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(20/03/2012 15:14:23)
Tablettes : les modèles supérieurs à 7" ont la faveur des utilisateurs
La taille de l'écran d'une tablette numérique semble être le critère déterminant du succès ou non d'un modèle. Selon une étude de NDP, d'ici 2016 les tablettes de plus de 7 pouces intéresseront plus les acheteurs que celles de dimensions inférieures. Grâce au succès de l'iPad, les tablettes de 9,7" à 11" représenteront 65% des ventes mondiales.
NPD prévoit une hausse des ventes des modèles compris entre 7 et 8,5 pouces, du fait de la forte demande pour la tablette d'Amazon, la Kindle Fire, mais aussi de la gamme Galaxy Tab de Samsung. A contrario, les tablettes numériques dont la taille est inférieure à 7" verront leurs ventes décliner d'ici 2016, prédit l'analyste.
Quant au prix, NPD table à cette échéance sur une facture moyenne de 246$ (soit 185€ environ) pour une tablette de 9,7", en référence à l'iPad, qui est le modèle le plus vendu au monde. Cette réduction très sensible de prix est due à la forte demande, conjuguée à la baisse du coût de fabrication des écrans.
(...)(20/03/2012 15:08:13)Google prépare sa plate-forme française de vente de livres en ligne
Selon un article de Livre hebdo, publié le vendredi 16 mars, Google aurait invité des éditeurs à signer un avenant pour la vente de leurs livres numériques sur sa future librairie numérique française.
La revue a eu connaissance d'un courrier envoyé à différents éditeurs présents au Salon du livre de Paris. Selon cet e-mail confidentiel, "les internautes qui iront sur le site Google eBooks Store accéderont automatiquement au site Google Play, où ils pourront acheter les livres numériques mais aussi des applications Android [...] Les utilisateurs pourront aussi accéder à Google Play sur leur téléphone et tablette, grâce à une application."
Les éditeurs français se montrent plus frileux que leurs homologues américains pour rallier la plateforme de ventes en ligne de Google, ce qui explique pourquoi ce service n'est toujours pas disponible en France. Son lancement, vraisemblablement dès 2012, devrait bouleverser le marché encore confidentiel de l'e-book en France (taux de pénétration du marché de 0,5% en 2011, selon A.T. Kearney).
Une batterie ultrafine signée NEC
Selon Ubergizmo, le géant japonais NEC aurait mis au point une batterie ultrafine, destinée aux écrans souples du futur. Ce premier prototype, de 9cm² pour 0,33mm d'épaisseur, pourrait profiter à des constructeurs comme Samsung ou LG, qui travaillent d'ores et déjà à l'élaboration de terminaux dotés d'un écran souple..
La technologie employée par NEC est celle des batteries organiques circulaires, qui exploite la réaction de sels inoffensifs déposés dans du gel polymère, composé de macromolécules. L'ensemble est capable de délivrer une puissance totale de 3mAh. Selon le japonais, elle fournirait une capacité de charge identique à celle des batteries lithium-ion actuelles.
AMD s'attaque au cloud avec ses puces Opteron 3200
Après ses puces Opteron 6200, AMD s'attaque au segment des serveurs d'entrée de gamme avec ses processeurs de la série 3200. Avec cette plate-forme, la firme de Sunnyvale espère reprendre un avantage concurrentiel sur son éternel adversaire, Intel, dans le marché des serveurs cloud.
Les trois Opteron 3200 dévoilés se destinent aux serveurs mono-socket, particulièrement appréciés par les fournisseurs d'applications cloud et les hébergeurs de solutions web, selon une présentation de la société. Ces puces possèdent jusqu'à huit coeurs, avec une vitesse d'horloge allant jusqu'à 3 GHz, et consomment de 45 à 65 watts.
Des coeurs à bas coût
Ces processeurs reposent sur l'architecture processeur Bulldozer, inaugurée par les Opteron 6200, dotés eux de 16 coeurs, et les puces pour PC de bureau de la série FX, avec huit coeurs max. Le lancement de ces Opteron 3200 intervient quelques semaines après l'annonce par AMD du rachat de la société SeaMicro pour un montant de 334 millions de dollars. Cette start-up s'était spécialisée dans la fourniture de serveurs ultradenses et économes en énergie pour les environnements de type cloud computing. Selon les analystes, les puces d'AMD vont probablement se substituer aux processeurs Intel Xeon série E3 utilisés dans le serveur SeaMicro SM10000-XE. Intel a travaillé avec SeaMicro sur le serveur, mais AMD va imposer ses propres composants pour relancer ces serveurs d'un nouveau genre.
AMD positionne son Opteron 3200 comme un produit au "bas coût par coeur". Les puces sont vendues entre 99 et 129 dollars aux États-Unis, alors que les processeurs Intel Xeon E3 sont proposés entre 189 et 885 dollars. MSI, Tyan, Fujitsu et Dell devraient lancer des serveurs web et les systèmes denses basés sur les puces AMD.
Explorer de nouveaux marchés
En élargissant sa ligne de produits, AMD arrive sur de nouveaux marchés, a indiqué Jim McGregor, analyste chez In-Stat. Mais si on mesure la concurrence sur les prix par rapport à la consommation par watt, l'Opteron 3200 n'est peut-être pas si bien équipé pour entrer sur ce marché, a précisé M. McGregor. Il y a un intérêt croissant pour le déploiement de serveurs de faible puissance dans les centres de calcul afin de réduire les coûts en énergie, mais les puces Opteron 3200 sont relativement gourmandes en énergie pour de telles installations.
Une meilleure adéquation serait l'utilisation des coeurs basse consommation AMD Bobcat, destinés aux ultraportables et aux netbooks, a poursuivi l'analyste. Mais pour proposer des fonctions indispensables sur le marché des serveurs comme la mémoire ECC et une meilleure protection des données, AMD a été obligée de pousser les coeurs plus imposants des Opteron. La firme de Sunnyvale n'a pas vraiment conçu de puces basse consommation pour serveurs.
Qui plus est la stratégie d'AMD avec SeaMicro n'est pas très claire. L'entreprise doit agir rapidement pour établir une présence sur le marché, a déclaré M. McGregor. La société est confrontée aux défis d'Intel, qui a une longueur d'avance dans la conception et la fabrication de processeurs, mais aussi d'ARM, dont les puces sont bientôt attendues dans les serveurs. Les puces d'Intel Atom basse consommation sont déjà utilisées dans les serveurs, et Hewlett-Packard a commencé à tester des machines très denses à base d'ARM.
(...)(20/03/2012 10:11:15)
HP adapte son support aux solutions cloud
Selon HP, les services de support traditionnels, qui se concentrent avant tout sur la réparation de composantes individuelles au sein d'une infrastructure IT, doivent désormais prendre en compte des environnements de plus en plus virtualisés, et notamment la présence de produits de différents fabricants dans les environnements cloud. De plus, les attentes des clients évoluent également, ceux-ci souhaitant de manière croissante un service préventif visant à éviter les pannes plutôt qu'un service réactif.
Ainsi, HP a notamment intégré un système de monitoring automatique de 1 600 différents points de données dans sa série HP ProLiant Gen8, un service qui doit à l'avenir être intégré dans l'ensemble du portfolio HP Converged Infrastructure. S'il décèle un problème, le système se connecte directement avec un centre de support HP, où une intervention humaine sera organisée si nécessaire.
Ce service de support, baptisé «HP Always On Support» sera disponible dans trois configurations différentes :
-
- HP Foundation Care, où il appartient au client de se mettre en contact avec HP, qui fera ensuite la liaison avec les différents vendeurs pour identifier et résoudre les problèmes
- HP Proactive Care, dont le but est de minimiser les pannes en corrigeant proactivement les problèmes en fournissant un accès direct aux experts
- HPDatacenter Care, qui propose un support personnalisé pour les environnements multi-vendeurs, et qui inclut l'utilisation d'analyses préventives.
Pour suivre ses ventes dynamiquement, Pilot a choisi Qlikview
Spécialiste des instruments d'écriture (stylos, feutres...), la société Pilot est présente dans plus de 100 pays. La distribution de ses produits suit un réseau complexe de revendeurs. L'entreprise avait donc besoin de suivre aisément et avec une grande agilité ses performances commerciales. Pour cela, le classique cube OLAP alimenté par des vues de son PGI montrait ses limites en termes d'agilité, surtout que la restitution était réalisée au travers de Microsoft Excel.
L'entreprise a donc déployé un décisionnel léger connecté directement sur le PGI, en l'occurrence Qlikview de Qliktech. Le nouveau décisionnel est capable de traiter les ventes par produits, pays et clients avec un suivi temps réel. Les utilisateurs peuvent multiplier les ajustements par eux-mêmes et changer d'axes d'analyse en cours de route, voire indiquer des critères de filtrage qui se propage d'onglet en onglet. Malgré tout, il reste possible d'exporter vers Excel de façon simple.
Enfin des rapports standards sont produits quotidiennement au format PDF avant diffusion dans l'entreprise par les canaux appropriés. L'outil décisionnel devrait être étendu à l'ensemble de l'Europe et à d'autres fonctions, comme la logistique par exemple afin de suivre au plus juste les stocks. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Un serveur vocal interactif en mode SaaS au centre Pompidou
Le Centre National d'Art et de Culture Georges Pompidou, rue Beaubourg à Paris, est une institution culturelle vouée à la création moderne et contemporaine associant les arts plastiques, le théâtre, la musique, le cinéma, la littérature... Cet établissement culturel reçoit en moyenne 900 appels téléphoniques par jour pour obtenir toutes sortes d'informations pratiques sur ses expositions et performances. Devant la croissance du flux d'appels entrants, l'équipe de six téléconseillers ne suffisait plus à la tâche.
Le Centre Pompidou a donc choisi de déployer un serveur vocal interactif (SVI). Après appel d'offres, l'établissement a choisi une solution SaaS afin de se concentrer sur son métier, point qui a été particulièrement apprécié. En l'occurrence, il s'agit de celle proposée par Diabolocom.
Une navigation par reconnaissance vocale
Le prestataire a conçu en moins de trois mois l'ensemble du paramétrage du service, en particulier l'arborescence de choix pour les appels entrants qui peut aboutir sur un annuaire des collaborateurs de l'établissement. La navigation dans l'arborescence s'effectue par reconnaissance vocale.
Installée en janvier 2011,la solution aurait selon le fournisseur un taux de reconnaissance des commandes vocales de 90%. Les appels non-reconnus sont dirigés vers les téléconseillers. Le service est disponible en Français et Anglais. Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)
Fuite de code malveillant, Microsoft met en cause ses partenaires MAPP
Microsoft a confirmé que le code d'attaque, qu'elle avait elle-même mis au point, était probablement tombé dans les mains des pirates, dans le cadre du programme que l'éditeur mène en partenariat avec des vendeurs de solutions antivirus. « Les détails sur le code « proof-of-concept » (POC) semblent correspondre à la vulnérabilité que Microsoft a dévoilé à ses partenaires dans le cadre du Microsoft Active Protection Program (MAPP) », a déclaré Yunsun Wee, directeur du groupe Trustworthy Computing de Microsoft, dans un communiqué publié sur le site de l'entreprise. « Microsoft mène une enquête active pour savoir comment ces informations ont pu être divulguées et prendre les mesures nécessaires pour protéger ses clients. Nous devons nous assurer que les informations confidentielles que nous partageons sont protégées dans le respect de nos contrats et les exigences de notre programme, » a-t-il ajouté.
Dans le cadre du MAPP, Microsoft fournit à certains éditeurs de logiciels antivirus des informations techniques sur les bugs avant que l'éditeur ne les corrige. Le programme consiste à communiquer aux tierces parties un avis de sécurité préalable afin qu'elles puissent élaborer des signatures de détection correspondantes. Selon un FAQ sur le programme, Microsoft partage notamment avec ses partenaires du MAPP la « preuve de concept » ou des outils permettant de reproduire la vulnérabilité de manière à expliciter le problème et élaborer une protection en conséquence. » La reconnaissance du travail de Microsoft a été provoquée par l'alerte donnée dans la journée de vendredi par le chercheur en sécurité italien Luigi Auriemma, qui avait repéré la vulnérabilité dans Windows Remote Desktop Protocol (RDP) en mai 2011.
Soupçonnée, l'équipe ZDI de HP a vivement démenti
Selon Luigi Auriemma, le code trouvé dans un exploit « proof-of-concept » sur un site Internet chinois était identique à celui qu'il avait fourni au programme de chasse aux bogues Zero Day Initiative (ZDI) de HP TippingPoint. Son code avait ensuite été utilisé par ZDI pour créer un exploit fonctionnel comme le prévoit le programme de vérification. ZDI a ensuite transmis des informations sur la vulnérabilité de RDP à Microsoft, y compris l'exploit utilisant le code du chercheur. Selon Luigi Auriemma, l'exploit public comprenait la chaîne « MSRC11678 », un numéro de référence renvoyant au Microsoft Security Response Center (MSRC), ce qui indique selon lui que la fuite provient de Microsoft. ZDI a nié qu'elle avait été la source de la fuite. « Nous sommes à 100% sûr que la fuite ne vient pas de chez nous, et Microsoft n'a pas démenti, » a déclaré Aaron Portnoy, chef de l'équipe de recherche en sécurité qui travaille pour TippingPoint et lui-même patron de la Zero Day Initiative, dans une interview.
Ce dernier a également décrit la chaîne de traçabilité du code du chercheur italien - un pack de données spécialement construit pour déclencher la vulnérabilité Remote Desktop Protocol - entre le mois de mai 2011, date à laquelle le chercheur l'a soumise à l'équipe ZDI, jusqu'à son intégration dans l'exploit POC que ZDI a fourni à Microsoft en août 2011, dans le cadre d'un vaste travail d'analyse sur la vulnérabilité. « La « preuve de concept » qui circule actuellement parmi les hackers ne permet pas l'exécution de code à distance - nécessaire pour compromettre un ordinateur ou un serveur, et pour installer ensuite le malware dans le système. Par contre, elle fait planter une machine vulnérable, » a déclaré Aaron Portnoy. En fait, elle affiche le classique « Blue Screen of Death » ou écran bleu de la mort bien connu dans Windows. Le chef de la ZDI confirme également ce que Yunsun Wee de Microsoft a déclaré quant à la similitude entre l'exploit public et le code de Luigi Auriemma. « Nous pouvons confirmer que l'exploit exécutable comporte un paquet qui appartient au code que Luigi nous a donné», a déclaré Aaron Portnoy.
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C'est en 2008 que Microsoft a lancé son programme MAPP, lequel réunit 79 partenaires, toutes des entreprises spécialisées dans la sécurité, comme AVG, Cisco, Kaspersky, McAfee, Trend Micro et Symantec, ainsi que plusieurs éditeurs de logiciels antivirus chinois. La liste complète des membres du programme MAPP est disponible sur la page de Microsoft. Avant le week-end, Yunsun Wee n'avait pas indiqué si Microsoft avait déjà établi sa liste de suspects, mais celui-ci faisait remarquer que toutes les informations transmises aux partenaires MAPP sont couvertes par « un strict accord de non-divulgation (NDA). » Ce serait donc une première si la fuite provenait d'un partenaire MAPP.
L'update MS12-020 publié par Microsoft corrige le bug RDP, et peut être téléchargé et installé via les services Microsoft Update et Windows Update, ainsi que via Windows Server Update Services.
(...)(19/03/2012 16:58:41)Analyser gratuitement ses données Salesforce dans le cloud MicroStrategy
Les fonctions de reporting et de visualisation de données proposées par MicroStrategy sur son Cloud Personal sont accessibles gratuitement en ligne pour un usage individuel. On peut y charger les informations de ses feuilles Excel sans devoir recourir à l'équipe informatique et explorer ses données « in-memory ».
Dans sa dernière version, cette facilité de prise en main s'est ouverte aux utilisateurs du logiciel de CRM Salesforce. Ceux-ci pourront récupérer leurs données après s'être enregistré sur Cloud Personal, puis choisir une représentation graphique et disposer rapidement d'un tableau de bord interactif, affiché désormais en plein écran. Ils pourront consulter leur portefeuille d'opportunités commerciales sous différentes formes (cartes de chaleur, histogrammes...), lui appliquer des filtres par glisser-déposer et recalculer rapidement de nouvelles présentations.
La version Cloud Professional en cours
Les rapports ainsi constitués peuvent être partagés immédiatement sur le web et à travers des applications mobiles. Il ne sera pas possible, en revanche, de travailler en mode projet en faisant intervenir plusieurs personnes sur ces fichiers de reporting. Ces capacités avancées, ainsi que d'autres fonctionnalités et des modèles de visualisation complémentaires, seront réservés à la version Cloud Professional payante que MicroStrategy devrait présenter lors de sa prochaine conférence utilisateurs, à Amsterdam, en juillet prochain.
SAP propose lui aussi des fonctions similaires aux utilisateurs de Salesforce à partir de son offre en ligne BusinessObjects BI OnDemand. Ces fonctions décisionnelles dans le cloud bénéficient de la puissance de son offre « in-memory » HANA. Elles sont proposées à l'essai gratuitement, sans limite de temps.
VMware annonce la disponibilité de vCenter Operations Management Suite
Issue du rachat de la start-up Integrien en aout dernier, vCenter Operation Management Suite 5.0 (vCOPS) succède à vCenter Operations. « Il existe déjà des outils de gestion, mais issus du monde des silos. Avec les avancées de la virtualisation, on travaille différemment avec des pools de ressources physiques » nous a indiqué Lionel Cavallière, responsable marketing Europe chez VMware. Face à la complexité grandissante des systèmes d'information, l'éditeur propose d'automatiser les processus et de casser les silos afin de mieux suivre le fonctionnement des applications et d'optimiser les performances.
Avec la montée en puissance des environnements virtuels, la gestion de la performance devient encore plus importante. Quand une infrastructure s'agrandit avec l'ajout de machines virtuelles, la compréhension et la gestion de la performance deviennent des éléments clefs dans l'administration d'environnements physiques et virtuels. Une des principales erreurs, selon Lionel Cavallière, est d'assigner les mêmes ressources physiques aux machines virtuelles. « Auparavant, on avait l'habitude de surprovisionner. Le taux de consolidation est bien différent, il doit être optimisé. Il y a trop de mémoire allouée par exemple ».
Deux modules dont un nouveau, vCenter Infrastructure Navigator
vCOPS 5.0, qui s'intègre étroitement avec vSphere, se compose de deux modules : vCenter Operations Manager 5.0 et vCenter Infrastructure Navigator 1.0, qui est un nouveau produit. Avec le premier module, il est possible de gérer les performances et les capacités de plusieurs machines équipées de vCenter. Le tableau de bord a été étoffé avec des indications sur le bon fonctionnement, les risques et l'efficience de l'infrastructure qui permettent d'afficher la performance générale et le cas échéant de remonter des alertes préventives pour résoudre plus rapidement les problèmes. Le second module, vCenter Infrastructure Navigator 1.0, s'attache à créer une cartographie des dépendances des services applicatifs au sein de l'infrastructure virtuelle. Il est possible de recenser automatiquement toutes les applications sur les machines virtuelles, les hôtes, les clusters, les systèmes de stockages, les liens vNetworks... ainsi que l'interdépendance entre les machines virtuelles et les sauvegardes SRM.
« Au travers de ces outils, notre but est d'augmenter et de mieux gérer la virtualisation dans les entreprises. On assiste d'ailleurs à un basculement sur notre base installée avec une accélération de la virtualisation. (...) Avec nos parts de marché, cette base est idéale pour proposer nos produits et composer avec les outils existants », nous a précisé Lionel Cavallière.
Quatre versions de la suite vCenter Operations Management sont proposées à partir de 55 dollars HT par machine virtuelle : Standard, Advanced, Enterprise et Enterprise Plus. Les mises à jour sont gratuites pour les clients actuels de vCenter Operations.
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