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Urbanisation et SOA

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(28/03/2007 12:31:33)

Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année

Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)

(22/03/2007 17:09:21)

SOA : vers une standardisation par l'Oasis des spécifications SCA

Chose promise, chose due. Les éditeurs de logiciels qui s'étaient réunis et avaient annoncé en décembre 2005 vouloir plancher sur un modèle de programmation standard pour les architectures orientées services (SOA) viennent non seulement de remettre leur copie, SCA v1.0, mais annoncent en outre leur intention de porter le tout à l'Oasis, afin que cette spécification devienne vraiment un standard. SCA (Service component architecture) a été initié par plusieurs éditeurs impliqués dans les SOA, tels IBM, Oracle, SAP, Iona, Xcalia... Ils ont été rejoints par d'autres acteurs, dont Sun (les tractations ont été délicates) et Red Hat (alors qu'à l'époque, Marc Fleury, le patron de JBoss, avait vivement critiqué l'initiative), gonflant le nombre à 18. Leur but était d'établir un modèle de référence, afin de faciliter l'intégration entre des produits de différentes provenances. Il y a en effet pléthore de petites spécifications standards pour réaliser des architectures orientées services, et rien ne dit que ces spécifications et les méthodes pour les employer soient compatibles entre elles. Dans le même ordre d'idées, le groupe, qui s'est appelé Osoa (pour Open SOA), s'est aussi attelé à SDO (Service data object), un moyen d'exploiter de façon homogène des données provenant de sources diverses. Des implémentations ont été proposées pour C et Cobol (l'Osoa continuera de plancher dessus), et définies pour C++, PHP et Java. Cette dernière sera soumise au JCP, l'organisme qui gère les spécifications liées à Java, tandis que la version C++ sera soumise à l'Oasis. L'Oasis a déjà planifié la création de plusieurs comités techniques chargés de ces questions ; ils devraient débuter leurs travaux en juin. Un cadre de référence plus large que la pléthore de spécifications WS-* La spécification SCA prend en compte le support du langage pour l'exécution de processus BPEL (Business process execution language), le gestionnaire de cinématique en Java Spring, ainsi que deux langages : Java et C++. Le travail sur C++ s'explique probablement par le fait que l'Osoa voulait éviter d'apparaître comme un organisme strictement orienté Java, donc en réaction face à Microsoft. Vice-président pour les standards de l'industrie chez SAP, Michael Bechauf indique aussi que SCA comporte un modèle d'assemblage décrivant la façon dont les différentes briques SOA doivent interagir, afin que les développeurs, architectes ou autres personnes intervenant sur des briques individuelles s'accordent sur un modèle cohérent. Les premières annonces sur SCA avaient suscité beaucoup d'interrogations. Un standard de plus, qui plus est défini par des industriels et non par un organisme de standardisation, pouvait rendre le tableau de la SOA encore plus complexe à décrypter. Mais, comme le souligne Mariano Boni, directeur technique de la SSII et société de conseil Dreamsoft (groupe Solucom), « chacun cherche à faire un peu plus que le standard, du 'BPEL++', ce qui se traduit par du '--' par rapport à la standardisation. La démarche SCA est donc très intéressante, elle donne une dimension de composant d'architecture de services. Et le fait que cela entre à l'Oasis lui donnera probablement un cadre plus clair ». Avis partagé par Marc Boullier, son homologue chez le concurrent Vistali. « A la différence de Microsoft, qui s'appuie sur une multitude de standards Ws-*, SCA offre un cadre plus global, qui améliore la lisibilité. C'est en outre une garantie de compatibilité. » Et la soumission à l'Oasis est bien un gage de maturité, « un signe de stabilisation, qui donne un niveau de confiance plus important, et peut amener à des recommandations plus favorables sur le terrain ». Face à des projets de SOA qui se multiplient dans une même entreprise, explique Marc Boullier, « il faut maîtriser la manière dont les architectes vont travailler, il faut donc un cadre de référence simple et lisible ». Seule inquiétude, formulée par Mariano Boni : que cette soumission à l'Oasis ne se traduise par un ralentissement des travaux sur le sujet. (...)

(15/03/2007 12:23:13)

Cebit 2007 : la grand-messe accueille un espace consacré aux SOA

Le Cebit de Hanovre accueille pour la première fois cette année un village appelé « SOA World », afin de populariser les architectures orientées services. Au coeur du hall 4, consacré aux processus métier, SOA World est loin d'égaler en taille les espaces occupés alentour par SAP, Microsoft ou Software AG. Chacun de ces acteurs poussant d'ailleurs largement son offre en la matière sur son propre stand. Mais l'idée de partager cet espace « semblait un bon moyen de mettre en avant cette thématique », explique Gerald Zwerger, de l'organisation de la Deutsche Messe. Le salon et Software AG, principal sponsor de cet espace SOA, ont donc pris sur eux de monter ce concept « pour aider les entreprises à gérer de façon plus rapide leurs processus à l'avenir, continue Gerald Zwerger, car pour l'heure les bénéfices de la SOA restent encore très théoriques ». Le coup d'envoi a été donné à 10 heures ce matin, avec une conférence s'achevant par l'intervention du spécialiste du secteur chez Gartner, Massimo Pezzini. Pour Software AG, c'est aussi un bon moyen de montrer à tous le recentrage de la société, d'une part sur l'édition de logiciels (le service devenant une branche accessoire), d'autre part sur la SOA. L'éditeur a ainsi légèrement retouché son logo - une révolution pour cette vénérable société qui n'y avait pas touché depuis sa création en 1969. Software AG a également effacé sa « baseline », le petit texte « the XML company » qui était apparu lors du lancement du broker d'applications basé sur XML et de la base de données native XML Tamino. Un recentrage en ligne avec celui de Software AG Pour Philippe Lerer, PDG de la filiale française, cette baseline a eu un impact plutôt négatif sur les clients historiques de l'éditeur, inquiets de voir leur fournisseur s'éloigner de son coeur de métier. Désormais, les deux piliers sont bien identifiés : la SOA, avec la nouvelle offre Crossvision, et la modernisation, qui repose sur l'offre historique Natural et Adabas mais qui rejoint finalement la première dès lors qu'il s'agit de repenser l'architecture du système d'information. Ce recentrage, explique Philippe Lerer, est l'oeuvre de Karl-Heinz Streibich, PDG du groupe depuis octobre 2003, qui a engagé un vaste plan de restructuration de la société. Qui porte apparemment ses fruits, « puisque des anciens clients reviennent nous voir », indique Philippe Lerer. Karl-Heinz Streibich a eu en tout cas tout loisir de l'expliquer, une heure avant l'ouverture de l'espace SOA World, à Viviane Reding, commissaire européenne à la société de l'information. On la connaissait active sur divers fronts (grid, roaming, protection des données personnelles...), la voilà experte en SOA. En-dehors de Software AG, ont participé au financement de l'espace SOA un partenaire « platinum », IBM, et plusieurs partenaires « gold », dont Microsoft, IDS Scheer, Mega, Iona, T-Systems ou Webmethods. (...)

(07/03/2007 18:11:34)

Oracle donne TopLink à la Fondation Eclipse

C'est dans le cadre de la conférence EclipseCon qu'Oracle a annoncé qu'il rejoignait le Board d'Eclipse en tant que Strategic Developer et qu'il allait donner TopLink à la communauté Open Source. Membre de la Fondation Eclipse depuis 2002, Oracle a déjà conduit trois projets d'outillage Eclipse : JavaServer Faces tooling, Dali JPA tools (Java Persistence API) et BPEL tools (Business Process Execution Language). Il rejoint le Board des Strategic Developers qui compte une quinzaine de membres. TopLink est resté longtemps la référence des frameworks de mapping objet-relationnel et objet-XML dans le monde Java. Développé à l'origine par The Object People, dont les initiales donnèrent le nom au produit TOPLink, la première version commerciale apparue en 1994. En 2000, WebGain, filiale de BEA, rachète The Object People et TopLink devient un produit WebGain. En 2002, Oracle rachète TopLink et l'intègre dans sa gamme de produits Oracle Fusion Middleware. On peut lire ici une histoire plus complète de TopLink. TopLink avait déjà ouvert une partie du code de TopLink, le composant de mapping objet-relationnel, dans le projet TopLink Essentials JPA. Cette édition Open Source de TopLink fournit la fonctionnalité JPA à l'implémentation de référence d'EJB 3.0. En 2006, le projet GlassFish de Sun intègre TopLink Essentials comme implémentation de JPA. Après avoir reçu un retour positif de la part de la communauté Open Source, Oracle a donc décidé de franchir le pas. Il va rendre tout le code source disponible qu'il va confier à la Fondation Eclipse. Oracle se propose de conduire un nouveau projet Eclipse, EclipseLink, pour fournir un ensemble de services de persistance qui peut être utilisé en Java ou dans des environnements OSGi (Open Services Gateway initiative). Oracle TopLink continuera d'exister et une version commerciale supportée part Oracle sera intégrée dans Oracle Application Server. TopLink et le projet EclipseLink entrent de ce fait en compétition avec deux autres projets Open Source implémentant JPA : Hibernate et OpenJPA, tous deux hébergés par la Fondation Apache. Comme le fait remarquer Sami Jaber sur son blog, « Dans les années 95-2000, Toplink était plébiscité par les puristes, avant la fièvre Hibernate. Il n'est pas impossible que les mouches changent d'ânes. Et comme une mouche avertie en vaut deux ;-) ... ». Bien que travaillant avec la Fondation Eclipse, Oracle continuera de proposer une alternative à Eclipse IDE avec son environnement JDeveloper. (...)

(07/03/2007 18:10:12)

Sun Tech Days 2007 Paris, le programme

L'événement est gratuit, les inscriptions sont encore ouvertes sur le site Sun Tech Days 2007 - Paris, France. Durant ces trois jours, les experts de Sun et ses partenaires couvriront l'ensemble des technologies de développement actuel du Web 2.0 : mobilité, Web Services, Solaris, Open Source, AJAX, SOA, Java EE, langages de scripts... L'agenda commence à se préciser et on connaît déjà le contenu et les orateurs de certaines sessions. Parmi eux on remarquera la présence de certaines « stars » françaises du monde Java telles que Alexis Moussine-Pouchkine (Java EE, GlassFish, NetBeans), Romain Guy (Swing), Vincent Brabant (NetBeans). La première journée sera orientée NetBeans, OpenSolaris. Deux programmes de sessions en parallèle traiteront ces deux sujets avec des sessions en français sur Java EE 5 et NetBeans. La seconde journée, plus généraliste, débutera par une session plénière présentée par James Gosling, le père de Java. Dans la journée, quatre programmes de sessions en parallèle traiteront du développement Java, du développement Solaris et proposeront des ateliers de prise en main. La troisième journée sera dans la continuité de la seconde, avec des sessions de partenaires. Adobe présentera une démo de Flex et on aura peut-être des révélations sur le futur de Java (projets Open Source et communautés). (...)

(01/03/2007 15:16:33)

L'offre middleware de Sun unifie ses consoles d'administration

Sun vient de présenter la version 5 de son offre middleware d'entreprise, Java Enterprise System (JES). Ensemble consolidé de produits testés et compatibles entre eux, JES agrège des produits d'origine distincte, qui disposaient chacun, jusqu'alors, d'une interface d'administration particulière. « Désormais, explique Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France, l'infrastructure d'administration est totalement unifiée, il n'y a plus besoin d'avoir de multiples comptes administrateurs. » La suite de base comporte notamment le serveur Web, qui fait l'objet d'une nouvelle version, le serveur d'applications, l'annuaire, le portail, le bus de messages et le service d'authentification. Fidèle à sa politique tarifaire par employé et par an, Sun propose cette suite pour 100$. Elle peut être complétée de la suite de gestion d'identités, qui fédère les outils liés à l'authentification et à la réservation des ressources, pour 50$ de plus. De même, l'offre pour les SOA (architectures orientées services) héritée de SeeBeyond, Java Caps (pour Composite application platform suite) peut être ajoutée pour 50$. Acquises seules, les suites sont bien plus chères : 75$ pour la gestion des identités, 100$ pour Java Caps. Le contrat d'abonnement a été légèrement révisé : les services de support diffèrent en fonction du nombre d'employés. Selon les paliers, les clients peuvent avoir droit à davantage de consulting ou de formation. Dans tous les cas, il faut compter 10$ de plus, toujours par employé et par an, pour bénéficier d'un support premium, c'est-à-dire 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. A l'heure actuelle, indique Alexis Moussine-Pouchkine, 1000 clients ont souscrit à ce principe du contrat d'abonnement, dont 600 pour la suite complète. « En France, ce modèle économique fait que nous avons pour clients tous les fournisseurs de services de type Cegetel, Neuf, Orange... » Parmi les derniers clients figurent l'Apec, le Sénat et Voyages-sncf.com. JES 5 est disponible sur les variantes x64 et Sparc du système d'exploitation, ainsi que sur HP-UX, mais il faut noter que côté Linux, seul Red Hat est supporté. Concernant Windows, la compatibilité n'est complètement assurée que sur la version 32bit. « Mais nous voyons davantage Windows comme une plate-forme de développement », souligne Alexis Moussine-Pouchkine. (...)

(27/02/2007 12:22:23)

Les éditeurs sont encore à des années d'une solution MDM complète, prévient Forrester

Il faudra attendre plusieurs années encore avant de voir un « vrai hub MDM fourni par un seul éditeur », prévient Forrester dans sa dernière étude sur le « Master data management », ou gestion des données de référence. Contrairement, dénonce le cabinet d'analystes, à ce qu'affirment les éditeurs à chaque acquisition ou nouvelle version de leur produit. Par « hub MDM », les auteurs de l'étude entendent un outil unique capable de supporter les différentes approches relevant aujourd'hui du MDM, telles que le CDI (Customer data integration, intégration des données clients) ou le PIM (Product information management, gestion des données produits). Ainsi, indique l'étude, les clients de SAP partent plutôt sur l'approche PIM, tandis que ceux d'Oracle entrent sur ce marché au travers des solutions de CDI. Pour Forrester, une véritable solution de MDM doit permettre d'identifier et de maintenir les données de référence dans tous les domaines, et servir tant aux processus métiers qu'aux applications décisionnelles. IBM serait le plus proche de cette définition, « à 18 ou 24 mois » d'une telle offre, estiment les auteurs de l'étude. L'étude, « Trends 2007 : Master Data Management », fournit un graphe positionnant les différents acteurs du marché en fonction de leur background respectif. Hormis IBM, les plus proches de parvenir à une solution globale sont Siperian, Initiate Systems, Oracle, Purisma, Dun&Bradstreet et Trillium. Le cabinet s'attend à nombre d'acquisitions dans ce domaine, pour accélérer le mouvement, mais s'étonne surtout de l'absence de Microsoft de ce marché, qui crée « un trou significatif dans l'écosystème .Net ». Un projet global doit commencer petit A condition de ne pas prendre pour argent comptant les « déclarations exubérantes » des éditeurs sur la complétude de leurs offres de MDM, cette technologie reste un élément essentiel des futurs systèmes d'information, complète Forrester. Simplement, dit l'étude, il vaut mieux commencer maintenant mais petit à petit, par entité métier ou par silo de données, de façon à pouvoir définir des métriques adaptées et prouver le retour sur investissement aux responsables métier, qui doivent être les sponsors de ce type de projet. Ce n'est qu'à terme que les projets se rejoindront - quand les solutions complètes seront vraiment prêtes. Cela laisse le temps également de former des compétences en interne. Forrester souligne en effet le manque de compétences en architectes de données et en experts de la gouvernance de données. Un bon créneau à prendre dans l'immédiat pour les cabinets de conseil. (...)

(22/02/2007 11:51:41)

Software AG mise tout sur la SOA

Pour Software AG, l'avenir est à la SOA (Service Oriented architecture- architectures orientées services). La société compte en effet sur ce type d'infrastructure pour doubler ses revenus en cinq ans et atteindre ainsi un 1 Md€ de chiffre d'affaires en 2011. Pour y parvenir, l'éditeur allemand va se doter d'un nouveau portfefeuille de logiciels pour aider ses clients à migrer leurs systèmes d'information vers une infrastructure SOA. Dans ce cadre, Software AG a lancé Active Governance Framework, qui permet d'éditer et d'appliquer les règles métiers aux applications de l'entreprise. La société prévoit également d'investir 700 M€ dans des acquisitions d'éditeurs pour étoffer sa propre offre SOA. Elle dévoilera plus précisément ses intentions à ce sujet lors du prochain CeBIT d'Hanovre en mars. (...)

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