Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 181 à 190.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(30/04/2012 16:07:27)

Microsoft investit 300 millions $ dans une filiale avec le libraire Barnes & Noble

Microsoft va investir 300 millions de dollars dans une nouvelle filiale de Barnes & Noble, qui rassemblera les activités du lecteur numérique Nook et College du libraire américain, ont déclaré les deux entreprises dans un communiqué commun. La création de cette filiale et ce partenariat avec Microsoft est une étape importante dans la stratégie de développement numérique de Barnes & Noble pour poursuivre la croissance de l'e-reader Nook, précise le communiqué.

Cette investissement donnera à Microsoft une participation de 17,6 % dans la filiale encore sans nom, ce qui valorise cette dernière à 1,7 milliard de dollars, selon le communiqué. Barnes & Noble détiendra le reste de du capital et entend toujours faire travailler ensemble cette filiale et ses librairies.

L'autonomie de la filiale n'est pas exclue

Dans le cadre de l'accord, Barnes & Noble et Microsoft ont également réglé leur contentieux de brevets. Et pour aller de l'avant, Barnes & Noble et la nouvelle filiale verseront des redevances à Microsoft pour l'exploitation du Nook et des produits pour tablettes. En mars de l'année dernière, l'éditeur de Redmond avait en effet entamé une action en justice contre Barnes & Noble. Le libraire a cependant l'intention d'explorer toutes les alternatives pour l'avenir de sa filiale et même une cession de l'entité pour la rendre totalement autonome, mais aucun calendrier n'a été fixé. 

Un des premiers effets de cette prise de participation pour les utilisateurs sera l'arrivée d'une application Nook pour Windows 8. Cette application sera ensuite étendue à tous les terminaux numériques basés sur le prochain système d'exploitation de Microsoft, qui sera utilisé sur des PC et des tablettes. Aucune date n'a été précisée quant à la sortie de cette application.

(...)

(30/04/2012 14:39:27)

Flashback fait surtout des ravages chez les utilisateurs de Mac OS X 10.6

Selon Doctor Web, parmi les ordinateurs Macs infectés par le malware Flashback, près des deux tiers sont sous OS X 10.6, mieux connu sous le nom de Snow Leopard. Le vendeur de solutions antivirus russe avait été le premier à lancer l'alerte sur cette attaque de malware d'une ampleur inédite contre les ordinateurs tournant sous l'OS d'Apple, après avoir analysé des données envoyées depuis des ordinateurs infectés.

Avec l'aide d'autres vendeurs de solutions de sécurité, l'entreprise avait utilisé la technique du « sinkholing » pour empêcher les domaines de commande et de contrôle (C&C) dirigés par le botnet Flashback d'émettre des ordres ou de mettre à jour son code d'attaque. Elle a pu aussi estimer la taille du botnet et surtout perturber son fonctionnement. En fin de semaine dernière, Doctor Web a publié sur son blogune analyse portant sur les communications établies entre 95 000 Macs infectées par le malware Flashback et les domaines détournés. Les tentatives de communication effectuées par le botnet ont eu lieu le 13 avril, soit plus d'une semaine après la révélation de l'existence d'un énorme botnet Flashback par Doctor Web. Le malware utilisait une vulnérabilité critique dans Java pour infecter les ordinateurs Mac. Apple, qui continue à effectuer le support de Java pour ses utilisateurs sous OS X, a corrigé la vulnérabilité début avril, soit sept semaines après la découverte de la faille par Oracle et la livraison de mises à jour de Java pour Windows et Linux.

95 000 Mac infectés faute de mise à jour Java


Sans surprise, 63,4% des machines infectées par Flashback tournent sous OS X 10.6 Snow Leopard, la plus récente version du système d'exploitation d'Apple fournie avec Java. Selon Net Application, qui mesure les parts occupées par les systèmes d'exploitation sur Internet, le mois dernier, Snow Leopard était le système Mac OS X le plus représenté. Ce qui en fait la cible privilégiée de Flashback. Leopard, alias OS X 10.5, est le second système Mac OS X le plus infecté par Flashback, selon Doctor Web. Le vendeur a établi que 25,5% des 95 000 Mac hébergeant le malware tournaient avec l'édition 2007 de l'OS d'Apple. Leopard était aussi livré avec Java, mais contrairement à Snow Leopard et à Lion, ce système d'exploitation ne bénéficie plus de mises à jour de sécurité, et ne reçoit donc plus de correctifs Java pour ces versions. Enfin, le mois dernier, Leopard tournait sur 13,6% de tous les ordinateurs Mac.

Mais, alors que le taux d'infection des Mac sous Snow Leopard et sous Leopard est plus élevé que la part qu'ils occupent en terme d'utilisation, l'inverse est aussi vrai pour Mac OS X 10.7 Lion. Le mois dernier, le système d'exploitation sorti en 2011 représentait 39,6% de tous les systèmes Mac OS X en cours d'exécution, mais ne représentait que 11,2% des Mac infectés par le malware Flashback. Cette disparité semble conforter la décision prise en 2010 par Apple de « déprécier » Java, et d'arrêter de le coupler avec son système Mac OS X. Lion a été le premier système livré sans Java, laissant aux utilisateurs la liberté de le télécharger et de l'installer eux-mêmes.


Mac OS X Lion (à l'extrême droite) est le système le moins infecté par le malware Flasback. La décision d'Apple de ne plus coupler son OS avec Java semble avoir été la bonne. (Données : Doctor Web et Net Applications)

Même si Doctor Web ne tire pas ces conclusions de ses données, les chiffres indiquent clairement que les versions de Mac OS X livrés avec Java - Snow Leopard et Leopard - ont beaucoup plus de chance d'être touchées par Flashback. À l'inverse, Lion - livré sans Java par défaut - est beaucoup mieux protégé contre le malware. Les données du vendeur montrent également que de nombreux utilisateurs Mac ne mettent pas leurs systèmes à jour, ce que Ed Bott, de ZDNet, fait aussi remarquer dans son blog. Ainsi, 24% des Mac infectés sous Snow Leopard sont en retard d'au moins une mise à jour, 10,4% en ont trois ou plus en retard, et 8,5% sont à quatre mises à jour en retard et plus. Les utilisateurs de Mac OS X Lion ne sont pas bien meilleurs : 28% ont une ou plusieurs mises à jour de retard.

En matière d'application de correctifs, les utilisateurs de Windows ne sont pas mieux placés. Selon Qualys, qui examine régulièrement plusieurs centaines de milliers de PC, dans l'entreprise, 5% à 10% des machines sous Windows ne sont jamais mises à jour, et certaines mises à jour livrées par Microsoft sont ignorées par 20 à 30% des PC sous Windows, jusqu'à quatre mois ou plus après leur sortie. selon les données de Doctor Web, les utilisateurs Mac ne sont pas très rapides non plus pour mettre leurs machines à jour, voire pour ne rien faire du tout. L'OS X 10.6.7, l'avant avant-dernière mise à jour de Snow Leopard, a été livrée il y a 13 mois, mais seuls 9% des Macs sous Snow Leopard infectés par le malware tourne avec cet update.

Mise à jour simple mais indispensable

Afin d'empêcher Flashback d'exploiter la faille Java dans les systèmes Snow Leopard et Lion, les utilisateurs doivent lancer « Mise à jour de logiciels» à partir du menu Apple et télécharger les correctifs pour Java livrés ce mois-ci. La fonction « Mise à jour de logiciels » permet également d'installer la dernière version disponible des systèmes d'exploitation sur des Macs exécutant des versions plus anciennes. En ce qui concerne les machines tournant sous Leopard, les utilisateurs peuvent désactiver Java dans leurs navigateurs afin d'empêcher les attaques.

Plus tard cette année, Oracle doit sortir une version 7 de Java pour les utilisateurs sous Mac OS X. Ceux qui feront la mise à jour vers Java 7 recevront alors des mises à jour de sécurité régulières directement d'Oracle, et non plus d'Apple.


 

(...)

(30/04/2012 12:02:43)

Mission sur Mars : la NASA teste ses batteries avec l'outil XLfit d'IDBS

La NASA a utilisé le logiciel d'IDBS pour analyser des centaines de milliers de données et prévoir les besoins en énergie de sa mission spatiale sur Mars programmée en 2012. Lors de cette mission, un Rover, nommé «Curiosity», sera déposé sur la planète Mars. Celui-ci devra effectuer les analyses chimiques d'échantillons prélevés dans le sol pendant au moins 687 jours, afin de déterminer si l'environnement de Mars a été ou pourrait être propice à la vie.

Le Rover « Curiosity » transportera deux fois plus d'instruments que ses prédécesseurs, notamment des caméras, un spectromètre à rayons X et des détecteurs de rayonnements radioactifs. Pour être sûr que son générateur fournira suffisamment d'énergie aux batteries pour tenir la charge pendant toute la période de la mission, en tenant compte de son poids et des températures extrêmes, la NASA a utilisé le logiciel XLfit d'IDBS pour effectuer ses tests.

Anticiper la durée de vie des batteries sur Mars

Andy Vines, responsable produit chez IDBS, a expliqué pourquoi il était important d'anticiper les besoins des batteries. Utilisées par la NASA depuis une quarantaine d'années, ces batteries fonctionnent par désintégration de radio-isotopes qui génèrent de la chaleur, laquelle est ensuite transformée pour fournir de l'énergie. « L'état de ces batteries est essentiel, parce que la mission elle-même va avoir lieu dans des conditions extrêmes. En cas de chaleur ou de froid extrême, une batterie normale se décharge complètement ou tombe définitivement en panne », a-t-il déclaré. La NASA a réalisé plusieurs expériences pour exposer la batterie à différentes conditions. « Les chercheurs ont collecté des données sur la tension en sortie et sur l'efficacité de la batterie ». Cependant, l'agence spatiale américaine n'a pas pu tester toutes les configurations qui peuvent se présenter sur Mars, cela aurait demandé des milliers d'expériences.

Grâce à XLfit, la NASA a pu extrapoler les données sur la tension pour estimer ce qui se passerait dans des zones qui n'ont pas été testées. L'agence spatiale a utilisé un modèle mathématique pondéré par un coefficient, qui a permis aux chercheurs de prédire le comportement de la batterie dans certaines conditions. « Ils avaient bien récolté des milliers de données pendant leurs expériences, mais ce n'était pas suffisant. Ils avaient besoin d'extrapoler la durée de vie de la batterie en utilisant ces données », a déclaré Andy Vines. « Et il fallait que leurs prévisions tiennent sur au moins 680 jours, ce qui demandait effectivement d'ajuster la courbe réalisée à partir des données. Après ça, ils ont pu disposer de tous les paramètres dont ils avaient besoin et ont pu voir comment fonctionnerait l'alimentation en énergie ».

Nécessaire de passer de 32 à 64 bits

XLfit tourne dans Microsoft Excel, mais apporte des capacités de calcul mathématique et statistique supplémentaires. Le logiciel est généralement utilisé avec une version 32-bits d'Excel, mais étant donné la quantité de données que devait analyser la NASA, IDBS a dû transformer son logiciel pour le rendre compatible avec une version 64-bits du tableur de Microsoft. « La version 32-bits n'était pas assez puissante pour analyser les groupes de données collectés. Nous avons pu développer une version 64-bits de XLfit pour la NASA en moins d'un mois, pour apporter des capacités de calcul beaucoup plus grandes », a ajouté le responsable produit d'IDBS. La version 64-bits de Microsoft Excel permet de faire passer le nombre de lignes par feuille de calcul de 65 546 à plus d'un million, et le nombre de colonnes de 256 à 16 384.

(...)

(30/04/2012 10:39:12)

Comment la Russie est devenue une superpuissance de la cybercriminalité

En 2011, les criminels russophones ont capté plus d'un tiers du marché mondial de la cybercriminalité. Cette forte augmentation de la fraude en ligne, dans et hors du pays, fait de la Russie une superpuissance en matière de criminalité numérique.

Telles sont les conclusions du rapport « États et tendances du marché du cybercrime en Russie en 2011 » publié par Group-IB, un cabinet d'études russe spécialisé dans la sécurité. Selon ses estimations basées sur des données provenant aussi bien d'organismes publics que de partenaires, en 2011, le marché de la cybercriminalité mondiale a atteint 12,5 milliards de dollars environ, dont 4,5 milliards sont imputables à des criminels Russes et russophones (incluant ceux qui vivent hors de Russie).

Un marché intérieur florissant

Dans le même temps, sur la base de données collectées par le milieu lui-même, à l'intérieur des frontières russes, le marché de la cybercriminalité a doublé l'an passé comparativement à l'année 2010, pour atteindre les 2,3 milliards de dollars. Un niveau extrêmement élevé au regard de la population du pays et  de ses 143 millions d'habitants. Au premier rang de cette cybercriminalité intérieure, il y a la fraude en ligne, dont le chiffre d'affaires se situe à environ un milliard de dollars, juste devant le spam qui génère 830 millions de dollars, suivi par les services du marché intérieur avec ses 230 millions de dollars et les attaques par deni de service DDoS qui captent 130 millions de dollars.

Mise à part cette augmentation étonnante, le milieu de la cybercriminalité russe s'est également consolidé. Il est constitué de groupes plus grands, plus organisés, et de plus en plus contrôlés par les mafias du crime classique. Le rapport fait aussi état de preuves évidentes de coopération entre ces groupes, plus l'émergence d'un important marché « du crime vers le crime » (C2C) qui contribue à soutenir les activités du milieu.

Des lois encore laxistes en Russie

Le fait que l'enquête soit réalisée par un groupe de chercheurs basés en Russie rend sa lecture passionnante. Celui-ci égrène de multiples preuves diverses sur les méthodes et les tendances, en terme de malwares par exemple, qui montrent que la Russie est un pôle important du cybercrime. Mais les chiffres bruts sont rarement mis au crédit de son mode de fonctionnement ou de son business modèle. Alors, pourquoi la Russie est-elle devenue un pays aussi important pour la cybercriminalité ? Au-delà de l'explication traditionnelle qui invoque la recrudescence de programmeurs russes mal payés, Group-IB soulève pour sa part le problème du contrôle et des lois du pays.

Les chercheurs exposent ainsi l'histoire de Yevgeniy Anikin et Viktor Pleschuk, deux membres du gang qui ont subtilisé 10 millions de dollars en détournant les distributeurs de billets WorldPay ATM de la Royal Bank of Scotland en 2008. Ceux-ci ont été condamnés à des peines avec sursis par les tribunaux russes. « Ces failles dans les lois russes, le manque de sanctions sévères, une constance dans l'application de la loi et le manque de mesures pour lutter contre la criminalité numérique, font que les cybercriminels ne sont majoritairement pas tenus responsables des crimes qu'ils commettent », font remarquer les chercheurs. Selon Ilya Sachkov, le PDG de Group-IB, « chaque année, le marché de la cybercriminalité en provenance de Russie coûte des milliards de dollars à l'économie mondiale ».

 

(...)

(30/04/2012 10:27:00)

Microsoft et Cisco revoient leurs programmes de certifications

Dans un souci de répondre aux dernières évolutions technologiques dans leurs domaines respectifs, l'éditeur Microsoft et le spécialiste des infrastructures réseaux Cisco ont tous deux annoncé le lancement de nouvelles certifications destinées aux professionnels de l'informatique chargés de l'implémentation et du maintien de leurs solutions.

Le cloud mis en avant chez Microsoft

Chez Microsoft, ce sont les principales certifications de l'éditeur qui font l'objet d'une réorientation complète. Cette refonte, note l'éditeur, reflète l'influence croissante du cloud computing, désormais pris en compte dans les examens de certification. Par la même occasion, l'ensemble des certifications proposées changent de nom. Ainsi, au premier niveau la certification MCTS (Microsoft Certified Technology Specialist) est remplacée par un certificat baptisé MCSA (Microsoft Certified Solutions Associate).

Pour sa part,  la certification MCITP (Microsoft IT Professional) est rebaptisée MCSE (Microsoft Solution Expert), alors que la certification MCPD (Professional Developer) est rebaptisée MCSD (Solution Developer). Enfin, la certification MCM (Microsoft Master), elle s'enrichit d'un «S» et porte désormais le nom de MCSM pour Microsoft Solution Master. Microsoft entend ainsi favoriser le renforcement de la compétence des professionnels dans le domaine de la mise en oeuvre de clouds privés. En conséquence, la certification MCSE est ainsi désormais déclinée en deux orientations: MCSE Private Cloud et MCSE SQL Server 2012.

Gestion des réseaux de nouvelle génération chez Cisco

L'équipementier pour sa part a décidé de lancer une nouvelle certification s'adressant aux ingénieurs réseaux. Baptisée CCNP Service Provider, cette certification est destinée à répondre aux exigences croissantes des clients en termes de services gérés. Elle s'ajoute à une autre certification récemment lancée par Cisco, celle de CCNA Service Provider, et à la certification CCIE Service Provider. Elle complète donc la gamme des certifications Cisco dans le domaine de la gestion des réseaux de nouvelle génération.

ICTjournal.ch (...)

(30/04/2012 10:07:25)

Trimestriels Bull : +5,8% de CA grâce au cloud computing

Bull publie ses résultats trimestriels. Sur les trois premiers mois de l'année, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 286,5 millions d'euros, en hausse de 5,8%. Mieux encore, le carnet de commandes est passé à 334,4 millions d'euros en progression de 6,7%. La société met en relief ce carnet de commandes et son rapport avec le chiffre d'affaires. Elle souligne également le rôle joué par son activité de cloud computing, basé sur deux de ses compétences majeures : la sécurité et la puissance de calcul.

La bourse a salué les performances de Bull sur le trimestre et les « fondamentaux » de la valeur : le carnet de commandes et la réalisation des prévisions de la direction. (...)

(30/04/2012 10:05:20)

Trimestriels Alcatel-Lucent : Recul de 12,3% du CA

Alcatel-Lucent a réalisé un chiffre d'affaires en baisse de 12,3% à 3,2 milliards d'euros, au premier  trimestre 2012. L'équipementier affiche également une perte opérationnelle de 221 millions d'euros. L'activité plonge, la société ne tient que par la vente de sa filiale Genesys (logiciels pour centres d'appel), ce qui lui permet d'avoir une trésorerie nette et un bénéfice net de 398 millions d'euros. (...)

(30/04/2012 10:07:42)

Pour les dirigeants de SSII, la priorité reste le développement du portefeuille client

Premier constat et véritable socle de cette étude, les dirigeants interrogés mettent en tête des enjeux, le développement du portefeuille client. C'est  74% des réponses. Loin, très loin, devant toute autre option. L'optimisation de l'efficacité organisationnelle recueille 46%, les nouveaux services offerts aux clients arrivent à 39%, l'intégration de nouvelles technologies, 31%, l'augmentation des ressources  et l'amélioration des ressources internes, 28% chacun.

La même étude a été menée il y a cinq ans. La réponse n°1 était déjà à cette place. Elle recueille un point de plus. En revanche, l'optimisation de l'efficacité, n°2 cette fois, a progressé de 13%. Inversement, l'item n°3, les nouveaux services offerts aux clients, recule de 21 % ! Et l'amélioration des processus de gestion interne, aujourd'hui à 28%, a progressé de 21%. Visiblement, l'interne est un potentiel qui est grandement amélioré, très curieusement, les nouveaux services sont en net recul. Les entreprises se concentrent vraiment sur l'essentiel. Strictement l'essentiel.

Pas que « terre à terre »

Pour autant, elles ne sont pas que « terre à terre ». Disposer d'indicateurs prévisionnels est la principale problématique, devant la gestion des ressources et compétences internes et externes. Avoir une vision en temps réel de l'activité est une nécessité beaucoup moins forte. C'était le thème dominant il y a cinq ans.

Les dirigeants interrogés ont besoin d'un bon processus de gestion intégrée. A 53%, ils veulent un partage et une communication efficace de leurs informations. A 43% (contre 26% il y a cinq ans), ils privilégient le pilotage de l'activité avec des indicateurs pertinents : TJM, Tace... La gestion des RH est importante pour 27% de répondants.

Un SI très perfectible

Pour ce pilotage, les dirigeants de sociétés de services utilisent plusieurs outils ou combinaison d'outils. Cette combinaison arrive en tête, 39% des réponses, devant les bons vieux tableaux Excel, 21%. Le progiciel de gestion dédié métier est à 16%. Les applications spécifiques recueillent 12% des réponses.

Quelle est la qualité de ce SI, qui sert à piloter l'entreprise ? Visiblement, les dirigeants de sociétés de services sont déçus. Seul élément positif, la gestion de la facturation et des encours, obtient 75% de réponses positives (52% bon, 23% très bon). En revanche, trois autres items sont en négatif (avec plus de 50% de réponses): le reporting et les tableaux de bord, la gestion des ressource et des compétences, celle des projets et des plannings.

L'étude se conclut par des appréciations sur la place du système d'information dans le développement des sociétés de services. Visiblement, la majorité des répondants sont en phase de refonte et le SaaS est une perspective largement envisagée.

(*) Méthodologie : Etude menée auprès de 278 cadres dirigeants d'entreprises de services informatiques.  Les répondants se ventilent ainsi : SSII (17%), éditeurs de logiciels (22%), cabinets de conseil (37%), bureaux d'études et d'ingénierie (13%) et d'autres secteurs (11%) comme des agences de communication ou des sociétés de formation.  Le questionnaire a été administré en ligne, entre le 10 février te le 5 mars dernier.

 

(...)

(30/04/2012 09:50:18)

La ville de Marseille adopte le city-pass NFC

Les city-pass sont aujourd'hui incontournables dans la plupart des villes touristiques : un seul ticket permet ainsi d'accéder en toute simplicité à diverses prestations (accès à des musées, à des transports en commun, à des réductions chez des commerçants, etc.). Marseille a choisi de se doter d'un nouveau city-pass sous forme d'une carte NFC remplaçant l'ancienne modèle en carton. Désormais, c'est un système d'information partagé entre chaque acteur qui est mis en oeuvre grâce à l'initiative de l'Office de Tourisme et des Congrès de Marseille (OTCM).
La ville est reconnue comme « territoire leader du sans-contact mobile » par le Ministère de l'Economie Numérique et les cartes de transport de la Régie des Transports de Marseille utilisaient ainsi déjà la technologie NFC. S'appuyant sur ce précédent largement diffusé, le nouveau city-pass marseillais sert également de carte de transport.

L'emploi de la technologie NFC et d'un système d'information partagé entre tous les acteurs l'utilisant évite tout suivi manuel de la consommation des prestations. Chaque prestataire lit le pass soit avec un terminal de lecture NFC, soit avec un téléphone mobile compatible et l'application dédiée. Le client possède un profil unique créé lors de l'achat du pass et qui est aussi rendu disponible à chaque prestataire visité. La validation des droits de chaque utilisateur est ainsi instantanément vérifiée, l'OTCM suit la consommation de ces droits en temps réel et le fichier client de chaque prestataire est enrichi grâce à des données vérifiées et à jour.

Conçu par Adelya, le pass est en lui-même un support de communication visuelle. La carte peut en effet disposer de visuels adaptés à une période données (par exemple, certains ont récemment promu le Forum Mondial de l'Eau). Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)

(30/04/2012 09:41:32)

Une page antivirus chez Facebook

Facebook vient de s'associer avec cinq éditeurs d'antivirus afin de proposer au téléchargement leurs dernières solutions de sécurité. En outre, cet accord devrait permettre d'améliorer sensiblement la qualité de son filtre contre les liens malicieux, avec les propres bases de données de Microsoft, McAfee, Sophos, Symantec et Trend Micro.

Le réseau social estime à environ 4% le nombre de spams postés parmi tous les liens postés chaque jour sur son réseau. Chaque lien partagé sur Facebook est passé au crible, à travers une base de données incluant des milliers de sites "vérolés", désormais enrichie des éléments en provenance de ces cinq éditeurs partenaires.

En marge de cet accord, Facebook a lancé un marché en ligne de l'antivirus, qui propose de télécharger des versions d'évaluation, gratuites pendant six mois, des produits proposés par Microsoft, McAfee, Sophos, Symantec et Trend Micro. Pour ces éditeurs, il s'agit d'un marché fructueux, fort de 900 millions de membres.

Enfin, ces mêmes partenaires rejoignent la page d'information dédiée à la sécurité de Facebook. Les internautes pourront ainsi être alertés des risques en cours sur le réseau social et, plus généralement, sur internet.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >