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(02/03/2012 10:59:11)

Microsoft livre la bêta de Windows Server 8

Peu après la sortie de la version bêta de Windows 8, Microsoft livre la bêta de l'édition serveur du système d'exploitation. Annoncé en septem1bre dernier, Windows Server 8 doit succéder à Windows Server 2008. Cette bêta va permettre aux administrateurs de tester le système d'exploitation et de livrer des feedbacks à Microsoft au moment où celui-ci finalise son logiciel en vue de sa sortie commerciale. L'éditeur n'a pas précisé à quelle moment Microsoft Server 8 serait disponible à l'achat.

Windows Server 8 est une mise à jour majeure et apporte de nombreuses améliorations en matière de virtualisation, de gestion multi-machine et de capacités d'hébergement d'applications (multi-tenant), a énuméré Bill Laing, vice-président corporate de Microsoft pour le serveur et le cloud, dans un billet de blog. Grâce aux capacités de virtualisation de Windows Server 8, les administrateurs vont pouvoir créer des réseaux virtuels et partager un seul réseau physique entre différents utilisateurs professionnels ou différents clients, en maintenant les réseaux virtuels tout à fait indépendants les uns des autres. L'autre nouvelle fonctionnalité de cette version, c'est la reprise après panne et la continuité des opérations, qui permet de déplacer les fichiers partagés vers d'autres noeuds sans avoir à stopper les applications qui utilisent les fichiers concernés.

2 300 commandlets supplémentaires pour PowerShell

Pour ce qui est de l'hébergement d'applications, Windows Server 8 incluera une copie du Framework 4.5 .NET qui permet désormais de faire tourner une application sur plusieurs coeurs de processeur en même temps. Le serveur Web IIS (Internet Information Server) a également été mis à jour de façon à fournir une meilleure sécurité en terme d'isolation. Il sait aussi gérer plus de sites par serveur. L'interface en ligne de commande PowerShell a été renforcée par l'ajout de 2 300 applets de commande (cmdlets, commandlets) supplémentaires.

Pour faire tourner la version bêta gratuite, il faut un serveur intégrant un processeur 64-bit à 1,4 GHz, un minimum de 512 Mo de mémoire vive et 32 Go d'espace disque. Il est possible de faire la mise à jour vers la version bêta à partir des versions existantes de Windows Server 2008 et de Windows Server 2008 R2. Cependant, il ne sera pas possible de faire la mise à jour finale à partir de la bêta de Windows Server 8.

(...)

(01/03/2012 17:30:03)

Cegid choisit le cloud privé d'IBM pour son offre SaaS

C'est une mutation purement technologique et un évènement dans le développement du SaaS en France. Cegid, proche de Microsoft ou d'Orange sur de nombreux dossiers (*), vient de signer avec IBM France pour un cloud privé. Cegid disposait pourtant de sa propre plate-forme. Mais les moyens financiers nécessaires à un éditeur pour se développer en SaaS (software as a service) n'étant plus à sa mesure, Cegid a décidé de choisir un partenaire et opté pour IBM, ses capacités d'hébergement et sa sécurité.

Actuellement, le SaaS chez Cegid représente 30 000 utilisateurs, sur un total de 400 000 auxquels s'adresse l'éditeur. C'est 20 000 TPE, 650 grands comptes et ETI, 350 collectivités locales. Ces clients ne seront pas touchés par l'accord signé entre Cegid et IBM, l'opération promet d'être transparente pour les utilisateurs. Un an a été nécessaire aux deux parties pour finaliser le projet. La migration des applicatifs se fera en milieu d'année 2012. Cegid va arrêter son contrat avec l'hébergeur redondant qui doublait sa propre plate forme issue de CCMX (**). Il proposera des services en SaaS sous le nom de « nuage Cegid ».

IBM France au plus haut niveau

Du côté d'IBM France, l'initiative est suivie au plus haut niveau, puisqu'Alain Bénichou en personne, le Pdg, a présenté l'accord aux côtés de Jean-Michel Aulas, président de Cegid, et de Patrick Bertrand. « Pour des infrastructures complexes, il faut se préparer, souligne Alain Bénichou, nous avons investi 300 millions de dollars en 2009, en datacenter et en infrastructure de cloud, sur le marché français. Nous sommes prêts, avec, je n'hésite pas à le dire du made in France, une offre franco-française, faite par IBM France. Même l'électricité est française, même si elle est plus chère qu'ailleurs », lance le patron d'IBM France, toujours un peu provocateur. « Le cloud, c'est investir dans le béton, certains veulent se le faire payer par l'Etat, car la facture est conséquente. Nous, nous avons investi en propre ».

Alain Benichou, PDG d'IBM France
Alain Benichou, PDG d'IBM France (crédit photo : D.R.)

Autre point clé, celui de la sécurité. Un point vital pour les clients comme pour les prestataires en SaaS. Selon Alain Bénichou, cinq points sont importants : l'identité des personnes, celle des données, des applications, la sécurité des réseaux, celle des infrastructures serveurs. « Cet aspect sécurité est d'autant plus crucial pour nous que nous travaillons essentiellement avec des experts comptables et des collectivités locales », souligne Jean-Michel Aulas, c'est un critère prioritaire pour nos clients et la clé du développement du SaaS. »

Jean-Michel Aulas, président de Cegid
Jean-Michel Aulas, président de Cegid (crédit photo : D.R.)

Un triple objectif pour Cegid

Pour les dirigeants de Cegid, un triple objectif est tenté : satisfaire les actionnaires en valorisant le développement de la société sans investissement trop lourd ; s'adosser à un partenaire de premier plan pour consolider les offres en SaaS, conquérir de nouveaux clients et amplifier son avantage par rapport à ses concurrents ; se développer à l'international où Cegid a toujours été timide.

Quant aux  concurrents de Cegid, pour aller dans le Saas, ils devront mettre le prix, c'est-à-dire se doter en propre d'une infrastructure ou nouer un accord avec un partenaire de type IBM. Le défi est de taille. Cegid et IBM ont  négocié pendant un an, le projet prend du temps, et Cegid avait déjà une forte expérience du SaaS et avant lui de l'ASP (**). Cet accord devrait permettre à Cegid de tenir ses rivaux un peu plus à distance.

(*) Cegid intègre de longue date ses solutions avec les outils Microsoft, plus récemment l'offre en SaaS de Cegid est disponible sur Business VPN d'OBS.

(**) Au mois de juin 2004, Cegid rachetait son concurrent français CCMX, outre la complémentarité des offres, l'opération lui apportait une plateforme d'hébergement. On parlait à l'époque d'ASP et non pas de SaaS. Cegid développait ensuite des offres, Cegid Sourcing, puis Cegid on demand, sur ses différents secteurs d'activité. En mode SaaS, ces applications représentent une part de plus en plus importante de son chiffre d'affaires : 16,3 M€ en 2010, 20 M€ en 2011.
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(01/03/2012 17:13:38)

RSA 2012 : des Trojans pour espionner les smartphones

Deux experts en sécurité ont montré comment les malwares permettant de prendre le contrôle des smartphones à distance sont devenus une sérieuse menace pour les utilisateurs à travers le monde. Au cours d'une démonstration réalisée sur la RSA Conference 2012, George Kurtz et Dmitri Alperovitch, anciens responsables de McAfee ayant fondé la société CrowdStrike, ont installé un outil d'accès distant sur un terminal sous Android 2.2. Ils ont exploité une faille non corrigée dans WebKit, le navigateur par défaut de l'OS mobile, rapportent nos confrères de Computerworld.

Les deux intervenants ont montré devant une salle bondée comment le malware pouvait être amené sur le smartphone par l'intermédiaire d'un message SMS d'apparence inoffensive. Et comment il pouvait ensuite être utilisé pour intercepter et enregistrer les conversations téléphoniques, récupérer des vidéos, voler les messages texte, pister les numéros de composés et localiser l'endroit où se trouve l'utilisateur.

Des malwares obtenus facilement sur le marché

Les outils employés pour l'attaque ont été obtenus facilement auprès de sources clandestines, a indiqué George Kurtz, Le bug WebKit, par exemple, figurait parmi une vingtaine d'autres outils achetés à des hackers pour une somme globale de 1 400 dollars. Le cheval de Troie mis en oeuvre pour l'accès distant était une version modifiée de Nickispy, un malware chinois bien connu.

Apprendre à exploiter la faille WebKit et modifier le Trojan pour l'attaque fut plus difficile à réaliser que prévu, a admis Georges Kurtz. Il estime que CrowdStrike a dépensé environ 14 000 dollars au total pour développer l'attaque. Mais, le plus inquiétant est que des attaques similaires peuvent être réalisées sur n'importe quel téléphone et pas uniquement les modèles sous Android, a ajouté l'expert.

WebKit, par exemple, est largement utilisé comme navigateur par défaut par les autres systèmes d'exploitation mobile, notamment iOS d'Apple et BlackBerry Tablet OS de RIM. Il est également à l'oeuvre dans les navigateurs Safari d'Apple et Chrome de Google.

A l'aube d'une nouvelle vague de phishing

Compte tenu du type de données qu'il est possible de dérober sur les terminaux mobiles, on peut penser que de nombreux hackers cherchent déjà des moyens de transformer les vulnérabilités de WebKit en moyens d'attaque, soulignent les experts de CrowdStrike.

Plusieurs Trojans de contrôle à distance mobiles sont déjà ouvertement disponibles auprès d'entreprises qui les présentent comme des outils permettant de garder un oeil sur les autres. Par exemple, de nombreux programmes de ce type sont commercialisés auprès de conjoints jaloux ou suspicieux. Et il n'est pas difficile de duper des utilisateurs mobiles en installant des malwares sur leurs téléphones, expliquent les experts.

Dans leur démonstration, Georges Kurtz et Dmitri Alperovitch ont utilisé un message SMS qui semblait venir de l'opérateur demandant à son utilisateur d'installer une mise à jour importante. Cliquer sur le lien du message conduisait à télécharger le Trojan sur le téléphone. Exactement comme cela se passe déjà sur les PC, ces programmes malveillants vont proliférer sur les mobiles, prédit Georges Kurtz. Par conséquent, les utilisateurs doivent commencer à vérifier qu'ils ont bien installé les mises à jour sur leurs smartphones, faire attention à ce qu'ils téléchargent et être conscients que le phishing existe aussi sur les mobiles. Les Trojans permettant une prise de contrôle à distance sont de parfaits outils pour intercepter les appels, les textes, les e-mails, capturer les conversations sensibles et localiser les personnes.
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(01/03/2012 15:24:20)

HR Access réorganise sa direction en Europe

Spécialisée sur les solutions et services d'externalisation de gestion des ressources humaines et de paie, avec son offre intégrée HRa Suite 7, la société HR Access vient de nommer Franck Boutboul au poste de président et CEO pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique (EMEA). Celui-ci était auparavant directeur général pour cette région, actuellement divisée en trois parties : l'Europe de l'Ouest, l'Espagne/Portugal et la zone MEA.

C'est par ailleurs Xavier Daguzan, directeur général de HR Access France, qui a été promu directeur général pour l'Europe de l'Ouest. Il supervisera les opérations pour cette zone qui, outre l'Hexagone, comprend aussi la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie, le Royaume-Uni, l'Irlande et le Luxembourg.

En 2011, HR Access dit avoir enregistré une croissance de 10% de son chiffre d'affaires (non communiqué) et gagné 50 clients. La société compte un peu plus de 1 300 collaborateurs dans le monde et 2 300 clients. Elle a noté sur son dernier exercice une augmentation significative des prises de commandes sur les services externalisés, activité qui représente plus de 20% de son chiffre d'affaires sur la zone EMEA. HR Access indique gérer les ressources humaines de plus de 10 millions de personnes dans le monde, sur un mode interne ou en mode externalisé.

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(01/03/2012 12:08:10)

Microsoft et Hortonworks vont relier Excel à Hadoop

Microsoft travaille à la mise au point d'un connecteur qui permettra aux utilisateurs d'Excel de télécharger et d'analyser des données provenant de Hadoop. Cette fonctionnalité pourrait ouvrir à un public plus large la plate-forme de traitement de données disponible en Open Source. Le développement est réalisé en collaboration avec Hortonworks, une spin-off de Yahoo, qui propose une distribution de Hadoop avec un support commercial. « Cette annonce est importante, parce que Microsoft ouvre potentiellement Apache Hadoop à des millions de nouveaux utilisateurs », a déclaré Eric Baldeschwieler, co-fondateur et directeur technique d'Hortonworks. « Ce sont aussi plusieurs millions d'utilisateurs PowerPivot pour Excel qui vont bientôt pouvoir exploiter les capacités d'Apache Hadoop à partir d'un logiciel qu'ils connaissent bien. »

Le développement de ce connecteur est l'un des nombreux projets Open Source en relation avec Hadoop que Microsoft et Hortonworks ont annoncé mardi lors de la conférence O'Reilly Strata Data, qui se tient cette semaine (28 février-1er mars) à Santa Clara, Californie. L'an dernier, les deux entreprises avaient conclu un partenariat pour adapter Hadoop à l'écosystème Windows. Microsoft et Hortonworks travaillent également ensemble pour élaborer un framework JavaScript, qui permettra aux programmes JavaScript d'explorer les données de Hadoop. Il collaborent aussi sur une série de patchs pour le noyau Hadoop qui doit permettre au logiciel de tourner sur Windows Server.

Connecteur et bibliothèque bientôt en Open Source

Le connecteur est une interface ODBC (Online Database Connector) qui interagit avec Hadoop par l'intermédiaire du système d'entreposage de données Hive. Les utilisateurs pourront analyser les données téléchargées depuis Hive dans Excel, en utilisant des outils comme PowerPivot pour Excel. « Le pilote ODBC de Microsoft pour Hive a été construit pour connecter plus facilement Excel, PowerPivot et d'autres outils Microsoft à Hadoop (via Hive) », a déclaré par mail Shaun Connolly, vice-président, stratégie d'entreprise, d'Hortonworks. Il explique que sa société et Microsoft veulent mettre cette technologie en Open-Source afin qu'elle soit largement disponible et utilisée par la communauté Apache Hadoop. Le développement du framework JavaScript suivra le même chemin, a indiqué Shaun Connolly.

Microsoft a construit la plate-forme centrale pour ses propres produits et Hortonworks la modifiera pour permettre une utilisation élargie. « Pour l'instant, ni le connecteur, ni le framework Javascript ne sont disponibles, mais ils seront livrés prochainement en version open-source », a déclaré le vice-président de Hortonworks. Microsoft a déjà fait un pas pour intégrer Hadoop dans son écosystème puisque l'éditeur propose un connecteur Hadoop pour SQL Server. Il offre également la connectivité à une instance de Hadoop - actuellement en version développeur - sur son service cloud Azure.

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(01/03/2012 11:25:11)

Oracle rassure encore les utilisateurs de PeopleSoft

Oracle a confirmé encore une fois son engagement à poursuivre ses investissements dans sa ligne de logiciels PeopleSoft, à l'occasion de la conférence tenue mi février par le club de ses utilisateurs britanniques (UK Oracle User Group). Comme Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe, l'avait expliqué à Paris en décembre dernier,  l'arrivée de Fusion Applications ouvre une voie de cohabitation entre les actuelles gammes et la nouvelle offre. Rosie Warner,  responsable du développement de l'activité HCM (Human Capital Management) chez Oracle UK, l'a redit la semaine dernière à Londres : « Non, Fusion n'impacte pas l'investissement dans PeopleSoft, il y a une coexistence entre les deux offres ».

Certains utilisateurs s'étaient inquiétés mais lorsqu'ils ont assisté à la session présentant la feuille de route PeopleSoft sur la conférence UKOUG, ils ont semblé beaucoup plus à l'aise, a-t-elle commenté à nos confrères de Computerworld UK. Les clients peuvent exploiter ensemble PeopleSoft et Fusion Application parce que la structure de données utilisée permet de partager celles-ci de façon unifiée entre les deux systèmes. Rosie Warner a précisé qu'il y avait actuellement 110 clients dans le monde qui avaient emprunté cette voie et que 140 clients étaient en production avec l'offre RH de Fusion ou s'apprêtaient à l'être.

La version 9.2 de PeopleSoft est prévue pour fin 2012

La demande pour les produits PeopleSoft est toujours forte néanmoins, dans la mesure où les clients sont libres de choisir l'option qui se trouve être la plus simple pour eux, a ajouté Rosie Warner. Elle note que les fonctions de la version 9.1 sont très appréciées et souligne qu'il s'agit de la meilleure adoption constatée jusqu'à présent pour une version. « Sur douze mois, le taux de rétention client s'est élevé à 97%. Le pic historique pour ce taux s'est situé en 2005 » [NDLR : le rachat de PeopleSoft par Oracle a été effectif le 6 janvier 2005]

Selon la responsable de l'offre, parmi les apports appréciées de la version 9.1 figurent son mode de recherche plus intuitif et ses fonctionnalités de Business Intelligence. L'application peut s'utiliser à partir d'un navigateur web, sur différents terminaux mobiles, dont les iPad et iPhone d'Apple. La prochaine version du produit, PeopleSoft 9.2, est attendue pour la fin de cette année.

A ces deux gammes dévolues à la gestion des RH s'en ajoutera une troisième lorsque le rachat de Taleo par Oracle sera effectif. L'offre acquise fonctionne dans le cloud ce qui la met plutôt en concurrence avec Fusion. Elle comporte des applications de gestion du recrutement et de l'accueil des employés dans l'entreprise, ainsi que des modules de gestion de la performance et de la rémunération des collaborateurs. Il y a quelques jours, Oracle a expliqué à grands traits comment il comptait organiser son catalogue d'offres RH dans la perspective de cet arrivée.

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(29/02/2012 15:34:46)

Oracle détaille à son tour sa stratégie pour Taleo

SAP ayant présenté la semaine dernière sa feuille de route pour SuccessFactors, l'offre de gestion des ressources humaines en SaaS qu'il a rachetée, Oracle n'a pas tardé à expliquer ce qu'il comptait faire avec Taleo, offre concurrente en cours de rachat.

Il s'agit pour chacun d'eux de transactions significatives. Pour acquérir ces spécialistes de la RH dans le cloud, SAP a déboursé 3,4 Md$ et Oracle propose de payer 1,9 Md$ pour récupérer Taleo. Ce dernier va lui apporter des applications de gestion du recrutement et de l'accueil des employés. Oracle pourra les vendre à sa base installée ou à des entreprises qui n'utilisent pas encore ses logiciels. Taleo lui amènera des équipes qui connaissent le marché du SaaS (software as a service), ce qui renforcera sa pertinence dans ce domaine. SAP récupère des avantages similaires avec SuccessFactors.

Analyse prédictive pour retenir les hauts potentiels

Vendredi dernier, Mark Hurd, président d'Oracle, a déclaré au cours d'un webcast que lorsque l'acquisition de Taleo serait réalisée, Oracle disposerait de l'offre la plus large dans le cloud. L'offre rachetée se raccorde directement à l'application Fusion HCM (Human Capital Management) dans le cloud, a-t-il ajouté. 

Oracle veut offrir à ses clients une suite complète d'applications RH qui comprend des fonctions de BI embarquées, de réseau social et de mobilité, a confirmé Thomas Kurian, vice-président exécutif, responsable du développement produit chez Oracle. Il explique comment les produits de Taleo vont fonctionner avec les solutions maison. Les clients pourront « organiser, prévoir et rechercher leurs ressources de façon optimale ». Ils accéderont à l'analyse prédictive pour identifier les collaborateurs à haut potentiel qui risquent de quitter l'entreprise. Pour les retenir, ils pourront combiner le recours aux outils de Taleo et d'Oracle permettant de gérer les plans de carrière et les rémunérations. 

Taleo sera intégré dans Oracle Public Cloud

Pour la partie gestion du recrutement et accueil des employés dans l'entreprise, ce sont les logiciels de Taleo qui seront mis en avant par Oracle, selon la présentation de Thomas Kurian. Pour les logiciels de gestion de la performance, l'éditeur prévoit en revanche d'unifier l'offre de Taleo et la sienne en un seul produit et de proposer à tous les clients une mise à jour uniformisée. Taleo sera intégré dans le cloud public d'Oracle sur lequel fonctionne son offre Fusion HCM. Cela apportera aux applications de Taleo des capacités supplémentaires de gestion des identités et des données, ainsi que d'autres fonctions analytiques, a expliqué Thomas Kurian.

A plusieurs reprises, les responsables d'Oracle ont souligné que Taleo Business Edition, qui s'adresse à de plus petites entreprises, continuera à être proposé et maintenu. Ils entendaient ainsi rassurer les clients sur cette version de l'offre dans la mesure où Oracle insistait surtout sur la façon dont la version Enterprise de Taleo allait se combiner avec ses propres produits, a expliqué Lisa Rowan, analyste d'IDC, à nos confrères d'IDG News Service.

Thomas Kurian a aussi insisté sur le fait qu'il serait toujours possible d'exploiter ces logiciels de gestion du talent avec d'autres suites RH que celle d'Oracle. Cela reflète l'inquiétude de l'éditeur de perdre les clients qui utilisent actuellement Taleo avec les applications RH de concurrents comme SAP, estime l'analyste d'IDC.

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(28/02/2012 17:30:42)

Les internautes ne passeraient que 3 minutes sur Google+

Les internautes passent en moyenne 6 h 45 à utiliser chaque mois Facebook, contre seulement trois minutes pour Google+, selon une étude de comScore reprise par le Wall Street Journal, mardi 28 février. Dans le classement des réseaux sociaux les plus chronophages, Facebook (405 minutes par mois) devance Tumblr et Pinterest (89 min chacun), Twitter (21 min, soit moins d'une minute par jour), LinkedIn (17 min), MySpace (8 min) et donc Google+ (3 min). 

Google+ revendique actuellement plus de 90 millions de membres, contre plus de 800 millions pour Facebook. Cet étude a été menée par comScore, entre septembre 2011 et janvier 2012.

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(28/02/2012 17:24:49)

MWC 2012 : Un projecteur dans le Galaxy Beam de Samsung

Samsung a présenté, à l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone (27 février-1er mars), un smartphone original, pourvu d'un projecteur. Le Galaxy Beam permet ainsi de diffuser du contenu multimédia sur n'importe quelle surface plane. Le constructeur n'a pour le moment indiqué ni la disponibilité, ni le prix de ce nouveau smartphone.

Le projecteur 15 lumens du Galaxy Beam délivre des images contrastées, d'une largeur pouvant atteindre 50 pouces (environ 127 cm), de tous types de contenus, qu'il s'agisse d'images, de vidéos ou même de jeux. Une application est spécialement dédiée à la gestion du projecteur.

Le Galaxy Beam est équipé d'un processeur double-coeur cadencé à 1GHz et d'un espace de stockage de 8 Go de données. Il fonctionne sous OS Android 2.3 Gingerbread.

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