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Urbanisation et SOA

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(25/11/2009 13:49:28)

Enquête : Netweaver en mode maintenance ? SAP nie farouchement

Une rumeur a récemment jeté le trouble sur la stratégie et les ambitions de SAP pour ses produits middleware, regroupés sous la bannière Netweaver. Suite aux bruits de cet été laissant entendre que SAP pourrait racheter Tibco, nombre de spécialistes du secteur ont supputé que SAP mettrait Netweaver en mode maintenance, et que des SSII partenaires se désintéressaient de la technologie. Jusqu'au cabinet d'analystes Forrester, qui a mis les pieds dans le plat, en publiant une note saignante il y a quelques jours. Dans son analyse, John Rymer écrit que SAP compte délaisser le marché des outils d'infrastructures, et transférer ses investissements sur le segment décisionnel de l'offre Netweaver. « Quiz : où va SAP avec Netweaver ? Nous ne pouvions pas non plus répondre à cette question, donc nous avons fait le déplacement à la conférence TechEd en octobre pour y voir plus clair. » Mais, ajoute John Rymer, « SAP n'a pas fourni d'indication claire sur la direction prise avec Netweaver ». Responsable des offres SOA (Architectures orientées services) chez SAP France, Thierry Pierre ne cache pas son étonnement, voire sa colère, face à cette analyse. « La feuille de route est annoncée jusqu'en 2012, la version 7.2 va être lancée à la fin de l'année, les plans de bataille sont arrêtés sur le BPM [Business process management, gestion des processus métier] et le MDM [Master data management, gestion des données de référence], l'offre ILM [Information lifecycle management, gestion du cycle de vie des informations] est toute nouvelle de cette année... On a des feuilles de route en quantité, donc je suis un peu surpris ! » « On a mis du temps à faire des applications agnostiques, mais là, ça y est, elles le sont » Thierry Pierre reconnaît quelques faiblesses, notamment sur la partie intégration, où SAP n'a pas la prétention d'aller concurrencer des 'pure-players', des spécialistes du secteur. « On est arrivé un peu en retard sur la bataille des portails ou des serveurs d'applications, par exemple. » Un point sur lequel appuie l'analyste de Forrester, en comparant les parts de marché de Netweaver - qu'il arrondit à 0% - avec des serveurs d'applications comme Tomcat, Jboss, WebSphere ou Weblogic. Du coup, John Rymer en conclut que SAP n'engagera pas de bataille pour gagner des clients en-dehors de ceux qui utilisent déjà son offre progicielle. De son côté, Thierry Pierre considère que c'est faire un faux procès à SAP que d'estimer que son offre middleware ne convient qu'à des environnements SAP. « Certes, on a mis du temps à faire des applications agnostiques, mais là, ça y est, elles le sont. Dans le MDM, on a même fait des affaires où il n'y a pas de progiciel SAP. » Quand l'analyste de Forrester dit ensuite que ce sont les gens venus de Business Objects qui guident la stratégie middleware de SAP, vers le décisionnel et la gestion des processus métier, Thierry Pierre s'insurge encore. « Le patron du développement chez SAP ne vient pas de BO, il y a vraiment eu un bon mélange de fait, au contraire. » Il reconnaît en revanche que cette année, le TechEd a fait la part belle aux outils orientés décisionnel, « car cela correspondait à la sortie d'Explorer ». Les responsables Netweaver de GFI et SQLI misent sur un rachat de Tibco [[page]] Les responsables Netweaver de GFI et SQLI misent sur un rachat de Tibco Le monsieur middleware de SAP réfute aussi l'idée que SAP n'innoverait plus dans le middleware. John Rymer illustre cette impression avec deux exemples : contrairement à Oracle et IBM, SAP ne propose pas d'outil de cache distribué ni d'outil de CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes). Thierry Pierre explique au contraire que SAP continue d'investir dans de nouvelles offres, telles que l'ILM, le MDM ou la gestion des identités. La seule chose sur laquelle Thierry Pierre et John Rymer s'accordent, c'est le fait que SAP ouvre de plus en plus ses technologies. Mais là où Thierry Pierre parle de l'importance des partenariats et de la « co-innovation », l'analyste de Forrester estime qu'il s'agit d'une stratégie à même de préparer le futur : l'offre progicielle de SAP pourra ainsi de plus en plus s'appuyer sur des composants standards, éventuellement Open Source, plutôt que sur des couches d'infrastructure développées par SAP. « Il n'y a pas de raison de penser que le processus d'acquisition n'aboutisse pas » Témoins extérieurs mais ayant la lourde tâche de décider d'investir ou non dans les technologies Netweaver, Jean-Christophe Turlan, directeur de la division SAP de GFI Informatique, et Grégory Hermel, directeur de l'entité SAP NetWeaver au sein de EoZen (le pôle dédié SAP du Groupe SQLI), nous ont dit être totalement confiants. « On continue d'investir massivement, aussi bien en R&D, qu'en formation ou en développement des offres », indique par exemple Jean-Christophe Turlan. Toutefois, ce dernier considère plutôt la partie infocentre (entrepôt de données et outils décisionnels) de Netweaver que la partie infrastructure (reprenant sans le vouloir le distinguo de John Rymer). « SAP a toujours investi en R&D, et les gros efforts de convergence en infocentre ont été réalisés. » De même, Grégory Hermel explique : « SAP Netweaver, lancée il y a 5 ans, permet de donner une vision claire sur l'évolution des offres, s'appuyant sur un socle unique permettant des gains en TCO. SQLI EoZen reste confiant sur cette stratégie long terme. » Confiant, Grégory Hermel l'est aussi sur la capacité de SAP à racheter Tibco : « L'arrivée de nouvelles offres et potentiellement de nouveaux produits middleware comme Tibco nous permettrait de répondre encore plus largement aux besoins d'intégration de nos clients. » Un avis que partage Jean-Christophe Turlan : « Même si SAP est discret sur le sujet, il n'y a pas de raison de penser que le processus d'acquisition n'aboutisse pas ». Or, si SAP rachetait Tibco, ce serait bien le signe que l'éditeur allemand a renoncé à faire évoluer ses propres outils d'infrastructure. (...)

(19/11/2009 16:07:29)

Software AG invite les méthodes agiles dans les SOA

Software AG a organisé hier mercredi un « Grenelle de la SOA et du BPM ». En fait de 'Grenelle', censé confronter des points de vue très divers voire opposés, la conférence rassemblait surtout les partenaires de l'éditeur, et on n'y a guère entendu qu'un seul client, Jean-Claude Zeifman, de Gaz de France. Lequel a confirmé que le rachat d'IDS Scheer par Software AG, et donc la promesse d'une continuité entre la modélisation des processus d'entreprise et leur implémentation technique, était quelque chose qu'il appréciait grandement. Peu d'interactivité lors de ce 'Grenelle', toutefois l'éditeur a eu l'intelligence de s'effacer en grande partie derrière un analyste reconnu de Gartner : c'est Massimo Pezzini qui, à l'issue d'une longue intervention vantant une vision modulaire et incrémentale des SOA, a ensuite animé les tables rondes. Parmi celles-ci, Yann Le Tanou, du cabinet de conseil Valtech, a expliqué que « méthodes agiles ne riment pas avec anarchie, elles s'insèrent dans une démarche globale, portée par les urbanistes ». Souvent décriées par les urbanistes et architectes, adeptes de méthodes d'un autre type, les méthodes agiles ont rarement droit de cité dans une convention de ce type. Or, quand il s'agit de développer des logiciels, que ce soit dans le cadre des SOA ou d'autres projets, les Scrum et autres XP peuvent tout à fait convenir. Ce que nous a confirmé en aparté Jean-Noël Gillot, ancien de Capgemini, aujourd'hui directeur du conseil en management chez Aneo, qui cite même des cas d'utilisateurs très satisfaits. Témoignage à suivre dans LeMondeInformatique.fr. (...)

(19/11/2009 15:54:19)

Gartner : « BPM, BAM et CEP sont les prochaines étapes logiques des SOA »

La récession économique n'a pas forcément sonné le glas des architectures orientées services (SOA). Au contraire, les SOA peuvent aider à faire plus avec moins, à mettre le système d'information (SI) d'une entreprise en état de changer très rapidement, en fonction des évolutions du métier, du contexte économique et des contraintes réglementaires. Invité par Software AG à animer une grande partie de son « Grenelle de la SOA et du BPM », Massimo Pezzini, vice-président de Gartner spécialiste de la question, s'est ainsi évertué à démontrer comment les SOA peuvent être un moyen pour les DSI de mieux servir leur entreprises, même dans des conditions économiques difficiles. Certes, Massimo Pezzini ne nie pas le coût des projets SOA, qui nécessitent une importante étape de réflexion en amont. « Le problème avec les SOA, a-t-il dit, c'est le A, l'architecture. Un domaine où vous commencez par payer, puis où vous croisez les doigts en espérant des bénéfices à moyen ou long terme. » Privilégier une approche incrémentale et fédératrice Autre élément prohibitif, le coût de la mise en place d'une telle architecture. Au moins tel qu'on peut le supposer de prime abord. De fait, a-t-il reconnu volontiers, quand on regarde les présentations des éditeurs ou des analystes de ce à quoi doit ressembler une infrastructure SOA, on est vite pris de vertige devant la multitude de produits à acheter et à intégrer. Massimo Pezzini a donc livré quelques conseils de bon sens pour continuer ou débuter des projets SOA dans les meilleures conditions possibles, car de toute façon, « beaucoup d'entre vous seront forcés d'y passer ». Cela peut tout à fait se produire d'une façon plus pragmatique et plus incrémentale, a expliqué l'analyste, qui a rappelé que plus personne ne cherche à déployer les SOA à l'échelle du SI entier. Parce que certains pans n'en ont pas besoin, et parce qu'il est bien plus simple - et donc plus économique - de procéder domaine après domaine, et de recourir ensuite à une fédération des systèmes. Avec ce schéma en tête, il devient possible de réaliser des projets capables de produire des bénéfices à plus court terme, selon Massimo Pezzini. Et si le coût des licences reste un obstacle, surtout au moment de réaliser des prototypes, « n'hésitez pas à regarder du côté de l'Open Source ou des solutions de type cloud », les premières étant gratuites, les secondes permettant de payer à l'usage, sans grever d'entrée de jeu son budget. Pour l'analyste, c'est idéal pour mettre en oeuvre quelques projets et démontrer leur potentiel afin de justifier les investissements demandés. Présenter des éléments tangibles aux responsables métier[[page]] Présenter des éléments tangibles aux responsables métier Une telle approche nécessite bien sûr de faire attention à respecter les standards, et à choisir des éditeurs dont les produits autorisent une construction modulaire, incrémentale, du système. L'autre pré-requis est bien évidemment de savoir quel problème métier on cherche à résoudre. Cela paraît tomber sous le sens mais, pour que l'analyste du Gartner le répète à chacune de ses apparitions, cela ne doit finalement pas être si évident que cela (Forrester ne manque pas, également, de rappeler cette évidence). Si les DSI voient bien l'avantage qu'ils pourront retirer des SOA, il faut en effet que ceux qui financent, les métiers, puissent disposer d'éléments tangibles. En l'occurrence, Massimo Pezzini positionne la SOA comme un grand facilitateur pour des projets de type BPM (Business process management, gestion des processus métier), BAM (Business activity monitoring, supervision de l'activité métier), ou CEP (Complex event processing, Traitement automatisé des événements complexes). Installer des indicateurs : un petit investissement pour une grande utilité « Prenez le CEP pour un opérateur mobile. Le fait que je me serve de mon téléphone ici à Paris pour composer un numéro, c'est un événement qui, pris isolément, n'a pas de signification particulière. Mais si dans la même heure, ma ligne est utilisée depuis San Francisco, alors la corrélation entre les deux événements montrera que ma ligne a été clonée. L'opérateur pourra alors déclencher un processus : m'appeler pour confirmation bloquer la ligne, etc. » Tous ces événements existent déjà. Il suffit d'implémenter quelques sondes pour être capable de produire des indicateurs techniques, mais aussi des indicateurs métier (BAM). « L'investissement n'est pas énorme, mais le bénéfice est extrêmement utile : il donne une visibilité concrète de la SOA aux collègues du métier. » Quelle que soit la piste suivie, Massimo Pezzini enjoint les DSI de ne pas faire l'impasse sur les technologies de gouvernance. Elles n'ont certes pas d'utilité immédiate pour construire une infrastructure SOA, mais sans elles, les projets sont voués à l'échec : « Ils seront peut-être réussis d'un point de vue technique, mais vous ne pourrez prouver leur utilité métier. C'est une condition sine qua non. » Encourager les développeurs « par la carotte et/ou par le bâton » Pour l'analyste du Gartner, la gouvernance est essentielle pour encadrer la définition des processus, fixer des standards, gérer le cycle de vie des services et encourager, « par la carotte et/ou par le bâton », le respect de toutes ces règles par les développeurs. Masimo Pezzini sait que convaincre sur ce sujet est très ardu. D'une part parce que les développeurs, dit-il, sont persuadés d'écrire le meilleur code du monde, et qu'il leur est difficile de réutiliser des services écrits par d'autres. D'autre part, parce que d'une manière générale, « il n'est pas dans la culture européenne de mesurer les choses. Mais ce n'est qu'en instaurant des métriques, sur le taux de réutilisation, la qualité de service ou encore la réduction des coûts que vous pourrez voir si vous atteignez les objectifs fixés au départ ». Au final, les clients de Gartner semblent suivre ces conseils, à en croire Massimo Pezzini. « Parmi ceux qui sont déjà engagés depuis quelques années dans les SOA, certains freinent un peu au profit de projets présentant des ROI [retours sur investissement] à plus court terme, mais d'autres accélèrent pour récolter au plus tôt les bénéfices de leurs efforts. Quant aux 'novices', ils se lancent dans des projets SOA offrant un retour rapide, comme des portails de type self-service, de l'intégration de processus ou d'applications, ou encore des échanges B2B [interentreprises]. » (...)

(18/11/2009 10:15:13)

Focus sur le Lean, les méthodes agiles et l'Offshore aux Valtech Days

Les Valtech Days organisés par la société de services Valtech se sont déroulés le mardi 17 novembre à La Défense. La journée a fait la part belle aux retours d'expérience sur les méthodes agiles, le Lean Organisation, le Lean Developpement et leur compatibilité avec l'Offshore. Le premier témoignage a été réalisé par Stuart Alldis, responsable e-Commerce de Rail Europe, une filiale de la SNCF située à Londres et qui commercialise des billets TGV ou de l'Eurostar. Son activité repose sur les boutiques, un call center et des sites Web. Stuart Alldis a confié le développement de trois applications Web B2B et B2C à Valtech, dont une partie des développeurs se trouvent en Inde, à Bengalore. Il a opté pour la méthodologie Agile, Scrum, qui repose sur un processus itératif. Comment arriver à créer la proximité entre les équipes de développement et les responsables métiers qu'impose la méthodologie Agile alors que des milliers de kilomètres séparent Rail Europe de Bengalore ? C'est Stuart Alldis qui joue les rôles de passerelle entre les deux mondes : les métiers situés en Grande Bretagne, et les équipes indiennes qui réunissent une vingtaine de développeurs. Il aura donné de sa personne puisqu'il aura réalisé 24 déplacements à Bengalore, en passant à chaque fois 1 semaine en Inde par mois. De substantielles économies grâce à l'offshore Grâce à l'Offshore, Stuart Alldis estime avoir réalisé de substantielles économies. « Pour un coût de 600 € pour un développeur en Grande Bretagne, l'économie est de 70% en Inde. Et ils ne travaillent pas de 9 heures à 5 heures, mais de 9 heures à 9 heures, si nécessaire » déclare-t-il. Et ce ne sont pas les quelques milliers d'euros pour ses propres déplacements qui auront grevé le budget : « Je dépense 1,5 million d'euros en tout par an en développement »précise-t-il. L'usage des méthodes Agiles a également permis de modifier fréquemment les spécifications, au fur et à mesure que venaient des idées d'amélioration des sites Web. Stuart Alldis opte désormais pour des réalisations au forfait plutôt qu'en régie. « Nous nous connaissons bien maintenant avec les équipes de développement, et estimer un forfait devient faisable, je ne conseillerai pas cette approche au début de la relation » indique-t-il. Quelques conseils pour réussir son projet Il donne également quelques conseils afin de réussir la méthodologie Scrum malgré les milliers de kilomètres entre lui et les équipes indiennes : « Faire en sorte que cette équipe lointaine soit une extension de votre propre équipe de développement [Il ne dispose que de deux développeurs en Grande Bretagne], il faut connaître tous ces développeurs, car ce sont eux qui créent votre site Web et donc votre richesse, allez les voir dans leurs bureaux, et ne vous enfermez pas dans une salle réunion avec les responsables des équipes uniquement". "Il faut créer l'impression qu'ils font partie de votre propre société. Nous leur avons par exemple donné des posters de TGV qu'ils ont placé dans leurs salles de développement. Ce qui renforce la proximité avec notre activité. Utilisez aussi des outils de messagerie instantanée, nous utilisons Skype, et la visio conférence. Les appels téléphoniques durent entre 5'' et 1 heure. Et soyez toujours disponible malgré le décalage horaire. J'ai confié mon email et mon numéro de téléphone mobile à chaque développeur », poursuit Stuart Alldis. Focus sur la méthodologie Lean Deux autres présentations durant la matinée ont eu comme axe la méthodologie Lean. Le Lean a pour objectif de supprimer tous les gaspillages et toutes les actions inutiles effectuées soit dans les processus de l'entreprise, soit dans les développements logiciels, et qui ne créent pas de valeur pour le client. On passe alors au crible les processus et l'on traque les améliorations possibles. « Par exemple, une discontinuité de processus dans la saisie d'un client puis de sa commande à cause d'un Batch informatique durant la nuit peut coûter une perte de productivité importante pour les équipes commerciales, alors qu'il suffit de déployer les outils ad hoc pour supprimer cette perte de temps » illustre-t-on chez Valtech. Toutes les non créations de valeur pour le client ne peuvent pas forcément être supprimées. « Par exemple la conformité réglementaire, ou les processus internes à l'entreprise comme la gestion de la comptabilité n'apportent rien au client mais ils sont indispensables. » Un exemple chez Thalès Autre cas, Thalès a montré comment il employait le Lean Organisation, le Lean Developpment et la méthodologie XP (eXtreme Programming) afin de réduire les erreurs sur ses logiciels destinés aux Airbus et pour mieux coordonner ses équipes souvent éclatées entre plusieurs sites à l'international. « Le Lean, les méthodes agiles sont compatibles avec l'Offshore, mais il faut choisir ses partenaires » a précisé Eric Gauthier, en charge de la branche production chez Thalès soit 12 000 personnes. Il a ajouté : « Le Lean permet aux équipes de se responsabiliser. Il vient en complément de CMMI qui permet de structurer l'ensemble des processus. Contrairement à ce que l'on croit CMMI n'est pas synonyme de cycle en V. CMMI et méthodes agiles sont compatibles » a-t-il précisé. Depuis 2008, Thalès a réalisé 100 projets Lean, dont 56 en 2009. Thalès s'est intéressé au Lean dès 2006 pour ses apports dans le développement. « Il faut éviter notamment le défaut de la surspécification, avec le Lean on développe ce qui a de la valeur pour le client. Cela oblige à regarder le développement comme si l'on était le client. » (...)

(28/10/2009 17:12:41)

A l'occasion de l'arrivée de Seven, Microsoft multiplie les initiatives vers l'Open Source

Seven à peine lancé, Microsoft a décidé de tendre la main à l'Open Source. Au risque sans doute de se faire mordre, mais la démarche n'est pas sans intérêt. L'éditeur entreprend une série de démarches en compagnie de deux entreprises du Libre, Tasktop et Soyatec. Objectif : doper l'interopérabilité entre ses produits - Seven, Azure, Silverlight, etc. - et les technologies de l'Open Source comme Eclipse et Java. "Cela fait partie de nos nombreux efforts pour rendre nos produits plus ouverts," commente Vijay Rajagopalan, architecte principal de la stratégie d'interopérabilité pour Microsoft. Avec le fournisseur de solutions Eclipse, Tasktop, Microsoft travaille ainsi à rendre Seven accessible aux développeurs utilisant l'IDE Eclipse. "Plus des trois quarts des téléchargements d'Eclipse correspondent à la distribution Windows, rappelle Mik Kersten, CEO de Tasktop. » Les deux éditeurs vont étendre leur support au développement et à l'exécution d'applications exploitant ces outils. Ils vont incorporer des fonctions de Windows 7 et de Windows Server 2008 R2 dans de prochaines mises à jour de l'IDE Eclipse. Un plug-in Open Source pour les applications PHP dans Azure Les développeurs disposeront ainsi de fonctions de Seven telles que les nouveaux menus contextuels de la barre des taches appelés 'Jump Lists', pour un accès à des fonctions spécifiques Eclipse. Le projet comprend aussi l'extension du Standard Widget Toolkit d'Eclipse pour intégrer l'intégration du widget de recherche, par exemple. Les améliorations apportées à Eclipse par Tasktop le seront sous licence publique Eclipse en 'early access' au premier trimestre 2010. La version accessible à tous est prévue avec la disponibilité de la technologie Eclipse Helios technology en juin 2010. Microsoft annonce aussi un plug-in Open Source appelé Windows Azure Tools for Eclipse, destiné à faciliter le développement en PHP d'applications Web pour sa plateforme de cloud. Disponible gratuitement au téléchargement, ce module comprend des outils d'écriture, de déboguage et de déploiement pour ces applications. Le SDK (Software development kit) de PHP pour Windows est intégré dans le projet Eclipse via le plug-in. Celui-ci comprend aussi un explorateur de stockage (storage explorer) pour Azure pour scanner les données contenues dans les tables, les blobs ou les queues Azure. Le SDK Windows Azure pour Java, par ailleurs, propose des outils et des méthodes de développement pour que les applications Web exploitent efficacement le stockage de données dans le cloud Azure. Stimuler l'intérêt de la communauté Java pour Azure [page]Soyatec, de son côté, a travaillé avec Microsoft aussi bien sur les outils Eclipse pour Windows Azure pour PHP que sur le SDK Windows Azure pour Java. Les deux éditeurs ont rendu disponible une version 1.0 des Eclipse Tools for Silverlight, un plug-in à exploiter Silverlight dans développement Eclipse. Il inclut le support du Macintosh et un guide d'interopérabilité des applications Silverlight avec les sites et services web Java (y compris REST, JSON, etc.). Une version 2 des Eclipse Tools for Silverlight, avec le support de Silverlight 3.0 et des fonctions pour les applications offline est prévue pour le printemps 2010. "Avec ce type de démarches, Microsoft cherche à atteindre l'"autre rive" - celle où se trouvent les développeurs Open Source. Reste à savoir combien de développeurs entreront dans le jeu de l'éditeur. Ses efforts sont louables, même si l'entreprise garde clairement ses propres intérêts en tête. Et après tout, on ne s'attend pas à ce qu'ils deviennent une association caritative. Mais il y a différentes façons d'interpréter leur démarche. On sait par exemple qu'ils cherchent à susciter davantage l'intérêt de la communauté Java vis à vis d'Azure. Et le géant ne cesse de rappeller qu'il n'est pas indispensable d'être un développeur .Net pour tirer avantage de son cloud. » (...)

(15/10/2009 17:41:29)

OpenWorld 2009 : Larry Ellison annonce Fusion Applications pour 2010

Oracle prévoit de lancer l'année prochaine la suite de gestion intégrée Fusion Applications qui doit rassembler le meilleur des différentes technologies développées ou acquises par Oracle. L'offre sera disponible en ligne (en mode SaaS) et dans une version traditionnelle à installer en interne. C'est ce qu'a annoncé hier son PDG, Larry Ellison, au quatrième jour d'OpenWorld, la grande conférence que l'éditeur tient chaque année à San Francisco (11-15 octobre 2009). Aux utilisateurs des applications de gestion de la relation client Siebel, ou encore des ERP JD Edwards ou Oracle e-Business Suite, le patron d'Oracle a pris grand soin d'assurer que, comme promis il y a déjà trois ans, leurs applications respectives continueraient, quoi qu'il arrive, à évoluer... sur les dix ans à venir et au-delà. « Nous pouvons nous permettre, non seulement de maintenir les logiciels que vous exploitez aujourd'hui, mais aussi de bâtir ceux que vers lesquels vous pourriez vouloir évoluer demain. » Il y a quelques jours, Larry Ellison, avait de la même façon affirmé aux clients de Sun qu'il allait poursuivre les investissements dans les produits qu'ils avaient achetés. Pour donner du poids à sa parole, il avait sollicité à ses côtés le co-fondateur de Sun, Scott McNealy, un autre 'showman' de sa trempe. Des fonctions de Business Intelligence embarquées La suite Fusion Applications est basée sur une architecture SOA reposant sur la couche Fusion Middleware. « Nous ne pensons pas que tous nos clients vont remplacer ce qu'ils ont aujourd'hui par Fusion, a reconnu Larry Ellison. Nous pensons qu'ils vont étendre ce qu'ils ont avec certains éléments de Fusion. C'est ainsi que Fusion sera déployé. » Les tout premiers éléments de Fusion avaient été dévoilés sur OpenWorld 2007. Conçus pour s'utiliser en ligne, ces premières briques étaient destinées à la gestion de la relation client (CRM). Les premiers modules de la suite Fusion Applications couvriraient la gestion financière, ainsi que la gestion du capital humain, des ventes, du marketing, de la chaîne logistique, des risques et de la conformité réglementaire, des projets et des achats. En revanche, le module de gestion de production arrivera plus tard. Hier, sur OpenWorld 2009, le patron d'Oracle a insisté sur l'intérêt de cette approche modulaire : « Vous assemblez les composants dans l'ordre où vous voulez les utiliser, de la façon la plus pertinente pour votre secteur d'activité. Nous avons travaillé de façon très très rapprochée avec les utilisateurs pour concevoir et tester Fusion Applications », a-t-il précisé. Ce qui, selon lui, a permis de déboucher sur une interface « de qualité supérieure ». Les fonctions décisionnelles embarquées sont un des autres bénéfices mis en avant sur la future suite de gestion. « Vous pouvez utiliser le système sans utiliser de Business Intelligence », n'a pas hésité à affirmer Larry Ellison à ce sujet. (...)

(25/09/2009 16:45:30)

Participer au 4ème SOA Forum sur l'agilité du système d'information

Le 6 octobre prochain, la quatrième édition du SOA Forum 2009 organisé par LeMondeInformatique.fr, CIO et Réseaux-Télécom.net élargit le débat en en abordant les sujets de la maitrise des coûts et de l'amélioration de la réactivité des systèmes d'information. Comment faire en sorte que les architectures orientées services ou SOA tiennent leur promesse d'enrichissement de l'informatique par l'expérience des métiers ? Comment bénéficier de la souplesse inédite apportée par le Cloud Computing et le SaaS afin de fournir les bons outils au bon moment aux équipes métiers ? Qu'apportent les méthodes agiles dans le cadre SOA ? Grâce aux concours d'experts et aux témoignages de décideurs IT, cette journée conférence proposera des présentations et des débats autour des gains attendus de l'agilité du système d'information. Henry Peyret de Forrester Research entamera la journée en présentant une étude sur "Les enjeux et les tendances en matières de SOA/Cloud Computing/Saas". Il sera suivi par la présentation des meilleures expériences en matière de SOA/BPM notamment avec Laurent Mondemé, Business Enterprise Architect d'Air France, Christophe Astier Chief IT Architect chez Air France, Laurent Giraud responsable Stratégie et Pilotage de l'Architecture chez Bouygues Telecom, Christophe Juillet, Adjoint au responsable architecture chez EDF, William El Kaim Lead IT Architect chez Carlson Wagonlit Travel et Tanguy Couery de Jardiland. Les technologies de Mash up seront également traitées via les témoignages de SMABTP et du groupe Mornay ainsi que les premiers retours d'expérience sur le Cloud présentés avec Joannès Vermorel, PDG de Lokad (utlisateur du Cloud Azure de Microsoft), Henri Pidault DSI de la Compagnie des Alpes (pour les outils Cloud de Google), et Philippe Honigman, PDG de Ftopia (utlisateur du Cloud d'Amazon). Enfin, un volet traitera du mariage des méthodes de développement agiles et de leur usage dans une vision SOA, en particulier avec Frédéric Gauchey, responsable des flux marchandises amont chez le groupement des Mousquetaires. Réservée aux DSI, Directeurs informatiques, Responsables d'infrastructure, Architectes de SI, Managers IT et Chefs de projet, cette conférence gratuite se tiendra le 6 octobre 2009 à l'Automobile Club de France, place de la Concorde à Paris. Pour vous plus d'informations et vous inscrire une seule adresse: Forum Agilité du Système d'information Le Monde Informatique.fr/CIO (08/09/2009 13:08:10)

Microsoft affiche un optimisme prudent pour les lancements de Windows 7 et Office 2010

Microsoft n'avait (presque) aucune annonce à faire, mais quelque 120 journalistes se sont tout de même rendus à sa désormais traditionnelle conférence de presse de rentrée, hier, lundi 7 septembre. Il faut dire que ce rendez-vous de l'éditeur est devenu incontournable, tant il donne le pouls de l'année à venir : les sorties de produits Microsoft vont en effet rythmer le calendrier de toute l'industrie. Que ce soit du côté des offres purement professionnelles comme Windows 2008 Server R2, SQL Server 2010 ou Visual Studio 2010, ou des offres à la fois pour les entreprises et le grand public, comme Windows 7 ou Office 2010. Microsoft dégainera l'artillerie lourde le 6 octobre, avec la venue en France de Steve Ballmer pour le lancement de Windows Phone, la nouvelle dénomination des appareils mobiles sous Windows Mobile 6.5. L'éditeur, qui a beaucoup de retard à rattraper dans ce domaine, accompagnera son système d'une place de marché ouverte aux développeurs tiers, et d'un intéressant service, 'MyPhone', de synchronisation et de sauvegarde automatique en ligne des données du mobile. « Les problèmes de Vista sont aujourd'hui résolus » Néanmoins, le plus important pour Microsoft reste le lancement de Windows 7, disponible en version finale depuis quelques jours pour les entreprises, et qui sera officiellement commercialisé auprès du grand public le 22 octobre. Echaudé par l'échec commercial de Vista à ses débuts, Microsoft dit se montrer prudent, mais « très confiant ». Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, explique cet optimisme prudent de plusieurs façons. D'abord, les « problèmes de Vista au début par rapport au poids du système et à la compatibilité des applications » seraient « aujourd'hui résolus ». Il est vrai que « pour la première fois de son histoire », un système d'exploitation de Microsoft sera moins gourmand en ressources que son prédécesseur. Les machines ayant continué d'évoluer entre temps, les migrations ne devraient pas poser de souci en termes de performances. En revanche, Seven étant basé sur le même noyau que Vista, il ne faut pas s'attendre à des miracles : les matériels anciens utilisés avec XP et non supportés par Vista ne le seront pas non plus par Windows 7. D'après Marc Jalabert, cela concernerait seulement 5% des périphériques. Autre raison d'espérer pour Microsoft, « on a de bons signaux pour la mise à jour ». Les retours sur les versions bêta et RC sont très bons, le public s'est rué sur les précommandes à tarif réduit, et Marc Jalabert ne doute pas que les entreprises passeront directement de XP à Seven. Mais il se refuse à donner un objectif, arguant que « les migrations en entreprises prennent du temps ». Le système de mise à jour proposé aux entreprises devrait faciliter les choses, de même que le mode XP pour Windows 7, qui permet d'exécuter des applications conçues pour XP dans une machine virtuelle apparaissant comme une simple fenêtre sur l'écran. Pour le grand public, beaucoup d'efforts sont prévus en matière de tarification (un pack Famille proposera le système d'exploitation à 150 euros pour trois ordinateurs) et de pédagogie : 1400 journées d'animation seront organisées dans les magasins, et un « Windows Café » sera même ouvert dans Paris. Office 2010 complétée par une version en ligne, Office Web Apps [[page]] La question de la migration en entreprise se reposera au printemps 2010 avec la sortie de la nouvelle version d'Office. Qui s'accompagne enfin d'un système collaboratif, et sera complétée par une offre bureautique en ligne, Office Web Apps. Similaire, dans le concept, aux Google Apps, ces Office Web Apps, accessibles aux utilisateurs disposant d'un compte Live et d'un espace de stockage SkyDrive, reproduisent dans le navigateur l'interface à base de rubans apparue dans Office 2007. « On le fera mieux que Google » Brique de la stratégie Software plus Services (S+S) de Microsoft, Office Web Apps est bien positionné comme un complément et non comme un outil de remplacement d'Office. Aucun système n'est d'ailleurs prévu pour gérer un stockage en local en cas de déconnexion du Web, par exemple - quand bien même Microsoft dispose d'outils comme Mesh, pour synchroniser les données. Il reste donc un peu de chemin à parcourir, alors que Google dispose de Gears, et prépare son offre Wave. Cela n'entame pas l'optimisme de Marc Jalabert : « On y va, et on le fera mieux que Google. » Côté serveur, Microsoft insiste aussi sur le choix offert aux entreprises, avec d'un côté des logiciels à installer comme Windows Server 2008 R2 ou Exchange 2010, et de l'autre des offres en ligne commercialisées directement par Microsoft (comme Azure) ou vendues par ses partenaires, comme la messagerie hébergée. « Dans tous les cas, explique Marc Jalabert, l'important est le fait d'utiliser Exchange, pas la façon dont on y accède ». Un tout nouveau bâtiment de 35 000 m² pour les 1700 collaborateurs français de Microsoft En conclusion de ces présentations, Eric Boustouller, président de Microsoft France, a rappelé l'enracinement de Microsoft dans la société française et toutes les raisons qui le poussent à être optimiste. Après 25 ans de présence, Microsoft compte aujourd'hui 1 700 collaborateurs en France, épargnés par le plan de licenciement mis en place par l'éditeur au niveau mondial. Microsoft France, désigné meilleure filiale à l'issue du dernier exercice fiscal, vient d'ailleurs d'inaugurer ses tout nouveaux locaux en bord de Seine à Issy, 35 000 mètres carrés à proximité de HP France, Cisco France, Steria... La plus grosse ombre au tableau pour Microsoft pourrait être la performance de la division grand public et services en ligne. Après 1,33 Md$ perdus au niveau mondial en 2007/2008 dans les services en ligne, Microsoft y a englouti 2,2 Md$ l'année dernière. Fort de ses 27 millions d'utilisateurs de ses services Live, l'éditeur a confirmé qu'il n'entendait pas abandonner ses efforts dans ce domaine, comme le prouvent le lancement de Bing (dont la version française doit bientôt être finalisée) et l'accord conclu avec Yahoo. C'est, explique Olivier Marcheteau, responsable de la division pour la France, « une stratégie qui portera ses fruits ». (...)

(15/07/2009 12:58:43)

Software AG veut racheter IDS Scheer pour environ 487 M€

De la couche d'exécution des processus à celle de leur conception, il n'y a qu'un pas, que Software AG s'apprête à franchir. L'éditeur allemand d'outils middleware offre 15€ par action d'IDS Scheer, sachant qu'il a déjà convaincu les deux fondateurs de l'éditeur allemand d'outils de conception et d'analyse des processus de lui verser leurs parts, soit 48% des actions. La transaction représenterait au final quelque 487 M€, alors qu'IDS Scheer avait réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 399 M€. De son côté, Software AG a terminé l'année 2008 sur un CA de près de 721 M€, et son PDG, Karl-Heinz Streibich, ne cachait pas ses ambitions d'atteindre le milliard d'euros avant 2011, par croissance organique mais aussi externe. Software AG, 40 ans cette année, s'est réorientée vers les SOA (Architectures orientées services), notamment grâce au rachat de WebMethods, finalisé en juin 2007. Mais l'Allemand avait déjà développé ses propres outils, et conclu dès 2005 un partenariat technologique avec IDS Scheer. Tous les éditeurs de middleware travaillent en effet sur le chaînon manquant, entre la définition des processus par des analystes métier dans des outils de type Aris (le produit phare d'IDS Scheer), Mega ou Casewise, et leur mise en oeuvre dans les plateformes d'exécution. Oracle et SAP avaient d'ailleurs des liens technologiques assez forts avec IDS Scheer de ce point de vue, ce qui augure d'une certaine 'coopétition', à moins qu'Oracle, comme à son habitude, ne décide de racheter un éditeur pour combler ce manque dans sa gamme SOA. Du côté de SAP, l'offre SOA étant plutôt orientée vers les clients du progiciel, cette nouvelle donne ne devrait pas changer grand-chose. Software AG pense qu'il aura le feu vert des autorités de régulation de la concurrence sous peu, ce qui lui permettrait de clore son offre d'achat d'ici à fin septembre. (...)

(24/06/2009 10:53:17)

Microsoft retire son connecteur Oracle de .Net

Microsoft retire le connecteur OracleClient d'ADO.Net (ActiveX Data Object). System.Data.OracleClient, de son nom complet, est une interface d'accès aux données pour les applications .Net connectées à un SGBD Oracle. Les réactions des développeurs sont plutôt négatives. Mais Microsoft assure qu'une "part importante" de ses clients utilisent déjà d'autres solutions. L'éditeur de Redmond continuera d'assurer la maintenance d'OracleClient pour son .Net Framework version 4.0. Parmi les solutions de rechange figurent Oracle Data Provider for .NET (ODP.NET) ainsi que des produits de DataDirect Technologies et de Devart (ex-Core Lab). Ce retrait s'inscrit dans la politique d'économie de l'éditeur qui a fait disparaître plus d'une douzaine de logiciels de son catalogue. (...)

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