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Urbanisation et SOA

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(17/12/2007 18:12:23)

La méthode publique Praxeme fête ses un an avec des cas d'utilisation

L'association Praxeme Institute a tenu vendredi dernier sa première assemblée générale, suivie d'une séance ouverte au public qui a permis de se faire une idée de l'état d'avancement de cette méthode publique pour architecturer les systèmes d'information. Comme le souligne souvent l'auteur de la méthode, Dominique Vauquier, Praxeme est sous licence Creative Commons afin que le plus d'entreprises possible l'utilisent. A écouter les membres de l'association, les premiers résultats en termes de diffusion sont encourageants : Praxeme est partie de travaux chez Sagem, a été mise au point à la SMABTP, et a aussi été mise en oeuvre à des degrés divers chez Calyon, à la Caisse d'allocations familiales et au sein de l'Armée de Terre. Des prestataires sont également intervenus pour parler de Praxeme dans le cadre du projet SOA (architecture orientée services) du répartiteur pharmaceutique OCP Celesio et de celui d'EdF à la Doaat. De son côté, Dominique Vauquier a quitté Unilog pour travailler sur l'architecture d'Axa. Dominique Vauquier, Pierre Bonnet (directeur du conseil d'Orchestra Networks) et Jean-Michel Detavernier (DSI adjoint de la SMABTP) ont par ailleurs profité de l'occasion pour dédicacer leur ouvrage commun, « Le système d'information durable », chez Hermès Science Publications. Le livre expose précisément les objectifs de la méthode, et sa mise en application au sein de la SMABTP. (...)

(03/12/2007 17:49:52)

Accenture craint la stagnation des projets SOA... pour mieux vendre BEA

Dans leur grande majorité, les promesses des architectures orientées services (SOA) ne se sont pas encore concrétisées. La faute reposant en partie sur le fossé qui existe entre directions métier et directions informatiques. Voilà, en résumé, les propos tenus par Donald Rippert, directeur technique d'Accenture, lors d'un séminaire chez BEA à l'occasion de l'ouverture du « Accenture Innovation Center for BEA ». Ce centre d'innovation, sis au siège de l'éditeur, a justement pour but d'aider les entreprises à combler ce fossé. Et cela doit être fait dans les 18 mois, a prévenu Donald Rippert, pour que les SOA ne connaissent pas le destin éphémère du hula hoop. Alfred Chuang, le PDG de BEA, a souligné de son côté avoir recherché cette association avec Accenture, car « de toute évidence, personne n'a conduit autant de changements technologiques qu'Accenture ». Le CTO d'Accenture fonde son analyse sur une vision de l'implémentation des SOA en quatre phases : commencer par écrire les interfaces à l'aide de XML, puis exposer l'existant sous forme de services Web, ensuite connecter ces services avec un ESB (Enterprise service bus), et enfin recourir au langage BPEL (Business process execution language for Web services) afin de pouvoir modifier le comportement d'une application sans entrer dans le code. Et pour Donald Rippert, les projets SOA sont aujourd'hui coincés à la phase deux. Difficile de contredire Donald Rippert quand il explique que les retours d'expérience en SOA ne sont pas encore légion, ou que toutes les promesses n'ont pas été tenues. Néanmoins, on pourra objecter que sa vision est extrêmement réductrice : des SOA sans XML, services Web ou ESB peuvent exister ; de même, baser systématiquement un projet SOA sur l'existant n'est pas forcément une bonne idée. Comme le préconisait le directeur du conseil d'Orchestra Networks lors de notre SOA Forum, il vaut mieux partir sur un projet avec l'idée de tout refondre à terme, car la valeur d'une SOA dépend de la valeur de l'existant informatique - si on se base dessus. Or, soulignait l'organisateur du symposium architectes de Capgemini il y a quelques jours, construire un système à partir des transactions existantes est un non-sens qui risque de mener les projets dans une impasse. (...)

(29/11/2007 17:02:16)

Capgemini ouvre son symposium aux autres architectes

Capgemini a tenu hier et aujourd'hui son douzième symposium d'architecture. C'est la troisième année que la conférence s'ouvre à des partenaires, et la première fois que du public est invité à y participer. C'est aussi la troisième année que le Symposium a pour thème les SOA (architectures orientées services), « une tendance de fond ». Les deux jours ont donc abordé les SOA sous différents angles, « en privilégiant les retours d'expérience », précise Hyacinthe Choury, 'architecte leader' de Capgemini et auteur du programme. Lui-même a présenté la façon dont Capgemini est intervenu et intervient encore pour le compte du PMU. D'abord afin de refondre l'architecture du système de prise de paris sur Internet, pour lui permettre de monter en charge. « Le PMU a réalisé un chiffre d'affaires de 7,6 MdE en 2005, sur lequel Internet représentait moins de 10%, mais consommait 70% des ressources », indique Hyacinthe Choury. Les chiffres plus récents du PMU indiquent pour leur part un CA de 8,1 MdE, et « avec 329,6 millions d'euros, les paris sur Internet ont représenté 4,1% des sommes jouées ». Quoi qu'il en soit, sachant que le canal Internet croît de 30% par an, « il devenait urgent, crucial, de s'en occuper ». Le programme mainframe a été analysé et réécrit au besoin selon des préceptes orientés services, « ce qui a permis de diviser par deux les ressources ». L'autre objectif pour le PMU était de rendre l'architecture capable de supporter de futures évolutions liées aux changements réglementaires - l'ouverture du monopole à la concurrence. Capgemini a défini une structure de BPM (gestion des processus métier), remplaçant ainsi des programmes par un socle de gestion des flux, soutenu par un bus de services, l'ESB de Tibco. Premier bénéfice, les services exposés ainsi peuvent être utilisés par des partenaires extérieurs. Second bénéfice, « cela permet de gagner énormément en maintenance », argumente Hyacinthe Choury, puisqu'il ne peut plus y avoir d'erreur de programmation : le seul code généré l'est au sein de Tibco, le développeur n'intervient que sur le paramétrage. Les SOA coûtent cher, dit-on souvent, à juste titre. Mais la maintenance représente la majeure part du budget informatique des entreprises, il y a donc de l'argent à prendre de ce côté. C'est exactement ce qu'a fait Capgemini avec le PMU, explique l'architecte de la SSII. « Les dépenses de mise en oeuvre ont été financées par les économies en maintenance, c'était un engagement contractuel. » (...)

(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

(21/11/2007 09:04:01)

BEA ouvrira la virtualisation pour toutes les applications en 2008

C'est avec quelques mois de retard sur sa feuille de route que BEA va lancer sa console d'administration pour les environnements virtualisés avec WebLogic, son serveur d'applications Java. WebLogic Liquid Operations Control Center « permet de voir au coeur de la machine virtuelle », résume Martin Percival, évangéliste technique de BEA pour l'Europe. L'éditeur de middleware propose en effet depuis peu une version remaniée de son serveur d'applications et de sa machine virtuelle Java, Jrockit, capable de tourner directement au-dessus d'ESX Server, la couche de virtualisation de VMWare. D'après Martin Percival, la possibilité de faire tourner plusieurs instances de WebLogic sur un même serveur et sans système d'exploitation optimise la consommation des ressources ; il cite ainsi des clients qui sont parvenus à doubler leur capacité avec les mêmes serveurs. Pour l'heure LiquidVM, cette édition spéciale de la machine virtuelle, ne sert qu'à faire tourner WebLogic. Mais rien n'empêche a priori de l'utiliser pour d'autres applications Java. Cette généralisation devrait intervenir en 2008 : « Nous ouvrirons la plateforme pour permettre aux gens de l'utiliser avec leurs propres logiciels. » De même, BEA considère l'offre de VMWare comme dominante, mais l'éditeur pourrait étudier la possibilité de tourner sur d'autres hyperviseurs, « s'il y a des opportunités commerciales ». (...)

(16/11/2007 17:55:18)

OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications

C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)

(16/11/2007 16:32:23)

Un comité SDO au sein de l'Oasis

SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)

(06/11/2007 15:12:01)

Integration World : Software AG embarque la BI de Cognos dans webMethods

Software AG veut ajouter des fonctions d'analyse décisionnelle en temps réel à sa plateforme de BPM, BAM et BRM. C'est que concrétise l'éditeur allemand en annonçant, à l'occasion d'Integration World 2007, la conférence des utilisateurs de webMethods, qu'il fournira les outils décisionnels de Cognos en standard avec les solutions de webMethods. Selon les termes de l'accord, les modules de reporting, de tableaux de bord et d'analyse de Cognos 8 BI seront intégrés dans les prochaines versions des produits webMethods. Selon l'éditeur, l'objectif est de combiner BAM (Business activity monitoring, supervision des activités métiers), BPM (Business process management, gestion des processus métiers) et BRM (Business rules management, gestion des règles métiers) à une brique décisionnelle qui doit confronter en temps réel les données de l'entreprise à l'ensemble des outils de monitoring. En clair, rapprocher les données de production des données historiques de l'entreprise pour "intervenir au moment de vérité", résume Peter Küprick, directeur des produits webMethods. Et d'ajouter : "Le BPM dirige, le BAM détecte, le BRM coordonne et enfin le décisionnel contextualise en amont l'ensemble", tout en expliquant qu'il s'agit là d'offrir une vision de bout en bout de la chaîne de processus de l'entreprise. (...)

(06/11/2007 13:41:13)

Integration World 2007 : coup de projecteur sur la fusion webMethods / Software AG

Coup d'envoi de l'édition 2007 d'Integration World, la grand messe des utilisateurs de webMethods, spécialiste de la SOA (architecture orientée services) et du BPM (gestion des processus métiers), à Orlando (du 5 au 7 novembre). S'il s'agit "d'engager les utilisateurs dans le processus" (Engaging users in the process), comme était baptisé un webcast organisé en préambule de la manifestation, c'est parce que l'édition 2007 est la première mouture de la conférence depuis le rachat de webMethods par Software AG, pour 546 M$, en avril dernier. Une conférence qui devrait ainsi détailler l'intégration de webMethods au portefeuille de son acquéreur allemand. En outre, les feuilles de route seront tirées. A l'occasion d'une conférence pour analystes, David Mitchell, COO de la division webMethods, a vanté les mérites de la fusion. Tout en se félicitant de la diffusion de webMethods qui profite du réseau de Software AG, il explique que la nouvelle filiale sera un des leviers de croissance de l'Allemand. Et qu'elle constitue ainsi un des maillons indissociables de la stratégie de Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG, qui vise à atteindre le milliard de chiffre d'affaires en 2010 - 2011. Autre argument, la fusion a également donné naissance au n°3 du BPM et de la SOA, notamment en termes de portefeuille technologique. Ce qui donne une taille critique nécessaire pour accéder à de nouveaux marchés. "Les CIO ne veulent pas acheter d'infrastructure à de petites sociétés. Vous devez être gros et indépendant." Reste encore à rassurer les clients de webMethods. Toujours à l'occasion de cette conférence, John C. Petrey, vice-président et CIO de TD Banknorth, interrogé sur ses craintes résultant de la fusion, a expliqué que les ventes de webMethods sont directement liées la culture et la bonne image de l'éditeur. "Nous reposons sur l'offre. Nous craignons que cela change". La rédaction du www.lemondeinformatique.fr vous tiendra informés tout au long de la conférence. (...)

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