Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 491 à 500.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(06/03/2012 09:48:02)
Cebit 2012 : Le Brésil et la sécurité en vedette cette année
Le Cebit est inauguré cette année par la chancelière allemande Angela Merkel, la présidente brésilienne Dilma Rousseff et Eric Schmidt, le président exécutif du conseil d'administration de Google. Ce dernier viendra assurément défendre Google+, mis à mal dernièrement par une étude de comScore démontrant que les internautes ne passent en moyenne que trois minutes par mois sur ce réseau social.
De son côté, un autre acteur majeur de l'informatique viendra défendre son principal projet de l'année. Microsoft devrait en effet faire la démonstration de son système d'exploitation Windows 8, librement disponible au téléchargement en version bêta depuis le 29 février.
La sécurité informatique en vedette cette année
Cette édition sera également placée sous le signe de la sécurité, déclinée comme fil rouge à travers l'ensemble du Parc des expositions. De nombreux éditeurs viendront y présenter leurs dernières nouveautés en matière de solutions de sécurité, notamment pour les terminaux mobiles, de plus en plus vulnérables. L'un des autres thèmes abordés au Cebit sera le cloud computing.
De nombreux événements seront enfin organisés tout au long du salon sur le thème du Brésil et du développement des technologies de l'information et de la communication (TIC) en Amérique du Sud.
Le Cebit, rendez-vous incontournable des technologies de l'information, se tient depuis 1986 à Hanovre, en Allemagne. L'édition 2012 doit rassembler environ 4 200 exposants, venus de 70 pays. Selon ses organisateurs, le salon a rassemblé l'an passé 339 000 visiteurs.
Téléchargement d'apps : 25 milliards pour iOS, 10 pour Android
C'est le samedi 3 mars au matin que l'App Store a enregistré son 25 milliardième téléchargement. Lancé en juillet 2008, l'App Store propose aujourd'hui plusieurs centaines de milliers d'applications, pour ordinateurs et terminaux mobiles. Son grand rival, l'Android Market, a franchi la barre des 10 milliards de téléchargements en décembre 2011.
Le cap des 10 milliards de téléchargements pour l'App Store a été annoncé en janvier 2011 et celui des 15 milliards au mois de juillet dernier. Apple a par ailleurs promis un bon d'achat de 10 000 dollars sur l'App Store et l'iTunes Store à la personne qui effectuerait ce vingt-cinq milliardième téléchargement symbolique.
(...)(05/03/2012 17:35:29)Marché du stockage : ventes et capacités en hausse au 4e trimestre 2011
Selon le cabinet d'études IDG, au cours du dernier trimestre de l'année 2011, les systèmes de stockage sur disques ont généré plus de 8,5 milliards de dollars de revenus, soit en augmentation de 3,5% par rapport au quatrième trimestre de l'année précédente,. Sur l'ensemble de l'année 2011, le nombre de systèmes de stockage sur disque a augmenté de 7,7%. Sur toute l'année 2011 également, le revenu des systèmes de stockage externes sur disque a augmenté de 10,6% au niveau mondial par rapport à l'année 2010, pour atteindre 23,5 milliards de dollars. En 2011, le marché global des solutions de stockage sur disque, dans lequel il faut inclure les serveurs, a augmenté de 8,2% par rapport à 2010 pour atteindre 31,1 milliards de dollars.
Mais ce sont surtout les capacités de ces systèmes de stockage sur disque qui ont explosé. Ainsi, au quatrième trimestre 2011, les vendeurs ont livré plus de 6,2 pétaoctets en capacité de stockage, soit une augmentation de 22,4% par rapport à l'année précédente. « Le marché du stockage sur disque dur externe a terminé l'année 2011 en forte hausse en terme de revenus et a fait grimper la croissance du marché à 10,6% sur l'année entière, » a déclaré Liz Conner, analyste principale chez IDC, spécialisée dans les systèmes de stockage.
Une croissance tirée par les Brics
Selon l'analyste, cette croissance a été tirée par les marchés émergents de pays comme la Chine, le Brésil, la Russie, de pays d'Europe centrale et orientale, mais aussi du Moyen-Orient et de l'Afrique. Des régions où ce marché est plus mature, comme l'Europe occidentale et les États-Unis, ont vu cette croissance se ralentir au moment où leurs économies entraient dans une phase de fin de récession et de reprise. Au quatrième trimestre, cette croissance n'a pas été entravée par les inondations qui ont touché la Thaïlande entre les mois d'août et octobre 2011, les livraisons n'ayant pas encore été affectées. À cause de ces inondations, 75% de la production du principal fabricant Western Digital avait du être temporairement interrompue. « L'impact des inondations se fera davantage sentir au premier trimestre de 2012, » a estimé l'analyste d'IDG. « Le marché du stockage d'entreprise devrait commencer à sentir les effets de cette pénurie en 2012, mais son impact a été minimum sur le quatrième trimestre et sur toute l'année 2011, » a ajouté Liz Conner.
En 2011, EMC et Hewlett-Packard ont dominé le marché des systèmes de stockage sur disque, avec des parts de marché en chiffre d'affaires de 21,5% et 18,5% respectivement, suivis par IBM (15,4%) et Dell (11,4%). Au quatrième trimestre, EMC a maintenu son avance avec une part de marché de 29,4% et IBM a conservé sa seconde place avec 15,2%, suivi de NetApp avec 11,2% puis de HP avec 10,3%. Hitachi a terminé le trimestre à la cinquième place, avec 9,2% des parts de marché. Au total, l'ensemble du marché du stockage sur disque en réseau ouvert (NAS combiné avec du SAN Open/iSCSI) a augmenté de 9,6% d'une année sur l'autre au quatrième trimestre, affichant un chiffre d'affaires de 5,6 milliards de dollars. Avec une part marché de 32,6%, EMC a également maintenu sa position de leader dans ce domaine, suivi par IBM avec 14,6%.
EMC domine toujours le marché des NAS
Le marché des NAS a baissé de 1,2% entre 2010 et 2011. Celui-ci a été dominé par EMC avec une part de marché de 48,8%, suivi par NetApp avec 29,4%. La position dominante de Dell sur le marché du SAN iSCSI se poursuit, affichant une forte croissance avec une augmentation de ses revenus de 16,6% par rapport au trimestre de l'exercice précédent. EMC a pris la seconde place avec 20,4%, suivi de HP avec 12,8%.
Les résultats sur les systèmes de stockage haut de gamme, ceux dont le prix de vente moyen dépasse les 250.000 dollars, sont conformes aux tendances saisonnières, avec une forte hausse du chiffre d'affaires à trimestre équivalent. « La part de marché des systèmes de stockage haut de gamme a augmenté de 28,2% en 2010 à 30,0% en 2011. Cette augmentation a été plus importante en dehors des États-Unis », a déclaré l'analyste d'IDC Amita Potnis. « Parmi les facteurs qui ont joué en faveur de cette augmentation, il y a la reprise économique, la consolidation du stockage, la construction et la mise à niveau des datacenters. »
(...)(05/03/2012 17:24:46)System Center 2012 à l'assaut des clouds publics et privés
L'année 2012 s'annonce comme un millésime particulièrement relevé pour Microsoft avec les sorties annoncées de Windows 8, Windows Server 8, SQL Server 2012 et System Center 2012. En préambule, les équipes françaises de l'éditeur de Redmond ont animé pendant 3 jours début février le rendez-vous incontournable des professionnels de l'informatique : les TechDays . La seconde journée était particulièrement consacrée aux solutions dites d'infrastructure avec une conférence plénière balayant les principales annonces à venir. System Center 2012 pour commencer. Un outil sur lequel Microsoft fonde de grands espoirs pour renforcer ses positions sur les marchés de la virtualisation et des clouds privés.
Disponible au deuxième trimestre 2012, System Center 2012 marque une première rupture avec la génération précédente en regroupant toutes les fonctions dans un seul produit. On ne trouve d'ailleurs plus que deux versions de System Center : Standard Edition avec 2 VM par licence et Datacenter Edition avec un nombre illimité de VM.
Huit modules regroupés dans une seule suite
Comme nous l'a détaillé Jean-Philippe Dupuich, chef produit System Center chez Microsoft, la version 2012 combine huit modules (App Controller, Configuration Manager, Data Protection Manager, Endpoint Protection, Operations Manager, Orchestrator, Service Manager, Virtual Machine Manager) dans un seul produit. App Controller 2012, par exemple, propose une console unique pour gérer à la fois des clouds privés et publics. Le module Orchestrator, issu du rachat d'Opalis en décembre 2009, assure l'automatisation de certaines tâches et, ce, avec une bonne capacité d'intégration avec les principaux outils d'administration du marché (CA, BMC, IBM, HP ou Symantec) grâce à des packs d'intégration. Configuation Manager effectue un inventaire des VM pour inspecter la conformité de charge et d'utilisation. De son côté, Operation Manager supervise l'ensemble des performances du réseau, du stockage et des applications, notamment Java, avec des alertes en cas de conduite anormale. Très orienté cloud, cet outil peaufine sa fonction de refacturation de services avec un module basé sur Service Manager développé par le Canadien Provance. Enfin, Operation Manager, grâce au rachat de la société AVIcode en 2010, jauge l'activité des applications .Net en inspectant le code afin de regarder ce qui peut entrainer une baisse des performances.
Mixer VM privées et publiques sur Azure
Au coeur de l'offre de cloud privé de Microsoft, System Center Virtual Machine Manager 2012 permettra aux administrateurs de déployer des machines virtuelles, soit sur des serveurs locaux, soit sur des plates-formes hébergées sur Windows Azure. L'administrateur pourra configurer différentes machines virtuelles afin de constituer des ensembles de serveurs dédiés à des tâches spécifiques ou à certains types d'activité. Le logiciel travaille avec des machines virtuelles reposant sur l'hyperviseur maison, Hyper-V, mais également avec ceux de VMware et de Citrix, pour prendre en compte les réalités du marché (voir étude V-Index). Si Hyper-V ne représente aujourd'hui que 16,4% sur le marché de la virtualisation de serveurs, Microsoft compte bien bouger les lignes avec l'arrivée de Hyper-V 3.0, attendu en même temps que Windows Server 8. L'hyperviseur bare metal de l'éditeur monte en puissance, comme nous l'a expliqué Fabrice Meillon , architecte infrastructure chez Microsoft. Hyper-V 3.0 est capable de gérer jusqu'à 160 processeurs logiques et on passe de 4 cpu par VM à 32, et de 64 à 512 Go de mémoire par VM. Le déplacement des machines virtuelles - sans passer par un cluster - est assuré par Live Migration à l'instar de VMotion chez le grand concurrent. Il sera également possible de répliquer en temps réel une VM sur une autre pour redémarrer à chaud (Hyper-V Replica). Le support natif des cartes HBA est également de la partie pour les baies SAN. Nous reviendrons plus en détail sur Hyper-V 3 avec la sortie de Windows Server 8.
Cette matinée des TechDays a également été l'occasion de détailler la sortie prochaine de SQL Server 2012 et de la solution big data de l'éditeur. Nous reviendrons sur ces deux sujets très prochainement.
(...)(05/03/2012 15:05:12)Talend raccorde sa suite d'intégration de données à Hadoop
A l'occasion de la Strata Conference consacrée à la gestion de données (du 28 février au 1er mars à Santa Clara), l'éditeur français Talend a annoncé qu'il supportait HDFS (Hadoop Distributed File System), Pig, HBase, Sqoop et Hive dans une solution s'appuyant sur sa suite d'intégration Open Studio. Logiquement baptisée Open Studio for Big Data, celle-ci génère nativement du code Hadoop et exécute les transformations de données directement au sein de la plateforme Hadoop Apache « pour assurer une montée en charge maximale », explique Talend. Cela permet aussi de combiner ce type de traitement avec des processus traditionnels d'intégration de données (ETL ou ELT) pour améliorer les performances globales, souligne l'éditeur.
Depuis le lancement de son offre d'ETL (extraction, transformation, loading) en Open Source, en 2006, Talend affiche son ambition de démocratiser l'intégration de données. Il a successivement étendu les fonctionnalités de son offre, en lui ajoutant une solution de MDM (master data management), des outils de gestion de la qualité des données et un ESB. Il l'a aussi associé aux fonctions de BPM (gestion des processus) de BonitaSoft. Cette fois, il entend faciliter la prise en charge des big data. Il n'est plus nécessaire d'avoir un doctorat en traitement massivement parallèle et en science des données pour exploiter les big data, s'amuse Yves de Montcheuil, vice-président marketing de Talend, sur le blog de la société. « Les jobs d'intégration peuvent maintenant être réalisés à partir d'une interface drag and drop », explique-t-il. Open Studio for Big Data génère le code MapReduce nécessaire pour mettre en oeuvre les clusters Hadoop et réaliser ces transformations complexes.
Prise en charge de la qualité des données
Le logiciel s'intègre dans l'offre Talend Platform for Big Data, cette dernière apportant au traitement de ces énormes volumes d'informations des fonctionnalités de gestion de projet et de prise en charge de la qualité des données. « Une première » dans ce domaine, affirme Yves de Montcheuil en soulignant que les big data exacerbent les problèmes de non-qualité des données au point de rendre celles-ci inexploitables.
« Mis à disposition sous licence Apache, Talend Open Studio for Big Data devient une composante native de la pile Apache Hadoop », ajoute le vice-président marketing. Le produit est compatible avec toutes les distributions Hadoop et il sera par ailleurs livré avec celle d'Hortonworks. Une version bêta d'Open Studio for Big Data est disponible au téléchargement.
Google Apps : le mécanisme de suppression de domaines toujours désactivé
Depuis le milieu du mois de janvier, les clients des Google Apps ont quelques difficultés à supprimer et à réactiver les domaines dans leurs comptes. Google a en effet désactivé depuis cette date, et de manière inattendue, le mécanisme automatisé pour réaliser ces tâches. Dès lors, les demandes de suppression et d'ajout de domaines se sont accumulées, mettant en difficulté les administrateurs des Apps qui ont du faire face à une série de problèmes divers, y compris l'impossibilité d'accéder aux comptes de messagerie de certains de leurs utilisateurs. Finalement, Google a dû mettre en place une procédure manuelle pour répondre à ces demandes, invitant les administrateurs concernés à déclarer leurs domaines dans un fil de discussion dédié sur le forum officiel Apps. Google les ajoute ensuite à une file d'attente pour les traiter manuellement.
Le 10 janvier, un officiel de Google identifié comme « Ricky » a posté un message sur le fil de discussion du forum, informant que « suite à une question connexe sur le sujet postée la semaine précédente, Google avait temporairement désactivé le mécanisme de suppression de domaines. » Celui-ci ajoutait qu'il faudrait attendre désormais deux semaines avant de pouvoir à nouveau supprimer les domaines et que Google ferait une mise à jour sur le fil dès que le mécanisme serait réactivé. Cependant, aucune mise à jour n'a encore été publiée, et le mécanisme automatisé n'est toujours pas fonctionnel.
Un mois et demi d'indisponibilité
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les administrateurs des Google Apps suppriment les domaines. Souvent, il s'agit pour eux de les réactiver immédiatement comme sous-domaine ou d'en faire l'alias d'un autre domaine de premier niveau. Si le processus est figé pendant des jours ou des semaines, cela peut perturber les échanges de courrier électronique et d'autres fonctions que certains employés utilisent fréquemment avec les Apps.
« Je constate que, dans un premier temps, il était question de mettre la fonction hors ligne pendant « deux semaines ». Or cela fait un mois et demi que la suppression a été désactivée. Est-ce que le problème a été résolu ? L'auto-suppression ne fonctionne toujours pas ? J'essaye de mettre place un compte Google Apps pour l'éducation et je dois vous dire que cette situation, aussi bien l'incapacité de réenregistrer un domaine précédemment supprimé, que l'impossibilité d'obtenir un quelconque soutien, ne me donne guère confiance dans le service des Google Apps, pour communiquer avec mon équipe et mes étudiants », a écrit un utilisateur identifié comme « CMcIlroy» le 27 février.
De multiples fils de discussions sur ce problème
Parallèlement à ce thread principal, de multiples fils de discussion toujours très actifs ont été ouverts dans lesquels les administrateurs des Apps évoquent le problème. Certains utilisateurs font remarquer que Google aurait pu informer les administrateurs des Apps sur la question. Ils sont notamment étonnés de voir que le problème n'a pas encore été ajouté à la liste des « Questions Connues ».
Une porte-parole de Google a déclaré que l'équipe des Apps était « tout à fait consciente des désagréments et qu'elle travaillait activement sur la question, » ajoutant « qu'elle espérait avoir résolu le problème dans quelques jours. »
(...)(05/03/2012 13:54:47)PHP 5.4 : pas de changement radical, mais plus de performances et de raffinement
La mise à jour du PHP, l'un des langages les plus utilisés pour la construction de sites web, comporte un certain nombre de modifications qui facilitent le développement et améliorent les performances. « Globalement, ces nouvelles fonctionnalités ne viennent pas modifier radicalement le langage, mais elles apportent un certain raffinement », a déclaré Zeev Suraski, l'un des principaux contributeurs au PHP, par ailleurs CTO de Zend Technologies, un éditeur de logiciel PHP. « Ce que l'on pouvait faire auparavant, on peut toujours le faire, mais plus facilement, et de manière plus élégante, » a-t-il ajouté.
Pour les développeurs, la syntaxe PHP a été simplifiée pour faciliter la convivialité. Un nouveau mécanisme, appelé « Traits », permet aux développeurs de réutiliser le code. La syntaxe d'un tableau « array » a elle aussi été simplifiée. D'autres améliorations permettent également au PHP de mieux travailler avec le format d'échange de données JSON (JavaScript Object Notation). La version 5.4 inclut aussi le support natif pour les langues asiatiques, si bien que les développeurs n'ont plus besoin de compiler une version spéciale du PHP pour offrir un contenu dans ces langues.
De meilleures performances
Un gros travail a également été accompli en matière de performances. Ainsi, suite à la réécriture de quelques lignes de code, le PHP peut maintenant prendre en charge 40% d'utilisateurs en plus sur un même serveur. « Nous avons réduit la consommation de mémoire vive. Sur un site web très visité, tout dépend de la densité et du nombre de requêtes par seconde que peut supporter le serveur. Typiquement, le vrai facteur limitant, c'est la mémoire. En réduisant la consommation de mémoire, on peut augmenter la densité,» a expliqué le CTO de Zend Technologies.
Dans le monde, environ 5 millions de développeurs utilisent le PHP, principalement pour la création de pages web offrant un contenu qui doit être régulièrement mis à jour ou modifié, mais aussi pour créer des applications web. Selon la dernière estimation mensuelle du Tiobe Group, le PHP est le sixième langage de programmation le plus couramment utilisé dans le monde.
Parallèlement à cette sortie, Zend a également livré la troisième version bêta de Zend Framework 2, laquelle inclut le support du PHP 5.4. Zend teste également un service PHP hébergé, appelé Zend Developer Cloud.
(...)(05/03/2012 12:13:12)Foursquare passe de l'API Google Maps à OpenStreetMap
Le service de réseau social Foursquare, qui propose de géolocaliser ses contacts sur son mobile et de glaner de bonnes affaires près de chez soi, vient de changer la technologie sur laquelle repose son produit. Il passe de Google Maps à OpenStreetMap et annonce dans le même temps un partenariat avec la startup MapBox. En janvier 2012, le service disait avoir passé la barre des 15 millions d'utilisateurs dans le monde.
OpenStreetMap est un projet fondé en 2004 qui collecte des données cartographiques sur les voies de circulation, les bâtiments ou les territoires (forêts, rivières...). Celles-ci peuvent être réutilisées sous licence Creative commons by SA (paternité, partage à l'identique). « Nous aimons l'idée de supporter les données ouvertes à travers OpenStreetMap et MapBox nous apporte davantage de flexibilité pour concevoir des cartes personnalisées, a expliqué Foursquare sur son blog. « Et même si le projet OpenStreetMap a déjà bien avancé, il reste encore beaucoup à faire pour créer un atlas du monde », souligne la start-up. Elle rappelle qu'elle a eu très tôt recours à l'API Google Maps, mais qu'elle voit depuis six mois augmenter le nombre de sociétés migrant vers d'autres options.
Foursquare explique qu'en janvier, l'un de ses ingénieurs a suggéré de constituer les cartes en interne et a utilisé pour le faire des données d'OpenStreetMap. Le plus difficile consiste à transformer ces dernières en représentations cartographiques : des millions de portions de cartes (« tiles »), pour chaque coin du monde. OpenStreetMap propose par défaut un jeu de tiles, mais cela ne convenait pas exactement à FourSquare. « OpenMapQuest, une autre option, n'allait pas non plus ». A la suite de quoi, le service de localisation pour réseau social s'est rapproché de MapBox. « Ils font de magnifiques cartes avec les données d'OpenStreetMap et ils viennent juste de sortir MapBox Streets sur lequel repose maintenant toutes les cartes de FourSquare.com ».
FourSquare va contribuer à Leaflet
C'est le coût de l'API Google Maps qui a suscité le changement opéré par FourSquare. Néanmoins, ce dernier estime que son service de géolocalisation pour réseau social gagnera en qualité avec les bases qu'il utilise désormais. L'API MapBox Streets attachée à OpenStreetMap propose de nombreuses options de personnalisation. La flexibilité qu'a soulignée FourSquare lui a permis de n'opérer que des modifications qu'il juge mineures sur l'aspect de ses cartes.
La société a également indiqué qu'elle appréciait de rejoindre, grâce à ce partenariat, la communauté Leaflet et qu'elle allait apporter ses propres contributions à ce projet. Leaflet est une bibliothèque Javascript Open Source pour les cartes mobiles interactives. Elle est développée par CloudMade pour constituer sa prochaine génération d'API.
Néanmoins, FourSquare a précisé que ses applications mobiles continueraient à utiliser l'API Google Maps en raison de l'intégration étroite entre les composants géographiques présents dans les systèmes d'exploitation iOS et Android. Etant donné la popularité de son service sur les smartphones, cela signifie que la plupart des utilisateurs du service devraient constater assez peu de changement. Cela dit, la bibliothèque Leaflet est conçue spécifiquement pour les plateformes mobiles haute performance, ce qui pourrait signifier pour FourSquare une extension importante du rôle d'OpenStreetMap et MapBox Streets.
France Télécom finalise la cession d'Orange Suisse
France Télécom Orange a annoncé avoir finalisé la vente de 100% d'Orange Communication («Orange Suisse») à Matterhorn Mobile. La cession a été autorisée par le conseil d'administration du groupe français et par la Commission de la concurrence (COMCO), l'Office fédéral de la communication (OFCOM) et la Commission fédérale de la communication (ComCom). Finalement, le montant de la vente s'élève à 1,83 milliard de francs. L'endettement net externe de la société, qui inclut essentiellement le paiement à venir pour les fréquences qu'Orange Suisse vient d'acquérir, a d'ores-et-déjà été déduit.
Matterhorn Mobile, société détenue indirectement par des fonds conseillés par Apax Partners LLP, continuera d'utiliser la marque Orange. En effet, France Télécom et Apax ont signé un accord de licence pour la marque qui permet à Orange Suisse d'utiliser la marque Orange dans le futur. La durée et les droits de licence n'ont pas été rendus publics. Les abonnés de l'opérateur suisse ne devraient donc pas voir immédiatement un logo en forme de Cervin - Matterhorn est la traduction de Cervin en allemand - orner leur facture.
ICTjournal.ch (...)(05/03/2012 10:45:12)La solution de gestion d'archives Documentum va équiper l'OMC
La nouvelle solution de gestion de l'OMC, basée sur le module Records Manager de la gamme de produits EMC Documentum, devra remplacer toutes les applications existantes. Elle aura pour fonction de gérer les documents d'archives électroniques et physiques de l'OMC.
EMC Documentum Records Manager (RM) est une solution de gestion des documents d'archives qui offre des fonctions de sécurité et de classification des archives. Combiné avec d'autres module d'EMC Documentum, elle permet d'assurer la traçabilité des archives, de procéder à leur classification manuelle ou automatique, de gérer le versement des archives électroniques comme celui des archives papier ou des microfiches, de définir les périodes de rétention selon la nature de l'archive et enfin, d'automatiser leur destruction à la fin de la période de rétention. Cette solution devrait être mise en service d'ici la fin 2012.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |