temps
Si le soutien d'Office XP expire la semaine prochaine, les utilisateurs de Vista continueront à recevoir les mises à jour de sécurité via la mise à niveau vers SP2, le service pack de Microsoft lancé en mai 2009. L'installation de Vista SP2 peut se faire via Windows Update ou manuellement en téléchargeant la version 32-bit ou 64-bit. Le support pour les éditions grand public de Vista SP2 - Home Basic, Home Premium et Ultimate - se terminera en avril 2012, tandis que les versions professionnelles (Business et Enterprise) seront prises en charge avec les correctifs de sécurité jusqu'à la mi-avril 2017.
Office 2003, qui a suivi Office XP, disposera des mises à jour de sécurité jusqu'en avril 2014. Il faudra attendre avril 2017 et octobre 2020 pour les versions 2007 et 2010 de la suite bureautique pour la fin du support.
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La vente liée en informatique toujours en débat
Les grands comptes ne se sentent pas a priori concernés par la question de la vente liée ordinateur-logiciels. En général, ils négocient de tels volumes d'achats que les conditions sont spécifiques à leur cas et qu'ils peuvent acheter des PC nus pour y installer des masters obtenus directement auprès d'éditeurs avec des licences particulières (Software Assurance de Microsoft par exemple). Mais cette appréciation est erronée.
Dans un contexte juridique encore fluctuant comme il est mentionné sur le site de nos confrères de Distributique, les petites entreprises, qui ne bénéficient pas de cet effet de volume, sont, elles, au même régime que les particuliers : leurs PC sont achetés avec des logiciels qu'elles n'ont pas choisis mais qu'elles doivent payer tout de même (système d'exploitation, antivirus...). Cela peut constituer un coûteux doublon de licences qu'elles possèdent éventuellement déjà sur d'anciennes machines mises au rebut, licences souvent transférables aux nouvelles machines (sauf dans le cas des licences OEM).
La licence Windows toujours au coeur du débat
Si l'emploi de logiciels libres (notamment du système d'exploitation Linux en lieu et place du Windows imposé en vente liée) reste très marginal, le refus de payer une licence Microsoft Windows lors de l'acquisition d'un ordinateur reste l'origine de la plus grande part des jurisprudences. Les militants de l'initiative Racketiciel sont le plus souvent à l'origine des procédures engagées. Côté entreprises, la contestation vise plutôt à obtenir des rabais de la part des éditeurs ou des distributeurs.
Cependant, la question revient dans l'actualité par le simple fait de l'évolution des comportements et du marché, au delà de la succession des jurisprudences. Et toutes les entreprises sont, de fait, concernées directement (en achetant et payant des logiciels non-choisis) ou indirectement (via leurs collaborateurs ou partenaires).
Un matériel personnel généralement plus cher
Notamment, la tendance au « bring your own device », c'est à dire à l'emploi par les salariés de leur propre matériel et de leurs propres logiciels pour le compte de leur employeur transfère dans les entreprises la question de la vente liée. Les salariés se font en effet rembourser leurs frais et si ces frais sont plus élevés que nécessaires, l'entreprise subit ainsi un surcoût. Au delà du cas de Microsoft Windows sur les PC, les nouveaux terminaux entrant dans les SI sont autant concernés : smartphones (iOS, Android, Windows...), tablettes...
Plus insidieusement, les salariés sont désormais équipés chez eux d'outils sur lesquels ils s'auto-forment. Les entreprises sont ainsi tentés d'utiliser, donc d'acquérir, les outils auxquels leurs salariés sont habitués mais sans capacité de mise en concurrence ou de choix véritable. Où est, du coup, leur capacité à développer une politique d'achat avec mise en concurrence réelle des éditeurs sur la question du prix mais aussi sur les fonctionnalités ou la sécurité ? (...)
Windows XP reste majoritaire dans l'entreprise, selon Forrester
Selon un récent rapport du cabinet d'étude Forrester, même si les entreprises mettent davantage de machines sous Windows 7 de Microsoft, près de 6 PC sur 10 du parc informatique tournent encore sous l'ancien système Windows XP. Ainsi, sur l'ensemble des ordinateurs PC qui se sont connectés au site de Forrester Research au mois de mars - le mois le plus récent pour lequel l'entreprise dispose de données - près de 21% tournaient sous Windows 7. Certes, c'est plus du double comparé aux 9,5% enregistrés un an auparavant pour Windows 7. Toujours est-il que Windows XP reste le système d'entreprise le plus largement utilisé et conserve, malgré ses 10 ans d'âge, une marge conséquente : au mois de mars, sur les 400 000 machines qui ont visité le site Forrester.com, 59,9% tournaient sous Windows XP.
Arrêt du support de XP en 2014
Pour Ben Gray, analyste chez Forrester et co-auteur du rapport sur les tendances en matière de système d'exploitation et de navigateur Internet, l'adoption de Windows 7 « s'accélère ». Mais dans le même temps, il rappelle que XP reste majoritaire. De plus, Windows XP ne devrait plus bénéficier d'aucun support technique de la part de Microsoft à partir d'avril 2014, ce qui signifie que l'éditeur va cesser de fournir des mises à jour de sécurité, des correctifs et autres pour son OS. L'analyste se dit confiant et pense que, d'ici là, la majorité des systèmes XP seront mis à la retraite et remplacés par de nouvelles machines tournant sous Windows 7. « Au cours de l'année qui vient, la plupart des entreprises migreront vers Windows 7, alors que la date de la fin du support pour Windows XP approche », a écrit Ben Gray dans son rapport. Selon Forrester, les systèmes d'exploitation XP et Vista ont tous deux perdu des parts au profit de Windows 7 au cours des 12 derniers mois, Vista étant particulièrement touché, puisque l'OS est tombé de 11,3% en avril 2010 à 6,2% seulement en mars 2011.
Migration douce de Vista vers 7
Le suivi effectué par Forrester montre par ailleurs que Vista a culminé à 14% en novembre 2009, soit un mois après le lancement de Windows 7. « Ce n'est pas surprenant, mais les entreprises abandonnent Windows Vista en faveur de Windows 7 », a expliqué l'analyste. Peu après son lancement en janvier 2007, Vista avait été particulièrement critiqué par les utilisateurs, et démoli par la plupart des commentateurs et des analystes. Ben Gray fait remarquer que « le seul point positif à propos de Vista, c'est qu'il partage avec Windows 7 le même code de base, et les entreprises qui s'étaient engagées avec Vista ont pu migrer en douceur quand elles sont passées à Windows 7 ».
Mac OS X passé de 9,1 à 11% en un an
Avec 87,6% de tous les ordinateurs professionnels exécutant l'un de ses systèmes d'exploitation, Microsoft conserve son hégémonie au sein de l'entreprise. Mais, selon Ben Gray, certaines entreprises ont cédé à la pression des salariés qui demandaient à travailler avec leurs propres machines. [[page]]Cette tendance à la « consumérisation » de l'entreprise, comme l'ont surnommé les analystes, a été en particulier poussée par l'iPad d'Apple. Mais, comme l'indiquent les statistiques de Forrester, le Mac a également bénéficié de la tendance : plus de 1 salarié sur 10 utilise désormais un ordinateur Apple. « Entre avril 2010 et mars 2011, la présence de Mac OS X est passée de 9,1% à 11% », a déclaré Forrester. «Les salariés, attirés par le système bring-your-own, qui autorisait d'apporter sa propre machine au travail, ont rapidement compté sur un support technique pour Mac et iOS », écrit l'analyste.
Une diversité croissante de machines et d'OS
Les données de Forrester en matière de systèmes d'exploitation utilisés dans l'entreprise rejoint les tendances observées par d'autres analystes, y compris celles établies par des sociétés sur comme Net Applications, qui effectue une mesure globale de la présence des systèmes et des navigateurs sur Internet. Ainsi, selon Net Applications, en mars 2011, Windows XP détenait 54.4% du marché, contre 24,2% pour Windows 7, donc un peu en dessous pour XP et un peu au-dessus pour Windows 7 comparé à l'estimation faite par Forrester. (En mai 2011, la part de XP était tombée à 52,4%, tandis que Windows 7 avait grimpé à 25,9%). Pour établir ces résultats, Forrester a analysé les systèmes d'exploitation de 400 000 ordinateurs de 2 500 entreprises qui se sont connectés à son site Internet au cours de l'année écoulée.
Selon Ben Gray, « ces chiffres mettent en évidence les problèmes que doivent résoudre les services informatiques des entreprises », a t-il écrit. « Même si Windows 7 s'impose comme système d'exploitation dominant dans l'entreprise, les responsables informatiques vont continuer à être confrontés à une diversité croissante de machines et d'OS », écrit-il. L'utilisation de Windows XP et de Vista dans l'entreprise a diminué au cours des 12 derniers mois, alors que Windows 7 et Mac OS X ont gagné du terrain. (...)
5 fonctions de Mac OS X Lion
Lion est en route. Et pour préparer les utilisateurs aux changements, Apple a posté sur son site Internet la liste de toutes les nouvelles fonctionnalités - plus de 250 - de la future version de Mac OS X. Extraits de cette longue liste, 5 trucs sympathiques que le Mac sera capable de faire avec Lion.
Lion peut corriger, accentuer un texte, et proposer des définitions
S'inspirant de nombreuses astuces d'iOS, Lion apporte au Mac la capacité de corriger automatiquement les fautes d'orthographe et d'accentuer les lettres. Mac OS X 10.7 utilise pour cela les mêmes bulles pop-up que celles, bien connues et très appréciées, de ceux qui travaillent déjà avec des dispositifs sous iOS. Sous le mot que l'on est en train de taper, les éventuelles fautes sont mises en évidence et des suggestions apparaissent dans une bulle. Si l'on ne choisit une, le mot se souligne en bleu pour indiquer que le remplacement a bien été effectué. Il est également possible d'ajouter un accent à une lettre en maintenant enfoncée la touche de la lettre que l'on souhaite modifier. De la même manière, un menu pop-up apparaît, proposant toutes les combinaisons d'accentuation possible.
Lion permet également de voir la définition d'un mot ou d'avoir accès à un article Wikipedia en rapport, cela toujours via un menu pop-up. Ceux qui disposent d'un Magic Trackpad, pourront utiliser le double-clic à trois doigts pour faire apparaître la définition du mot ou du groupe de mots, une entrée de dictionnaire, et l'article Wikipedia, s'il est disponible. Sinon, le contrôle-clic sur le mot a le même effet.
Lion sait réaliser des recherches dynamiques
Cette version de Mac OSX rend la recherche dans le Finder ou dans Mail non seulement plus simple, mais aussi plus « intelligente ». Ainsi, lorsque l'on tape une requête dans le champ de recherche, l'ordinateur essaye précisément de suggérer les réponses qu'il estime pertinentes. Par exemple, en tapant « photoshop », il propose de trouver tous les fichiers Photoshop sur le disque dur. Il est possible de sélectionner ce critère de recherche, et d'ajouter des requêtes supplémentaires, en demandant par exemple de trouver tous les fichiers au format PSD nommés « chapeau » et obtenir ainsi des résultats plus précis.
Lion permet de fusionner des dossiers
Il arrive que l'on perde certains documents en remplaçant un dossier par un autre du même nom, même s'il se trouve à un endroit différent. On croit avoir synchronisé ses documents, mais en réalité on écrase les précédents et on perd l'historique de tout un travail.
La véritable solution aux problèmes de ce genre, c'est bien sûr d'effectuer des sauvegardes régulières. Mais Lion va permettre de résoudre définitivement ce problème grâce à un système de fusion de dossier et de préservation de fichier. Désormais, quand on essaye de déplacer un dossier vers un emplacement où il existe déjà un autre dossier du même nom, l'ordinateur demande si l'on souhaite fusionner les deux dossiers ensemble, plutôt que de proposer de remplacer l'un par l'autre. Les fichiers sont traités de la même façon : on ne peut évidemment pas fusionner un fichier avec un autre, mais sous Lion, l'ordinateur demande si l'on souhaite conserver les deux copies du même fichier au lieu de les écraser.
Lion sait transférer des fichiers depuis un PC
Grâce à Migration Assistant, Lion va faciliter la migration de ceux qui envisagent de passer au Mac. Cette application va permettre de déplacer facilement les fichiers, les comptes utilisateurs, et autres, depuis le PC de l'utilisateur vers le Mac. L'utilitaire Migration Assistant effectuera le transfert des données, soit au moment de la mise en route du nouveau matériel, ou plus tard.
Migration Assistant permet donc de transférer les comptes utilisateurs et les fichiers, mais aussi les comptes e-mails, les contacts, et les agendas de certains programmes (Microsoft Outlook, Outlook Express, Windows Mail ou Windows Live Mail). Pour ce faire, il suffit d'installer une petite application sur le PC, et de sélectionner les éléments que l'on souhaite transférer. Le transfert peut s'effectuer en WiFi, ou via une connexion Ethernet filaire établie entre les deux ordinateurs.
Lion sait dépanner et réinstaller le système sans CD
Pour réparer un disque ou effectuer une restauration à partir d'une sauvegarde, il est désormais inutile d'aller chercher un disque de démarrage externe, un CD de restauration, un câble FireWire, ou tout autre matériel. Avec Lion, le Mac dispose de sa propre partition de restauration préinstallée.
Cette partition, qui occupe à peine 600 Mo, est quasiment invisible. Elle reste cachée dans un coin du disque dur, jusqu'à ce que l'on en ait besoin. En maintenant la touche option enfoncée pendant le démarrage de l'ordinateur, la partition apparaît à côté de la partition principale sous le nom de Restore HD. Il suffit alors de cliquer dessus, et le Mac démarre en mode de récupération. À partir de là, il est possible de restaurer sa machine depuis une sauvegarde Time Machine, de réinstaller Mac OS X, de dépanner son système avec l'Utilitaire de disque, ou d'obtenir de l'aide en ligne en utilisant une version intégrée de Safari. Le navigateur permet de se connecter à internet, voire d'aller sur le site d'Apple et de prendre rendez-vous avec un technicien, au cas où l'utilisateur aurait besoin d'aide pour résoudre son problème.
(...)(15/06/2011 17:04:25)Patch Tuesday Microsoft : Première mise à jour pour IE9
Microsoft a émis 16 bulletins de sécurité dont 9 sont classés comme « critiques », qualification la plus importante et les 7 autres sont affectés du qualificatif « important ». Si le nombre de bugs corrigés est moindre que le record des 64 failles corrigées en avril dernier, il se classe en deuxième position sur l'ensemble de l'année. Parmi les différents bulletins, on distingue 34 vulnérabilités dont 15 ont été qualifiées de critiques, 17 ont été classées importantes et 2 ont été estampillées comme « modérées ».
Microsoft a mis un focus sur 4 des 16 bulletins pour souligner l'urgence à déployer rapidement ces correctifs. « Les priorités sont la MS11-050, MS11-052, MS11-043 et MS11-042 » précise Jerry Bryant, responsable du Microsoft Security Response Center (MSRC).
Le bulletin MS11-050 est prioritaire car il comprend 11 correctifs pour IE. « Celui-ci est au sommet de la liste, car c'est une tradition », a déclaré Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security et d'ajouter « mais c'est aussi la première mise à jour pour IE9 ».
Neuf des onze bugs corrigés dans IE pouvaient être exploités par des attaques de type « drive-by ». Pour que ces dernières soient effectives, il suffit d'amener les internautes à visiter un site web malveillant.
A noter que le bulletin MS11-052 affecte également IE, bien que Microsoft l'ait étiqueté comme une mise à jour Windows. « La vulnérabilité se trouve dans Windows, mais le vecteur d'attaque s'appuie sur Internet Explorer, » a déclaré Jerry Bryant. Seuls IE6, IE7 et IE8 peuvent être utilisés pour exploiter la vulnérabilité corrigée dans MS11-052, précise le responsable.
Des bulletins complémentaires sur Office et Windows
Les bulletins MS11-043 et MS11-042 corrigent une faille dans la façon dont Windows gère les protocoles SMB (Server Message Block), qui pourrait être utilisée dans une attaque de type « Browse and own ». Sur le côté positif, a déclaré Jerry Bryant et Andrew Storms, de nombreuses entreprises ont bloqué le trafic sortant SMB avec un pare-feu, ce qui empêcherait les exploits de la faille corrigée dans MS11-043.
Le bulletin MS11-045comprend une mise à jour de huit patch pour Excel. Sur les huit vulnérabilités, une seule affecte les versions les plus récentes, Excel 2007 et Excel 2010 sur Windows, deux touchent Excel 2011 sur Mac.« Il est manifestement clair que la suite Office récente est bien meilleure et plus sûre », a déclaré Andrew Storms.
Microsoft a également publié des mises à jour pour SQL Server, son produit Forefront Security 2010, le. NET Framework et la plateformes de développement Silverlight, ainsi que sur Hyper-V intégré à Windows Server 2008 et Server 2008 R2.
Les bulletins de sécurité de juin peuvent être téléchargés et installés via le Microsoft Update et Windows Update Services, ainsi que par Windows Server Update Services (WSUS).
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