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(15/02/2012 09:29:24)
Recrudescence des attaques en déni de service selon Arbor Networks
Selon une étude annuelle réalisée par Arbor Networks, spécialisée dans les solutions de sécurité, les attaques par dénis de service perpétrées par des hacktivistes sont très en vogue. Les motifs, en témoignent les récentes actions lancées par des groupes comme Anonymous, sont avant tout idéologiques, suivis par un désir de nuire, souligne le rapport. « En 2011, nous avons assisté à la démocratisation des attaques par dénis de service », relève Roland Dobbins, Solutions Architect chez Arbor Networks et auteur principal de l'étude.
« Toute entreprise ayant une présence sur le web, quelle que soit son domaine d'activité ou sa taille, peut devenir une cible en raison de ce qu'elle représente, ce qu'elle vend, avec qui elle collabore, etc. De plus, la prolifération d'outils d'attaques peu chers et faciles d'accès fait que n'importe qui peut désormais lancer une attaque par déni de service».
Les 1ères attaques sur IPv6 rapportées
« Les « appels aux armes » lancés par des groupes d'hacktivistes, qui ont été jusqu'à fournir les outils nécessaires pour participer aux attaques, représentent un changement de paradigme dans les modèles de gestion des risques à la fois pour les opérateurs et pour leurs clients », note encore Arbor Networks.
Arbor Networks relève par ailleurs que l'attaque la plus importante rapportée en 2011 a atteint 60 Gbt/s, comparé à 100 Gbt/s pour 2010. Toutefois, la sévérité moyenne des attaques, qui atteint environ 10 Gbt/s, est en constante augmentation. Enfin, les premières attaques par déni de service sur des protocoles IPv6 ont été rapportées.
ICTjournal.ch
Forces et faiblesses des PME face au cloud selon Acronis
Principale conclusion de l'étude, la virtualisation des serveurs se répand plus rapidement dans les PME que dans les grands comptes. Le Gartner parlait de 14% de hausse de cette virtualisation en 2012, Acronis et Ponemon parlent de 21% pour les PME. Mais, cette virtualisation est plus faible qu'espérée selon l'étude. 33% des parcs devaient être virtualisés en 2011, c'est tout juste 24% selon Ponemon, ce sera 29% en 2012.
Cette virtualisation des serveurs présente donc des possibilités de croissance importantes. D'ailleurs, 38% des entreprises interrogées devraient faire cette transformation en 2012. Elles le font selon trois critères principaux : améliorer leur efficacité pour 24% d'entre elles, rendre plus flexibles et plus rapides les déploiements dans 20% des cas, réduire les coûts à 18%.
Cette progression de la virtualisation des serveurs ne correspond pas automatiquement à une meilleure protection des données, c'est l'autre grande conclusion. Le tiers des entreprises interrogées n'effectuent pas de sauvegarde de leurs serveurs virtuels aussi fréquemment que de leurs serveurs physiques. Moins d'un tiers, 27%, effectuent une sauvegarde quotidienne, 24% hebdomadaire, 26% mensuelle. Dans 13% des cas, cette sauvegarde est qualifiée d'irrégulière. La France fait partie des mauvais élèves.
Une entreprise sur quatre va migrer
On retrouve ce type de résultats contradictoires tout au long de l'étude. Par exemple, sur le cloud en général. 83% des responsables interrogés expliquent avoir déjà mis en oeuvre une infrastructure basée sur une forme de cloud, en croissance de 13% par rapport à l'an passé. Toutefois, le cloud ne représente que 19% de leur infrastructure. En 2010, remarque l'étude, 30% des entreprises devaient avoir une infra en cloud dans les douze mois suivants, on en est loin. Une entreprise sur quatre, 26%, envisage d'y passer en 2012. Le retard entre la prévision et la réalité sera-t-il comblé cette année ?
Le chemin est aride. Plusieurs raisons l'expliquent. Les entreprises éprouvent un manque de confiance envers les fournisseurs du cloud, elles sont 25% en Suède, 23% en Italie et en Norvège, 19% en France, et expliquent ainsi leur absence de migration.
L'étude se concentre également à plusieurs reprises sur les solutions de sauvegarde et de PRA. Une PME produit chaque année 40 To de données nouvelles. Comment maintenir l'accessibilité à ces données, leur sécurité, leur protection ? L'étude a posé 11 questions aux entreprises sur leurs capacités et leurs pratiques en matière de sauvegarde et de reprise d'activité. Un tiers des PME sont encore sous équipées en matière de sauvegarde et de PRA. Et, chez celles qui sont équipées, un tiers estiment qu'elles subiront une interruption d'activité en cas de problème.
Les données virtuelles en danger
Trois domaines d'amélioration ressortent plus particulièrement : l'insuffisance de la documentation sur les procédures et politiques de sauvegarde, la fréquence des contrôles et des procédures en place, le manque de personnel qualifié (un problème récurrent). Plus grave, le soutien des dirigeants d'entreprise s'effrite, 47% des responsables informatiques interrogés en sont certains. Et pour cause : les budgets n'évoluent pas d'une année sur l'autre. 67% des personnes interrogées ne dépensent que 10% de leur budget sur ces opérations de sauvegarde et de PRA.
La France note l'étude semble toutefois retrouver de la confiance dans ses politiques de sauvegarde, surtout sur deux points : la taille et l'efficacité des équipes dédies, la documentation relative aux procédures de sauvegarde et aux PRA.
(*) Etude nommée Global Disaster Recovery », menée auprès de 6 000 entreprises (deux fois plus que l'an passé) de 13 pays : Allemagne, Arabie Saoudite, Australie, Brésil, Chine, Etats-Unis, France, Hong-Kong, Inde, Italie, Japon, Norvège, Pays-B as, Royaume-Uni, Russie, Singapour, Suède, Suisse.
(...)
Imprimantes : un 4ème trimestre 2011 record pour les ventes en France selon IDC
En France, les ventes d'imprimantes ont enregistré une croissance de 10,1% à 1,39 millions d'unités lors du quatrième trimestre 2011 (Source : IDC). Une progression surprenante car, en comparaison, les ventes en volume de ce type de produits n'ont progressé que de 2,6% à 8,1 millions d'unités dans l'ensemble de l'Europe de l'Ouest (-8% en Allemagne ; +1,5 en Grande-Bretagne). A y regarder de plus près, le phénomène peut s'expliquer, au moins en partie, par un rattrapage. Durant le troisième trimestre 2011, la France fut en effet le seul des trois principaux marchés européens à avoir enregistré des ventes d'imprimantes en recul (-0,8%).
Tous les segments de produits ont progressé
Il n'en reste pas moins que les résultats du quatrième trimestre 2011 sont appréciables. D'autant que la hausse des ventes en volume a concerné tous les segments du marché des imprimantes, du jet d'encre à la couleur en passant par l'impression laser monochrome. Dans le domaine du jet d'encre, les ventes aux entreprises ont décollé de 48,3% tandis qu'elles s'appréciaient de 10,1% sur le segment grand public. De leur côté, les livraisons d'imprimantes laser ont crû de 6% et concernent pour environ la moitié des modèles monochromes.
Grâce à ces performances, le marché français de l'impression a réalisé dans sa globalité une progression de 1,6% sur l'ensemble de l'année 2011. Il reste le troisième marché de l'impression en Europe de l'Ouest derrière la Grande-Bretagne où les ventes d'imprimantes ont progressé de 3,8% en 2011. Le marché Allemand, le premier de la zone Europe de l'Ouest, est resté stable quant à lui.
Hexapage optimise ses achats avec l'ERP dédié de Compufirst
Qui connaît Compufirst ne sait pas forcement que ce site marchand BtoB exploite depuis deux ans son propre ERP associé à des fonctions de BI pour piloter ses interactions avec ses clients et grossistes. Cet outil baptisé Biorim, soutenu par OSEO, vient de trouver son premier débouché commercial. Il équipe maintenant Hexapage, un groupement de 25 revendeurs bureauticiens, qui le met à la disposition de ses membres.
« Nous voulions disposer d'un système qui fournirait à nos adhérents une interface unique pour passer leurs commandes plutôt que de devoir se connecter aux différentes plates-formes de nos fournisseurs », relate Richard Guelin, le président du groupement Hexapage. A la manière des liens EDI mis en place entre Compufirst et ses grossistes, la version de Biorim utilisée par Hexapage est d'ores et déjà connectée directement à ses fournisseurs Kyocera Minolta, Ricoh ainsi que les grossistes de Canon et de Lexmark.
Pour Hexapage, l'usage de la technologie de Compufirst est donc source d'avantages fonctionnels mais aussi commerciaux. En effet, tous les achats de ses adhérents sont désormais estampillés Hexapage chez les fournisseurs du groupement. « De cette façon, nous massifions nos achats et sommes ainsi à même d'obtenir des conditions qui vont au-delà des avantages dont disposaient jusqu'ici nos membres », explique Richard Guelin. Ce surplus de bénéfices va être utilisé par le groupement pour créer des actions au service du collectif comme des opérations marketing. De leur côté, les adhérents continueront de profiter des conditions traditionnellement négociées entre Hexapage et ses fournisseurs.
Twitter active le https par défaut
« Dorénavant, l'https sera la connexion par défaut pour tous les utilisateurs à chaque fois qu'ils se connecteront à Twitter.com », a annoncé le site de micro-blogging dans un billet de blog daté du 13 février. « Si vous préférez ne pas l'utiliser, vous pouvez la désactiver via votre page de paramètres de compte. La connexion https est l'une des meilleures façons de sécuriser votre compte et elle va devenir encore plus efficace à mesure que nous continuerons d'améliorer le support https pour nos clients web et mobiles ».
D'autres sites sont passés en https automatique
Google avait également suivi cette méthode. Les connexions sécurisées étaient en option sur Gmail en 2008 avant de décider en janvier 2010 que « l'activation de l'https pour tout le monde était la meilleure chose à faire ».Depuis janvier 2011, Facebook offre également à ses utilisateurs la possibilité de mieux sécuriser leurs données via une connexion https « toujours activée » (en option). Enfin, l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a développé une extension Firefox baptisée HTTPS Everywhere, qui chiffre automatiquement vos données par ce protocole de sécurité.
Forte croissance des ventes européennes de smartphones en 2011 selon GFK
Les ventes de smartphones ont augmenté de 67% en Europe en 2011, sur un marché global du mobile en hausse de 3,2% (soit 258 millions d'appareils vendus) selon une étude GfK. En un an, la part de marché des smartphones est passée de 22% à 36%. Ce chiffre atteint même 45% au mois de décembre 2011.
Toujours selon cette étude, fondée sur les statistiques en provenance de 25 pays européens, dont la France, le prix moyen d'un téléphone portable a été de 200€ en 2011 (+8%).
Free Mobile lance le paiement à crédit des mobiles
Free Mobile vient enfin de mettre en place l'achat à crédit des terminaux mobiles. Les abonnés ont le choix entre 24 et 36 mensualités, pour un coût total sans intérêt comparé à un paiement comptant. Actuellement, six modèles bénéficient de cette facilité de paiement.
Les appareils concernés sont les ZTE F160 et Blade S, le Huawei U8350, le BlackBerry Curve 3G et les Samsung Galaxy Y et Galaxy Ace. Seul le Samsung Galaxy S2 demeure payable uniquement au comptant. Pour le moment, l'iPhone 4S est toujours annoncé sur le site de Free Mobile, mais pas encore disponible à la commande.
A l'origine, cette solution de paiement devait être proposée dès la fin du mois de janvier. Elle a donc connu quelques jours de retard dans son lancement.
Médiamétrie scrute les pratiques des internautes français
Médiamétrie dresse un panorama des usages des internautes dans la dernière édition de son observatoire. Pour communiquer entre eux, les internautes plébiscitent aujourd'hui les réseaux sociaux et les forums de discussions. Ils sont ainsi 65% à être inscrits sur un site communautaire à fin décembre 2011 (+6pts en un an). Les forums de discussions concernent de leur côté près d'un internaute sur cinq.
Les loisirs numériques (musique, vidéo, jeux) sont devenus des pratiques courante, notamment pour les jeunes. Par exemple, 82% des 11-17 ans ont regardé une vidéo au cours du dernier mois sur Internet (+9pts), et près de la moitié joue en réseau. La musique en ligne est quant à elle prisée par les 18-24 ans, qui sont 60% à en écouter régulièrement.
Enfin, une écrasante majorité d'internautes utilise le web pour s'informer sur les produits et comparer leurs prix. C'est le cas des trois quart des internautes de 18 à 24 ans, ainsi que des ménagères, au quatrième trimestre 2011. Même les retraités, à 68%, utilisent Internet pour comparer les prix.
Cette étude scrute en détail les usages des Français sur internet. Elle est réalisée chaque mois auprès de 1000 individus, âgés de 11 ans et plus, interrogés par téléphone.
Acer présente son Iconia Tab A510
Acer a présenté sa dernière tablette, l'Iconia Tab A510. Elle est comprend un écran de 10,1 pouces (1200x800 pixels) et est équipée d'un processeur à quatre coeurs cadencé à 1,3GHz, d'un capteur photo/vidéo de cinq mégapixels et d'une webcam en façade pour de la visioconférence. Acer promet d'économiser entre 20% et 25% d'énergie par rapport à la précédente génération, pour une autonomie maximale de 18h, selon les tâches réalisées.
L'Acer Iconia Tab A510 sera disponible en version unique de 32Go, assortie d'un lecteur de carte micro SD ainsi qu'un port micro USB (un adaptateur USB sera fourni). Une sortie HDMI permettra de profiter de ses contenus en haute définition sur un téléviseur ou un vidéo-projecteur.
Le constructeur a greffé sur Android 4.0 sa propre interface propriétaire, Acer Ring, permettant d'accéder à ses fichiers multimédias, ainsi que son application Lumiread spécialement destinée à la lecture des ebooks.
Disponible en deux couleurs, noir et argent, l'Acer Iconia Tab A510 doit sortir en France au mois de mars, au prix de 399€.
HP GPC 2012 : Mieux accompagner les partenaires vers le cloud
Aujourd'hui la feuille de route de HP est devenue très claire : les logiciels et les services sont appelés à prendre du poids dans la compagnie mais la brique de base reste l'infrastructure. Dave Donatelli, responsable de l'activité infrastructure de HP au niveau monde, a rapidement dressé lors de la conférence plénière de la GPC 2012 un bilan de l'activité 2011 et annoncé la sortie des serveurs Proliant Gen8 (voir article précédent). « 60% de nos revenus proviennent du channel, grâce à ses partenaires HP est numéro 1 ou numéro 2 pour chaque produit de chaque catégorie [réseau, stockage et serveurs]. » Une matrice avec à la base l'infrastructure ("The core"), puis sur la strate supérieure la partie logicielle ("Expand the core"), ensuite les services ("Add value to the core") et enfin les solutions ("Make it work"). « C'est le pouvoir de la convergence, notre but, notre ambition, est de transformer l'industrie avec nos solutions serveurs, stockage et réseau pour aller vers le cloud. »
Pour accompagner ses partenaires, HP a son ServiceOne avec des règles d'engagement publiques et un accès à tous les services proposés par la compagnie pour accompagner les ventes. Dave Donatelli promet également 9% de marges supplémentaires à ses partenaires les plus performants.
100 jours pour relancer la machine
Le dirigeant a poursuivi sa présentation avec une ventilation des trois activités. Pour le réseau, 90% des revenus sont réalisés avec le channel. Pour pousser le développement du business, M. Donatelli entend doubler les marges et monter à 40% pour les meilleurs. Cela passera par l'acquisition de nouvelles certifications. Sur le stockage, HP annonce une croissance de 90% en 2011 avec ses baies 3Par. Il fonde de grandes ambitions sur son offre StoreOnce pour le backup avec notamment la baie B6200 qui marie judicieusement SSD et disques durs à plateaux. Sur le stockage toujours, le dirigeant annonce PartnerOne pour attaquer le marché des PME avec des spécialisations.
Pour les serveurs, Dave Donatelli annonce arriver à la fin de son programme : 3 projets pour changer en 100 jours l'industrie. A savoir, les projets Moonshot pour réduire l'empreinte énergétique des prototypes de serveurs reposant sur des puces ARM et Intel Atom, Odyssey pour gérer comme un seul système les applications critiques déployées dans les environnements Windows, Linux et Unix, et enfin Voyager pour renforcer l'automatisation de l'administration des serveurs.
Un réseau social pour les partenaires
Reste à savoir ce que les partenaires vont penser de ces annonces. Interrogé sur les perspectives 2012, Florian Reithmeier, responsable de l'activité serveurs x86 pour HP Europe, est resté prudent. « La période est calme. Nous allons introduire progressivement notre gamme serveurs Proliant Gen 8. Nos clients early-adopter peuvent déjà les commander. Nous allons accompagner les revendeurs qui peuvent vendre les services HP en même temps que nos serveurs. » Une offre qui s'adresse aux partenaires n'ayant pas les ressources internes pour aller sur certains comptes. HP leur garantit toutefois un pourcentage sur les services vendus.
Pour promouvoir le cloud chez ses partenaires, le constructeur a lancé en décembre dernier un programme spécial qu'il entend encore promouvoir tout au long de l'année. 100 Cloud Centers ont ainsi été installés dans le monde (2 fois plus qu'il y a un an) et en novembre prochain, Dave Donatelli a annoncé un programme Cloud Builder Specialist pour accompagner les partenaires sur leurs ventes. Le dirigeant en a profité pour inciter les revendeurs présents sur la GPC 2012 à s'inscrire sur HP Interchange, un réseau social qui leur est spécialement dédié.
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