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(04/05/2009 12:11:54)

Les ventes de netbooks septuplent au premier trimestre

Apple a eu beau peindre un portrait sombre des netbooks en leur reprochant leur clavier exigu et leur équipement minimaliste, ces PC ultra-portables et bon marché n'en connaissent pas moins un succès commercial d'ampleur. Selon IDC, leurs ventes au 1er trimestre 2009 auraient ainsi atteint 4,5 millions d'unités, soit sept fois plus qu'un an auparavant. Et sur cent PC écoulés au cours de la période, huit étaient des netbooks. Une performance d'autant plus remarquable que sur le même laps de temps, les livraisons totales, tous types de machines confondus, reculaient de 7%. A quelque chose malheur est bon : la crise, qui a contribué à éloigner les consommateurs du marché des PC, les a parallèlement incités à se tourner vers les netbooks, qui tirent ainsi largement leur épingle du jeu grâce à leurs prix plancher. Cette vitalité des ventes de netbooks illustre également, explique IDC, un usage des PC en mutation : depuis les étudiants qui n'ont besoin que d'une machine pour prendre des notes jusqu'aux professionnels nomades ne souhaitant pas se lester d'un ordinateur poids lourd, la course à la puissance devient un schéma éculé. « Les vendeurs prennent en considération la demande des consommateurs pour une informatique adaptée à leurs besoins réels. Tous ne nécessitent en effet pas la puissance d'un Core 2 Duo. La plupart du temps, l'utilisation d'un processeur ne dépasse pas 5% », précise l'analyste Jay Lou. Vers 50 millions d'unités en 2010 La vague sur laquelle surfe le marché des netbooks ne devraient pas se dégonfler cette année : IDC estime que le volume des ventes devrait doubler par rapport à 2008, pour atteindre 22 millions d'unités, avec des pics saisonniers sur les périodes de rentrée des classes et de fêtes de fin d'année. Aux yeux d'Acer, ces prévisions sont trop prudentes : le constructeur taiwanais, qui a su se hisser en tête des ventes avec son Aspire en dépit d'une entrée tardive sur le marché, table sur des ventes de 25 à 30 millions de netbooks en 2009, puis 50 millions en 2010. Rapportée aux projections des cabinets d'analyse, cette prédiction suppose qu'un PC sur quatre vendu l'année prochaine sera un netbooks. Si cette vaticination était avérée, le marché de la micro-informatique s'en trouverait certes dopé. Mais cela traduirait également un ralentissement important des revenus des grands constructeurs, dont le quart de l'activité PC serait alors constituée de machines peu dispendieuses et génératrices de faibles marges. Des marges d'autant faibles que les netbooks embarquent très majoritairement Windows : si, dans les premiers temps, les OS libres pouvaient permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu, l'inclusion presque systématique de Windows les oblige désormais à rogner sur leur bénéfice pour conserver des prix de vente attractifs. (...)

(30/04/2009 09:23:24)

HP intègre Insight Control à Microsoft System Center

HP annonce l'intégration de ses outils d'administration systèmes Insight Control dans la suite d'administration System Center de Microsoft. Insight Control comprend plusieurs outils de supervision pour les serveurs Proliant et les lames BladeSystem du constructeur. A compter de juin prochain, ils seront accessibles à partir de la console de Microsoft System Center. Les deux géants précisent qu'ils comptent accroître l'intégration entre leurs outils suivant une feuille de route qui s'étend jusqu'à l'an prochain. Rappelons qu'HP vient de lever le voile sur la suite d'administration BladeSystem Matrix qui englobe l'administration de ses serveurs lames et des éléments réseau et stockage qui s'y rattachent. (...)

(24/04/2009 17:54:52)

Microsoft conclut le pire trimestre de son histoire

Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft annonce un chiffre d'affaires trimestriel en baisse. La société qui, plus que toutes les autres, fonde l'informatique actuelle, enregistre une baisse de revenus de près de 6%, à 13,6 Md$. Dans la foulée, son résultat net s'effondre : -32% à 2,9 Md$. Ce tassement est d'une telle ampleur qu'il touche le résultat net cumulé sur neuf mois. Il baisse de 14%, à 11,5 Md$. Sur cette période, Microsoft parvient à afficher un CA en légère hausse (moins de 2%), à 45,3 Md$. Microsoft a pourtant serré les boulons ces derniers mois. Il est parvenu à réduire ses charges opérationnelles de 9%. Faute de procès, de paiements d'amende et de coûteux règlements à l'amiable ce trimestre, l'éditeur a pu réduire de 61% ses charges G&A (General and administrative). Il a cependant dû débourser 290 M$ de charges liés à 1100 licenciements. Le géant de Redmond n'échappe pas aux perturbations économiques La crise actuelle met en lumière les faiblesses du Microsoft. Au cours du trimestre, l'éditeur a été attaqué sur tous les fronts, mais ce sont les divisions Online et celles reliées à l'informatique personnelle qui ont le plus souffert. La division Services en ligne voit son CA chuter de 14,5%, à 721 M$ et, surtout, ses pertes se creusent encore : 575 M$ contre 226 M$ un an auparavant. La division loisirs et périphériques affiche aussi des pertes (31 M$, contre un résultat de 106 M$ il y a un an) sur un CA en légère baisse (-1,6%, à 1,5 Md$). Mais c'est sur la division Client (OS pour système individuel) que le retentissement de la crise est le plus remarquable : la vache à lait historique qu'elle représentait pour Microsoft n'est plus aussi prolifique, cette activité passe en troisième position du groupe en termes de revenus. Sur un CA en baisse de 15%, à 3,4 Md$, elle ne rapporte plus que 2,5 Md$ à l'éditeur. La sanction de cette baisse (-19%) est radicale : elle fait chuter le ratio CA/résultat opérationnel à 74%... Vista toujours boudé par les entreprises [[page]] Microsoft a dû casser les prix de Windows : alors que le nombre de licences vendu en OEM a baissé de 6%, le CA généré a chuté de 19%. Microsoft incrimine à la fois les netbooks (vendus avec du Windows XP à bas prix pour contrer Linux) et la morosité de la demande de "premium editions" par le marché professionnel. Comprenez, les entreprises ne veulent pas de Vista. Heureusement, la division Server and Tools voit son CA augmenter de 7%. Avec 3,4 Md$ engrangés, elle est devenue la deuxième division du groupe. Sa rentabilité progresse dans des proportions encore plus importantes avec un résultat opérationnel de 1,3 Md$ (+24%). Avec un ratio par rapport au CA de 39%, on est pourtant encore loin de la profitabilité des Windows clients. Microsoft souligne la progression des ventes de SQL Server, mais pas celle de Windows Server qui devrait pourtant être portée par les mises à jour vers la version 2008. L'intérêt pour la virtualisation ne doit pas être étranger à cette discrétion. Quant à la Business Division, dont 90% du CA provient des ventes de Microsoft Office et le reste du PGI (ERP) Dynamics, elle affiche des résultats mitigés. La plus importante division du groupe annonce un CA en baisse de près de 5%, à 4,5 Md$ et un résultat opérationnel en baisse de 8%. En cause, la chute de la demande du grand public (-30%, à 299 M$). Microsoft constate, outre la morosité générale du marché, un basculement ("shift") vers des "produits moins chers". Il doit s'agir de la suite bureautique gratuite Open Office. (...)

(21/04/2009 12:39:27)

Antitrust : Microsoft enregistre un ralliement face aux accusations de Bruxelles

Au tour de Microsoft d'enregistrer un renfort. Dans le cadre de la procédure antitrust ouverte par la Commission européenne pour un éventuel abus de position dominante née de l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows, Microsoft voyait se multiplier le nombre des éditeurs souhaitant épauler Bruxelles. Après Opera, auteur de la plainte initiale, Mozilla, Google, la Free Software Foundation et, plus récemment, le Comité européen pour les systèmes interopérables (Ecis) ont ainsi pris l'initiative de se ranger derrière l'exécutif européen contre Redmond. Mais avec le ralliement de l'Association for competitive technology (ACT), Microsoft est moins isolé face aux accusations d'abus de position dominante qui planent sur lui. L'ACT regroupe plusieurs PME du secteur technologique, aux côtés desquelles figurent également quelques grands noms comme Oracle ou Verisign. L'association compte parmi les fidèles soutiens de Microsoft : elle s'était déjà engagée en faveur de l'éditeur lors du précédent procès intenté par Bruxelles, qui avait abouti à la condamnation du géant de Redmond en 2004. Pour l'anecdote, notons qu'Oracle est à la fois membre de l'ACT et de l'Ecis, deux organisations défendant des positions diamétralement opposées dans le dossier en cours. ACT, le meilleur avocat de Microsoft « Il y a quelque chose de surréaliste dans le fondement même de cette affaire », exprime l'ACT dans un communiqué, arguant de ce qu'Internet Explorer « n'est même plus le navigateur numéro un en Europe ». Le groupement appuie cet argument sur une étude réalisée par StatCounter, selon laquelle Firefox 3 serait légèrement plus utilisé que IE7 par les internautes du vieux Continent. Cependant, ACT n'a fait qu'une lecture partielle des analyses de StatCounter : les chiffres montrent en réalité que l'ensemble des versions d'IE totalise une part de marché de 10 points supérieure à celle de Firefox 2 et 3 réunis. Et quand bien même ce ne serait pas le cas, l'argument employé par l'ACT n'en resterait pas moins fallacieux aux yeux de Bruxelles : « La part de marché d'IE importe peu, corrige une source proche de la Commission européenne. Ce qui compte, c'est qu'IE soit mis en selle en étant couplé à Windows, car cela en fait le navigateur par défaut de 90% des PC. » ACT, qui endosse dans cette affaire les atours de l'avocat de Microsoft, s'emporte également contre les sanctions évoquées, notamment la livraison de Windows sans IE. Ce remède contribuerait, selon le défenseur de l'accusé, à « nuire aux développeurs qui travaillent sur la plateforme Microsoft. Le code sur lequel repose IE inclut des fonctions dont de nombreux développeurs tirent parti à travers diverses API. Si ce code est enlevé, ces développeurs seraient contraints de réécrire et tester à nouveau leurs applications. » Microsoft a jusqu'au 28 avril pour communiquer ses réponses aux accusations formulées contre lui par la Commission européenne. (...)

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