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Urbanisation et SOA
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(11/12/2008 17:07:58)
SoaML, pour décrire les SOA avec UML
UML s'adapte aux SOA. SoaML, extension du langage de modélisation pour les architectures orientées services, devrait être validé d'ici un mois, a affirmé un représentant de l'OMG (Object Management Group), qui tient une conférence sur le sujet en ce moment à Santa Clara. Contrairement aux efforts de standardisation qui ont prévalu jusqu'ici dans l'orientation services, SoaML (Service oriented architecture Modeling Language) s'intéresse bien à l'architecture et non aux composants techniques sous-jacents. Le but de SoaML est en effet de fournir aux utilisateurs du langage UML (Unified modeling language) les moyens de modéliser une architecture orientée services - comprenant donc des notions de consommateurs et de fournisseurs de services, ainsi que la notion de contrats. Antoine Lonjon, directeur de la recherche de Mega International, participe au groupe de travail SoaML. Pour lui, « le passage de la notion de composant à celle de service implique des obligations réciproques entre le fournisseur et le consommateur, et il est indispensable de formaliser cela en amont des décisions techniques ». SoaML servira ainsi à spécifier un cahier des charges, à l'attention d'un sous-traitant, ou bien à formaliser une approche services dans le cadre d'une démarche MDA. En MDA (Model driven architecture), on modélise l'architecture d'une application, l'outil générant ensuite le code en fonction de la plateforme visée. A priori, SoaML devrait être compatible avec tous les outils manipulant de l'UML v2. Et il sera aussi en ligne, précise Antoine Lonjon, avec la prochaine version du langage de description de processus BPMN. Outre Mega International, l'initiative compte parmi ses premiers contributeurs IBM, HP, Fujitsu, Softeam, Capgemini... (...)
(11/12/2008 12:02:56)Microsoft pense que la crise financière dopera son cloud Azure
La crise économique plonge la plupart des acteurs du marché IT dans l'inquiétude. Mais certains, non sans une certaine dose de cynisme, estiment que c'est une chance. Microsoft en fait partie. Dans une interview accordée à l'agence Reuters, Stephen Elop, responsable de la division business de Microsoft explique ainsi comment l'actuelle tourmente financière pourrait doper son offre de cloud Azure annoncée fin octobre et de S+S (software + service). Selon lui, d'ici 5 ans, 50 % des accès à Sharepoint et d'Exchange pourraient se faire via Azure. Il estime que les temps difficiles qui devraient durer au moins un an ou deux vont profiter à ce modèle. Selon l'éditeur, les entreprises privilégieront ce système, a priori moins coûteux au départ, par rapport à l'achat de logiciels. Microsoft s'attend même à ce que son offre soit profitable après un an tout juste d'existence. Microsoft propose plusieurs formes d'accès à Office Web, entre autres, pour faire face à la concurrence des modèles gratuits tels les Google Apps : Un accès gratuit avec des bandeaux publicitaires, un abonnement ou un système de licence plus traditionnel. Stephen Elop affirme que même les versions basiques et gratuites d'Office Web seront plus puissantes que Google Apps. Elles auront notamment la possibilité de passer d'un mode en ligne à un mode hors ligne et retour, sans perdre la mise en forme du document. Il affirme que l'offre en ligne de Microsoft, déjà accessible en ligne ou susceptible d'être accessible par ce biais d'ici quelques mois, est bien plus riche que celle de Google réside. (...)
(03/12/2008 13:59:23)Adobe Max : SOA, BPM et CEP en toile de fond
Il est le seul évangéliste de son espèce chez Adobe, et court donc animer ici une session, là un cours, et, entre chaque, un entretien avec un analyste ou un journaliste. Malgré tout, Duane Nickull l'assure, les architectures orientées services (SOA) sont une priorité pour Adobe. Le maître ès standards de l'éditeur profite en effet de la conférence utilisateurs européenne, Adobe Max Milan, pour dispenser la bonne parole : Adobe a une stratégie d'orientation services depuis longtemps, et se dirige même vers une architecture orientée événements (EDA). Duane Nickull est, de fait, bien placé pour le savoir car Adobe a commencé à mettre en place cette stratégie en rachetant la société qu'il avait cofondée, Yellow Dragon, en 2003. Yellow Dragon éditait un annuaire de services, désormais au coeur de l'offre LiveCycle ES (Entreprise Suite), la suite d'outils permettant de concevoir des processus orientés documents. LiveCycle est par exemple utilisé pour automatiser l'envoi de formulaires PDF aux internautes, et pour assurer la circulation des PDF remplis au sein de l'entreprise (ainsi que d'autres types de fichiers, grâce aux 'portfolios PDF', des dossiers sauvegardés au format PDF). Ce que les analystes américains décrivent comme un « document-centric BPM (Business process management) », autrement dit une gestion de processus métier orientée documents. Mais le futur, souligne Duane Nickull, appartient aux architectures orientées événements (EDA). Ou, pour reprendre une expression qu'il a lui-même forgée, l'Idea (Intelligence Driven Enterprise Architecture). « Les managers se fichent de savoir ce qu'il y a derrière les interfaces, ils se fichent de savoir s'il y a du Flex, du Silverlight ou autre chose, ce qu'ils veulent, c'est pouvoir prendre des décisions rapidement. » Pour cela, rien de tel que le CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes), qui surveille les flux d'informations, analyse l'occurrence de divers événements, opère des corrélations et en tire des conclusions. Cela ne veut pas dire qu'Adobe proposera dans un futur proche des solutions de ce type. Pour l'heure, l'éditeur préconise déjà l'utilisation des services LiveCycle pour réaliser des mash-up (combinaisons de services applicatifs en ligne). Et bataille pour faire reconnaître son rôle sur les marchés des SOA et du BPM. « C'est vrai que nous souffrons d'un problème de perception, reconnaît Duane Nickull. C'est bien pour ça que nous en parlons aux analystes et à la presse ! » (...)
(14/11/2008 16:41:25)Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes
Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)
(10/11/2008 12:37:15)Eclipse arrête des projets SOA faute de combattants
Les projets d'outils pour les architectures orientées services (SOA) n'ont pas la cote chez les contributeurs d'Eclipse. La fondation vient d'annoncer la fin de trois projets (ALF, STP-SC et STP-SOAS), faute de soutiens parmi les sponsors et de développeurs prêts à contribuer. STP-SC et STP-SOAS sont deux sous-projets de l'initiative SOA Tools Platform (STP), qui vise à créer une plateforme, des outils, des connecteurs et des bonnes pratiques pour faciliter la conception et l'assemblage de logiciels orientés services. STP-SC (pour Service Creation) était censé créer un pont entre les outils de développement existant sur le marché et le modèle STP. Iona, qui avait initié le projet, s'est depuis retiré, expliquant qu'il y avait une certaine redondance avec le WebTools Project (WTP), qui gère la partie outillage autour des services Web. STP-SOAS (pour SOA System) décrivait des interfaces de programmation devant simplifier le déploiement d'objets SOA au sein de conteneurs d'exécution. Sybase, qui avait initié le projet, n'y contribue plus, et personne n'a pris la relève. Aucun contributeur pour ALF en-dehors de Serena ALF a démarré pour sa part d'une façon originale pour un projet Eclipse, c'est-à-dire sans code. Serena Software a émis l'idée, en 2005, de travailler sur un système de gestion du cycle de vie (ALM, Application Lifecycle Management) des applications orientées services. Le code d'ALF (Application Lifecycle Framework) a donc été écrit directement au sein d'Eclipse, dans plusieurs directions dont la gestion d'événements (pour les architectures orientées événements) et la gestion des authentifications et des accréditations, qui a donné lieu à un framework d'authentification unique (SSO, single sign-on). La fondation Eclipse explique qu'ALF connaît un beau succès d'estime, la communauté semblant plutôt désireuse de s'en servir. Mais elle constate aussi que seul Serena contribue (l'éditeur se sert d'ailleurs d'ALF dans son offre Business mashups), et qu'il n'y a aucun signe de revitalisation de ce projet dans un avenir proche. Les trois projets seront archivés. A noter cependant que l'outil de SSO sera pour sa part intégré au projet de gestion des identités Higgins (dont la version 1.0 a été oubliée en février dernier) (...)
(04/11/2008 12:15:41)Le taux d'adoption des SOA en chute, selon Gartner
Le taux d'entreprises prévoyant de passer aux SOA n'est que de 25% cette année, alors qu'il était encore de 53% l'an passé. Depuis 5 ans que Gartner conduit une étude sur les plans d'adoption des architectures orientées services (SOA) par les entreprises, c'est la première fois que l'institut observe une chute. Gartner précise que dans le même temps, le nombre d'organisations ayant décidé de ne pas adopter les SOA est passé de 7% à 16%. Ce qui apparaît comme une désaffection, en partie liée à un contexte économique difficile, précise Gartner, peut aussi être considéré comme une certaine maturité du marché, ainsi que l'événement Forum SOA (organisé il y a un mois par LeMondeInformatique.fr) l'a montré. Les entreprises ne cherchent plus à faire migrer tous leurs systèmes, elles cherchent d'abord à évaluer le potentiel en termes de valeur ajoutée pour le métier, et s'assurent de disposer des ressources humaines nécessaires. Vers davantage d'architectures orientées événements Il faut noter aussi que, selon l'étude de Gartner, 53% des entreprises interrogées ont déjà des initiatives SOA en cours, et beaucoup s'intéressent aux architectures orientées événements : 20% déploient ces technologies actuellement et 20% prévoient de le faire dans les 12 prochains mois (IDC confirmait il y a peu le dynamisme de ce secteur). Or, comme le soulignait Tibco en présentant son offre de gestion des événements complexes, ce type de technologie doit s'appuyer sur une base solide, orientée services. Gartner précise encore que l'adoption est beaucoup plus forte en Europe que dans le reste du monde, la zone Asie-Pacifique étant particulièrement à la traîne dans ce domaine. (...)
(31/10/2008 08:51:13)Open SOA pointe son nez chez Infor
'Chi va piano va sano' pourrait être le slogan d'Infor en matière de SOA. Cette entreprise qui a mis la main sur une vingtaine d'éditeurs de logiciels de gestion dont SSA Global (éditeur de BPCS et acquéreur de Baan), Mapics, Systems Union et Extensity (anciennement Geac), commence à livrer les briques d'Open SOA, annoncé il y a un an. Infor, qui a fait le choix de maintenir les différents progiciels de son catalogue pour ses 70 000 clients (dont 3700 en France), ne veut pas faire reposer son SOA sur du middleware propriétaire. Cette option vaut aussi pour tout son parc installé sur les systèmes i d'IBM, estimé à plus de 18 000 sites. Autrement dit, pas de Websphere à l'horizon. En optant pour des briques standards, l'éditeur s'adapte aussi au patchwork de son offre. Un framework XML fondé sur Oagis Open SOA utilise un framework XML fondé sur le standard Oagis (Open Applications Group Interoperability Standard). Open Services Gateway Initiative (OSGI) a été retenu pour intégrer les logiciels dans l'environnement Java. Infor a aussi fait le choix de Linux au moins pour ses progiciels sur System i. Outre sa gratuité, Linux présente l'avantage d'être supporté par IBM sur cette plateforme et de pouvoir être activé dans une partition séparée, voire sur un autre serveur. Infor compte ainsi s'affranchir des risques de surcharge du système principal. Open SOA sera disponible à partir du début 2009 avec MyDay, une interface qui regroupe des indicateurs clés (KPI, key performance indicators) et diverses tâches de management. Infor a fait le choix de livrer progressivement les composants d'Open SOA. De plus, le calendrier variera selon le progiciel. Il s'étend déjà jusqu'en 2011. (...)
(30/10/2008 08:53:21)Trimestriels : Software AG aborde la crise en forme
L'éditeur allemand Software AG aborde la crise actuelle en bonne forme. Il a clos son troisième trimestre sur une nette amélioration de son résultat d'exploitation qui passe de 20,5% à 27% du CA. Software AG doit cette performance aux hausses des ventes de licences (+18% à 67,8 M€) et de l'activité maintenance (22% à 70,2 M€). Ces deux sources récurrentes de revenus génèrent 77% du CA total. La division Enterprise Transactions Systems (ETS, qui commercialise la base de données Adabas et Natural) réalise un CA de 101 M€, en hausse de 15% (56% du CA total). ETS recueille les fruits d'un important contrat signé avec la Banco do Brazil. Sur les 63,7 M€ de revenus attendus sur quatre ans et demi, 10,3 M€ sont inscrits dans les comptes d'ETS de ce trimestre. La division SOA, baptisée WebMethods à la suite du rachat de cette société à la mi-2007 pour 546 M$, progresse de +13% à 79 M€ (44% du CA total). (...)
(22/10/2008 15:06:02)Le 'Complex event processing', segment le plus dynamique des middlewares orientés événements
Avec un taux de croissance annuel moyen de 56,7% d'ici à 2012, selon IDC, le marché du 'Complex event processing' est promis à un bel avenir. Le CEP regroupe les outils capables de filtrer des événements au sein d'un bus d'informations, d'opérer une corrélation, et de déclencher des actions en fonction de règles métier prédéfinies (voir une définition plus précise dans le Wiki SOA). Tibco, en tête de cette catégorie, vient justement de sortir la version 3 de son offre de CEP, BusinessEvents. C'est à cette occasion qu'a été rendue publique une étude réalisée par IDC sur le marché des middlewares orientés événements (Worldwide event-driven middleware 2008-2012 forecast and 2007 vendor shares, voir l'encadré ci-dessous). En 2007, note IDC, Tibco disposait d'une part de marché dépassant les 40%, soit deux fois plus que le plus proche concurrent, Progress Software (entré sur ce marché grâce au rachat d'Apama). Et pour une fois, l'éditeur est loin devant IBM (entré sur ce marché grâce au rachat d'Aptsoft), crédité de 7,1% de part de marché. Certes, le marché du CEP est réduit, mais la récente concentration sur ce secteur et l'ajout de fonctions de type CEP chez des acteurs comme Oracle ou Sun montrent qu'il y a un fort intérêt de la part des entreprises utilisatrices. Si bien qu'IDC prévoit un chiffre d'affaires de 800 M$ en 2012.
CA 2006 | CA 2007 | Evolution | PDM 2007 | |
---|---|---|---|---|
Tibco | 22,7 M$ | 34,5 M$ | 52,0% | 40,5% |
Progress (Apama) | 12,5 M$ | 17,0 M$ | 36,0% | 20,0% |
Streambase | 1,0 M$ | 6,5 M$ | 550,0% | 7,6% |
IBM (Aptsoft) | 5,0 M$ | 6,0 M$ | 20,0% | 7,1% |
BEA Systems | - | 4,0 M$ | NA | 4,7% |
Coral 8 | 1,0 M$ | 3,0 M$ | 200,0% | 3,5% |
Aleri | 1,0 M$ | 3,0 M$ | 200,0% | 3,5% |
Autres | 4,3 M$ | 11,1 M$ | 156,9% | 13,0% |
Total | 47,5 M$ | 85,1 M$ | 79,1% | 100% |
CA 2006 | CA 2007 | Evolution | PDM 2007 | |
---|---|---|---|---|
Systar | 21,8 M$ | 23,2 M$ | 6,5% | 36,2% |
Oracle | 10,0 M$ | 20,0 M$ | 100,0% | 31,2% |
Tibco | 6,2 M$ | 6,2 M$ | 0,0% | 9,7% |
SL | 3,5 M$ | 4,0 M$ | 14,3% | 6,2% |
Autres | 8,3 M$ | 10,7 M$ | 28,7% | 16,7% |
Total | 49,8 M$ | 64,1 M$ | 28,7% | 100% |
CA 2006 | CA 2007 | Evolution | PDM 2007 | |
---|---|---|---|---|
IBM | 559,0 M$ | 726,7 M$ | 30,0% | 74,5% |
Tibco | 81,0 M$ | 87,2 M$ | 7,7% | 8,9% |
Progress Software | 10,5 M$ | 12,8 M$ | 21,4% | 1,3% |
PrismTech | 4,8 M$ | 8,2 M$ | 70,8% | 0,8% |
Real-Time Innovations | 4,6 M$ | 6,4 M$ | 39,1% | 0,7% |
Fiorano Software | 4,3 M$ | 4,3 M$ | 0,0% | 0,4% |
Hitachi | 3,0 M$ | 3,0 M$ | -0,1% | 0,3% |
Autres | 120,4 M$ | 127,3 M$ | 5,7% | 13,0% |
Total | 787,6 M$ | 975,8 M$ | 23,9% | 100% |
HP intègre sa suite de gouvernance SOA à sa plateforme de test
HP vient d'annoncer une mise à jour importante de sa suite de gouvernance SOA Systinet conçue pour gérer les services, les retrouver et les réutiliser au sein des architectures orientées services (SOA). Cette version 3.00 permet d'automatiser un peu plus la gestion du cycle de vie des services en permettant notamment de créer des processus métier réutilisables, d'effectuer un contrôle sur les services non autorisés et d'inclure les tests dans la boucle. Le déploiement des services est maintenant facilité par l'intégration de Systinet 3.00 avec HP Quality Center, la plateforme de test issue du rachat de Mercury. " Les services Web sont soumis à des exigences de fiabilité et de performance précises, formalisées dans des contrats de service (SLA). Ils doivent donc être testés tout au long de leur cycle de vie, avant leur déploiement puis à chaque fois qu'ils sont modifiés, souligne Aurélie Chandèze, analyste du cabinet Yphise. Cette intégration forte entre les solutions de gouvernance et de test de HP va permettre de mettre en place un processus industrialisé pour gérer la qualité des services. » Intégration à Universal CMDB et support de BPEL [[page]]Systinet 3.00 est également relié à Universal CMDB, la base de données de gestion de configurations de HP, une intégration qui pourra être utilisée pour vérifier la validité des services. Elle supporte par ailleurs le langage BPEL (business process execution language), ce qui permettra de créer des processus métiers réutilisables et de les inclure dans un schéma de gouvernance. Pour les non-experts, Systinet 3.00 propose des cycles de vie préconstruits et des gabarits. Quant aux utilisateurs avancés qui souhaitent personnaliser les cycles de vie des services, ils disposent d'interfaces de programmation graphiques, complétées d'assistants. Enfin, cette version de la suite accepte le lancement de procédures en volume et de clonage des cycles, permettant d'automatiser des tâches répétitives et de simplifier la mise en place des modifications importantes. (...)
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