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Urbanisation et SOA

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(12/02/2007 16:34:55)

Ilog met son moteur de règles à la sauce SOA

Ce n'est pas une mise à jour de son produit, mais la version 6.5 du moteur de règles métier d'Ilog marque néanmoins une inflexion de la stratégie. En direction des architectures orientées services (SOA). Le recours à un moteur de gestion des règles métier dans le cadre d'une SOA n'est pas nouvelle. La mutuelle d'assurances du bâtiment SMABTP avait ainsi témoigné de son utilisation lors de notre SOA Forum en octobre dernier. De fait, un BRMS (Business rules management system) permet d'externaliser la logique métier, et donc de produire un code moins susceptible de changement. « Gartner a identifié cela comme une bonne première étape sur la voie de la SOA », note Christophe Bordes, chef de produit chez Ilog. Alors que jusqu'à présent il fallait reprendre le code à la main, la version 6.5 de JRules propose d'exposer les fonctions de gestion de règles sous forme de services, et de générer automatiquement le code WSDL correspondant, afin de l'exploiter comme un service Web. Pour le reste, la 6.5 s'inscrit dans la continuité de la 6.0, avec un plug-in Eclipse pour le développement et un système collaboratif pour la gestion des règles. Plus, aujourd'hui, des capacités de recherche améliorées. La complémentarité avec Office, pour l'écriture de règles par les non-informaticiens, aujourd'hui disponible avec la version .Net de Rules, est prévue mais à plus long terme. Les efforts porteront d'abord sur Office 2007 pour la version de Rules for .Net prévue cet été. (...)

(05/02/2007 23:00:23)

Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen

Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)

(25/01/2007 15:54:19)

Première exhibition publique de la méthodologie SOA Praxeme

Praxeme, méthodologie publique pour réformer un système d'information selon les préceptes des architectures orientées services (SOA), a passé un cap mardi avec sa première présentation publique. Une vingtaine de participants, représentants d'entreprise de toute taille, mais aussi du secteur public (administration, armée), avaient payé 1450 E HT pour une journée au contenu extrêmement dense. Praxeme est la première initiative destinée à offrir un cadre de réflexion global pour la mise en oeuvre des SOA, en-dehors bien sûr des différentes méthodes propriétaires proposées par tel ou tel cabinet. Chaque cabinet ou SSII a en effet élaboré une méthode, ce qui peut poser souci lorsqu'un client fait travailler plusieurs intervenants. En outre, Praxeme va plus loin qu'une simple méthode technique, puisqu'elle analyse en profondeur le modèle conceptuel, logique, ainsi que le modèle organisationnel de la DSI. L'objectif des promoteurs de Praxeme, qui se sont réunis en association Loi 1901, est justement d'aller au-delà de cet aspect propriétaire, en échafaudant un cadre adaptable aux différentes situations, donc utilisable par tous. « La première qualité d'une méthode, c'est d'être partagée », a insisté Dominique Vauquier, principal concepteur de la méthodologie. Un participant remarquait toutefois en privé que si les concepts de Praxeme étaient intéressants, le nombre et la variété des profils impliqués risquaient de la rendre impraticable hors d'un grand compte. Suite au succès de cette première manifestation, la journée devrait être rééditée courant juin. De son côté, l'Adeli, association pour la maîtrise des systèmes d'information, prévoit une rencontre « autour d'un verre » le 12 février consacrée à Praxeme. (...)

(16/01/2007 16:56:31)

BEA fait converger ses clients français au Cnit

BEA a invité aujourd'hui, mardi 16 janvier au Cnit de Paris La Défense, ses clients et partenaires français à venir partager leur vision de la SOA : approches métiers et exemples concrets d'architectures orientées services ont de fait émaillé la conférence d'ouverture. Malhar Kamdar, vice-président consulting Emea de BEA, a ainsi illustré ses propos avec ses dernières interventions dans de grandes entreprises, soulignant que selon les besoins et les approches, la solution a pu être « top-down », partant d'une volonté stratégique de la direction générale, comme « bottom-up », partant des initiatives des départements informatiques. Malhar a plus particulièrement mis l'accent sur la nécessité de la gouvernance de la SOA, « afin d'éviter de recréer un environnement de nature chaotique ». Bernard Dubs et Christophe Toulemonde, du cabinet BIT Group, ont de leur côté détaillé leur vision de l'évolution des systèmes d'information, à l'aide du classique schéma montrant le passage d'une architecture de silos à une architecture matricielle, puis à une architecture en réseau (des composants autonomes, reliés par un couplage lâche), dite ici « à géométrie variable », où il s'agit de « reconfigurer les briques du puzzle ». « Un projet de long terme dont il faut démontrer les bénéfices à court terme » Plus original, mais au risque d'ajouter encore de la confusion, Christophe Toulemonde a expliqué qu'il opérait un distinguo entre SOA et SOA, c'est-à-dire entre l'architecture orientée services et l'approche orientée services. La première reste du domaine des informaticiens, tandis que la seconde vise à impliquer les directions métier des entreprises, voire à réorganiser l'entreprise. « Il faut bien comprendre que c'est un projet stratégique d'entreprise, de long terme », a-t-il rappelé. Le problème consistant à « démontrer les bénéfices à court terme ». Pour cela, il faut choisir des bons projets candidats, « qui ont de vrais besoins métier ». L'ex-analyste du MetaGroup n'a pas donné de projet type, mais a prévenu : « ne cherchez pas à refaire la paie en SOA, cela n'aurait aucun sens ! » On peut mentionner encore quelques conseils de clients invités à témoigner. Brian Nolan, CIO de Completel, a ainsi invité les gens à privilégier le côté générique des applications, indispensable pour pouvoir réutiliser ses développements. Pour cela, il faut impliquer les autres équipes de l'entreprise, pas seulement informatiques, afin de bien définir les besoins, a-t-il indiqué. De son côté, Paul Cohen-Scali a mentionné le projet chez Bouygues Telecom, dont il est directeur du pôle clients et Internet. Chez l'opérateur, le projet est venu de l'informatique, il s'agissait de piloter de façon plus simple la gestion de la relation client. Paul Cohen-Scali a souligné les progrès réalisés dans le domaine des standards, l'outillage et « la facilité de mise en oeuvre des services Web ». Tout en reconnaissant que lorsque ces derniers ne peuvent tenir la charge, Bouygues Telecom recourt à d'autres solutions, de type Tuxedo. Le bon vieux moniteur transactionnel de BEA. (...)

(15/01/2007 12:43:22)

IBM ouvre ses premiers centres d'expertise SOA

Les clients ont exprimé leur besoin d'apprentissage et de formation en matière d'architectures orientées services (SOA), et IBM les a entendus, dit ce dernier : c'est en réponse à cette demande que la firme a prévu d'ouvrir 8 centres dans le monde, dits « SOA Leadership Center ». Le premier doit ouvrir aujourd'hui à Dubai. Jason Weisser, vice-président et responsable technique pour l'offre SOA d'IBM, explique que le rôle de ces centres sera de mettre à la disposition des clients des équipes prêtes à monter des prototypes personnalisés, afin de démontrer l'efficacité du modèle d'organisation informatique prôné par la SOA. Les centres devront également travailler avec les établissements universitaires locaux afin de les aider à monter des cours sur le développement de type SOA. L'espoir d'IBM est de faire monter le niveau de compétence autour de ces centres afin que les entreprises aient à disposition des experts SOA locaux. Le centre de Dubai est ouvert en collaboration avec le gouvernement de Dubai, les Emirats Arabes Unis et l'Arabie Saoudite. L'inauguration officielle aura lieu en mars. Le centre devrait employer 26 personnes, la moitié venant d'IBM, l'autre moitié de ses partenaires. Un centre devrait suivre en France, à La Gaude, et le gouvernement japonais a pris contact avec IBM pour en ouvrir un au Japon (en partenariat avec Nissan, Toyota et Honda) ce printemps. Les suivants ouvriront ensuite au Brésil, en Australie, en Chine (un à Pékin et un autre à Shanghai) et enfin en Europe de l'Est. (...)

(20/12/2006 18:08:28)

Des patterns pour la SOA

La SOA, c'est l'agilité de l'entreprise. Un des moyens d'y parvenir est d'identifier les composants métier du coeur de métier. Un fois ces composants métier identifiés, les processus métier et les services associés à ces processus métier peuvent être identifiés et spécifiés. Une fois ces processus métier et ces services identifiés, la décomposition du processus métier révèle quels services logiciels réutilisables sont nécessaires pour approvisionner ces processus métier et ces services. D'un point de vue informatique, ces services peuvent être modélisés comme des cas d'utilisation et les exigences fonctionnelles et non-fonctionnelles peuvent être tracées (dans un outil comme Rational Rose Requisite Pro). Comment peut-on gérer la complexité d'un tel environnement ? En particulier, comment peut-on construire ces services pour s'assurer que les exigences non-fonctionnelles de ces services soient satisfaites ? Les design patterns sont un des moyens de gérer cette complexité. Les patterns sont une solution reproductible à un problème dans un contexte donné, et sont typiquement décrits par une spécification du pattern. Certains sites se sont spécialisés dans les patterns pour SOA. Dr. Eoin Lane, Senior Solution Engineer chez IBM, maintient le blog Building SOA applications with patternssur le site de developerWorks d'IBM. On y trouve de nombreux articles sur l'architecture SOA et les patterns, et des exemples complets de patterns. Arnon Rotem-Gal-Oz, responsable développement dans une société israélienne, est en train d'écrire un livre, « The SOA Patterns book ». Sur son blog, SOA patterns a Anti-Patterns, il dévoile l'avancée de son ouvrage et livre les drafts de quelques chapitres. Le blog Patterns for Service-Oriented Architectures suit l'actualité des patterns SOA. On y trouve un catalogue de patterns SOA, des liens vers des entrepôts de patterns, un glossaire en cours, des liens, etc. (...)

(20/12/2006 16:39:12)

Les promoteurs de la méthodologie SOA Praxeme se constituent en association

A l'origine, il s'agit d'une méthode publique, Praxeme, pour aider les entreprises à mettre en ?uvre des architectures orientées services (SOA). Aujourd'hui, cela devient une association loi 1901, sous le nom Praxeme Institute. Au côté des inventeurs de la méthode - en premier lieu Dominique Vauquier (Unilog Management), avec Pierre Bonnet (Orchestra Networks) et Philippe Desfray (Softeam) - on retrouve trois cabinets de conseil parmi les « membres constituants » : Conix Consulting, Dreamsoft et Vistali. Plusieurs « contributeurs », entreprises ayant adopté les concepts de Praxeme, apportent également leur soutien à la création de l'association : Calyon (la branche investissement du Crédit Agricole), l'Armée de Terre, la Caisse nationale d'allocations familiales, Sagem et la SMABTP (société d'assurance des professionnels du bâtiment, qui a raconté son expérience lors de notre SOA Forum du 4 octobre dernier - voir l'encadré ci-dessous). Ouverte, la méthode Praxeme peut être adaptée aux besoins et à la culture des entreprises, afin de modéliser leurs processus ainsi que leur architecture technique, logique et physique. « Le caractère public, Open Source, de Praxeme la prédispose à devenir un socle méthodologique de référence sur le marché de la SOA », avance Jean-Baptiste Ceccaldi, directeur général de Vistali. (...)

(14/12/2006 18:18:27)

Projet Chorus : « l'offre présentée par Accenture était inacceptable »

Chorus, le chantier de progicialisation de la gestion des finances de l'Etat sera décalé d'au moins deux mois. Le choix de SAP a bien été arrêté au printemps dernier, mais la partie réalisation et intégration s'avère plus complexe. Ainsi que nos confrères des Echos l'ont révélé hier, Bercy a attribué hier trois des quatre lots de ce projet de 180 M€, mais laissé en suspens le lot principal, estimé à une fourchette de 62 à 88 M€, pour lequel seul Accenture avait fait acte de candidature. « L'offre présentée était inacceptable », nous a indiqué Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat (AIFE). Néanmoins, tout n'est pas remis en cause ; le lot n°1 fera l'objet dans les jours qui viennent d'un nouvel appel à candidature, ce qui ne devrait entraîner qu'un décalage de deux mois, indique Bernard Limal. Qui passe par ailleurs le dossier dès demain à son successeur, Jacques Marzin, ancien directeur du programme Helios. Interview de Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat. Le Monde Informatique : Le 13 décembre 2006, le quotidien Les Echos a publié une liste des gagnants des marchés Chorus. Pouvez-vous nous confirmer cette liste ? Bernard Limal : Conformément à la réglementation, nous avons écrit aux candidats qui n'étaient pas retenus pour les en informer. Les Echos ont réalisé la différence entre ceux à qui nous avons écrit et les candidats pour publier leur liste. Le lot 2, qui concerne l'infocentre, a été attribué à Unilog aux dépends de Steria et Bearing Point ; le lot 3 (système d'échanges avec les applications ministérielles) a été remporté par Sopra contre Atos Origin ; enfin, le lot 4 (architecture technique) sera confié à Bull, IBM n'ayant pas été retenu. Reste le lot 1, l'intégration, qui représente la plus grosse valeur du marché. Un seul candidat s'est présenté, Accenture associé à Steria. Mais l'offre présentée était inacceptable et, contrairement à ce qu'indique Les Echos, pas uniquement sur le plan financier. Allez-vous notifier tout de même le marché ou bien le déclarer infructueux ? Nous ne pourrions déclarer infructueux que l'ensemble du marché alors que seul le lot 1 pose problème. Conformément à la réglementation, nous avons choisi de basculer le lot 1 en marché négocié. Un nouvel appel à candidature va donc être lancé. Accenture pourra évidemment être de nouveau candidat... ou pas. Mais il pourrait y avoir d'autres candidats. En particulier, la clause d'incompatibilité entre la candidature à ce marché et la réalisation du cahier des charges dans le cadre du précédent marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage sera désormais interprétée strictement. Nous notifierons le marché à l'ensemble des gagnants des différents lots en même temps. Quelles seront les conséquences en termes de délai pour le projet Chorus ? Le nouvel appel à candidature va être lancé mi-décembre. Comme il s'agit cette fois d'un marché négocié, nous estimons qu'il nous faudra trois mois de négociations pour aboutir. La notification globale des quatre lots aura donc lieu mi-mars, ce qui opère un décalage de deux mois par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une notification mi-janvier. Quel est le budget concerné ? L'ensemble des quatre lots de ce marché correspond à un budget global d'environ 180 millions d'euros dont 62 à 88 millions pour le seul lot 1. Si on ajoute les précédents marchés d'assistance à maîtrise d'ouvrage et de licences SAP, on atteint les 250 millions d'euros. Le déploiement dans tous les ministères et les administrations déconcentrées fera l'objet de marchés ultérieurs dont la valeur a été estimée dans le cadre de l'audit de modernisation de l'Etat autour du demi-milliard d'euros, avec de grandes variations selon différentes hypothèses. Pouvez-vous nous confirmer le nom de votre remplaçant ? La nomination de Jacques Marzin sera officielle le vendredi 15 décembre 2006, simplement parce que j'effectue ma passation de service jeudi soir pour devenir effectivement trésorier payeur général dans l'Essonne. Quel bilan tirez-vous de votre passage à l'AIFE au moment où vous partez pour un poste moins exposé ? Ce fut passionnant mais épuisant. (...)

(05/12/2006 16:54:43)

Tibco défie les serveurs d'applications sur le terrain de la SOA

Ce n'est pas tout à fait un outil de virtualisation, pas tout à fait un serveur d'applications, pas tout à fait un outil de grid, mais la nouvelle plate-forme pour SOA (architectures orientées services) que Tibco a lancé hier ressemble fortement à tout cela. ActiveMatrix reprend en effet les principes de ces outils pour les appliquer aux SOA. La plate-forme propose des conteneurs (moteurs d'exécution) au sein desquels déployer le code applicatif, et assure l'ensemble des fonctions de communication et d'administration : intégration, sécurité, gestion des transactions, gouvernance... De cette façon indique Tibco, les entreprises peuvent vraiment se focaliser sur le code métier et laisser le code technique à la plate-forme. « A peine 60% du code des services est consacré à la logique métier, note Stefan Farestam, directeur marketing EMEA. En déchargeant le code technique sur la plate-forme, cela devient plus simple à développer, et ensuite à changer d'implémentation technologique ou de plate-forme. » Trois composants d'ActiveMatrix sont disponibles. D'abord Service Grid (technologie de conteneurs distribués, communiquant via le bus de Tibco, BusinessWorks), qui peut remplacer des serveurs d'applications J2EE ou .Net, ou bien travailler avec eux (le support direct de C/C++, Ruby et Cobol viendra plus tard), et répartir la charge sur différents serveurs. Vient ensuite Policy Manager, qui applique des règles de gestion aux services et supervise leur exécution. Une partie du code est issue de l'offre d'Amberpoint : « nous avons acheté le code source, et l'avons fusionné avec nos développements », explique Stefan Farestam. Enfin Registry, qui résulte d'un accord de revente avec Systinet (qui appartient désormais à HP), est l'annuaire référençant tous les services. Une offre intéressante pour les besoins d'architecture distribuée Pour Marc Boullier, directeur technique du cabinet d'architectes SOA Vistali, et connaisseur de l'offre Tibco, cette offre représente un grand changement, « car il s'agit de concurrencer frontalement les éditeurs de serveurs d'applications ». Pas sur le haut de gamme, où l'on voit mal Tibco défier les offres matures d'un BEA ou d'un IBM. D'ailleurs, Stefan Farestam avoue que tel n'est pas le but, et qu'aucun test de performances n'a été mené. En revanche, avec l'explosion des services, « on pourrait avoir la volonté de faire du downsizing, en diminuant la granularité des moteurs d'exécution », poursuit Marc Boullier. « Si une entreprise a des besoins d'architecture très distribuée, c'est très intéressant. » Ce type d'offre rencontrera-t-elle son public ? Rappelant que Fabric, l'offre distribuée de WebMethods, « n'a pas vraiment trouvé son public », Marc Boullier pense qu'on ne verra pas de déploiement industriel de ce type avant probablement trois ans. (...)

(21/11/2006 17:50:59)

JBoss présente son ESB

Complétant son offre SOA, JBoss vient de présenter son bus de services d'entreprise (ESB). JBoss ESB s'intègre dans la suite de médiation JBoss EMS (Enterprise Middleware Suite) où il assure la médiation entre les applications, les services métiers, les composants et le middleware. JBoss ESB tire notamment profit des technologies de la suite EMS pour le routage basé sur le contenu - avec XPath et JBoss Rules - et les échanges de messages. Le bus supporte en outre les protocoles SFTP et HTTPS, et embarque un moteur de traduction entre formats de données. Conçu pour être extensible, JBoss ESB peut être complété par des composants tiers, des connecteurs par exemple. La découverte et l'intégration des services est assurée par JAX-R (Java API pour les registres XML) et UDDI. JBoss ESB est actuellement disponible à l'état de pré-version. La version finale est prévue pour le mois de décembre. (...)

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