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(22/03/2012 09:27:33)
Le réseau Free Mobile testé dans 30 villes françaises : peut mieux faire
La société Sensorly, spécialisé dans la mesure de couverture des réseaux, rend compte des villes françaises les mieux desservies par le réseau Free Mobile, à travers une étude rendue publique par Challenge.fr. Caen, Besançon et Bordeaux apparaissent en tête tandis que Marseille, Paris ou Tours sont en queue de peloton. Cette étude sort au moment où Free Mobile est victime de ses premiers couacs, avec des coupures de réseaux de plusieurs heures dans certaines grandes villes.
Une application, chargée sur le mobile des abonnés à Free Mobile, a permis de mettre en lumière un classement en fonction du taux d'itinérance des abonnés sur le réseau Orange. Avec 48,28% de taux d'itinérance, ce sont donc les abonnés caennais les mieux lotis, juste devant ceux habitant Besançon (52,02%), Bordeaux (54,53%), Brest (59,21%) et Angers (65,63%). A l'inverse, les abonnés de Marseille (96,21%), Strasbourg (96,34%), Aix-en-Provence (97,28%), Nîmes (97,89%), Paris (98,8%) et Tours (100%) sont les plus dépendants du réseau d'Orange.
Cette étude a exploité les données de 2 538 utilisateurs, répartis dans 30 villes de plus de 100 000 habitants.
(...)(22/03/2012 09:21:37)Spotify étoffe sa plateforme avec des applications proposées par des tiers.
Spotify annonce le lancement de onze applications sur sa plateforme, lancée au mois de novembre dernier. Ces nouveautés sont mises à disposition par certains labels et distributeurs, parmi lesquels Universal, Sony, Warner, [PIAS] et Matador. Elles sont mises en place afin d'aider à découvrir de nouveaux univers et artistes.
Les amateurs de hip-hop pourront quant à eux se tourner vers l'application Def Jam pour découvrir les derniers artistes signés par le label. Dans un autre genre, Classify permet d'asseoir ses connaissances en matière de musique classique, par le biais de recherches par compositeurs, époques ou genres.
Découvrir les paroles d'un titre
D'autres applications proposent des services pratiques, à l'image de The Complete Collection qui permet de découvrir les crédits et les paroles liées aux artistes les plus populaires du moment, à travers pour l'instant 150 livrets d'albums, ou de Filtr qui créé des listes de lecture basées sur son activité sur Spotify et Facebook (recommandations d'amis, concerts, etc.). Originale, Tweetvine créé des playlist à partir de l'ensemble des tweets proposant le hashtag #NowPlaying.
De son côté, Hot or Not propose un système de vote afin d'élaborer la playlist la plus tendance possible, tandis que The Legacy of propose des biographies, photos et playlists dédiées à des artistes de légende (Bob Dylan, Miles Davis, Stevie Ray Vaughan...). En lançant cette plateforme d'applications, Spotify a souhaité apporter un maximum de fonctionnalités à ses abonnés : recommandations, paroles de chansons, votes, etc. Ces applications sont disponibles à partir du 22 mars
(...)(22/03/2012 15:53:52)22e Observatoire de la Presse : Le Monde Informatique reçoit une Étoile de l'OJD
Après le prix du «Meilleur support en ligne 2011», remis lors du Palmarès annuel de la presse professionnelle, nous avons le plaisir de vous annoncer que le site LeMondeInformatique.fr s'est vu décerner une Étoile OJD pour ses bonnes performances ces quatre dernières années lors du 22e Observatoire de la Presse, ce jeudi 22 mars 2012.
Depuis 22 ans, les Étoiles OJD récompensent les meilleures progressions annuelles pour la presse grand public et la presse professionnelle. Dans cette dernière catégorie, LeMondeInformatique.fr s'est donc vu décerner une Étoile pour sa constance dans le succès depuis 4 ans. Cette récompense de l'Observatoire de la Presse vient saluer le travail de refonte progressive entrepris depuis quatre ans : création de rubriques (Le Monde du cloud, Virtualisation...), renforcement des dossiers thématiques, lancement de nouveaux rendez-vous (newsletters Emploi, Sécurité, Stockage, Mobilité), développement des versions mobile HTML et iPhone, réorganisation des rubriques éditoriales et de la structure du site, référencement revu, création d'un gestionnaire de compte ...
En 30 ans, Le Monde Informatique, qui s'adresse aux professionnels de l'informatique, est passé d'un hebdomadaire papier
à une plateforme 100% online d'informations et de services. Et merci à tous nos lecteurs. Grâce à vous, LeMondeInformatique.fr est aujourd'hui le site le plus consulté par les professionnels de l'informatique.
Selon le classement des audiences certifiées de l'OJD dans la catégorie « Sites Techniques et Professionnels », LeMondeInformatique.fr a connu la plus forte progression en visites toutes catégories confondues des sites B2B. En janvier 2012, LMI a ainsi atteint les 1 840 337 pages vues et 976 890 visites.
Le groupe IT News Info, éditeur du Monde Informatique, édite également les titres Distributique, CIO et Réseaux & Telecoms.
(...)(21/03/2012 16:45:10)Gmail va expliquer pourquoi certains mails sont classés en spam
Google va désormais indiquer les raisons pour lesquels les messages indésirables sont classés comme tels dans le dossier spam de sa messagerie, selon un billet posté sur le blog officiel de Gmail. Différents degrés de dangerosité signaleront aux Internautes s'il s'agit de messages simplement douteux ou franchement corrompus.
Avec cette présentation des spams, Gmail va proposer plusieurs signalements. Lorsque le message est inoffensif, l'explication apparaît dans un simple cadre avec la possibilité d'en "savoir plus" pour accéder à des informations plus détaillées. En revanche, si un courriel est considéré comme dangereux, un cadre rouge apparaîtra et un message mettra en garde l'Internaute sur d'éventuels dangers, notamment la présence d'un virus. Cela pourra également permettre de déceler pour quelle raison un e-mail pourtant sain a été filtré, à tort, catalogué comme du spam.
(...)(21/03/2012 16:11:32)HP confirme la fusion de ses activités PC et imprimantes
Dans un effort pour stimuler sa rentabilité, Hewlett-Packard a annoncé ce mercredi la fusion de ses divisions Imaging and Printing Group (IPG) et Personal Systems Group (PSG). Les deux entités seront regroupées dans une nouvelle unité appelée Impression et Personal Systems Group (IPSG), dirigée par Todd Bradley, le vice-président exécutif de PSG depuis 2005. Vyomesh (VJ) Joshi, le charismatique patron d'IGP, est donc le grand perdant de cette réorganisation.
Cette fusion, largement éventée un peu plus tôt dans la semaine par les agences de presse américaines, reflète une atténuation de l'activité impression par rapport aux PC. Les ventes d'imprimantes ne devraient augmenter que de 1 à 2 % dans les prochaines années, alors que le marché des PC devrait progresser d'environ 5% selon IDC. On se souvient que l'été dernier, HP avait envisagé la cession de l'activité PSG pour améliorer sa rentabilité. Entretemps, le CEO a été brutalement débarqué et remplacé par Meg Whitman.
Réinvestir les économies réalisées
HP a déclaré que la fusion des entités PC et l'imprimante permettra de rationaliser sa chaîne d'approvisionnement, et, donc, de réaliser des économies qui seront réinvesties dans l'entreprise. « Cette combinaison va rapprocher deux divisions où HP occupe la place de numéro 1 dans le monde », a déclaré le CEO de la compagnie, Meg Whitman. « En offrant le meilleur dans l'innovation axée sur le client et l'efficacité opérationnelle, nous croyons que nous allons créer un scénario gagnant pour les clients, les partenaires et les actionnaires. »
Parmi les autres restructurations annoncées ce mercredi, HP va fusionner l'activité Global Accounts Sales avec l'entité Enterprise, dirigée par David Donatelli. Cette division regroupera dorénavant les serveurs, le stockage, le réseau et les services IT.
Apps : iOS et le HTML5 séduisent de plus en plus les développeurs
Les développeurs mobiles vont de plus en plus utiliser le HTML5 dans leurs applications au cours de l'année 2012, mais la fragmentation va leur compliquer un peu la vie, selon une enquête menée conjointement par IDC et Appcelerator, la plate-forme libre de développement d'applications mobiles et de bureau utilisant des technologies web. Selon cette enquête basée sur les réponses de 2 173 développeurs interrogés entre le 25 et le 27 janvier 2012, 79% des développeurs d'applications mobiles déclarent qu'ils intégreront du HTML5 dans leurs applications cette année. Selon les deux entreprises, c'est beaucoup plus que ce que de nombreux observateurs du secteur avaient anticipé pour le quatrième trimestre. « C'est vraiment une découverte intéressante pour nous », a déclaré Mike King, directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator.
Les développeurs envisagent aussi bien de créer des applications HTML5 pures que des applications dites hybrides, « c'est à dire des applications natives qui utilisent du HTML5 pour certaines fonctions, » comme le précise Mike King. Cependant, si le HTML5 est en cours de progression, la fragmentation pose un vrai défi aux développeurs. « C'est incontestablement un vrai problème », a déclaré le directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator. Quand les navigateurs se connectent sur son site web, le vendeur observe les éléments HTML5 qu'ils contiennent et utilise ces données pour comparer plusieurs variables. D'après cette analyse, Appcelator constate un écart de 20 à 30 % dans la façon dont les navigateurs consomment du contenu. Mike King explique en partie cette différence entre navigateurs par le fait qu'il n'existe pas en la matière de standard validé.
89% des développeurs intéressés par iOS
Apple est toujours la plateforme la plus populaire parmi les développeurs. 89% des développeurs interrogés se disent en effet très intéressés par le développement d'applications pour l'iPhone, suivis de près - 88% - par le développement pour l'iPad. Comparativement, Android bataille en deuxième position. En effet, au cours de ce trimestre, le nombre de développeurs qui se disent très intéressés par le développement d'applications pour les smartphones tournant sous Android est tombé à 79% et à 66 % pour les tablettes sous Android. L'an dernier à la même époque, ces chiffres étaient de 87 % et 74 % respectivement. Selon le directeur de la stratégie mobile chez Appcelerator, c'est la fragmentation qui est à l'origine de ce désintérêt des développeurs pour la plate-forme Android. « Les développeurs se plaignent que la plate-forme manque d'unité, qu'ils doivent gérer plusieurs systèmes de monétisation et qu'il y a trop de boutiques en ligne pour leurs applications, » a-t-il ajouté.
Avec Android 4.0, Google à l'intention de freiner cette fragmentation. Mais au moment où l'enquête a été réalisée, le Samsung Galaxy Nexus était le seul téléphone à tourner avec le dernier OS mobile de Google. Depuis, de nouvelles tablettes et de nouveaux smartphones intégrant Android 4.0 ont été annoncés. De plus, des marques comme HTC et Samsung ont commencé à livrer des mises à jour pour leurs téléphones existants. « Android 4.0 est censé réduire la fragmentation, mais les développeurs ont adopté une approche plutôt attentiste pour voir ce qui se passe, » a déclaré Mike King. Selon ce dernier, Google pourrait améliorer l'image de son OS auprès des développeurs en accélérant le déploiement des mises à jour et en freinant une partie de la fragmentation de la plate-forme, par exemple en adoptant de meilleures pratiques. « C'est une piste intéressante pour Google, car, avec l'acquisition de Motorola Mobility, l'entreprise a la possibilité de conduire les meilleures pratiques. Mais dans le même temps, si Motorola doit se hisser au-dessus de la concurrence, Google risque d'avoir du mal à inciter Motorola à construire un matériel attracti », a déclaré Mike King.
Blackberry OS bientôt remplacé par Windows Phone ?
Mais la baisse de popularité d'Android auprès des développeurs n'est rien comparée à la baisse d'intérêt pour la plate-forme BlackBerry de Research In Motion (Rim). Il y a un an 38% des développeurs se disaient très intéressés par le développement d'applications pour l'OS de RIM. Cette année, la proportion est tombée à 16% seulement. En outre, selon l'enquête, l'intérêt des développeurs pour le PlayBook de RIM a chuté de 28%, à 11% seulement. Les difficultés de RIM font que Windows Phone se retrouve en troisième position en terme de popularité auprès des développeurs. Leur niveau d'intérêt pour le système d'exploitation mobile de Microsoft varie peu, à 37%. Les développeurs continuent à penser que le partenariat entre Microsoft et Nokia est une bonne chose. « Si ce n'est qu'ils ont maintenant besoin de vendre plus de téléphones, » a estimé Mike King.
(...)(21/03/2012 12:07:29)Peu de tablettes ARM pour le lancement de Windows 8
Microsoft aurait mis au point une stratégie pour éviter que le consommateur ne se perde dans les différences entre les tablettes sous Windows 8 à base de puces ARM et celles à base de puces x86/x64 : la solution réduire au minimum l'offre de tablettes à base de processeurs ARM. Ainsi, lors du lancement de Windows 8, prévu un peu plus tard cette année, il pourrait y avoir moins de cinq terminaux sur base d'ARM disponibles sur le marché, et seulement trois d'entre eux seraient des tablettes tactiles. « À l'inverse, lors du lancement de Windows 8, on trouverait plus de 40 machines sous Windows 8 intégrant des puces Intel. » C'est ce qu'indique un rapport de l'agence Bloomberg, qui ne précise pas si les puces Intel dont il est fait mention auront une architecture x86 (également utilisé par AMD) ou si ce sont des processeurs portant la marque Intel.
S'appuyant sur des sources anonymes, Bloomberg affirme que la raison pour laquelle il y aura si peu de terminaux utilisant la technologie ARM au moment du lancement de W8, c'est que Microsoft a mis en place « un système très rigoureux de contrôle des normes de qualité » pour les terminaux à base d'ARM qui tourneront sous le nouveau système d'exploitation. En outre, l'entreprise de Redmond voudrait aussi avoir un certain contrôle sur le nombre de terminaux ARM disponibles au moment du lancement initial de Windows 8.
Un terrain inconnu pour Microsoft
Avec ce système Windows pour appareils ARM, Microsoft fait son entrée dans un nouveau territoire. Les processeurs ARM sont largement utilisés dans les smartphones et les tablettes, car ils ont la réputation d'être plus économes en énergie que les processeurs x86. Mais historiquement, Windows a été conçu pour tourner sur des puces Intel. Beaucoup d'observateurs se demandent comment Microsoft fera la différence entre les tablettes à base d'ARM et celles à base de puces x86, dans la mesure où ces terminaux offrent des expériences utilisateurs à la fois similaires (l'interface Metro) et différentes (les logiciels). Les dispositifs à base de processeurs ARM reposeront essentiellement sur la nouvelle interface Metro tactile, incluse dans Windows 8, même si ces terminaux seront aussi équipés de la version de bureau traditionnelle de Windows. Cependant, le problème, c'est que les logiciels pour Windows x86 ne tourneront pas sur les périphériques ARM. Si bien que, par exemple, l'installation d'AOL Instant Messenger pour Windows 7 fonctionnera parfaitement sur une tablette sous Windows 8 équipée d'un processeur Intel, mais pas sur un terminal intégrant une puce ARM.
La question est aussi de savoir qui va fabriquer des tablettes ARM pour Windows 8. Le fait que Microsoft est peut-être en train de limiter - du moins au début - la sortie du nombre de terminaux à base de processeurs ARM tournant sous Windows 8, laisse penser que l'éditeur veut éviter de perturber les utilisateurs. Mais savoir quels fabricants produiront ces premières tablettes ARM reste toujours une question sans réponse. Selon certains rapports, Asus et Nokia prévoiraient de sortir des tablettes ARM pour Windows 8. Hewlett-Packard pourrait également produire une tablette ARM, mais commencera d'abord par proposer des dispositifs intégrant des processeurs Intel. Quant à Dell, Lenovo et Samsung, il semble qu'ils proposeront plutôt des tablettes avec des puces Intel.
Le rapport de Bloomberg indique aussi que Windows 8 sera prêt pour un lancement « vers le mois d'octobre. » Cette information a été publiée en ligne avec d'autres rapports. Un calendrier de sortie des dernières versions de Windows rappelle aussi que les systèmes Windows 7 et XP sont sortis en octobre, alors que le lancement de Vista a eu lieu en janvier.
(...)(21/03/2012 11:17:46)Symantec identifie une variante de Duqu
Des chercheurs de Symantec ont identifié une évolution de Duqu, cet élément responsable du chargement du corps crypté du malware. Selon Vikram Thakur, en charge de la riposte en matière de sécurité chez Symantec « cette amorce, qui porte l'identifiant mcd9x86.sys a été compilé le 23 février. » Découvert pour la première fois en octobre 2011, Duqu est liée au ver Stuxnet utilisé dans le sabotage industriel des systèmes SCADA notamment, et avec lequel il partage des portions de code. Cependant, contrairement à Stuxnet, créé pour mener des attaques offensives destructrices, l'objectif principal de Duqu est de voler des informations sensibles dans les systèmes informatiques d'administrations gouvernementales ou d'entreprises très ciblées partout dans le monde. « La découverte de ce nouveau malaware indique clairement que les auteurs de Duqu poursuivent leur mission, » a déclaré Vikram Thakur. « Le gros travail de sensibilisation auprès du public au sujet de Duqu n'a pas suffi à dissuader les auteurs de Duqu qui continuent à s'en servir pour atteindre leur objectif. »
Costin Raiu, directeur de l'équipe de chercheurs et d'analystes de Kaspersky Lab, n'est pas étonné. « Je pense que lorsque vous investissez autant d'argent pour développer des malwares aussi malléables que Duqu et Stuxnet, il est tout simplement impossible de les mettre à la poubelle et de tout abandonner », a-t-il déclaré. « Nous avons toujours dit que les futures variantes de Duqu et de Stuxnet seraient probablement basées sur la même plate-forme, mais avec à chaque fois suffisamment de modifications pour les rendre indétectables par les logiciels de sécurité. Et c'est en effet ce qui se passe ici. »
Seul un morceau du nouveau Duqu a été découvert
Le code source du nouveau malware a été remanié et compilé selon des modalités différentes de celles utilisées dans les versions précédentes. Il contient également un sous-programme de routine différent pour décrypter le bloc de configuration et charger le corps du malware. « La même technique avait été utilisée en octobre 2011. Après la diffusion publique du profil de Duqu, celui-ci est ensuite réapparu avec des pilotes recompilés et présentant de nouvelles sous-routines de chiffrement, » a déclaré Costin Raiu. « Cette variante de Duqu utilise probablement un nouveau serveur de commande et de contrôle (C&C), dans la mesure où tous les serveurs C&C déjà connus ont été fermés le 20 octobre 2011, » a estimé le responsable de Kaspersky Lab.
Toutefois, ni Symantec, ni les chercheurs de Kaspersky ne connaissent l'adresse exacte du nouveau serveur, parce qu'ils n'ont pas le composant qui contient cette information. « Nous n'avons pas le corps entier de Duqu, mais seulement le chargeur sous la forme du driver. Le chargeur ne contacte pas le serveur de contrôle et de commande directement. Il charge uniquement le corps principal qui est stocké sous forme cryptée, » a expliqué Costin Raiu.
« Même si le nouveau serveur était connu, il serait sans doute configuré de manière à tenir quiconque à distance des attaquants réels, » a ajouté Vikram Thakur. « Les auteurs de Duqu se sont assurés que leur malware protègera leur anonymat, » a-t-il dit. « Pour l'instant, on ne sait pas non plus quelles organisations sont visées par la nouvelle version, mais ce sont probablement les mêmes que dans les variantes précédentes, » a déclaré le responsable de Kaspersky Lab.
(...)(20/03/2012 15:38:49)Les ERP Dynamics de Microsoft dans le cloud Azure fin 2012
L'an dernier, pendant son événement Convergence, Microsoft avait fait part de ses intentions de porter ses quatre suites ERP sur la plate-forme cloud Azure, à l'occasion d'une mise à jour majeure de chacun de ses produits. L'éditeur peaufine encore les détails concernant les prix et l'abonnement, mais devrait proposer au quatrième trimestre ses ERP Dynamics dans son cloud Windows Azure. « Les premières mises à jour seront disponibles au quatrième trimestre de cette année, notamment les versions NAV 2013 et GP 2013, » a indiqué Microsoft. Déjà, une version bêta de NAV 2013 sera livrée au mois de mai. Microsoft n'a toutefois pas prévu de détailler ces points lors de la conférence Convergence 2012 qui se tient actuellement à Houston (du 18 au 21 mars).
Toujours selon un communiqué, Microsoft doit également discuter avec les vendeurs de logiciels indépendants partenaires (ISV) qui offrent des services Azure hébergés sur différents marchés verticaux, comme la distribution, la mode et l'équipement. L'éditeur espère se différencier de ses concurrents en faisant valoir que les clients de son ERP Dynamics bénéficieront de plus de flexibilité pour aller dans le cloud, qui supporte les déploiements hybrides, ce qui permet de conserver certaines fonctions de l'environnement informatique sur site, ou dans des cloud privés. « Nos Cloud respectent vos contraintes», a déclaré Kirill Tatarinov, président de la division Microsoft Business Solutions, lors d'une allocution faite lundi, retransmise sur le net. Juste avant l'intervention de Kirill Tatarinov, le CTO de Microsoft, Kevin Turner, avait également insisté sur cet aspect. « Nous n'essayons pas de vous transporter vers notre Cloud», a expliqué le CTO. « Ce que nous disons, c'est que si vous voulez construire votre propre cloud, nous vous y aiderons. »
De la BI pour répondre aux besoins des utilisateurs individuels
Une autre annonce concerne la sortie de l'AX 2012 R2 au quatrième trimestre. La mise à jour inclura de nouvelles fonctionnalités de BI (Business Intelligence) destinées à répondre aux besoins des utilisateurs individuels. « Si vous déployez l'AX 2012 aujourd'hui, continuez...». En effet, la R2 va placer les nouvelles fonctionnalités au-dessus de la plate-forme, et ne nécessitera pas de « remise en oeuvre, » comme l'a déclaré le président de la division Microsoft Business Solutions. En outre, Microsoft va confirmer son projet de déplacer l'AX vers Azure, une solution plutôt destinée aux grandes entreprises, comparée aux autres applications Dynamics. « Cependant, pour l'instant nous ne nous engageons sur aucun calendrier, » a ajouté Fred Studer, directeur général de Dynamics. Microsoft n'annoncera pas non plus à quel moment Dynamics SL, un produit utilisé par les sociétés de services, se retrouvera sur Azure, comme l'a précisé Fred Studer. « Ce défaut d'information ne signifie pas que Microsoft remet ses projets en question », a-t-il ajouté. « Nous voulons toujours porter l'ensemble de notre offre ERP dans le cloud. »
Historiquement, les applications Dynamics, qu'elles soient sur site où hébergées, ont toujours été vendues directement par les partenaires. « Cela ne changera pas avec Azure, » a affirmé Fred Studer. « L'écosystème construit autour des partenaires est essentiel. Ils ont déjà établi des relations avec nos clients. » Les partenaires pourront vendre des solutions Azure Dynamics hébergés par abonnement, selon un mode de tarification propre au monde SaaS (software as a service). « Mais nous travaillons encore sur les détails, et rien ne sera annoncé à ce sujet pendant la conférence Convergence, » a déclaré le DG de Dynamics. « Alors que nous nous apprêtons à livrer la version bêta de NAV 2013, nous aurons encore plus d'éléments pour peaufiner notre offre. D'autant que nous voulons la rendre aussi simple que possible. » Selon Ray Wang, analyste et directeur général de Research Constellation, « il est probable que, une fois arrêtée, la grille de tarifs de l'abonnement pour les applications Dynamics sera reprise pour modifier les tarifs actuels ». Après le lancement des versions Azure, tous les produits Dynamics ERP resteront disponibles en version sur site et par le biais des partenaires habituels.
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Dans sa keynote, Kevin Turner a également vanté les avantages que les utilisateurs pourraient tirer des Dynamics, notamment l'intégration avec les offres logicielles de Microsoft dans le Cloud, par exemple, avec la suite de productivité Office 365, ou encore les technologies à venir comme le système d'exploitation Windows 8. Selon lui, la compatibilité de Windows 8 avec plusieurs architectures processeur va ouvrir l'accès à « une vaste quantité de nouveaux terminaux, » et l'interface utilisateur Metro va offrir une expérience utilisateur cohérente à travers les différents types de périphériques, et bénéficier ainsi de la totalité du portefeuille logiciels de Microsoft. Dont, les applications Dynamics, » a expliqué M. Turner. Pour Ray Wang, ce message n'est pas passé inaperçu. « Dynamics est en train de prendre du poids », a déclaré l'analyste. « Microsoft met en place ses synergies. »
Enfin, Kevin Turner a également voulu positionner Microsoft comme une société qui cherchait fortement à réinvestir ses bénéfices dans l'entreprise. Cette année, Microsoft va dépenser 9 milliards de dollars dans la recherche et le développement. « C'est 3 milliards de dollars de plus que notre concurrent le plus proche, » a fait valoir le COO de la division MBS. Celui-ci n'a pas précisé dans quels secteurs cet argent serait dépensé, mais il a déclaré que « fondamentalement, tous les produits seraient « réactualisés dans les 12 à 16 prochains mois. »
Parmi les autres annonces faites lundi :
- La prochaine mise à jour de ERP Dynamics, dont le code des versions à la demande et sur site est identique, sortira au quatrième trimestre. Les nouvelles fonctionnalités concernent essentiellement « le social CRM et l'enrichissement des données dans le Cloud, » comme l'a déclaré Microsoft dans un communiqué.
- Un certain nombre de grands intégrateurs de systèmes, comme Accenture, McLane Logistics Technology et Bull, ont rejoint l'écosystème AX et proposent des solutions personnalisées sur différents marchés verticaux.
- Microsoft a conclu un partenariat avec InsideView. Son logiciel de BI spécialisé dans la vente sera intégré à l'ERP Dynamics.
- Microsoft estime que plus de 10.000 personnes assisteront à la conférence Convergence, qui se tient jusqu'à mercredi.
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