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Urbanisation et SOA

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(24/01/2008 09:41:16)

IBM s'offre la solution de gestion d'événements d'AptSoft

IBM a annoncé l'acquisition d'AptSoft, éditeur d'une solution de gestion des événements en temps réel. La gamme WebSphere se complètera ainsi d'une solution pour surveiller les flux d'informations et corréler les événements, afin d'agir dessus au plus vite. AptSoft est en effet un des pionniers du marché du CEP, ou Complex event processing (aussi appelé ESP, Event streaming processing), aux côtés de Streambase, Aleri ou Apama. Son offre Director for CEP a d'abord été conçue pour détecter les fraudes et optimiser les ventes. Un logiciel de CEP analyse des flux d'informations en temps réel et les compare à une base de règles. Il peut ainsi détecter lorsque des anomalies surviennent, même si elle a lieu au sein d'une multitude d'événements, comme des ordres de Bourse ou des lectures d'étiquettes RFID. Associé à un logiciel de BPM (Business process management, gestion des processus métier), cela permet de déclencher des processus dès qu'un seuil est franchi ou une anomalie détectée. Oracle, Sun ou Tibco communiquent régulièrement sur ce sujet, estimant qu'il s'agit d'une évolution naturelle des SOA (architectures orientées services), tandis qu'IBM ne disposait jusqu'à présent que d'un simple courtier de messages, Wepsphere event broker. (...)

(17/01/2008 13:01:48)

BEA-Oracle : Gartner conseille aux clients de différer leurs investissements

« Les clients sont dans une situation classique de 'wait and see'. Pour des entreprises déjà clientes de BEA, sur WebLogic par exemple, il n'y a pas de raison de paniquer. En revanche, ce serait risqué d'investir maintenant sur des produits récents. » Massimo Pezzini, vice-président de Gartner et analyste distingué, estime que l'acquisition de BEA par Oracle conduira à « des décisions difficiles » ; il serait donc risqué, explique l'analyste, d'investir sur des produits de BEA qui ne disposent pas déjà d'une base installée conséquente, les rendant quasiment intouchables. « Beaucoup [de produits] seront mis en mode maintenance, d'autres intégrés au sein de l'offre Oracle. Certains continueront de vivre, des produits comme WebLogic ou Tuxedo qui ont probablement des centaines de milliers de déploiements, ce serait un suicide de les arrêter. D'autres produits sont complémentaires, comme la machine virtuelle Jrockit. Et beaucoup sont en situation de recouvrement. » Dans tous les cas, explique encore Massimo Pezzini, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, même si Oracle choisit de privilégier certains produits de BEA par rapport aux siens, le projet Fusion aura le dernier mot : Oracle a en effet engagé une vaste réorganisation de son offre progicielle afin de l'appuyer sur son offre middleware. (...)

(16/01/2008 14:56:10)

BEA accepte l'offre d'achat d'Oracle pour 8,5 Md$

Trois mois après avoir rejeté l'offre d'achat d'Oracle, BEA a finalement accepté de se vendre, pour un montant évalué à 8,5 Md$. Hier encore, à la conférence utilisateurs parisienne de l'éditeur, Mike Piech, responsable marketing des offres WebLogic et Tuxedo, assurait que « BEA se voit comme une société indépendante : tous les investissements et les feuilles de route produits sont faits dans cette optique ». De fait, depuis la première offre d'achat d'Oracle le 12 octobre dernier pour 6,7 Md$, BEA n'a eu de cesse d'affirmer vouloir rester indépendant. Un discours toutefois infléchi quelque temps après, suite à la fronde d'un gros actionnaire, estimant que les intérêts des actionnaires n'étaient pas pris suffisamment en compte par la direction de BEA. L'éditeur avait alors laissé entendre qu'à partir de 8,15 Md$, il pourrait accepter une offre. Oracle estimait alors que personne n'irait proposer mieux que ce qu'il avait offert. Comprendre : il faudrait être fou pour dépenser plus que 17 $ l'action. Or, l'accord intervenu aujourd'hui fixe un prix de 19,375 $ par action. (...)

(15/01/2008 16:26:17)

BEA explique Genesis à ses utilisateurs français

BEA tenait aujourd'hui son « Convergence Day » au Cnit de Paris-La Défense, un événement important dans le calendrier de l'éditeur, qui réunit ainsi chaque année ses principaux utilisateurs, prospects et partenaires. Alfred Chuang, cofondateur et toujours patron de BEA, a fait le déplacement, pour faire la promotion de son nouveau concept Genesis, dans un court discours résumant son 'keynote' de l'édition européenne de BEA World, qui s'est tenue à Barcelone en octobre dernier. Insistant sur la fin des progiciels intégrés et sur l'essor des mashups, ces services composés par les utilisateurs eux-mêmes, Alfred Chuang explique que l'avenir appartient aux « Dynamic business applications », un terme issu des analyses du cabinet Forrester, désignant des applications conçues pour être changées, et non pas simplement personnalisées. Un avenir rendu possible par la généralisation des SOA, les architectures orientées services. La réponse de BEA à ce challenge s'appelle « Genesis », « une initiative qui embrasse et étend tout ce que fait BEA », a sommairement expliqué Alfred Chuang, qui promet un lancement de la première étape de Genesis dès cet été. Dans un entretien avec Lemondeinformatique.fr, Mike Piech, directeur marketing senior pour les familles de produits WebLogic et Tuxedo, a indiqué que chaque nouvelle version d'un produit BEA comporterait désormais des spécificités liées à Genesis, tandis que certaines fonctionnalités seront délivrées en tant que modules autonomes. Dans tous les cas, a insisté Mike Piech, les produits BEA déjà installés dans l'entreprise seront pris en compte par les nouvelles technologies estampillées Genesis au même titre que le reste de l'existant : pas besoin de tout migrer. La première déclinaison de Genesis concernera les éditeurs souhaitant proposer leurs applications en mode Saas (Software as a service, ou application hébergée). « Parmi les exemples de fonctionnalités, il y aura la capacité de gérer plusieurs instances pour des clients différents, et de superviser l'usage du logiciel pour la facturation. » Genesis mêle mashups et Web 2.0 dans un monde post-SOA Mike Piech était monté sur scène pendant le discours d'Alfred Chuang pour effectuer et commenter une démonstration d'une application Genesis : un portail Web pour une marque automobile fictive, proposant plusieurs vues selon les utilisateurs (client, vendeur, concessionnaire, designer...), et privilégiant des techniques ainsi que des façons de travailler très Web 2.0 : collaboration via messagerie ou tableau blanc, glisser-déposer d'éléments applicatifs générant automatiquement des mashups... « La première démonstration live que j'ai vue moi-même de Genesis », a ensuite glissé Laurent Matringe, DG de BEA France, en guise de conclusion. Or, cela n'avait pas grand-chose de live, nous a ensuite avoué Mike Piech. Il s'agissait d'une vidéo retraçant ce que Genesis pourrait, à terme, offrir. Il reste, avant cela, beaucoup de travail à faire. Non seulement pour parvenir à cette création instantanée de mashups, mais aussi pour encadrer ce que pourront et ne pourront pas faire les utilisateurs. « Parmi les challenges à résoudre, indique Mike Piech, à chaque fois que j'effectue un glisser-déposer, j'augmente significativement la charge du service applicatif. D'où l'intérêt de la virtualisation pour ajouter dynamiquement des ressources. » Le DG France de VMware, partenaire de l'événement, avait d'ailleurs eu l'insigne honneur de monter sur scène le matin, BEA ayant multiplié ces derniers temps les annonces en matière de virtualisation. Toutefois, même avec de la virtualisation, les risques restent importants pour l'équipe d'exploitation. « Je ne peux pas prétendre que nous ayons déjà toutes les réponses », répond Mike Piech. (...)

(14/01/2008 17:49:54)

L'éditeur de l'ESB Open Source Mule signe en France avec Ippon Technologies

MuleSource, un des principaux éditeurs d'ESB (bus de services d'entreprise) Open Source, vient de signer avec un représentant en France : Ippon Technologies. A l'origine SSII spécialisée dans les technologies J2EE, Ippon Technologies s'est tournée vers les architectures orientées services (SOA) au fur et à mesure de ses projets menés avec son partenaire principal, BEA, et son offre Aqualogic. Mais la SSII a aussi été amenée à utiliser de l'Open Source : Liferay pour les portails, par exemple, et Mule pour les ESB. « Nous avons mis en place Mule ESB pour Cegedim, raconte Geoffray Gruel, directeur général délégué d'Ippon Technologies. Cela s'est très bien passé, dans les temps, sans heurt, avec un budget contrôlé. » L'ESB de MuleSource a été sélectionné suite à une revue de plusieurs produits, dont OpenESB de Sun, Petals d'Objectweb (OW2 Consortium), ServiceMix d'Apache et bien sûr JBoss, sur plusieurs critères : technique, communauté et feuille de route. Concernant les évolutions, justement, Geoffray Gruel explique que Mule ESB développe d'intéressantes capacités sur le monitoring en production. « Inversement, dit-il, Mule ESB n'est pas très fort en ce qui concerne le BPM. Mais Mule fonctionne très bien avec JBPM, de JBoss, et on regarde aussi du côté d'Intalio. » (...)

(14/01/2008 14:56:49)

Les extensions humaines de BPEL ont leur comité à l'Oasis

Neuf mois après l'approbation de la version 2.0 du standard BPEL par l'Oasis, voilà que se profile à l'horizon l'extension pour les tâches humaines. BPEL, ou Business Process Execution Language, est un langage destiné à écrire les enchaînements de services formant des processus. Il n'a pas pour but de gérer des interactions avec les utilisateurs. En revanche, des travaux sur cet aspect de BPEL, appelés BPEL4People, existent depuis longtemps. Active Endpoints, Adobe, BEA, IBM, Oracle et SAP ont ainsi élaboré les spécifications WS-BPEL Extension for People et WS-HumanTask. Co-président du comité BPEL de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards, qui gère un grand nombre de standards ouverts liés à XML et aux services Web) depuis sa création en 1993, John Evdemon, de Microsoft, vient d'annoncer que l'Oasis créait un sous-comité pour étudier ces spécifications, et permettre à terme d'inclure ces tâches humaines au sein des processus et de les exposer en tant que services Web. (...)

(08/01/2008 16:55:35)

Progress Software : bénéfice net en hausse de 44% grâce aux SOA

2007 a été une année profitable pour Progress Software. L'éditeur de logiciels d'infrastructures SOA vient en effet de publier un chiffre d'affaires de 494 M$, en progression de 10%, et un bénéfice net qui est passé de 29,4 M$ à 42,3 M$ (+44%). Sur un marché marqué par la consolidation - Oracle, IBM, Microsoft et SAP captant de plus en plus d'acteurs - Progress met en avant sa bonne santé financière : « La trésorerie et les investissements à court terme de la société se montent à 340 millions de dollars à la fin du trimestre, indique l'éditeur. Au cours du dernier trimestre, la société a acheté 600 000 actions pour un coût de 18,5 millions de dollars. L'autorisation de rachat existante, au titre de laquelle la société peut encore racheter 9,4 millions d'actions environ, expire le 30 septembre 2008. » Le quatrième trimestre a particulièrement été fructueux, puisque le bénéfice net a enregistré une augmentation de 75% (12,1 M$ contre 6,9 M$ un an plus tôt). Sur cette même période, les revenus générés par la vente de licences atteint 53,8 M$, contre 49,4 M$ en 2006 (+9%). La société explique ces bons résultats par la maturité du marché, et la forte adoption des architectures orientées services (SOA) dans les entreprises. Les ventes de logiciels SOA ont en effet progressé de 20% en 2007 chez l'éditeur. Progress Software ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, et table d'ores et déjà sur un chiffre d'affaire compris entre 515 et 525 M$ pour l'exercice fiscal 2008. Progress Software propose ses solutions SOA sous différentes marques : Apama (gestion d'événements en temps réel), Actional (supervision des services Web), DataXtend (réplication et accès aux données) et Sonic (bus de services d'entreprise). L'éditeur emploie 1600 personnes dans une trentaine de pays (27 personnes en France). (...)

(03/01/2008 17:32:36)

Bilan 2007: Sun Microsystems a repris sa place dans le jeu

Si Sun Microsystems a subi bien des aléas dans le sillage de l'éclatement de la bulle Internet, contraint, depuis lors, de batailler pied à pied pour rester dans la liste des fournisseurs des directions informatiques, il est désormais en passe de tourner cette page. En moins de deux ans au poste de PDG, Jonathan Schartz (nommé à cette fonction en avril 2004) a ramené fermement Sun dans la bonne direction, après plusieurs années marquées par les pertes financières. Il a ressuscité l'activité logicielle emblématique et l'activité de stockage. Et il a mis sur pied une feuille de route de sortie de produits qui est, selon l'analyste Katherine Hubert, de Morgan Stanley, « la plus solide depuis des années ». « Il faut porter au crédit de Jonathan Schwartz son excellente compréhension de la façon dont matériel et logiciel doivent être combinés, admet Bud Mathaisel, directeur des systèmes d'information du fournisseur de services d'infogérance Achievo. En outre, la technologie et les prix de Sun sont très concurrentiels ». Galaxy, serveurs lames, SeeBeyond... La ligne de serveurs Galaxy et les serveur lames ont séduit de nombreuses entreprises et l'activité de stockage est en croissance. Sun est déjà entré sur le marché des serveurs à quatre coeurs (quand le processeur concurrent Barcelona d'AMD a encore des problèmes). Et cette année, il sortira de nouveaux serveurs, produits de stockage et équipements de réseaux. En août dernier, Sun a racheté l'éditeur SeeBeyond, une acquisition de 387 M$ qui le met en position de devenir un fournisseur de choix dans la course aux outils d'intégration nécessaires aux architectures orientées services. Ses récentes gammes de matériel et le bus de services d'entreprise (ESB, enterprise service bus) apporté par SeeBeyond le placent également au coeur du marché des centres de données. Des centaines de millions en R&D Bien sûr, Jonathan Schwartz n'est pas le seul à pouvoir être crédité de ce redressement. Son prédécesseur, Scott McNealy, le co-fondateur de l'entreprise, a consacré des centaines de millions à la R&D au cours des jours sombres de l'année 2002. C'est aussi lui qui est à l'origine de l'UltraSParc T1 (Niagara), le processeur qui maintient Sun en compétition avec ses grands rivaux, IBM, HP et Dell. Plus encore, Scott McNealy a eu l'intuition de faire revenir en 2004 Andy Bechtolsheim, l'autre co-fondateur de Sun, architecte en chef et artisan de la gamme de serveurs Galaxy à base des processeurs Opteron d'AMD, celle-là même qui a permis au constructeur de se réintroduire sur le marché des centres de données. Le parcours de Sun, qui l'a conduit à glisser du rôle de leader à celui de suiveur, pour retrouver de nouveau l'étoffe d'un concurrent de poids, a été particulièrement pénible, notamment à cause des fortes réductions de personnel que le constructeur a dû opérer. Mais les chiffres en attestent désormais (les quatre trimestres profitables consécutifs, les résultats records tout autant que les succès qui s'additionnent), si Sun ne figure pas encore en haut de la liste des fournisseurs de toutes les directions informatiques, il a retrouvé toute sa vigueur. (...)

(18/12/2007 17:21:53)

Rencontres agiles : la preuve par l'exemple

Les Rencontres agiles 2007, événement dont LeMondeInformatique.fr était partenaire, ont réuni une centaine de participants environ ce mardi matin à Paris-La Défense. De nombreux intervenants, utilisateurs et consultants, ont démontré comment les méthodes agiles, Scrum et XP en tête, pouvaient assurer la réussite d'un projet de développement... à certaines conditions. « Il faut le voir pour le croire » était quasiment une phrase clé ce matin, comme Didier Girard (de Sfeir) et Bernard Notarianni (Octo Technology) l'avaient dit en organisant cet événement. Des représentants de Vidal et de M6 ont exposé la façon dont les méthodes agiles leur ont permis de répondre en très peu de temps - quelques semaines - à des requêtes de leur direction fonctionnelle. L'application des méthodes agiles a agi à deux niveaux. D'une part en responsabilisant les maîtrises d'ouvrage, qui ont dû hiérarchiser leurs demandes, d'autre part en augmentant l'efficacité des équipes de développement, grâce aux réunions quotidiennes, au pilotage par les tests, et aux itérations fréquentes (puisqu'à la fin de chaque itération, un projet doit pouvoir être mis en production). En revanche, comme l'a souligné le DSI adjoint de M6, même si pour certains développeurs il est dur de revenir aux méthodes traditionnelles après avoir goûté aux méthodes agiles, celles-ci n'ont pas vocation à intervenir dans tous les projets. Pour lui, les méthodes agiles sont la réponse si les projets disposent d'équipes réduites, ont des contraintes fortes en termes de délai, et peuvent voir leur budget et leurs exigences remis en cause. Les méthodes agiles applicables aussi en offshore Même si la grande majorité des interventions a montré que les méthodes agiles sont a priori l'apanage de petites équipes rassemblées en un lieu unique, Guillaume Bodet, de la SSII Xebia, a démontré que Scrum et XP pouvaient s'adapter à l'offshore. Xebia a raté son premier projet de développement en collaboration avec des développeurs indiens, mais en compte depuis six réussis, et trois sont en cours. Quelques adaptations et outils de télécommunication sont bien sûr nécessaires, pour jouer avec le décalage horaire et la distance. Mais il faut aussi « investir pour lever les obstacles ». Il est important par exemple de financer des voyages pour que les développeurs puissent se rencontrer régulièrement et travailler ensemble physiquement. Quant à savoir si les méthodes agiles doivent s'adapter à l'entreprise ou l'inverse, le débat n'est pas tranché. Laurent Bossavit, consultant indépendant et président de XP France, a ainsi rappelé que si la méthode est adoptée en bloc, « le choc culturel est maximal », et donc le risque d'échec aussi. Il préconise certains aménagements, avec une limite toutefois : « Les pratiques qui exigent le plus d'effort sont souvent rejetées, alors que c'est le plus critique. » On citera par exemple le pilotage par les tests, toujours très contraignant, mais gage d'un code plus propre sans phase de recette interminable... ou inexistante. Claude Aubry, consultant indépendant, indiquait de son côté qu'il fallait s'adapter au contexte de l'organisation, tout en disant qu'il se montrait plus ferme, dans son rôle de « coach agile », avec l'expérience. « Dans les premiers projets, j'avais tendance à ne pas brusquer, maintenant je pense qu'il est mieux d'être ferme sur le vocabulaire, pour bien montrer qu'il y a une rupture, que les choses changent. » (...)

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