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(21/02/2012 09:41:46)

Microsoft rajeunit le logo de Windows

A chaque nouveau système d'exploitation son logo. Microsoft vient de dévoiler celui de Windows 8, sobre et entièrement bleu. Il reprend l'image d'une fenêtre, tout en étant une référence directe à sa nouvelle interface "Metro", avec les quatre blocs qui le composent.

Windows 8 doit prochainement présenter une interface personnalisable, "Metro", entièrement repensée et adaptée aux nouveaux usages. Elle permettra d'accéder rapidement à ses applications et ses documents favoris.

Le nouveau système d'exploitation de Microsoft est attendu en octobre 2012. Il sera également décliné en une version mobile.

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(21/02/2012 09:34:57)

MWC 2012 : Optimus Vu, un smartphone 5 pouces chez LG

L'Optimus Vu de LG est doté d'un écran de cinq pouces, pour une définition de 1024 x 768 pixels. Son format 4/3 le rend plus large que le Galaxy Note (16/9), le seul smartphone à proposer actuellement une diagonale de 5,3 pouces. Ce terminal mobile devrait être proposé sous Android 2.3 Gingerbread, avec une mise à jour prochaine vers la dernière itération du système d'exploitation, Android 4.0 Ice Cream Sandwich.

Le LG Optimus Vu intègre un processeur double-coeur cadencé à 1,5GHz, 1 Go de RAM, un capteur photo de huit mégapixels au dos et une webcam de 1,3 mégapixels en façade, le tout pour une capacité de stockage de 32Go. En outre, il dispose d'une sortie HDMI et supporte le Bluetooth, le WiFi et la 3G. Le Vu doit être mis en vente en Corée du Sud dès le mois de mars. Aucune information n'a pour le moment filtrée sur sa disponibilité et son tarif pour la France et l'Europe.

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(21/02/2012 09:28:41)

Internet désormais au coeur de la vie des Français

Les Français sont devenus tellement accros à Internet qu'ils sont près des trois quarts à ne plus pouvoir s'en passer dans leur vie de tous les jours, selon un sondage Ifop pour l'observatoire Netexplo, dévoilé lundi 20 février.

Utiliser Internet dans sa vie quotidienne, c'est par exemple gérer ses finances en ligne. Ainsi, 69% des personnes interrogées pensent que le web permet de gagner en pouvoir d'achat en comparant les prix. Gérer sa vie privée et les informations personnelles relayées sur les réseaux sociaux est devenu une priorité pour de nombreux internautes. Même si Internet est pour beaucoup synonyme de liberté, 77% des personnes interrogées se sentent de plus en plus surveillées, voire traquées.

Autre enseignement de ce sondage : Internet est perçu comme étant susceptible de faire évoluer les manières de travailler. Ainsi, 87% des cadres considèrent cet outil comme un moyen de gagner en liberté dans leur activité professionnelle.

 

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(21/02/2012 09:23:30)

VLC 2.0 arrive avec de nombreuses améliorations

Une version améliorée du célèbre lecteur multimédia gratuit VLC, baptisée TwoFlower, a été mise en ligne le dimanche 19 février pour Windows, Mac OS et Linux. Le moteur vidéo de cette version 2.0 a été totalement réécrit, supportant beaucoup mieux la lecture des Blu-ray. Elle offre également une gestion revue des sous-titres.

Cette version 2.0 propose de nouveaux filtres, comme la suppression du bruit ou des aplats et la stabilisation de l'image. VLC 2.0 permet désormais la prise en charge des processeurs multicoeurs, dans le décodage de codecs tels que le H.264 ou le Xvid. Si l'interface varie peu dans sa version pour Windows, elle évolue davantage sous Mac OS, où sa fenêtre de visionnage n'est pas sans rappeler celle de Quicktime.

Plus que jamais universelle et riche, cette  version de VLC est à télécharger sur le site officiel de VideoLan : www.videolan.org/vlc. La précédente a été téléchargée près de 500 millions de fois.

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(20/02/2012 16:47:53)

Transistor sur un atome, des chercheurs améliorent la précision

En utilisant un microscope à balayage à effet tunnel, des scientifiques australiens de l'Université de New South Wales ont pu manipuler avec précision des atomes d'hydrogène autour d'un atome de phosphore sur une plaquette de silicium. Le résultat donne un transistor sur un seul atome avec une précision parfaite. A termes, on peut imaginer un bloc de transistors pour créer un ordinateur quantique.

Placer un transistor sur un atome n'est pas une première, mais la précision obtenue et la technique utilisée en font une avancée technologique importante. Le professeur Michelle Simmons, chef de l'équipe de chercheurs et directrice du Centre d'Informatique Quantique à l'Université de New South Wales indique, « c'est la première fois qu'on montre le contrôle d'un atome dans un substrat avec ce degré de précision. »

Cette découverte met à mal la loi de Moore qui  prévoit que le nombre de transistors double sur une puce tous les deux ans environ. Elle prédit ainsi que les transistors atteindront la taille d'un atome d'ici à 2020. Gordon Moore, co-fondateur d'Intel, avait expliqué que la limite ultime de sa loi était l'échelle atomique.

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(20/02/2012 16:12:49)

Brevets Frand : Apple porte plainte contre Motorola en Europe

Dans son rapport annuel, Motorola Mobility déclare qu'Apple a déposé une plainte auprès de la Commission européenne, l'organe exécutif et réglementaire de l'Union européenne, pour s'opposer à diverses actions menées par Motorola pour faire valoir la propriété de brevets relevant de divers standards utilisés dans l'industrie. Le différend repose sur des brevets qualifiés d'essentiels, détenus par des sociétés privées, mais utilisés comme standard dans l'industrie, en accord avec les normes internationales et les organismes de régulation, distribués sous licence « équitables, raisonnables et non discriminatoires » Frand. Les termes de ces licences impliquent que les détenteurs de brevet fassent une offre honnête et raisonnable pour une utilisation par des sociétés tierces.

« Le 17 février 2012, le constructeur a reçu une lettre de la Direction générale de la concurrence de la Commission européenne l'informant que la Commission avait été saisie par Apple d'une plainte contre Motorola Mobility concernant le droit de brevets essentiels revendiqués par Motorola Mobility, et utilisés par Apple en violation présumée avec les engagements du cadre des brevets Frand, » mentionne Motorola dans son rapport annuel. « La plainte d'Apple vise à impliquer la Commission européenne dans le différend qui concerne ces brevets. » Aucun responsable des deux entreprises n'était disponible pour commenter plus avant cette affaire. La plainte envenime cependant un peu plus un conflit qui dure depuis un certain temps entre Apple et Motorola, et qui s'est même encore accru depuis que Google a récemment obtenu l'approbation de l'UE et des États-Unis d'acquérir Motorola Mobility et son portefeuille de brevets.

Une bataille rangée dans plusieurs pays

Au début du mois de février, Apple a du retirer certains produits de sa boutique en ligne en Allemagne après une injonction de la cour régionale de Mannheim, qui a reconnu dans un premier temps que certains iPhone et iPad portaient atteinte à un brevet détenu par Motorola. Mais la décision a été suspendue peu après, et le Californien a pu assez vite remettre en vente les produits mis en cause sur l'Apple Store allemand. Ces évènements sont le reflet d'une des nombreuses batailles juridiques pour contrefaçon de brevet en cours en Europe et aux États-Unis actuellement. Le mois dernier, Motorola Mobility a également accusé le fabricant de l'iPhone de porter atteinte à ses brevets technologiques devant un tribunal de Floride. Pour sa part, jeudi dernier, Apple a remporté une victoire, puisque le tribunal du district de Munich a reconnu que certains smartphones de Motorola violaient un brevet d'Apple pour le déverrouillage des écrans tactiles.

Ces nombreuses affaires de droit de la propriété intellectuelle sont liées à un désaccord entre les entreprises sur la manière de considérer le partage de certains brevets essentiels. Quand les négociations sur les termes Frand d'un brevet échouent, Google a pris pour stratégie de déposer des séries de plaintes qui bloquent la vente des produits supposément contrefaits. Pour sa part, Apple propose que les entreprises s'engagent à ne pas recourir au blocage de la vente des produits supposés litigieux. « Alors que les litiges sur les brevets se multiplient, la Commission européenne est susceptible d'avoir un rôle à jouer, » selon Florian Mueller, analyste spécialisé dans les brevets. « Je suis sûr que Bruxelles prendra le temps nécessaire pour comprendre le problème, mais le temps est un facteur primordial compte tenu de ce qui se passe déjà aujourd'hui. La décision de savoir si Motorola Mobility fera ou non l'objet d'une enquête va prendre seulement quelques mois, » a déclaré l'analyste sur son blog. « Je pense que dans la situation actuelle, les enquêtes officielles sont tout à fait souhaitables. »

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(20/02/2012 16:01:46)

Des croisements routiers pilotés par ordinateur

On se souvient des travaux de recherche de Google ou de la DARPA (Defense Advanced Projects Agency) sur une voiture sans conducteur. Mais au-delà du véhicule, des chercheurs se sont interrogés sur les environnements de conduite comme les intersections. Dans le futur, les croisements routiers ne comprendront pas de feux de circulation ni de panneaux d'arrêt. Le logiciel de conduite automatisée est pris en charge par un contrôleur virtuel du trafic à l'approche de l'intersection, explique Peter Stone, un professeur d'informatique à l'Université du Texas à Austin.

Le chercheur a présenté la semaine dernière le travail de son équipe sur la gestion autonome des intersections. Un ancien élève du Pr Stone, Kurt Dresner, a été à l'origine du gestionnaire de l'intersection. Il a défini les algorithmes dans sa thèse de doctorat. De son côté, Peter Stone a lui-même dirigé l'élaboration d'un véhicule autonome, appelé Marvin, qui a concouru pour le Urban Challenge 2007, une course annuelle de véhicules automatisés organisée par la DARPA.



Présentation des travaux du Pr Stone sur les intersections intelligentes


Anticiper et mémoriser les besoins


Pour le Pr Stone, « à une certaine échéance, il sera assez rare que les hommes continuent de conduire leur propre véhicule. D'autres formes de transports comme les avions, les trains et les bateaux disposent de pilotage automatique. » La question de sécurité est évidemment mise en avant et l'équipe de chercheurs s'est intéressée à des évènements de conduite comme la gestion des intersections. Dans leur démonstration, ils ont équipé chaque croisement d'un contrôleur (ou d'un ordinateur) qui coordonne par des calculs mathématiques l'ensemble du trafic. Chaque voiture sera équipée d'un logiciel client qui communiquera avec les intersections équipées.

Peter Stone explique « quand une voiture s'approche de l'intersection, le véhicule communique qu'il veut aller dans telle direction, le gestionnaire de l'intersection approuve ou pas. Il garde en mémoire sa réponse pour ne pas donner des permissions à d'autres véhicules qui emprunteraient le même itinéraire ». Cette technologie peut être adaptée à la conduite traditionnelle avec un système de led rouge ou verte en fonction de la réponse du gestionnaire.

Des avantages induits


Un gestionnaire du trafic pourrait avoir toutes sortes d'avantages secondaires. Ainsi, les véhicules d'urgence pourront arriver plus rapidement. Il pourrait également participer aux efforts de décongestionnement du trafic dans les milieux urbains en inversant les sens de circulation en fonction des pics de trafic.

Peter Stone admet néanmoins qu'un tel système n'est pas exempt de défaut. Ainsi, quand une voiture tombe en panne en plein milieu de l'intersection, un autre véhicule qui a obtenu l'autorisation de s'engager sur l'intersection pourra la heurter. Mais dans l'ensemble, il a indiqué que les voitures autonomes sont globalement plus sûres et rappelle que 90% des accidents automobiles sont causés par une erreur humaine.

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(20/02/2012 14:38:21)

Microsoft réduit jusqu'à 75% le coût de SQL Azure

Les tarifs d'utilisation du service de base de données SQL Azure viennent d'être revus à la baisse par Microsoft. L'éditeur a également lancé une option pour ouvrir ce service aux clients souhaitant accéder à moins de 100 Mo. Steven Martin, directeur général, responsable de la planification pour Windows Azure, a communiqué la semaine dernière les prix révisés. Dans un billet, il indique que les utilisateurs vont bénéficier d'une économie de 48% à 75% pour les bases de données de plus de 1 Go (48% pour les bases de 5 Go tarifées 25,99 $ par mois contre 49,95 $ précédemment, 75% pour celles 25 Go, par exemple, désormais à 75,99 $ contre 299,97 $, ce qui, dans ce cas, met le Go à 3,04 $). Quant à l'option 100 Mo, elle permettra de commencer à utiliser SQL Azure pour la moitié du précédent coût, en fournissant malgré tout la totalité des fonctionnalités. Cela inclut la haute disponibilité, la tolérance aux pannes, le provisionning, l'évolutivité de la base, la connexion aux bases installées sur site et le SLA complet. 

Ces deux modifications dans l'offre SQL Azure de Microsoft résultent des remarques communiquées par les utilisateurs et de l'évolution des modèles d'usages, explique Steven Martin. Au cours des dix-huit mois écoulés, deux usages se sont dégagés. En premier lieu, de nombreux projets démarrent modestement mais ils ont besoin de grossir rapidement. D'où la possibilité offerte d'accéder à des déploiements plus larges à moindre coût. « A mesure que votre base de données grossira, le prix par Go baissera de façon significative », assure le responsable de Microsoft. Deuxièmement, de nombre clients du cloud ayant des traitements plus légers veulent disposer d'une option peu coûteuse pour des usages modestes. « De la même façon que nous proposons une option de 150 Go pour les clients ayant des pré-requis élevés, nous étendons la palette de choix à l'autre bout du spectre avec une option de départ à 100 Mo », ajoute Steven Martin. 

A partir de 3,54 euros par mois pour 100 Mo

La facturation de SQL Azure est calculée sur la base d'un tarif progressif, en fonction de la taille de la base de données. Cette dernière existe en deux éditions. L'édition Web prend en charge une base de données relationnelle T-SQL (Transact-SQL) de 5 Go maximum. L'édition Business va jusqu'à 150 Go. Le site Windowsazure.com/fr donne le détail de la tarification pour un paiement à l'utilisation. Une calculatrice en ligne permet de se faire immédiatement une idée du coût en fonction du nombre de Go consommé. Il existe aussi un tarif d'abonnement de six mois(*).

Calculatrice pour connaître le coût de SQL Azure au Go consommé
En déplaçant le curseur de la calculatrice, on connaît le prix du service au Go consommé, ci-dessus 120,45 euros pour 94 Go par mois.

A l'utilisation, le prix de SQL Azure, par base de données et par mois, démarre à 3,5425 euros par mois jusqu'à 100 Mo. Il s'élève à 7,085 euros entre 100 Mo et 1 Go. Entre 1 Go et 10 Go, l'utilisation de SQL Azure est facturée 7,085 euros pour le premier Go et 2,834 euros pour chaque Go supplémentaire(**). Ainsi, pour une base de données de 4,4 Go utilisée une journée, il en coûtera 0,5944 euros au client. 

(*) L'abonnement de six mois à SQL Azure coûte 56,729 euros pour une unité de base, ce qui correspond en fait à une valeur de 70,92 euros sur la base de données Business Edition lorsque celle-ci est facturée à l'utilisation. Ce service s'adresse à des utilisateurs qui démarrent ou qui ont des besoins réduits en taille de base. Pour les entreprises plus consommatrices, Microsoft propose un autre abonnement, annuel cette fois, à partir de 10 000 euros, explique Julien Lesaicherre, de Microsoft France. Cela correspond à une utilisation pré-payée que l'entreprise consommera comme elle l'entend, au rythme choisi.

(**) Entre 10 Go et 50 Go, il en coûte 32,5906 euros pour les 10 premiers Go, puis 1,417 euros pour chaque Go. Enfin, au-delà, les 50 premiers Go reviennent à 89, 2699 euros, puis à 0,7085 euros pour chaque Go supplémentaire.
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(20/02/2012 12:10:04)

Intel travaille sur une puce alimentée par l'énergie solaire

L'an dernier, Intel avait montré un processeur basse énergie tournant sur des PC  sous Windows et Linux, et se chargeant uniquement avec la lumière émise par une lampe de lecture. Intel devrait donner plus de détails sur son processeur, nom de code Claremont, lors de l'International Solid-State Circuits Conference (ISSCC) qui se tient à San Francisco cette semaine (19-23 février).

Cette puce, de la taille d'un timbre-poste, est également connue pour sa technologie Near-Threshold Voltage (NTV) qui lui permet de fonctionner à des niveaux de tension extrêmement basse. La consommation du processeur peut descendre jusqu'à 280 millivolts seulement quand le processeur tourne à une vitesse de 3 MHz, et jusqu'à 1,2 volt lorsqu'il tourne à environ 1 GHz dans le cas de besoins en performance plus élevés. « La puce NTV est conçue pour fournir une efficacité énergétique extrême à des dispositifs informatiques, » a déclaré Justin Rattner, CTO d'Intel, au cours d'un briefing précédant le salon. « Cette technologie nous permet de créer des produits dont l'efficacité énergétique se retrouve tout au long du processus de calcul, mais fournit également les niveaux de performance nécessaires, » a ajouté le CTO d'Intel.

Une tension quasi nulle pour réduire la consommation électrique

Le processeur peut se maintenir à des niveaux de tension quasiment nulle lorsqu'il n'est pas sollicité. Cette technologie permettrait d'avoir des ordinateurs portables toujours opérationnels sans nuire à la durée de vie de leur batterie. C'est beaucoup mieux que de mettre un PC en veille ou en mode hibernation pour économiser la batterie. L'an dernier, lors de l'Intel Developer Forum, un ingénieur avait montré une animation tournant sur un PC alimenté par ce type de processeur. Dès qu'il a supprimé la source de lumière, l'ordinateur s'est figé. La CPU travaillait avec une mémoire DDR3 expérimentale du nom de Memory Cube Hybrid et développée par Micron. Celle-ci est sept fois plus économe en énergie que la mémoire DDR3 actuelle. « Nous n'avions pas vraiment l'intention de construire un microprocesseur à l'énergie solaire, » a plaisanté Justin Rattner, en parlant de la démonstration. « Mais la présentation a servi à montrer ce que l'entreprise cherchait à réaliser avec la technologie NTV. Celle-ci permet des gains énergétiques d'environ 5 à 10 fois, » a déclaré Justin Rattner. « Ce design a suscité énormément d'intérêt, » a ajouté le responsable d'Intel.

Le prochain objectif est d'étendre la technologie à d'autres composants de l'ordinateur. « Nous voulons appliquer ces techniques de basse tension au circuit graphique et à la mémoire, » a déclaré le CTO d'Intel. Cette technologie peut également être ancrée dans les circuits eux-mêmes pour rendre les systèmes de calcul intensif plus efficaces en terme de puissance. Le CPU solaire est basé sur une puce à architecture Pentium. Les chercheurs ont converti le circuit logique de la puce pour qu'elle fonctionne à un niveau de tension proche de zéro. Le CPU a été conçu à partir d'un processeur 32 gravée en nanomètre, le même que celui utilisé par Intel dans sa dernière puce pour smartphone, nom de code Medfield qui équipera certains smartphones et tablettes plus tard cette année.

Des recherches qui serviront les futurs produits d'Intel

Lors de l'ISSCC, le fondeur devrait également livrer des informations supplémentaires sur la mémoire, les processeurs graphiques et les unités en virgule flottante basés sur la technologie Near-Threshold Voltage. Toute la recherche concernant cette technologie est menée dans les laboratoires d'Intel. Le fondeur a dit qu'il ne pensait pas que cette plate-forme « à l'énergie solaire » serait commercialisée telle quelle, mais que les éléments issus de cette recherche seraient utilisés dans de futurs produits.

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(20/02/2012 11:58:09)

Intel veut intégrer le WiFi dans ses puces

Intel devrait détailler cette semaine une partie de son travail portant sur le renforcement des capacités sans fil de ses puces, qui pourraient rendre les PC et les terminaux mobiles plus petits moins chers et plus efficients en terme de consommation. Le fondeur donnera en effet plus de détails sur une puce Atom double coeur avec WiFi intégré connue sous le nom de code Rosepoint, à l'occasion de la manifestation International Solid State Circuits Conference qui se tiendra à San Francisco du 19 au 23 février.

La puce est encore au stade du développement, mais l'intégration d'un émetteur-récepteur sans fil dans le silicium des processeurs Atom pourrait améliorer l'autonomie des PC portables qui pourrait travailler encore plus longtemps avec le WiFi activé, a déclaré Justin Rattner, CTO d'Intel. Les processeurs avec WiFi intégré ne seront toutefois pas disponibles avant le milieu de cette décennie,  a précisé Intel.

WiFi, 3G et 4G au coeur des puces mobiles


La société de Santa Clara a également déclaré qu'elle souhaite intégrer les interfaces radios WiFi, 3G et 4G sur les puces Atom à venir, qui seront utilisées dans les netbooks, les smartphones et les tablettes. Rappelons que l'année dernière, le fabricant de puces a finalisé l'acquisition de la division sans fil US d'Infineon Technologies pour un montant de 1,4 milliard de dollars. Une opération qui a été considérée par beaucoup comme un moyen, pour Intel, de  développer sur les marchés des smartphones et tablettes

Le plus grand rival d'Intel sur le marché mobile est aujourd'hui ARM, dont les processeurs équipent la  plupart des terminaux mobiles. Les premiers smartphones Intel Inside sont attendus un plus tard dans l'année chez Motorola et Lenovo, et les puces Intel Clover Trail vont  équiper les premières tablettes Windows 8 à l'automne.

Les concurrents ARM déjà sur les rangs


De fabricants de puces concurrents, tels que Qualcomm avec son processeur S4, basé sur l'architecture ARM et intégrant WiFi et 3G/4G,  livrent déjà des échantillons de leurs produits. En mesure d'exécuter Windows 8, les puces S4 sont également destinées aux marchés des smartphones, des tablettes et des PC.

L'intégration d'un émetteur-récepteur WiFi supprime l'ajout d'une puce de communication supplémentaire dans un appareil, a expliqué Dean McCarron, analyste principal chez Mercury Research. L'intégration permet aux appareils d'être plus petits, et la suppression d'une puce supplémentaire réduit le coût de fabrication, a poursuivi l'analyste. Cela conduit à une baisse des prix et à des économies pour les acheteurs de smartphones, de tablettes et même d'ultrabooks.

L'autonomie de la batterie d'un terminal mobile ou d'un PC dépendra toutefois de la quantité de données transmise par ondes radio, a déclaré M. McCarron. La consommation d'énergie augmente à mesure que davantage de données sont transmises, mais l'intégration d'un émetteur-récepteur WiFi sera une option plus efficace en terme d'efficience énergétique que la présence d'une puce WiFi séparée.

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