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Urbanisation et SOA
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(18/03/2009 09:28:43)
IBM serait en pourparlers pour acheter Sun
Selon le Wall Street Journal qui a contacté des sources proches des deux enterprises, IBM serait en discussion pour acheter Sun Microsystems. La publication signale que l'opération pourrait être concrétisée dès cette semaine et estime à 6,5 Md$ le montant de la possible transaction. Les rumeurs d'un rachat de Sun ne sont pas nouvelles. Et qu'il s'agisse de Java, du cloud computing, des datacenters, du marché des télécoms, les raisons pour IBM d'être candidat ne manquent pas. Sans surprise, ni IBM, ni Sun, contactés en France, ne souhaitent commenter ces rumeurs. (...)
(13/03/2009 16:15:42)IBM veut renforcer la modularité de WebSphere grâce à OSGi
Les travaux de modularisation de WebSphere entrepris avec la version 6.1 sont encore à l'ordre du jour. S'exprimant à l'occasion de la conférence SD West 2009, Savio Rodrigues, chef produit WAS (WebSphere Application Server) d'IBM, a expliqué vouloir aller vers des composants de plus en plus fins. « Dans les versions futures, a-t-il dit, nous allons étendre notre travail avec OSGi pour rendre le serveur d'applications encore plus modulaire, de façon à ne plus avoir qu'à démarrer des [services spécifiques]. » Au lieu de lancer toute la couche de support des services Web, par exemple, WebSphere pourrait ainsi activer seulement le module dont une application a besoin. OSGi est un standard conçu pour intégrer des composants dans une architecture globale. Développé à l'origine pour l'environnement de développement Eclipse, il fait petit à petit son chemin dans les serveurs d'applications Java. IBM a commencé s'appuyer dessus dès la version 6.1 de WebSphere, et JBoss de Red Hat suit le même chemin. Toutefois, aucun ne repose entièrement dessus, à l'opposé du tout neuf dm Server de Springsource, conçu dès l'origine dans un souci de modularité. De même, depuis sa version 5, Jonas du consortium OW2 repose sur une passerelle OSGi. « La réécriture complète a pris deux ans, commente François Exertier, leader du projet dans OW2 et manager de l'équipe R&D Open Source de Bull. Aujourd'hui, tous les services techniques sont délivrés sous forme de composants OSGi. Cela permet par exemple d'arrêter un service - et les services avec lesquels il existerait des dépendances - sans arrêter le serveur. » Changer la configuration sans redémarrer le serveur Savio Rodrigues a donc indiqué qu'IBM entendait aussi faire bénéficier les développeurs travaillant sur WebSphere des avantages de l'architecture OSGi : « Un serveur d'applications plus léger, qui démarre plus vite, et que vous n'avez pas à redémarrer quand vous changez sa configuration ; toutes choses que vous vous attendez à trouver dans WebSphere, et sur lesquelles nous devons travailler. » Le chef produit a par ailleurs indiqué que la plateforme middleware d'IBM devrait prochainement supporter des langages de script en sus de PHP et Groovy, déjà utilisables pour sMash, le tout jeune outil de création rapide d'applications composites (mash-up) d'IBM. Python et la plateforme Ruby on Rails devraient faire leur apparition dans sMash comme dans WebSphere. (...)
(02/03/2009 18:11:22)Tribune libre : l'architecture d'entreprise au service de l'alignement métier/SI
Comment garantir un bon alignement entre le métier et le système d'information ? La question s'est toujours posée, et est quasiment devenue tarte à la crème ces derniers temps. Philippe Desfray, vice-président R&D de Softeam, s'essaie toutefois à répondre, dans une tribune libre publiée dans notre blog experts. Pour lui, cela passe par une démarche globale d'architecture d'entreprise. Laquelle s'appuie sur une méthode, des outils, des standards, permettant un véritable partage des connaissances dans l'entreprise. Cette connaissance doit se formaliser dans un modèle. Mais attention, prévient Philippe Desfray, il faut plusieurs niveaux de formalisation, afin d'éviter de « calquer le SI sur les dysfonctionnements internes d'une entreprise ». Philippe Desfray développera son point de vue lors de la conférence annuelle de la communauté Sustainable IT Architecture, le 30 avril prochain (LeMondeInformatique.fr est partenaire presse de l'événement). (...)
(06/02/2009 15:08:18)L'Open Group veut simplifier l'architecture des SI avec la version 9 de Togaf
Le monde de l'architecture des systèmes d'information avait cette semaine les yeux braqués sur San Diego, où se tenait la conférence de l'Open Group. La raison: le consortium avait annoncé son intention d'y dévoiler officiellement la version 9 de son référentiel, Togaf (The Open Group architecture framework). Comme l'explique Eric Boulay, représentant de l'Architecture Forum de l'Open Group en France et PDG d'Arismore, Togaf « est un corpus de connaissance qui a pour objectif de professionnaliser le métier d'architecte. En oeuvrant à l'émergence de ce standard libre d'accès, l'Open Group donne à l'industrie un cadre de transformation de ses systèmes d'information, charge à chaque entreprise de l'utiliser pour définir ses standards et ses processus dans le but de fédérer l'ensemble des parties prenantes et des points de vue. » En l'occurrence, la version 9 donne plus de latitude aux architectes pour travailler ensemble de façon parallèle, grâce à une approche plus modulaire. Pour nombre d'analystes, cela devrait faciliter son adoption, car cette modularité permet de s'adapter à des besoins et à des rythmes spécifiques. Cette version prend également mieux en compte le développement d'applications orientées services, pour les SOA (architectures orientées services), grâce à « une revue détaillée de l'usage de l'ADM [Architecture development method] répondant aux transformations d'infrastructure de type SOA », explique Eric Boulay. Un vocabulaire commun et une méthode pour apaiser les tensions autour des SOA Surtout, en apportant un cadre méthodologique partagé entre les architectes, les urbanistes et les DSI, Togaf apporte un moyen d'établir un langage commun. « Le métier de transformation des SI que porte volontiers l'architecte d'entreprise est ainsi formalisé dans un cadre qui dépasse celui de la modélisation (urbanisme et architecture technique) pour rejoindre le plan stratégique et la gouvernance », estime Eric Boulay. Ron Tolido, un des directeurs techniques de Capgemini (et aussi membre de l'Open Group), pointe dans son blog plusieurs commentaires enthousiastes, dont un analyste qui pense que cela pourrait mettre fin au débat sur la mort des SOA. De fait, le A de SOA a souvent été oublié, et une méthode standard d'architecture, qu'il s'agisse de Togaf ou d'une autre, s'avère un bon point de départ pour éviter les déceptions. (...)
(06/02/2009 11:08:44)LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(05/02/2009 13:05:13)Tibco veut accélérer le middleware avec un serveur spécialisé
Le circuit intégré spécifique est l'avenir du middleware, du moins à en croire Tibco. L'éditeur de RendezVous, bus de communication entre applications, lance en effet sa première solution matérielle, un serveur spécifique ('appliance') dont le rôle est d'augmenter les performances de sa messagerie interapplicative en remplaçant l'exécution des fonctions de RendezVous sur un serveur généraliste par du code exécuté directement par des puces programmées à cet effet. Le middleware doit filtrer et router de plus en plus de messages, explique en substance Tibco. Or le volume de messages échangés explose, notamment dans le secteur financier (où il faut surveiller des flux de données gigantesques) et partout où vient s'insérer de la RFID, cette technologie radio qui attribue à chaque objet un identifiant unique - ce qui génère autant de flux de données. Tibco s'est d'ailleurs fait l'apôtre des solutions de gestion des événements complexes, qui consistent à surveiller tous ces échanges de données pour faciliter la prise de décision et le déclenchement de processus métier. L'argument Green IT de Tibco : remplacer 10 serveurs par 1 appliance Gérer tous ces flux de données avec des solutions logicielles et des serveurs classiques finirait par devenir très consommateur de ressources et anti-écologique, avance Tibco, qui explique que son 'appliance' multiplie par 10 les capacités de traitement en terme de volume de messages interapplicatifs échangés. D'où l'argument très Green IT : un seul serveur spécialisé de Tibco peut remplacer 10 serveurs généralistes. Ce gain de performances s'explique par l'exploitation de deux techniques, des circuits intégrés spécialisés (Asic, application-specific integrated circuit) et des puces reprogrammables (FPGA, field-programmable gate array). Le Tibco Messaging Appliance P-7500 sera disponible en trois versions, suivant le nombre de ports souhaités et leur débit. L'emploi de serveurs spécialisés dans le middleware s'est développé depuis une dizaine d'années, d'abord à cause de l'apparition du verbeux langage XML, qui a eu tendance à peser sur les performances, puis à cause de l'accumulation des protocoles WS-* liés aux services Web. Sont ainsi apparues des passerelles chargées de filtrer les messages et même des fournisseurs spécialisés dans ce type de produit, comme Layer 7. (...)
(27/01/2009 15:45:04)Annuels Software AG : l'offre SOA webMethods tire la croissance
Pour Software AG, qui affiche un chiffre d'affaires 2008 en hausse de 16% à plus de 720 M€, les architectures orientées services sont loin d'être en déclin. Alors que l'avis de décès des SOA vient d'être prononcé par une analyste du Burton Group (suscitant moult commentaires indignés), l'analyse des résultats annuels de l'éditeur allemand montre en effet combien sa division intégration, webMethods, est devenue le relais de croissance escompté lors de l'acquisition de l'Américain. En avril 2007, Software AG présentait son offre amicale d'achat de webMethods, et dévoilait son ambition d'atteindre le milliard de dollars de chiffre d'affaires d'ici à 2011. Le CA de l'éditeur américain d'outils d'intégration (SOA et BPM) tournait alors autour des 200 M$. En 2008, le CA de la division webMethods a augmenté de près de 33%, pour atteindre 315,7 M€. Toutefois, en raison du contexte économique, Karl-Heinz Streibich, CEO de Software AG, se montre prudent sur les perspectives 2009 : il attend entre 4% et 10% de croissance pour sa division SOA cette année. webMethods représente 44% du chiffre d'affaires total L'offre traditionnelle de Software AG (la division ETS, qui regroupe Adabas et Natural), affiche une croissance bien plus modeste, de 5,7%, mais reste dominante dans le CA total : 404,9 M€ sur 720,6 M€, soit 56% des revenus globaux. L'éditeur indique avoir connu un certain succès au Brésil avec cette offre, qui expliquerait sa bonne tenue en 2008. Pour 2009, les perspectives de croissance sont stables pour la division ETS : entre 4 et 6%. Software AG, qui ne souhaite pas commenter ses résultats, explique simplement que l'établissement de la division webMethods est un gage de croissance à long terme pour la société. Il faut noter toutefois que l'offre est bien plus complexe à vendre que l'offre traditionnelle, qui bénéficie d'une importante base installée. Les 315,7 M€ de webMethods ont ainsi été réalisés au prix de 208,6 M€ de dépenses en ventes, marketing et frais de distribution. Alors que les 404,9 M€ de la division ETS n'ont coûté que 159,2 M€. (...)
(27/01/2009 12:40:48)Le SaaS dopé par la crise, selon IDC
IDC estime que le modèle du SaaS (software as a service) va connaître une forte accélération du fait de la crise économique. Il représente une solution de rechange face à toutes les formes de commercialisation actuelles du logiciel rarement rentables. Actuellement, les clients recherchent des formules simples de souscription alors que les vendeurs et leurs partenaires intégrateurs veulent des revenus récurrents. Tout cela conduit IDC à projeter une croissance de 36% pour le marché du Saas en 2009 dans le monde, contre 42% en 2008. L'autre grande nouveauté de 2009 sera la montée en puissance du marché sur les régions EMEA et Asie-Pacifique qui représenteront 35% du marché mondial. Jusqu'alors, ce sont essentiellement les Etats-Unis qui font le succès des formules en Saas. D'ici 2010, le nombre d'entreprises américaines qui passeront par ce modèle pour leurs applications devrait atteindre 45% contre 23% en 2008. (...)
(26/01/2009 12:43:25)Oracle adapte Tuxedo aux spécifications SCA
Désormais disponible en version 10g R3, le vénérable moniteur transactionnel Tuxedo continue son adaptation aux architectures orientées services (SOA), entamée avec BEA, cette fois sous l'égide d'Oracle. Pour la première mise à jour de Tuxedo depuis le rachat de BEA il y a un an, Oracle confirme en effet l'orientation services Web prise par BEA avec sa technologie Salt (Services architecture leveraging Tuxedo). Le but de Salt est d'exposer des fonctionnalités du moniteur transactionnel sous forme de services, afin de les inclure dans une SOA. La version 2.0 de Salt, présentée en octobre 2007, s'ouvrait aux services bi-directionnels, et supportait le protocole WS-Security. Avec Tuxedo 10g R3, Oracle ajoute le respect des spécifications SCA (Service component architecture) dont le but est d'établir un modèle de référence pour le développement de produits destinés à s'insérer dans des SOA, afin de faciliter l'intégration entre les produits de différentes provenances. Elaboré par 18 éditeurs dont Oracle, SCA a été soumis à l'Oasis au printemps 2007, et est désormais régi par l'organisme de standardisation. Oracle a par ailleurs fait en sorte d'intégrer au mieux Tuxedo avec le reste de son portefeuille de produits middleware, notamment la suite de gestion des identités et Clusterware, son offre pour 'clusteriser' les applications. Dans tous les cas, Oracle semble rester fidèle à sa promesse : Tuxedo continue d'évoluer, mais sans présenter de dépendances à d'autres produits ou technologies Oracle. Tuxedo était un des joyaux du portefeuille de BEA. Fin 2007, alors que BEA faisait en sorte qu'Oracle augmente son offre, Massimo Pezzini, expert en middleware chez Gartner, soulignait que Tuxedo n'avait pas d'équivalent chez Oracle. Et quelles que soient les vertus des derniers serveurs d'applications Java, les moniteurs transactionnels restent inégalés pour ce qui est de supporter des nombres de transactions très élevés avec des temps de réponse satisfaisants. (...)
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