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(24/09/2009 17:04:31)
Microsoft offre une solution temporaire à la faille de SMB 2
En attendant une rustine, Microsoft vient de publier une solution temporaire pour pallier la faille affectant SMB (Server Message Block) 2, son protocole maison pour l'impression et le partage de fichiers. Cette faille découverte le 7 septembre dernier, affecte les versions de SMB 2 sous Windows Vista et Windows Server 2008 [mise à jour]. Bien qu'aucune exploitation malveillante n'ait encore été recensée, Microsoft conseille aux utilisateurs de télécharger un programme automatique via la fonction Fix It et de le faire tourner sur les ordinateurs affectés. Il est également possible de désactiver complètement SMB 2, mais dans ce cas les communications d'une machine à l'autre seraient considérablement ralenties. (...)
(18/09/2009 17:11:56)Orsyp achète Sysload pour le contrôle de performance de datacenters
Le spécialiste français de l'automatisation de production Orsyp a conclu l'acquisition de la PME hexagonale Sysload le 15 septembre dernier. Celle-ci propose des outils de mesure et de contrôle de la performance des centres serveurs. Le montant de l'acquisition n'est pas communiqué mais François-Xavier Floren, PDG d'Orsyp laisse entendre qu'il se monte à près d'une année de son chiffre d'affaires(*). Le logiciel phare d'Orsyp, Dollar Universe, automatise certains traitements sur serveurs et vérifie qu'ils s'exécutent correctement en donnant toute visibilité aux opérateurs de production. Ces traitements peuvent provenir aussi bien d'applicatifs maison que de progiciels du marché comme l'ERP de SAP, Oracle Financial, Peoplesoft ou Microsoft Dynamics. « Il peut s'agir d'une tâche de chargement des données clients dans SAP ou de l'intégration des données de trafic dans la facturation pour un opérateur télécoms », détaille Jean-Michel Breul, CTO d'Orsyp. Dollar Universe s'exécute dans des environnements Unix, mainframe et Windows ainsi que, de plus en plus, dans des univers de virtualisation comme ESX de VMware ou Hyper-V de Microsoft, mais aussi ceux des Unix d'IBM ou de HP. Unijob, l'autre offre de l'éditeur, standardise et automatise les traitements liés à l'infrastructure, au niveau du système, du middleware ou du SGBD. La corrélation des informations remontées par les outils d'Orsyp et Sysload Les offres de Sysload présentent une complémentarité évidente avec celles d'Orsyp, puisqu'elles collectent des données de mesure de performance des datacenters et identifient les niveaux de saturation des serveurs. En corrélant les informations remontées par Dollar Universe et UniJob, d'une part, et de SP Analyst de Sysload, d'autre part, l'éditeur proposera par exemple à ses clients de décaler certaines tâches non prioritaires en cas de dépassement de la capacité serveurs. « On peut aussi imaginer, dans un tel cas, de demander au système de virtualisation d'affecter davantage de ressources à certains traitements », ajoute Jean-Michel Breul. Selon l'acquéreur, l'intégration des deux offres sera plutôt simple. « Les produits ont des architectures similaires qui s'appuient entre autres sur des consoles Web et des agents, détaille Jean-Michel Breul. Il s'agit d'assurer la meilleure qualité de service possible.» Par le biais de ces outils et des informations qu'ils remontent, Orsyp souhaite aussi proposer aux responsables de production de dessiner des tendances d'utilisation de l'infrastructure et de devenir force de proposition quant à l'évolution de celle-ci. Comme le note Jean-Michel Breul, c'est la virtualisation qui apporte aujourd'hui une plus grande criticité aux environnements serveurs et fait émerger le besoin d'outils plus pointus. Alors que les serveurs étaient en général occupés à 20% en moyenne, et disposaient ainsi involontairement d'une marge de manoeuvre, ils sont désormais à 70% de leurs capacités. Une entreprise détenue par ses dirigeants et forte à l'international Installé à Paris, Orsyp est présent dans huit autres pays, dont les Etats-Unis où il réalise la 2e plus importante partie de son chiffre d'affaires. De 245 personnes, l'entreprise va passer à 280 après l'absorption de Sysload (et environ 40 M€ de CA). Pour servir ces clients, l'entreprise répartit de plus en plus son activité à l'international. Elle réalise 30% de son CA hors de France et a décidé de s'implanter à Hong-Kong. Sa R&D est partagée entre la France, la Roumanie et le Canada, et le marketing sera totalement transféré aux Etats-Unis dès Noël. « Nous avons un millier de clients -aux alentours de 1 200 avec Sysload- qui sont tous de grands comptes, complète Francois-Xavier Floren, PDG. Tous ont une infrastructure IT imposante ou une activité qui en exige une. » Ces entreprises évoluent dans la finance, le commerce ou les télécoms. Il s'agit par exemple de Federal Express, Cisco, France Télécom ou PSA. « L'an dernier, pendant la crise, nous avons gagné 70 grands comptes dont ADP GSI, Warner Bros, General Electric aux US », raconte le PDG. Pour François-Xavier Floren, les raisons sont nombreuses pour que la fusion avec Sysload réussisse. « Nous sommes un éditeur indépendant qui appartient à ses dirigeants et nos choix d'investissements sont cruciaux. Nos deux entreprises sont des entreprises technologiques, et sont toutes deux des spécialistes et non des généralistes.» (*) 32 M€ en 2008 (...)
(14/09/2009 13:40:03)Jusqu'à une vingtaine d'heures pour installer Windows 7 !
Vendredi dernier, Microsoft a expliqué que dans certains cas, les mises à niveau de Windows Vista vers Windows 7 pouvaient demander une vingtaine d'heures ! Sur son blog TechNet Chris Hernandez , qui travaille dans l'équipe déploiement de Windows, rappelle toutefois que, dans le meilleur des cas, la procédure demande 1 heure et 24 minutes. Avec "une installation propre ", où l'utilisateur remplace une édition existante de Windows, mais sans conserver les données et les anciennes applications, la mise à jour prend de 27 à 46 minutes. Chris Hernandez précise que les différents temps de mise à niveau ont été obtenus en laboratoire à partir de trois configurations différentes - des PC d'entrée, de milieu et de haut de gamme - avec trois utilisateurs simulés : moyen, exigeant et Power User. Les profils diffèrent quant à la quantité de données et au nombre d'applications présents sur le PC avant la mise à niveau vers Windows 7. L'utilisateur moyen disposait de 70 Go de données et 20 applications, alors que le Power User stockait 650 Go et utilisait 40 logiciels. «L'un des principaux objectifs de Windows 7 était de faire mieux que Vista», explique Chris Hernandez sur son blog. «En tant que membres de l'équipe de mise à jour de Windows, nous avons contrôlé les performances d'installation de Seven en prenant comme base de référence Vista." L'objectif de Microsoft, a-t-il ajouté, était de procéder à un déploiement de Windows 7 sur un PC équipé de Vista Service Pack 1 (SP1) au moins 5% plus rapide qu'une réinstallation de Vista SP1 sur une ancienne version de Vista SP1. Et les tests effectués par Microsoft montrent fort judicieusement que le temps de mise à niveau vers Windows 7 est plus rapide ou offre au minimum un gain de 5% à par rapport à une réinstallation de Vista SP1. Un tableau publié sur son blog montre que, dans chaque situation, l'installation de Windows 7 a été 5% plus rapide que celle de Vista SP1. 16 scenarios de mise à jour avec Seven 32 et 64 bits Mais ces résultats révèlent également que plusieurs scénarios de mise à niveau ont demandé un temps extrêmement long. Sur les 16 types de déploiements avec les versions 32 et 64 bits de Windows 7 - trois pour chacun des utilisateurs moyens et exigeants, deux pour le Power User, -seuls quatre ont été effectués en moins de deux heures, et huit en moins de trois heures. Le record de vitesse, selon les tests de Microsoft, est celui de l'utilisateur moyen avec 84 minutes pour passer de Windows Vista à Seven 64 bit sur un PC haut de gamme. Mais la plupart des mises à niveau sont très éloignées de cette durée. L'installation la plus lente en 32 bits, par exemple, a eu lieu sur une configuration de Power User installée sur une machine moyen de gamme - Microsoft n'a pas pris la peine d'essayer ce profil sur un système d'entrée de gamme - avec un temps de 20 heures et 15 minutes. La mise à jour 64 bits la plus longue a demandé 10 heures et 8 minutes. Entre 1h40 et 2h50 pour un utilisateur moyen [[page]]La publication de ces temps extrêmes a bien sûr entrainé des commentaires de Chris Hernandez : "Le profil du Power User n'est pas celui d'un utilisateur normal, mais plutôt celui d'une personne qui travaille avec énormément de données et installe un grand nombre d'applications. Il n'est pas représentatif des utilisateurs les plus courants, qui stockent généralement moins de données et qui expérimenteront donc une mise à jour beaucoup plus rapide" Même ainsi, les chiffres de Microsoft montrent que les utilisateurs moyens - avec 70 Go de données et 20 logiciels - ont besoin de 1h40 à 2h50 pour faire une installation de Windows 7 (32-bit). Plus le PC est puissant, plus la mise à niveau sera rapide, selon Microsoft. Pour les utilisateurs exigeants, (125 Go de données et 40 applications), il faudra compter entre 2h40 et 5h43. Pas de test pour le passage de XP vers Seven Les installations propres (clean install) ont elles-aussi été beaucoup plus rapides, ce qui n'est guère surprenant puisqu'elles ne nécessitent la récupération d'aucune donnée ni application. Ce type d'installation en 32-bits a demandé entre 27 et 39 minutes, tandis qu'il a fallu entre 30 et 47 minutes pour le même processus en 64-bits. Ces tests, bien sûr, ne prennent pas en compte le temps nécessaire pour transférer les données sauvegardées de l'utilisateur, réinstaller ses applications et renseigner ses préférences (messagerie, signets, mots de passe, raccourcis réseau, paramètres divers...). Microsoft n'a pas testé de mises à niveau de Windows XP vers Seven, même si une installation propre est la seule migration possible entre ces deux systèmes d'exploitation. Mais les utilisateurs qui souhaitent passer de Windows XP vers Seven doivent s'attendre à des temps comparables aux scénarios "installation propre". Encore une fois, ces temps ne prennent pas en compte la restauration des données, des logiciels et des préférences. Ces deux dernières étapes étant particulièrement laborieuses. Pour les installations propres, les utilisateurs sous Windows XP ou Vista peuvent utiliser l'utilitaire Windows Easy Transfer qui sauvegarde sur 7 DVD les données et les paramètres d'un PC. (...)
(08/09/2009 13:08:10)Microsoft affiche un optimisme prudent pour les lancements de Windows 7 et Office 2010
Microsoft n'avait (presque) aucune annonce à faire, mais quelque 120 journalistes se sont tout de même rendus à sa désormais traditionnelle conférence de presse de rentrée, hier, lundi 7 septembre. Il faut dire que ce rendez-vous de l'éditeur est devenu incontournable, tant il donne le pouls de l'année à venir : les sorties de produits Microsoft vont en effet rythmer le calendrier de toute l'industrie. Que ce soit du côté des offres purement professionnelles comme Windows 2008 Server R2, SQL Server 2010 ou Visual Studio 2010, ou des offres à la fois pour les entreprises et le grand public, comme Windows 7 ou Office 2010. Microsoft dégainera l'artillerie lourde le 6 octobre, avec la venue en France de Steve Ballmer pour le lancement de Windows Phone, la nouvelle dénomination des appareils mobiles sous Windows Mobile 6.5. L'éditeur, qui a beaucoup de retard à rattraper dans ce domaine, accompagnera son système d'une place de marché ouverte aux développeurs tiers, et d'un intéressant service, 'MyPhone', de synchronisation et de sauvegarde automatique en ligne des données du mobile. « Les problèmes de Vista sont aujourd'hui résolus » Néanmoins, le plus important pour Microsoft reste le lancement de Windows 7, disponible en version finale depuis quelques jours pour les entreprises, et qui sera officiellement commercialisé auprès du grand public le 22 octobre. Echaudé par l'échec commercial de Vista à ses débuts, Microsoft dit se montrer prudent, mais « très confiant ». Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, explique cet optimisme prudent de plusieurs façons. D'abord, les « problèmes de Vista au début par rapport au poids du système et à la compatibilité des applications » seraient « aujourd'hui résolus ». Il est vrai que « pour la première fois de son histoire », un système d'exploitation de Microsoft sera moins gourmand en ressources que son prédécesseur. Les machines ayant continué d'évoluer entre temps, les migrations ne devraient pas poser de souci en termes de performances. En revanche, Seven étant basé sur le même noyau que Vista, il ne faut pas s'attendre à des miracles : les matériels anciens utilisés avec XP et non supportés par Vista ne le seront pas non plus par Windows 7. D'après Marc Jalabert, cela concernerait seulement 5% des périphériques. Autre raison d'espérer pour Microsoft, « on a de bons signaux pour la mise à jour ». Les retours sur les versions bêta et RC sont très bons, le public s'est rué sur les précommandes à tarif réduit, et Marc Jalabert ne doute pas que les entreprises passeront directement de XP à Seven. Mais il se refuse à donner un objectif, arguant que « les migrations en entreprises prennent du temps ». Le système de mise à jour proposé aux entreprises devrait faciliter les choses, de même que le mode XP pour Windows 7, qui permet d'exécuter des applications conçues pour XP dans une machine virtuelle apparaissant comme une simple fenêtre sur l'écran. Pour le grand public, beaucoup d'efforts sont prévus en matière de tarification (un pack Famille proposera le système d'exploitation à 150 euros pour trois ordinateurs) et de pédagogie : 1400 journées d'animation seront organisées dans les magasins, et un « Windows Café » sera même ouvert dans Paris. Office 2010 complétée par une version en ligne, Office Web Apps [[page]] La question de la migration en entreprise se reposera au printemps 2010 avec la sortie de la nouvelle version d'Office. Qui s'accompagne enfin d'un système collaboratif, et sera complétée par une offre bureautique en ligne, Office Web Apps. Similaire, dans le concept, aux Google Apps, ces Office Web Apps, accessibles aux utilisateurs disposant d'un compte Live et d'un espace de stockage SkyDrive, reproduisent dans le navigateur l'interface à base de rubans apparue dans Office 2007. « On le fera mieux que Google » Brique de la stratégie Software plus Services (S+S) de Microsoft, Office Web Apps est bien positionné comme un complément et non comme un outil de remplacement d'Office. Aucun système n'est d'ailleurs prévu pour gérer un stockage en local en cas de déconnexion du Web, par exemple - quand bien même Microsoft dispose d'outils comme Mesh, pour synchroniser les données. Il reste donc un peu de chemin à parcourir, alors que Google dispose de Gears, et prépare son offre Wave. Cela n'entame pas l'optimisme de Marc Jalabert : « On y va, et on le fera mieux que Google. » Côté serveur, Microsoft insiste aussi sur le choix offert aux entreprises, avec d'un côté des logiciels à installer comme Windows Server 2008 R2 ou Exchange 2010, et de l'autre des offres en ligne commercialisées directement par Microsoft (comme Azure) ou vendues par ses partenaires, comme la messagerie hébergée. « Dans tous les cas, explique Marc Jalabert, l'important est le fait d'utiliser Exchange, pas la façon dont on y accède ». Un tout nouveau bâtiment de 35 000 m² pour les 1700 collaborateurs français de Microsoft En conclusion de ces présentations, Eric Boustouller, président de Microsoft France, a rappelé l'enracinement de Microsoft dans la société française et toutes les raisons qui le poussent à être optimiste. Après 25 ans de présence, Microsoft compte aujourd'hui 1 700 collaborateurs en France, épargnés par le plan de licenciement mis en place par l'éditeur au niveau mondial. Microsoft France, désigné meilleure filiale à l'issue du dernier exercice fiscal, vient d'ailleurs d'inaugurer ses tout nouveaux locaux en bord de Seine à Issy, 35 000 mètres carrés à proximité de HP France, Cisco France, Steria... La plus grosse ombre au tableau pour Microsoft pourrait être la performance de la division grand public et services en ligne. Après 1,33 Md$ perdus au niveau mondial en 2007/2008 dans les services en ligne, Microsoft y a englouti 2,2 Md$ l'année dernière. Fort de ses 27 millions d'utilisateurs de ses services Live, l'éditeur a confirmé qu'il n'entendait pas abandonner ses efforts dans ce domaine, comme le prouvent le lancement de Bing (dont la version française doit bientôt être finalisée) et l'accord conclu avec Yahoo. C'est, explique Olivier Marcheteau, responsable de la division pour la France, « une stratégie qui portera ses fruits ». (...)
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