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Urbanisation et SOA

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(21/11/2006 11:43:33)

Le business s'approprie la SOA, estime le cabinet GCR Custom Research

Près de 60% de l'argent dépensé dans les projets SOA vient directement des départements fonctionnels. Voilà l'un des enseignements d'une étude menée par la cabinet GCR Custom Research sur les architectures orientées services (SOA), à la demande de BEA Systems. GCR a interrogé 150 décisionnaires ou influenceurs en matière de SOA dans des grands entreprises aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France et en Allemagne. Un des premiers constats est donc l'implication des directions métier dans la mise en oeuvre des stratégies SOA. Une des raisons de cette implication tient au montant dépensé : près de la moitié des gens interrogés avaient déjà dépensé plus d'un million de dollars dans leur projet SOA. On retrouve donc de plus en plus souvent à la tête des projets SOA des CIO (DSI), plus proches de la direction générale que les responsables informatiques. En Europe, les principaux décisionnaires sont les CFO (directeurs financiers). Cette particularité européenne se retrouve dans les buts des projets SOA. En Europe, dit l'étude, il s'agit surtout de réaliser des économies, tandis qu'en Amérique du Nord, l'intention est plutôt de pouvoir développer l'agilité pour lancer de nouveaux services. « Les sociétés américaines sont promptes à saisir les nouvelles opportunités de générer du chiffre d'affaires, commente l'évangéliste senior de BEA, Martin Percival. En Europe, les gens sont plus prudents, ils veulent d'abord s'assurer que tout fonctionne correctement. » Conséquence logique, les entreprises européennes sont 95% à avoir mis en place des métriques pour vérifier la bonne réalisation des objectifs, tandis que ce taux n'est que de 76% en Amérique du Nord. Côté technologies, les ESB (bus applicatifs), les logiciels de sécurité et les outils de gestion de données représentent les premiers postes de dépenses. Néanmoins, souligne Martin Percival, les entreprises sont bien conscientes des besoins en termes de ressources humaines : si 40% des dépenses s'effectuent en technologies, 54% de l'argent des projets SOA est destiné à former les gens et à embaucher. Des centres de compétence se mettent en place... lentement Désormais entièrement focalisé sur les SOA, BEA explique que ce type d'enquête est nécessaire pour « comprendre ce que font les entreprises, et être sûr que nous délivrons le bon produit ». Elle est également utile, précise Martin Percival, dans la mesure où « elle montre des résultats positifs », à même d'encourager les entreprises qui n'ont pas encore franchi le pas à le faire. Sachant que « les innovateurs » ont déjà largement défriché le terrain. En revanche, on pourra également observer dans cette étude la faible proportion d'entreprises ayant réinventé leur modèle d'organisation. En particulier, si « des sortes de centres de compétences ont été mis en place pour encourager la réutilisation », cela reste encore minoritaire : cela concerne la moitié des 85% d'entreprises ayant déclaré la réutilisation comme une métrique critique. Quant aux « business process owners », ces responsables métier propriétaires de leurs processus décrits par les cabinets d'expertise comme la pierre angulaire de l'entreprise agile, cela reste une denrée rare. « Nous avons atteint un point où cela a du sens, commente Martin Percival. Mais jusqu'à présent, les gens n'ont pas réfléchi de cette façon. » (...)

(17/11/2006 17:03:19)

Accenture devient le n°1 mondial des intégrateurs systèmes, devant IBM

Selon IDC, Accenture vient de dépasser IBM au classement des plus grands intégrateurs de systèmes mondiaux. Selon le cabinet d'analyse, Big Blue occupait le premier rang mondial de ce marché depuis la fin des années 90 (la période à partir de laquelle IDC a commencé à suivre ce marché). Selon les analystes en charge de l'étude, Accenture profite pleinement du renouveau de ce marché qui connaît actuellement une reprise. "Après des années de morosité, le marché mondial des services d'intégration de systèmes a renoué avec une croissance de 4% en 2005" explique ainsi IDC. Accenture, de son côté, a crû deux fois plus vite que le marché en augmentant ses ventes de 8%. Stephanie Torto, qui suit le marché de l'intégration pour IDC, explique que l'amélioration de la conjoncture économique a permis aux entreprises de reprendre leurs dépenses en matière d'intégration de systèmes notamment dans le cadre plus général de la migration vers les architectures SOA et d'améliorations apportées à leurs infrastructures. L'accent mis par Accenture sur les architectures orientées services a largement contribué aux succès d'Accenture sur le marché de l'intégration de systèmes selon Torto. Accenture entend d'ailleurs poursuivre ses efforts puisque la firme a annoncé en juillet son intention d'investir 450 M$ sur les services SOA au cours des 3 prochaines années. Il est à noter qu'aux Etats-Unis IDC note que la bonne santé des marchés gouvernementaux et notamment ceux de la défense et de la sécurité, a permis à des acteurs comme Lockheed Martin, CSC, ou SAIC de tirer également leur épingle du jeu. IDC note au passage que le marché US est moins fragmenté que le marché mondial où s'affronte une multitude de petits acteurs et d'acteurs régionaux. (...)

(31/10/2006 17:36:39)

Netbeans se met à Struts, Spring et à C/C++

Sun vient de publier NetBeans 5.5, la dernière mouture de son environnement de développement Java Open Source et gratuit. Sun estime qu'à ce jour, plus de 11 millions de copies de NetBeans ont été téléchargées dans le monde depuis ses débuts Open Source en 2000. NetBeans est de fait le principal concurrent de l'IDE Eclipse soutenu notamment par IBM. Parmi les nouveautés mises en avant par Sun figure notamment le nouvel atelier de conception d'interface Swing, jusqu'alors connu sous le nom de code "Project Matisse". Cet outil permet de concevoir des interfaces par glisser et déposer de composants tout en préservant le "look and feel" de la plate-forme de destination. Une autre nouveauté d'importance est le support des dernières technologies Java à commencer par les API de persistance Java, JavaServer Pages 2.1, JavaServerFaces 1.2 et le support des Servlet 2.5. Sun supporte aussi l'accès aux frameworks Web tiers tels que Struts ou Spring. NetBeans 5.5 incorpore, enfin, un ensemble d'outils pour la manipulation de données XML dans le cadre d'applications en architectures orientées services (SOA). L'objectif est d'aider les développeurs à mapper leurs données (établir une correspondance) et à orchestrer les échanges de données entre applications et services Web - à ce propos le support BPEL provient largement de technologies issues du rachat de SeeBeyond. Cinq packs gratuits pour enrichir NetBeans Avec le lancement de NetBeans 5.5, Sun propose cinq packs gratuits optimisés pour certains types de développements. L'Enterprise Pack est destiné aux développeurs d'applications SOA, tandis que le Mobility Pack se concentre sur le développement d'applications pour les téléphones mobiles et PDA. Le Profiler Pack fournit tous les outils pour le profilage des Enterprise JavaBeans et permet notamment d'aider à localiser les problèmes de performance dans le code notamment dans le cas d'applications multithreadées. Le Visual Web Pack est conçu pour simplifier le développement Web tandis que le C/C++ Pack ajoute le support des langages C et C++ à NetBeans. Ce support est jugé essentiel par Sun pour le développement d'applications mobiles. Les deux langages peuvent aussi être utilisé pour développer du code Windows même si le débuggeur reste basique. En ce sens, NetBeans rattrape un peu son retard sur Eclipse qui depuis longtemps supporte le développement en C et C++. NetBeans 6.0 déjà en chantier Il est à noter que Sun a déjà entamé le développement de NetBeans 6.0 qui est attendu pour 2007. Les principaux axes de développement portent sur la réécriture de l'éditeur de code ainsi que sur le support des langages scriptés tels que JavaScript et AJAX (Asynchronous JavaScript and XML). L'objectif est notamment d'inclure dans NetBeans les travaux déjà effectués sur le support d'Ajax dans Java Studio Creator. (...)

(25/10/2006 17:58:30)

ObjectWeb Lomboz 3.2, du portail à la SOA

Le consortium Open Source Objectweb et l'éditeur eteration annoncent conjointement la sortie de ObjectWeb Lomboz version 3.2. Cet ensemble de plugins pour Eclipse Callisto (V 3.2) se veut le premier outil Open Source couvrant les besoins de développement Web, Java EE, EJB, de développement de Web Services, de portails d'entreprise et d'architecture SOA. ObjectWeb Lomboz est un environnement populaire. Au cours des deux dernières années, il a été téléchargé près de 2 million de fois. La version 3.2 ajoute le support du développement de portail (ObjectWeb eXo Platform), des technologies provenant de la fondation Apache (Struts, XMLBeans), des runtimes Service Component Architecture (Apache Tuscany) et un ESB (ObjectWeb Celtix). Eteration, spécialiste des technologies Java et Open Source, assure le support pour les particuliers et les entreprises. (...)

(17/10/2006 17:40:32)

Mercury présente les fruits de son mariage avec Systinet

Le mariage entre Mercury, spécialiste du test et des outils de gouvernance du système d'information, et Systinet, éditeur de l'annuaire de services le plus utilisé par les fournisseurs de solutions middleware pour la mise en ?uvre d'architectures orientées services (SOA), vient de donner ses premiers fruits. Mercury, qui a acquis Systinet en janvier dernier, a annoncé à sa conférence utilisateurs Mercury World la sortie de Systinet v2, ainsi que de nouveaux produits de test intégrés à l'annuaire. La version 2 de Systinet se veut à la fois un annuaire référençant les services et un référentiel de métadonnées sur le système d'information. Entre autres nouveautés, le logiciel inclut désormais un tableau de bord pour repérer et suivre ces données et gérer le cycle de vie de ces services (demandes d'approbation, déploiement, disponibilité...). Des rapports prêts à l'emploi sont prévus pour le reporting sur ces services. Les outils de test intégrés à l'annuaire de services La gamme d'outils de test a également été remaniée afin de mieux prendre en compte les caractéristiques des SOA. Elle s'enrichit de Mercury Service Test Management, qui peut s'appuyer sur l'annuaire Systinet répertoriant les services pour élaborer des scénarios de test. Autre nouveauté, Mercury Service Test offre notamment de tester les services dépourvus d'interface utilisateur, sur le plan fonctionnel comme pour la montée en charge (avec sa technologie historique LoadRunner). Parmi les fonctionnalités spécifiques à la SOA ajoutées aux produits Mercury, notons encore dans le module Business Availability Center la capacité de détecter les services non enregistrés (« rogue services »), soit parce qu'ils existaient avant la mise en place d'une procédure d'enregistrement, soit parce qu'ils auraient proliféré de façon incontrôlée. Ils peuvent alors être supervisés au même titre que les autres : relations avec les autres services, performance, etc. Le module est intégré à LoadRunner afin de corréler les données issues des tests et celles issues de la phase de production, pour aider à la résolution des problèmes. Cet ensemble d'outils de bonne gouvernance des SOA ne vaut bien sûr que si l'on s'en sert (intégration des tests plus tôt dans la phase de développement, respect de la procédure d'enregistrement des services, etc.), or rien ne dit que les directions informatiques soient prêtes pour une telle démarche. Comme l'admet Elie Kanaan, vice-président marketing EMEA de l'éditeur, « ce n'est pas parce qu'on vend des machines à écrire qu'on aura de bons auteurs ; là, c'est pareil ». La fusion avec HP devrait conduire à une CMDB fédérée Un autre élément pourrait retarder l'adoption de ces outils de qualité pour les SOA : la prochaine fusion annoncée avec HP (voir l'encadré ci-dessous). L'éditeur de la plate-forme de supervision Openview dispose en effet déjà d'une base répertoriant les éléments matériels et logiciels de l'infrastructure informatique (une CMDB, configuration management database). Pour Elie Kanaan, à y regarder de plus près, cela ne pose pas vraiment de souci : « La CMDB de HP est héritée en fait du rachat de Peregrine, or nous avions commencé à nous intégrer avec Peregrine. Nous avons donc rouvert ce canal. » Et conclu que la meilleure solution consistait à créer une CMDB non pas unique mais fédérée, s'appuyant sur deux CMDB, l'une répertoriant les éléments d'infrastructure, l'autre les services et applications. « Elles fonctionnent sur des critères différents, comme le type ou la fréquence des changements. » Côté gestion d'applications, Elie Kanaan juge également Mercury et HP parfaitement complémentaires, « le premier avec son approche top-down, le second bottom-up ». Selon lui, HP et Mercury partagent beaucoup de clients pour lesquels il fallait réaliser des intégrations au cas par cas. Désormais, ils n'auront qu'un fournisseur, et l'intégration sera déjà faite. (...)

(11/10/2006 12:38:39)

BEA World : une vision à 360° centrée sur l'offre maison

L'édition européenne de BEA World, qui se tenait hier et s'achève aujourd'hui à Prague, n'aura été finalement qu'une session de rattrapage de l'édition de San Francisco du mois dernier (avant une troisième et dernière session de la conférence utilisateurs à Pékin en décembre). Peu d'annonces donc (voir l'encadré ci-dessous), l'essentiel ayant été dit aux Etats-Unis : l'émergence d'un style architectural commun, orienté services, pour l'ensemble des produits de BEA (les familles Tuxedo, WebLogic et AquaLogic), baptisé mSA, et le pilotage de l'ensemble des outils au travers d'un espace de travail collaboratif orienté rôles, Workspace 360. Néanmoins, plus d'un millier de clients, prospects, partenaires, journalistes et analystes ont fait le déplacement, ne serait-ce que pour éclaircir ce qui se cache derrière cette vision à 360° de la SOA, que BEA promet pour le courant de l'année 2007. Les grandes fonctions exposées comme des services Ainsi mSA, micro Services Architecture, désigne une façon d'exposer les grandes fonctionnalités des produits de l'éditeur sous forme de services, telles que la gestion de règles, le routage de messages, etc. L'idée, nous a expliqué Paul Patrick, architecte en chef de la gamme AquaLogic, est de pouvoir personnaliser les fonctionnalités des produits BEA en fonction des besoins des clients, en les étendant ou en les recombinant. « Mais, précise-t-il, les trois familles continueront d'être vendues telles quelles, nous n'avons aucune intention de nous transformer en vendeur de composants. » Autrement dit, il faudra acheter un produit pour bénéficier d'une de ses fonctionnalités - sauf négociation commerciale... Par ailleurs, si mSA désigne une façon d'architecturer les produits selon les préceptes des SOA (architectures orientées service), il ne s'agit en aucun cas de services Web ou de protocoles ouverts : l'assemblage de services est laissé aux seuls soins de BEA. Seule une porte est laissée ouverte pour des acteurs de l'Open Source, un moyen pour BEA de se dire ouvert tout en complétant son offre à peu de frais. Et le développeur ne devrait pas savoir quel produit il utilise en fait, BEA tâchant de focaliser son attention plutôt sur le service rendu. Un espace de travail commun, des rôles distincts La création des processus à partir des services fonctionnels et techniques sera dévolue à WorkSpace 360, un espace de travail collaboratif fonctionnant aujourd'hui sous forme de portail (un passage éventuel au client riche Eclipse laisse Paul Patrick dubitatif), offrant des interfaces différentes selon les rôles : architecte, développeur, responsable IT et analyste métier. Un même produit, tel que AquaLogic BPM, l'outil de gestion de processus hérité de Fuego, devrait ainsi pouvoir être manipulé par des populations différentes avec des angles de vision différents. Workspace Central, un référentiel des actifs logiciels, hérité lui du rachat de Flashline, assurera la cohérence. Voir également, à ce sujet, l'interview de Rob Levy, CTO de BEA Systems. (...)

(29/09/2006 18:00:07)

SOA : BEA lève le voile sur un prototype de WorkSpace 360

BEA a levé un coin du voile sur le prototype de WorkSpace 360, première brique de sa solution plus globale de gestion de cycle de vie des architectures orientées services (SOA), SOA 360, annoncée la semaine dernière à BEA World. Si pour l'heure l'ensemble reste confus, BEA a tenu à décrypter les technologies réunies sous la bannière WorkSpace 360, en avant première. La plateforme ne devrait voir le jour que début 2007. Le coeur de la solution est ainsi appelé WorkSpace Central, et constitue un ensemble d'outils pour développer et administrer les applications créées avec SOA 360. L'objectif de WorkSpace 360 est de réunir les rôles de chaque intervenant dans un unique espace de travail : analystes, architectes, développeurs et administrateurs. L'architecture couvrira l'ensemble de la gamme de produits BEA dédiée à la SOA sous la bannière AquaLogic. Puis devrait s'étendre à une brique qui devait s'appeler AquaLogic Composer, qui renfermera en fait un ensemble d'outils, notamment un module de modélisation destiné à assembler les services. (...)

(25/09/2006 09:45:30)

Les entreprises débattent des SOA le 5 octobre à Paris

Le 5 octobre aura lieu à Paris une journée de débats et de présentations sur les architectures orientées services (SOA), au cours de laquelle de nombreux représentants d'entreprises viendront apporter leur témoignage : Bouygues Telecom, Reuters, Gaz de France, Spacebel, France Printemps, SMABTP... Ce Forum SOA est organisé par IDG, leader mondial du marché de l'information dédiée aux technologies de l'information avec 300 publications dans 85 pays, dont Le Monde Informatique, CIO ou www.lemondeinformatique.fr en France. L'inscription est gratuite. Les points de vue d'analystes de PAC et Forrester, ainsi que de plusieurs éditeurs (Oracle, BEA, IBM, Software AG, Ilog et Sun) et experts du sujet (Sogeti, Unilog-Logica) seront confrontés au cours de plusieurs tables rondes. La dernière table ronde de la journée donnera une perspective internationale à l'événement, grâce à la participation d'experts étrangers du domaine (Capgemini, Deloitte) et de journalistes du groupe IDG venus d'Allemagne, du Royaume-Uni et des Etats-Unis. Quatre cent personnes sont attendues. (...)

(22/09/2006 11:19:21)

BEA World : BEA dévoile SOA 360° sa plate-forme orientée services

BEA a profité de l'ouverture de sa conférence utilisateurs BEA World à San Francisco pour dévoiler SOA 360°, sa nouvelle plate-forme pour les architectures orientées services. Capitalisant sur les produits existants de l'éditeur, Weblogic et Aqualogic, SOA 360° s'appuie sur l'architecture microService Architecture (mSA) de BEA, une architecture que l'éditeur présente comme légère et qui promeut la réutilisation des composants et l'interopérablité avec les outils tiers. Selon BEA, 100% de ses produits s'appuieront sur l'architecture mSA d'ici la fin 2008. Comme Cisco, BEA estime que les architectures de services devront faire face à des problèmes nouveaux en termes de connectivité et de routage des flux. BEA indique ainsi que mSA permettra de router dynamiquement les flux selon des critères de coûts, de disponibilité, de congestion, de sécurité et de contexte. Les premiers éléments de la famille SOA 360°, dont les outils de développement BEA Workspace 360°, seront disponibles dans le courant 2007. (...)

(15/09/2006 17:35:18)

Sun et Accenture préparent une gestion des identités pour la SOA

De nouveau très bons amis, Sun et Accenture ont décidé de s'afficher ensemble : ils vont ouvrir un centre de R&D commun, l'Accenture Innovation Center for Sun Solutions. Il emploiera des ingénieurs et consultants des deux firmes qui auront pour tâche de développer des solutions de gestion d'identités adaptées aux architectures orientées services (SOA). Dans une SOA, les services applicatifs peuvent être utilisés tant par d'autres services que par des utilisateurs de l'entreprise. En fonction de leur rôle et/ou de leurs accréditations, ces derniers peuvent avoir un accès plus ou moins restreints aux services. Or c'est le rôle des solutions de gestion d'identités de centraliser - ou au minimum de fédérer - les métadonnées sur les utilisateurs, et de les communiquer aux différentes briques du système d'information. L'offre de Sun et Accenture s'appuiera sur Java System Identity Manager 7.0, produit que Sun a dévoilé en début de semaine, et sur l'expertise du cabinet de conseil, qui en juillet dernier a annoncé un plan de 450 M$ sur trois ans pour développer des solutions SOA verticales. (...)

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