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Urbanisation et SOA
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(13/04/2007 17:36:10)
Services Web : l'Oasis approuve la version 2 de BPEL
BPEL 2.0 est officiellement un standard. L'Oasis a approuvé hier la version deux de ce Business Process Execution Language, langage d'exécution des processus métier, qui décrit la façon dont les processus métiers peuvent être transcrits sous forme de services Web et interagir. Surtout, BPEL décrit la façon dont les exceptions - lorsque tout ne se déroule pas correctement dans l'enchaînement des processus - doivent être gérées. La norme a été initiée en 2002 par Microsoft et IBM. Aujourd'hui, ce sont 37 éditeurs, dont Adobe, Oracle et Sun, qui soutiennent les spécifications. Elles étaient pour l'heure en version 1.1, mais la plupart des éditeurs proposaient déjà des produits supportant la version 2 de la norme dans leurs offres BPM (Business process management) ou SOA (Architectures orientées services). (...)
(12/04/2007 12:33:39)L'Oasis fait un pas de plus vers la standardisation des spécifications SOA
L'Oasis (Organisation for the advancement of structured informations standards) a en effet annoncé mercredi 11 avril la création d'un groupe de travail baptisé Open Composite Services Architecture Member Section (Open CSA), dont le but sera de promouvoir les développements et l'adoption des spécifications liées à la SOA, SCA et SDO. Et surtout, de coordonner les travaux de standardisation. Le 22 mars, l'Osoa (Open SOA Collaboration), un groupement de 18 éditeurs spécialisés SOA (tels que BEA, IBM, Oracle, SAP et Iona) a décidé de soumettre ces deux spécifications auprès de l'Oasis. SCA (Service component architecture) doit établir un modèle de référence pour la création et l'intégration de services dans une architecture SOA. SDO (Service data object), de son côté, définit un moyen d'exploiter de façon homogène des données de sources hétérogènes. Dans un communiqué, l'Oasis explique que l'Open CSA Member Section supervisera plusieurs comités techniques et devrait notamment "permettre aux spécifications SCA et SDO de recevoir des contributions d'une plus large communauté de développeurs, d'intégrateurs et d'utilisateurs internationaux". (...)
(11/04/2007 16:23:24)Iona reprend les développeurs d'ActiveMQ et ServiceMix
Iona a mis la main sur LogicBlaze, un petit éditeur privé spécialisé dans les outils Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Les développeurs de LogicBlaze sont parmi les principaux contributeurs aux projets Apache ActiveMQ (un bus de messages) et ServiceMix (un bus de services, ou ESB). La plateforme de LogicBlaze, Fuse, ne survivra peut-être pas telle quelle à l'absorption par Iona. Larry Alston, vice-président d'Iona, explique que l'éditeur fera en sorte d'assurer une continuité pour la vingtaine de clients de LogicBlaze, mais qu'il est probable que les produits seront dispatchés dans les solutions d'Iona. « Et s'il s'avère qu'il s'agit d'un produit que nous pensons ne pas pouvoir supporter à long terme, nous ne le ferons pas. » L'acquisition est en effet davantage liée aux compétences internes de LogicBlaze qu'à son portefeuille produit ou client. Iona utilise des éléments de Fuse, et pourra ainsi accroître son expertise technique. Au début du mois dernier, Iona avait racheté une autre société privée, C24, pour ses capacités de gestion de données, qui viendront compléter son middleware Artix. (...)
(10/04/2007 15:41:00)Des cursus pour le DIF orientés SOA
Le DIF (droit individuel à la formation) se décline pour les architectures orientées services (SOA), chez Softeam. La SSII, spécialisée dans les technologies objets et les nouvelles architectures logicielles, propose également de nombreuses formations (notamment en UML, Java/J2EE, .Net) dans ses centres de Paris, Nantes, Rennes et Sophia-Antipolis. Souhaitant répondre à la réglementation sur le DIF pour ses propres collaborateurs, Softeam a élaboré des cursus orientés SOA et frameworks J2EE. Elle les propose désormais en intra-entreprise ou dans ses centres. Selon François Salaun, président de Softeam, « les entreprises sont à la recherche de formations qui permettent aux ingénieurs de travailler en cycle court. Nous avons choisi des solutions pro-actives. Le DIF offre cette possibilité de former en permanence les informaticiens. Nos cursus correspondent à des besoins identifiés, très demandés ». D'où la mise en place de cycles courts de deux jours : méthodologie pour SOA (formation généraliste présentant les fondamentaux de la démarche SOA et les bonnes pratiques à mettre en ?uvre) et architecture SOA (acquisition des connaissances indispensables pour établir une stratégie de mise en place de SOA en entreprise et son impact sur les infrastructures existantes). Softeam propose également des framewoks J2EE avec une journée par framework : Struts, Spring, JSF (interface homme-machine) et Hibernate (base de données). Les formateurs sont des consultants qui ont la connaissance du terrain et Softeam, qui voudrait également continuer à recruter « entre 8 et 10 collaborateurs par mois sur un an », planche sur un cursus DIF autour de l'UML, « qui existe en formation normale en 4 ou 5 jours, mais qui sera synthétisé en 2 jours ». (...)
(10/04/2007 11:29:00)BEA revendra Amberpoint pour la gouvernance SOA
Le module de gouvernance de la plateforme SOA de BEA, Aqualogic, sera signé Amberpoint. Les deux éditeurs ont conclu un accord de revente permettant à BEA de distribuer Amberpoint SOA Management System sous le nom Aqualogic SOA Management. Même si les fonctions liées à la gouvernance ne sont pas indispensables pour mettre en place des architectures orientées services (SOA), elles deviennent nécessaires lorsque le système croît, afin de ne pas retomber dans le chaos - 'l'architecture spaghetti' - où il ne faut surtout toucher à rien de peur que tout l'édifice s'écroule. La technologie Amberpoint fournit des outils de découverte des services, de vérification des interdépendances, de suivi du niveau de service ou encore de gestion des règles. « Cela ajoute la visibilité et le contrôle nécessaires pour superviser et agir sur ce qui se passe dans un environnement SOA », explique Paul Patrick, architecte en chef pour Aqualogic. Amberpoint avait déjà plusieurs accords avec des éditeurs, dont un accord de revente avec iWay. Anne Thomas Manes, analyste et vice-présidente de Burton Group, fait en effet remarquer que « Amberpoint est le leader dans ce domaine pour une bonne raison : c'est un produit de très haute qualité. » Amberpoint avait été fondé par des anciens de Forté, peu après le rachat de ce dernier par Sun. A lire sur le même sujet : - iWay complète sa suite SOA avec Amberpoint - Seize éditeurs adhèrent à SOA Link (...)
(05/04/2007 16:53:55)Software AG doit racheter Webmethods pour 546 M$
Lorsque Software AG parle de recentrage sur son métier d'éditeur d'outils pour les SOA, c'est du sérieux. Deux mois après avoir annoncé son « plan ambitieux de développement », Software AG vient de révéler son intention de racheter Webmethods, spécialiste 'pure player' des architectures orientées services. La transaction s'effectuera pour 546 M$ en numéraire - si les actionnaires de deux groupes l'approuvent. Dans une conférence de presse téléphonique tenue plus tôt dans la journée, le patron de Software AG, Karl-Heinz Streibich, a insisté sur la complémentarité des deux entreprises et la similitude de leurs approches du marché. Les deux réalisent en effet les trois quarts de leur chiffre d'affaires grâce au logiciel (nouvelles licences et maintenance), Software AG est particulièrement présent en Europe (66% de son CA), Webmethods en Amérique du Nord (62% du CA). De même, sachant que Software AG réalise encore moins du tiers de son CA avec Crossvision, son offre SOA (le reste provenant principalement de l'offre traditionnelle, la base de données Adabas et l'environnement de développement Natural), la combinaison Software AG + Webmethods pourra afficher une répartition de son chiffre d'affaires à égalité entre SOA et outils traditionnels. « Un portefeuille très équilibré qui nous rendra fort », explique Karl-Heinz Streibich. Le portefeuille clients (environ 3000 pour Software AG et 1500 pour Webmethods) devrait s'élever à 4000 références, une fois dédoublonné. « Un grand pas en avant » vers l'objectif du milliard d'euros de CA Côté offre produits, Peter Kürpick, responsable de la stratégie produits pour Software AG, a esquivé les questions sur le recouvrement des gammes, indiquant qu'il s'agirait de prendre « le meilleur des deux mondes ». Il a en revanche évoqué le fait que Webmethods était « un leader très fort en ce qui concerne l'intégration BPM [Business process management, gestion des processus métier, NDLR] et Software AG un leader très fort en ce qui concerne l'ESB [Enterprise service bus, bus de service applicatif, NDLR] ». Pour Webmethods, dont le chiffre d'affaires stagnait à un peu plus de 200 M$, cette acquisition est très logique dans un marché où les petits acteurs ne peuvent survivre que s'ils sont très forts sur des niches technologiques, face à des Oracle ou IBM qui élaborent des plateformes complètes. Dave Mitchell, CEO de Webmethods, qui devrait rester dans l'équipe de management, a laissé entendre que l'éditeur avait étudié plusieurs offres, celle de Software AG paraissant « la plus attractive » pour la société et les actionnaires. Pour améliorer sa visibilité sur le marché des SOA, Software AG avait annoncé un plan pour atteindre le milliard d'euros de chiffre d'affaires d'ici à 2011 - l'éditeur allemand affiche 483 ME pour son année fiscale 2006. Il a depuis légèrement retouché son logo, faisant disparaître la mention « the XML company », qui pouvait prêter à confusion sur son coeur de métier, et a investi massivement pour être largement présent au Cebit, notamment en sponsorisant un espace SOA. Mais clairement, commente Karl-Heinz Streibich, c'est ce rachat qui constitue « un grand pas en avant » vers cet objectif. (...)
(03/04/2007 17:05:39)Solucom rapproche Dreamsoft et Vistali pour le conseil en SOA
Dreamsoft et Vistali, deux cabinets de conseil spécialisés dans les architectures orientées services (SOA), font désormais partie du même groupe. Après avoir acquis Dreamsoft en septembre 2005, le groupe Solucom a en effet repris 100% du capital de Vistali. « Le deal a été signé hier, précise Pascal Imbert, le président du directoire du groupe Solucom, mais les discussions durent depuis le premier semestre 2006. » Donc très peu de temps après le rachat de Dreamsoft, en fait. Ce qui témoigne bien de la volonté du groupe de s'appuyer sur la SOA comme relais de croissance. « Le thème phare aujourd'hui est la sécurité, explique Pascal Imbert. Et le moteur essentiel de nos développements sera la SOA. Nous le considérons comme un axe stratégique depuis un certain temps. Je suis assez impressionné du nombre de fois où je vois que cette problématique de flexibilité et d'agilité figure dans la roadmap de nos clients. » D'après Jean-François Perret, président de Pierre Audouin Consultants, cité par Solucom, ce rapprochement de Vistali et de Dreamsoft fait du groupe Solucom « incontestablement le premier acteur du conseil en SOA sur le marché français ». Modeste, Pascal Imbert espère surtout gagner la confiance de grands clients, car « c'est bien d'être premier, mais tout va se jouer dans les années qui viennent ». Deux structures, et une offre commune L'acquisition de Vistali - pour un montant non dévoilé - ramène en effet à Solucom un nombre de grands comptes (Air France - KLM, Gaz de France, Groupama, Société Générale, SFR...) relativement élevé par rapport à sa taille (45 consultants). Dreamsoft compte de son côté « une centaine de collaborateurs dont 80 consultants ». Le challenge sera bien sûr de réussir cette union de deux cabinets concurrents. Le groupe Solucom a choisi de conserver les deux structures, chacune avec son équipe dirigeante. « Chacun va travailler sur une partie des clients du groupe », précise Pascal Imbert, sachant qu'il est possible qu'à terme cela évolue vers une spécialisation sectorielle. La synergie viendra dans un premier temps par la mise en place d'un comité de direction commun et « l'élaboration d'une offre commune ». Pascal Imbert insiste cependant sur le fait que les deux cabinets partagent une même vision du conseil en SOA. « C'est en partie pourquoi cela a pris si longtemps, nous avons vérifié qu'il y ait unicité de vision. » Dreamsoft et Vistali étaient en tout cas déjà partenaires au sein de l'association Praxeme Institute, dont le but est de promouvoir une méthode publique pour mettre en oeuvre les architectures orientées services. (...)
(29/03/2007 17:28:15)Sondage flash : un certain pessimisme sur la capacité d'Oracle à tout digérer
Vous avez été exactement 400 à répondre à notre 'sondage flash' sur la capacité d'Oracle à intégrer les technologies de ses acquisitions. Si l'on en croit ses résultats (qui ne prétendent pas être scientifiques), en plus de son travail technique d'intégration de tous les produits et modules technologiques dont il est maintenant propriétaire, Oracle devra faire attention à savamment expliquer sa démarche à ses clients et aux entreprises clientes d'une façon générale. Car 61,3% d'entre vous se déclarent « plutôt inquiets », contre 38,8% « plutôt confiants ». Nous avions publié ce sondage à la suite du dernier rachat d'Oracle, Hyperion, que Larry Ellison s'est approprié pour 3,3 Md$ au début du mois. Cette vingtième acquisition en moins de deux ans portait le montant total des rachats effectués par Oracle à plus de 20 Md$. Oracle est donc engagé dans un énorme travail d'intégration. Même si à l'instar de ce qui se fait chez SAP, l'intégration repose sur un socle middleware et des standards et protocoles ouverts (les services Web), le travail de fusion opéré par Oracle (le programme Fusion) sera évidemment de longue haleine. Ce qui semble inquiéter nos lecteurs. (...)
(29/03/2007 15:29:13)Retour à la vieille garde pour SAP après la démission de Shai Agassi
Les dents longues de Shai Agassi, qui se voyait déjà patron de SAP, se sont heurtées à un os. Hasso Plattner, fondateur de l'éditeur et président du Conseil d'administration, a demandé au directeur général (CEO) Henning Kagermann de rester en poste jusqu'en 2009, alors qu'il devait partir dès cette année. Shai Agassi a donc préféré annoncer son départ du groupe, un départ fixé au 1er avril. « J'avais partagé avec Shai mon plan, explique Hasso Plattner. Il devait succéder à Henning Kagermann en tant que co-CEO de SAP. Avec l'extension à 2009 du contrat d'Henning, il est devenu évident que cela ne plaisait pas à Shai de consacrer [à SAP] une période de 10 à 15 ans, cela ne coïncidait pas avec son plan de carrière. » Intervenant dans une conférence de presse téléphonique afin de préciser ce communiqué, Hasso Plattner a ajouté : « Il [Shai Agassi] m'a dit que ce n'était pas la dernière chose qu'il comptait faire dans sa vie. » Néanmoins, les deux se seraient quittés en bons termes, Shai Agassi disant qu'il se consacrerait à des projets personnels en rapport avec les problèmes d'environnement, les sources d'énergie renouvelable et le futur d'Israël (son pays natal), et Hasso Plattner expliquant combien la société lui était redevable. Agassi à la tête du développement technologique dès 2003 De fait, c'est Shai Agassi qui, en tant que président du Product & Technology Group de SAP, a élaboré et mené la stratégie de transformation du groupe. Sous son impulsion, SAP est passé d'un éditeur de progiciel à la structure monolithique à un éditeur d'une solution respectant les principes d'une architecture orientée services (SOA, ou ESA, Enterprise services architecture, dans le jargon SAP). Shai Agassi est entré chez SAP à l'occasion du rachat de sa société TopTier en 2001, un éditeur d'outils de création de portails. Il a rapidement monté les échelons, Hasso Plattner lui abandonnant dès 2003 son dernier rôle opérationnel dans SAP : la direction du développement technologique. C'est donc Shai Agassi qui a piloté l'élaboration de Netweaver, la plateforme middleware qui sert aujourd'hui de socle technologique à l'offre SAP. C'est également lui, jeune et brillant orateur, qui a parcouru le monde pour expliquer ce changement de stratégie afin d'inciter les clients et les partenaires à s'engager de nouveau avec SAP. Outre Netweaver, c'est lui aussi, plus récemment, qui a porté la stratégie On Demand, de fourniture d'applications en ligne, rappelle Denis Pombriant, analyste principal de Beagle Research. « Ces deux éléments sont absolument critiques pour le succès de SAP, dit-il. S'il n'est pas là pour pousser ces initiatives, je me demande si quelqu'un d'autre pourra le faire. » Leo Apotheker devient co-CEO immédiatement Le pire qui puisse arriver, indique de son côté David Bradshaw, analyste principal chez Ovum, est que Shai Agassi décide maintenant de s'impliquer chez un concurrent : « Interrogé afin de savoir si le contrat de Shai Agassi contenait une clause de non-concurrence, Hasso Plattner a fait une réponse qui semble vouloir dire qu'il n'y en a pas. » En revanche, le fondateur de SAP a insisté sur le fait que Shai Agassi conservait un bureau dans les locaux de R&D du groupe à Palo Alto, et serait dorénavant « consultant spécial » pour le conseil de surveillance. Le départ de Shai Agassi profite en tout cas à Leo Apotheker, président du groupe 'solutions & opérations clients' qui devait devenir co-CEO avec Shai Agassi. Il est immédiatement nommé CEO adjoint, en charge du marketing, des PME, et de la politique envers les partenaires. Henning Kagermann dirigera les équipes de développement du logiciel (Netweaver, CRM, Business Suite...). Pour Denis Pombriant, « on dirait que la nouvelle garde se fait mettre dehors par la vieille garde ». (...)
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