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(19/06/2009 17:17:07)
HP et Alcatel-Lucent proposeront des offres de services communes
HP et Alcatel-Lucent ont signé hier, jeudi 18 juin, un accord mondial pour proposer des offres de services communes. Cet accord sera concrétisé au second semestre de cette année. Il comporte un volet annexe sur l'externalisation de l'informatique d'Alcatel-Lucent chez HP avec transfert d'effectifs. D'une durée de dix ans, cette « global alliance » entre les deux sociétés devrait générer des revenus de plusieurs milliards d'euros, à la fois pour HP et pour Alcatel-Lucent. C'est la seule précision chiffrée donnée par les deux partenaires qui se refusent à tout commentaire. Trois points sont plus particulièrement évoqués. D'abord, il est question d'une proposition aux opérateurs de télécoms, destinée à transformer leurs réseaux actuels en réseaux de convergence. Les deux partenaires créeront également des services pour les réseaux actuels et pour les réseaux anciens. Ensuite, HP et Alcatel-Lucent mettront sur le marché des solutions de communication destinées aux grands comptes, aux entreprises de taille moyenne et au secteur public. Le communiqué commun balaye large et parle d'un rapprochement entre les solutions IT de HP et celles d'Alcatel-Lucent dans la téléphonie sur IP (ToIP), les communications unifiées, la sécurité, la mobilité et les centres de contacts. Enfin, des solutions de bout en bout seront également mises au point, que ce soit pour le marché des opérateurs ou pour celui des entreprises. La distribution de ces nouvelles solutions se fera en direct et par des forces de ventes dédiées. Sauf la deuxième partie qui passera également par les revendeurs HP ou par des services en ligne, en mode SaaS. (...)
(18/06/2009 16:03:45)Alcatel-Lucent transfère son informatique et plus de 1000 salariés chez HP
Selon notre confrère Les Echos, Alcatel-Lucent annonce la signature d'un accord avec HP au travers duquel il confie ses équipements informatiques dans le monde. Selon le quotidien, qui cite des sources syndicales, il devrait découler de cette décision le transfert de 1 022 salariés d'Alcatel-Lucent vers le groupe américain. En France, cela devrait concerner 200 personnes. Le partenariat entre les deux groupes, d'une durée de 10 ans, les conduira à proposer ensemble des prestations informatiques et télécoms conjointes. A noter que HP a confirmé récemment la suppression de 5 700 postes en Europe. En France, il a proposé des baisses de salaires à l'ensemble de ses salariés. (...)
(12/06/2009 17:35:44)Le Syntec ébauche un projet sur le chômage partiel
Les négociations sur le chômage partiel entre les fédérations patronales du Syntec Informatique et les organisations syndicales se poursuivent. Elles ont repris le 7 mai, après une séance houleuse et brutalement interrompue le 22 avril . Une première esquisse de projet, découpée en cinq articles, a été ébauchée par le Syntec, le CICF et cinq fédérations syndicales (CFE/CGC/FIECI, CFDT/F3C, CGT, CFTC/CSFV et FEC/FO) regroupés au sein de l'OPIIEC (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). L'accord tel qu'il est actuellement rédigé stipule que le décret du 29 avril 2009 sur le chômage partiel s'applique « à toutes les entreprises de la branche affectées par la crise économique et qui se trouvent contraintes d'y recourir ». Une introduction prometteuse après les discussions avortées en avril dernier. Les deux camps - fédération Syntec et syndicats - s'étaient mutuellement accusés d'avoir fait capoter les négociations. Les premiers souhaitant étendre le champ d'application du chômage partiel à tous les métiers de la branche, qu'ils soient directement ou indirectement touchés par la crise (informatique, ingénierie, automobile, BTP, immobilier, industries manufacturières... soit 700 000 emplois de services qualifiés). Les syndicats, quant à eux craignaient que cette généralisation ne dévalorise les conditions d'indemnisation des salariés. Dans un souci d'éviter les recours excessifs au chômage partiel - autre source d'inquiétude des partenaires sociaux -, l'accord énumère une série de recommandations aux entreprises, en complément des dispositions légales encadrant déjà ces mesures. Le chômage partiel doit être limité dans le temps, car il répond à une situation conjoncturelle particulière, et il doit s'inscrire dans une logique de sauvegarde des emplois. Le décret adopté par le ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie permet quant à lui aux entreprises qui adhérent à cette convention professionnelle de bénéficier d'allocations complémentaires venant de l'Etat et de l'Unedic afin de les aider à mieux indemniser leurs salariés. En contrepartie, les entreprises doivent s'engager sur plusieurs points comme le maintien de l'emploi, l'accès facilité à la formation ou la généralisation du bilan professionnel. L'application de cet accord doit être soumise à l'obtention d'une convention tripartite entre patronats, syndicats et pouvoirs publics. Il entrera en vigueur à compter du premier jour du mois suivant la publication de l'arrêté ministériel d'extension au journal officiel. Contacté par la rédaction, le Syntec Informatique n'a pas été en mesure d'avancer une date sur la présentation de ce projet, notamment en raison des changements engendrés par le renouvellement de son conseil d'administration. (...)
(11/06/2009 15:04:04)Les salariés administratifs d'IBM France dénoncent l'absurdité de la délocalisation en Espagne
Les salariés du pôle administratif d'IBM situées à Noisy-le-Grand ont adressé hier une lettre de quatre pages au PDG, Sam Palmisano. Le courrier est intentionnellement rédigé en français, « notre langue maternelle, [...], celle de la clarté, celle que nous pratiquons au quotidien en permanence avec nos clients, nos collègues et nos familles. » Dans ce « testament pour dénoncer des patrons qui ne rechignent pas à détruire nos vies après les avoir exploitées en fonction de leurs besoins », les salariés d'IBM (essentiellement des femmes) condamnent l'annonce - faite en anglais par un représentant américain, le 11 mai dernier - de la fermeture de l'activité administrative France, sans toutefois préciser le nombre de personnes concernées. A partir du 30 juin, elle sera gérée à Madrid. « Nous souhaitons savoir pourquoi des collègues espagnols qui ne connaissent pas nos clients, qui ignorent nos us et coutumes, nos cultures, ces territoires particuliers que nous gérons depuis plusieurs générations, devraient prendre en charge des spécificités strictement françaises ». Le mécontentement des clients français grandit Et de citer une série d'exemples pour illustrer l'absurdité, selon eux, d'une telle décision, qui ne fait que créer des complications, des retards et du mécontentement du côté des clients dans l'Hexagone. Madrid enregistre des propositions non conformes aux termes juridiques et financiers des clients, l'historique des entreprises leur est totalement inconnu, les relances se succèdent et les lettres d'erreurs ou de mécontentement s'accumulent sur les bureaux des employés d'IBM, à Noisy-le-Grand. Certaines propositions qui, autrefois, se réglaient entre le bureau administratif et le client doivent désormais obtenir l'approbation de l'Autriche, sous peine de bloquer l'activité administrative de toute l'Europe. Les « ménagères en sursis », comme elles se nomment elles-mêmes, demandent des comptes à IBM. Elles veulent connaître le salaire de leurs collègues espagnoles, vérifier si le nombre d'emplois créés équivaudra au nombre de ceux qui sont supprimés, si l'inspection du travail a été prévenue de ces mesures subites ou encore si le groupe compte rembourser aux collectivités locales le manque-à-gagner entraîné par cette délocalisation. Les employées s'interrogent également sur les économies que réalisera IBM en supprimant cette activité en France. En avril dernier, il a annoncé que sa rentabilité augmenterait en 2009, et ce malgré un bénéfice net en légère baisse à 2,3 Md$ au premier trimestre. En dépit de cette bonne santé, Big Blue a annoncé qu'il pourrait supprimer jusqu'à 16 000 personnes dans le monde, soit 4% de ses effectifs, et a même légèrement augmenté la rémunération de son PDG (21 M$). (...)
(11/06/2009 11:40:44)Octo Technology : les méthodes agiles doivent se compléter par un coaching orienté « styles sociaux »
Savoir constituer des équipes projet est évidemment un facteur clé de la réussite du projet. Les méthodes agiles sont de plus en plus considérées comme un atout pour le bon déroulement des développements. Néanmoins, ajoute Jean-François Helie, consultant chez Octo Technology et membre de l'association Agile France, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, il ne faut pas négliger l'importance des styles sociaux dans le coaching d'équipe. « Il s'agit d'expliquer comment il est possible de parvenir à un objectif (conception d'un logiciel, migration d'un système informatique...) plus rapidement et plus efficacement en identifiant, dès le début, les talents et les lacunes de ses coéquipiers, afin de les exploiter ou d'y pallier au mieux », explique Jean-François Helie. Cela ne vient pas en opposition aux méthodes agiles, mais en complément. Pour lui, les principes de l'agilité « ne servent à rien s'ils ne sont pas introduits au bon moment. Les imposer peut créer une réticence au changement, une déstabilisation (voire une déresponsabilisation) de l'équipe par rapport au projet et finalement un échec sur toute la ligne ou un retard dans la livraison du projet ». LeMondeInformatique.fr est partenaire média de l'Université du SI 2009 (les 1er et 2 juillet prochains), où Jean-François Helie développera son point de vue. (...)
(10/06/2009 15:31:17)Index Freelance.com : les spécialistes de Cobol se hissent à la troisième position
L'indice du site Freelance.com, qui propose aux entreprises les services d'informaticiens indépendants, signale la montée en puissance de deux compétences dans le top 10 des profils les plus recherchés. Il s'agit du langage de programmation Cobol, qui monte en troisième position, devançant Java et SAP, et de Domino, qui prend la quatrième place. Pour le troisième mois consécutif, Oracle conserve la pole position, suivi par Unix. En fin de classement, J2EE perd 2,5 points, suivi par PHP. Les compétences en système d'exploitation AIX et en système de gestion de bases de données D2B clôturent ce top 10. Le classement des spécialités les plus prisées reste relativement stable. Les langages de programmation dominent, notamment grâce à la forte progression de Cobol et de PHP. Les spécialistes de bases de données comme Oracle se placent en deuxième position, suivis de près par les logiciels de gestion. Freelance observe en outre une progression de 9% pour les spécialistes réseaux, qui passent ainsi de la huitième à la quatrième place. Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée sur l'ensemble des postes à pourvoir, soit un panel représentatif de 258 offres de projets informatiques disponibles au 10 juin 2009. (...)
(10/06/2009 14:24:44)Quatre DSI sur dix ont élagué leur budget IT au premier trimestre
La crise économique a des effets drastiques sur les dépenses des DSI. Au premier trimestre de l'année, selon Gartner, 42% ont tranché dans leurs dépenses IT et seuls 4% d'entre eux les ont augmentées. Le pourcentage de DSI ayant réduit leurs dépenses a doublé en un an. En moyenne, les budgets IT ont été amputés de 4,7% alors qu'en janvier dernier, Gartner tablait sur une stagnation, voire une augmentation de 1,6 % des dépenses informatiques. Après plusieurs années de croissance continue, (3,3% en 2008, 3% en 2007, 2,7% en 2006, 2,5% en 2005 et 1,3% en 2004), les dépenses IT basculent dans le rouge. Mark McDonald, analyste chez Gartner, indique que la renégociation des tarifs avec les fournisseurs (24% des sondés) ainsi que la réduction des coûts (y compris en passant par celle des effectifs et par le gel des salaires) ont été les deux grands préoccupations des DSI au cours des derniers mois. Les réductions budgétaires n'épargnent quasiment aucune entreprise, quelle que soit sa taille, sa localisation géographique ou le secteur industriel sur lequel elle est positionnée. Seul le domaine de la santé échappe à la règle (croissance de 2% des dépenses IT). Tous les autres secteurs se serrent la ceinture : -10% dans les services professionnels ainsi que dans les télécoms et l'IT, -8% dans la fabrication, -4% dans le secteur public et la finance. Les DSI interrogés par Gartner ne prévoient pas de serrer davantage la vis d'ici à la fin de l'année, mais ils n'envisagent pas non plus une reprise des investissements IT avant le premier, voire le troisième trimestre 2010. Dans une autre étude, le cabinet encourage d'ailleurs DSI et acteurs IT à préparer l'après-crise s'ils ne veulent pas être dépassés par la concurrence. Pour réaliser cette enquête, Gartner a interrogé 900 DSI dans le monde entre les mois de mars et d'avril et a comparé les résultats à une étude similaire, effectuée auprès de 1 500 décideurs informatiques entre septembre et décembre 2008. (...)
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